L'indestructible Moguru

NOM

Prénom

In Rp...

• Âge : 30
• Nom : Daiyamon'do Ryuuguu
• Prénom :Moguru
• Nindo : Rien n'est indestructible
• Village : Kumo
• Clan : Daiyamon'do Ryuuguu
• Grade : Anbu
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On n’oublie pas un visage…

Moguru est un homme aux cheveux blanc, aux yeux blanc, le blanc est sur lui une sublime couleur.  Il est grand, environ six pied deux, les musculatures de son corps démontre bien son talent au taijutsu. Ce n’est pas le meilleur mais, l’affinité spéciale qu’il possède lui donne un grand avantage sur tous les autres utilisateurs de taijutsu.  Des bandages enrobant le contour de ses yeux, camouflant des cicatrices de guerre.  Des habits ? Tout simplement des pantalons ainsi qu’une cape de couleur verdâtre qu’il change en noir pour certaine occasion spéciale.

Spoiler:

Des rouleaux métallique à ces bras,  ajoutant plus de poids que d’utilité,  il s’en sert pour un entrainement plus coriace lui gardent une assez grande force. Ce tenant rarement d’une posture droite,  il adore toutefois être au-dessus des gens. Lorsqu’il combat, un sourire sur son visage démontre une joie, certain croiront qu’il adore souffrir d’autre le trouveront simplement fou.Normalement, il possède un poids bien alimenté, mais vue tous les métaux utiliser pour ce qui lui sert de poids à ses bras, il est lourd. Dans le sable, souvent il s’enfonce, dans les ca ou il monte des marches, celle-ci craque a chacun de ses pas.

Dans les méandres de mes pensées...

Moguru a jadis un temps, avant de voir la vérité de ce monde, été normale. Mais à ce jour, beaucoup le décrive comme étant instable, cingler et effrayant. Pourtent, dans bien des occasions, tout ce qu’il cherchait était de s’amuser. Le seul problème, son passetemps préféré…. C'est la baston! Son sport préféré, encore la baston…. Un homme qui aime ce battre!  S’entrainer a la baston est son deuxième passetemps. Boire et rire aussi, les concoure de toute catégorie sont encore mieux. D’un égaux à tout casser, il suffit d’un simple semblant de défie pour le faire participer. Son point faible, les petites femmes. Plus elle son petite et mignonne, plus elle on de contrôle sur lui. Facilement manipulable, stupide et naïf, n’étant jamais allé à l’école des shinobi, il ne sait même pas écrire nit lire. Un caractère équivalent à un ouragan, vous le voulez comme ami et non comme ennemie. Toutefois, il faut toujours avoir un œil sur ses actions, car on ne sait jamais ou cet homme démentiel pourrait vous mener.

Jamais je n'oublierai...

Moi :-Maman ?
Maman :-Pas le temps chéri ! Habille-toi !
Moi :-Mais maman ! Où va-t-on ?
Maman :-Mon bébé habille toi !
Papa:- Mon amour, je le porterais, laisse le dormir…
Moi :- Papa ?
Papa :- Dors mon poussin ! Papa s’occupe de tous.

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Moi :- Ils sont eu maman !!! Papa!!
Papa :-Ne pleure pas mon fils, c’est pour ton bien qu’elle est morte !
Moi :- Mais je ne veux pas qu’elle meurt !
Papa :- Elle est déjà morte ! Aller, il faut continuer !
Moi :- Mais où allons-nous à la fin ? Cela fait deux ans que l’on cour partout !
Papa :-Tu n’es pas assez vieux pour comprendre ! Tout ce que je peux te dire, c’est que nous allons voir le Docteur !

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Docteur : -Monsieur, votre fils est unique, d’un bon et d’un mauvais point.
Papa :-Expliquer moi ?
Docteurr :- Bien, ce jeune homme, ne pourra jamais utiliser aucune technique de combats autre que celui concernant le diamant. Il ne pourra jamais utilisée du katon et autre forme de Jutsu que ce soit. Il pourra avec de la chance faire les techniques de base si quelqu’un lui apprend.
Papa :- Le diamant vous dites ? Notre clan a donc réussi à créer l’impossible.
Docteur :- Si vous le dite, pendant que je le pense, vous ne devriez pas rester ici ! Des ninjas sont déjà en route pour le prendre.
Ninja hostile :- Vous !! Ne bouger pas !


~Un dur réveille ! ~

J'ouvris les yeux pour me rappeler que je n'étais rien dans ce monde. Au-dessus de moi, un plafond en planche de bois, décomposer, ressemblant à un vieux plafond de grange. Encore une fois, je m'étais endormie dans un bâtiment inconnu, fuyant pour ma vie. Cette petite vie, conservé par l'instinct de survie, conserver par une envie humaine de vivre et de découvrir ce qu'elle peut apporter de si palpitent. Ayant fait pour la troisième fois le même rêve, je pensais à celui-ci en sortant de la petite grange où j'avais pris refuge pour la nuit. Après de nombreux jours à survivre aux attaques répétées venant de shinobi de tous les pays, du repos était bien mérité. Je ne savais même pas où je me situais, proche de Suna, de Konoha ou encore Kiri ? La géographie n'était pas mon point fort, je n'avais jamais reçu aucune éducation, ce qui ne devait pas aider. Ecrire, lire, savoir comment me comporter devant une autre personne, je ne connais rien de tout cela et mon sens de l'orientation, je n'en parlerais même pas. En fait, il faut que je vous le dise, j'ai déjà tournée en rond pendant trois jours, car une pancarte était mal placée .... Cette pancarte n'existe plus aujourd'hui. Il faut dire qu'elle aurait pu être bien placé, je ne sais pas lire donc je ne l'aurais jamais su, alors je l'aurais détruite, mais seulement pour mon plaisir personnel, cette satanée pancarte mal placer ! Revenons à mes moutons ! Je marchais, m'éloignant de cette grange qui m'avait offert un peu de confort pour une nuit. Mes mains sentaient le sang, je ne m'étais pas lavé durant plusieurs jours, la faim commençait à se faire sentir, mon estomac gargouillait, il me fallait à manger. Quoi de mieux que de prendre la nourriture gratuite offerte par tous les bons passent du coin. Un peu d'exercice le matin ça ne fait jamais de mal !Je continus ma marche vers mon destin, je me retrouvais encore encercler par des ninjas de tous cotés, quelle chance, je pourrais donc prendre leur provision et enrichir mon estomac. Un coup de poing par-ci par là, pif paf pouf, du diamant par-ci par là, comme par magie, les ennemies tombèrent ! Des fois je me demandais si ce n'était pas tout le temps les mêmes ennemies qui revenaient de leurs défaites ou si les pays n'avaient rien de mieux à m'envoiler, ou peut-être que je n'étais pas d'une si grande importance...


~Fragment de mémoires~

Moi :- Pourquoi ! D’où viens tout ce sang ! J’ai les mains rouges ! Je ne voie plus claire, tous ces mort partout…

Dans ce rêve, je me souvenais de la première mare de sang dans laquelle j'ai baigné. Dans ces circonstances, j'avais peur, je ne comprenais pas ce qu'il venait de se passer, pour la première fois de mon existence, je mettais fin à des vies. Sans m'en rendre compte, j'avais enfermé des hommes, que je considérais comme une menace, dans du diamant. Certains étaient empalés, d'autres écrasés ou encore même décapités. Le corps de mon père pâlissait devant moi, mort, baignant dans son sang. À ce moment, je perdais la seule personne qui ne me considérait pas comme un monstre ou une attraction pour les scientifiques. La haine commençait à s'emparer de moi, mes yeux pour la première fois changèrent de couleur et d'un grand crient de fureur je laissais ma haine s'échapper. Les murs devenaient bleutés, le sang ne bougeait plus, la pièce au complet devenait pur diamant. Mon hurlement fini, mes yeux se fatiguaient, je commençais à bouger ma carcasse vers la sortie, mes jambes étaient lourdes, mes bras n'avaient plus de force et la porte devant moi ne voulait pas s'ouvrir, car elle était recouverte de diamant! Quelle misère, à bout de forces, prit au piège par nul autre que moi, je pouvais toutefois me sentir en sécurité, dans ma petite prison impénétrable, du moins c'est ce que je croyais ! M'écrasent au sol, regardants devant moi, à ce moment, j'aurais pu mourir et cela ne m'aurait pas dérangé. Le temps passait, cela ne semblait qu'éternité, pourtant il ne fallut que dix minutes pour que le diamant éclate en poussière. La grande limite, je dois ma vie à la limite de ma puissance, me permettant de me relever pour ouvrir cette satanée porte, me permettant de sortir de cet enfer désormais graver dans ma mémoire. Coure du mieux que je pouvais, traîne mon petit corps rempli de haines et de remords, sortant de ce bâtiment, courent vers l'inconnu. Me perdant pour la première fois, j'étais seul, devenant vagabond durant un temps, voleur et "monstre de ruelle", pourchasser encore et encore. A cette époque, je passai proche de la mort un nombre incalculable de fois, il faut croire qu'elle ne voulait pas de moi !

~Une Demande Inattendu~

Me réveillant encore une fois, la nuit n'avait toujours pas eu raison de moi. Sortant de la grotte dans laquelle je me trouvais, ne me souvenant plus de comment je m'y étais retrouvé je commençais ma marche de la journée. N'ayant rien d'autre à faire de ma vie c'est temps si, je fouinais par si et par là, depuis quelque temps, les ninjas commençaient à me lâcher. Ils ne semblaient plus me traquer ou me suivre. Cette journée semblait belle, quelque nuage, mais aucune menace à l'horizon, me faufilant dans les montagnes, des montagnes à pertes de vue, je crois que j'étais perdu. Bref tournant en rond dans cet endroit infâme et ne trouvant que montagne et roche, je commençais à m'inquiéter, ne portant jamais de sac à dos ou autres contenant, je risquais de mourir de faim, commençant justement à avoir de plus en plus faim, le sentiment de peur commençait à m'envahir. Quand je croyais le pire arrivé, je pus enfin retrouver la route, cette route, ou un homme de taille moyenne se trouvait. Me fixant de ses yeux jaunes, gardant une posture confiante laissant ses cheveux blancs comme la neige flotter au vent, ce vent froid traversant les montagnes depuis mon arrivée dans cet endroit. La tension montait, devant cet homme que je rencontrais pour la première fois, cet homme disant ce nommé Zatoïchi !

-Zatoïchi: Moguru ! Ton pouvoir m’intéresse, je te veux dans mes rangs!
-Moguru : <>
-Zatoïchi: Je suis un scientifique d'une certaine renommé, je pourrais te rendre plus puissant et répondre à tes besoins.
-Moguru : Mes besoins ?
-Zatoïchi: Ta soif de destruction ! Ton envie de détruire, de tuer, de ravager ! De plus, tu ne seras plus agressé par de petit ninja nuisible qui veulent ta peau.
-Moguru : Donc la paix quand je le désire et de la baston a volonté ?
-Zatoïchi: En quelque sorte, je te donnerais un endroit où vivre dans le pays de Kumo, te trouverais des ennemis à tuer pour ton plaisir et te donnerais un bon rang.
-Moguru: Intéressant, mais je refuserais d’aider un faible et comme tu parles beaucoup, tu dois être fort ! Survie moi pendants deux minute et j’accepterais ton offre.
-Zatoïchi: rien de plus facile !

De ces mots, le combat débuta, ne durent qu'un bref instant, exactement deux minutes. Les coups avaient été donnés, de toute ma force j'avais combattu et malgré cela, il tenait. La poussière retombait, le vent continuait son va et vien, les deux hommes étaient encore debout. Zatoïchi tenait sur c'est deux pieds, loin d'être fatigué, il semblait même être en mesure de continuer pendant un bon moment. Pour une très rare fois, je voulais continuer à le combattre avec le sourire sans toutefois le tuer, un adversaire capable de me tenir tête devenait rare. Me tenant debout face à mon adversaire je le regardais, surpris qu'un homme puisse me proposer autant et sembler pouvoir tenir c'est propos. Me rendre plus puissant avait-il dit ? Mais comment pourrait-il s’y prendre ? Je suis déjà une brute, qu’allait-il faire, m’éduquer ?

-Zatoïchi: cela fait deux minutes…
-Moguru : … oui j’ai crue voir, sache que si tu me joues dans le dos, je te tuerais!
-Zatoïchi : Parfait ! Bienvenue dans le splendide pays de la foudre ! Suis-moi !

~Fragment de mémoires~

Je devais avoir vingt ans à ce moment-là, déambulent dans le désert de Suna. C'est à cette époque que je fis ma vrai et dernière bonne action. J'étais dans une taverne, écoutent par si et par là les conversations des gens, une façon bien normal de passer le temps. Ce jour, j'entendis une histoire triste, un homme se plaignait qu'il ne pouvait pas tuer une petite fille qu'il avait kidnappée très jeune et que par malheur il devait prendre soin d'elle. Je n'aimais pas cette stupide histoire, avoir des parents qui ne sont pas les sien ? Stupide ! Je suivie cet homme jusqu'à chez lui et pu apercevoir par la fenêtre la petite fillette. Je patientais, jusqu'au lendemain puis trouva la petite fille qui se baladait dans la rue. Arrêtent nette sa balade, je lui racontai une petite histoire, quelle compris avec brio et me crut étrangement bien. Elle se mit à pleurer pendant que je me retournais, j'avais une autre petite tâche à régler avant de partir de ce désert qui ne me convenait pas du tout. Trouvant l'homme qui prenait soin de cette petite fille, le suivie et par surprise, le traîna dans la première rue de la petite ville. Tenant l'homme par le cou, cet homme qui ne touchait plus le sol, je le fixais dans les yeux et un sourire mesquin apparue sur mon visage. Le kidnapping n'est pas autorisé ! Et voici ton prix à payer !! Pensant à ces mots dans ma tête pendant que je serais le coup de l'homme. Je broyais cet avorton de toute ma force, le sang giclait dans tous les sens. Ma justice avait été rendu, laissent la dépouille de l'homme a cet endroit, je me retournais et prix une direction au hasard, ma seule envie, sortir de ce désert. Ayant éprouvé un malin plaisir d'avoir supprimé la vie de cet homme, mon infâme folie sanguinaire commença, suppriment de plus en plus de vie sur mon passage. Attirent beaucoup l'attention sur moi, beaucoup trop, mes jours de repos n'existaient plus.

~Un réveille vers le calme~

Je me réveillais une fois de plus dans ce monde qui continuait de m'ouvrir ses portes. Dans un lit bien chaud, une pièce fermée, ma nouvelle maison. Ce n'était rien de gros, mais je n'avais pas besoin de grand-chose, de toute façon je passerais le plus clair de mon temps dans les rues. Je n'aimais pas être enfermé. Pour la première fois de ma vie, je marchais seul, dans les rues, passent tout plein de gens, certains d'entre eux me regardaient d'un air apeuré, d'autres étaient impressionnés, mais personne n'en voulait à ma vie. J'étais désormais un Anbu de Kumo, bien que je ne comprenne pas ce que cela signifie. En fait, plus j'avançais dans ma journée et plus je commençais à m'ennuyer, à cette heure-là, je serais normalement en train de me battre. Cherchant désespérément une activité dans cette nouvelle vie, une activité qui ne consistait pas à tout casser, je me promenais dans les rues de Kumo ! Espèrent ne pas me perdre, tournant déambulant dans les rues, explorent les marchant, les quartiers et les bâtiments importent.

           Cette histoire continuera!!! Entre vos mains!
                                          - Moguru Daiyamon'do Ryuuguu.

Mon clan, mon honneur

Le clan Daiyamon'do Ryuuguu, un clan des plus spécial, peu connu de ce monde si immense. Beaucoup de héro naisse dans ce monde et encore plus en meurt. La jalousie, un sentiment des plus malaisées, ce sentiment qui n’apporte que haine et destruction.  Ce sentiment qui détourne les mauvais regards, ses regards se portent sur le pouvoir. Ses regards observant, jugent, fondant des pensée fausser et aveugler par le désir tant convoiter. Non, le clan Daiyamon'do Ryuuguu n’a pas été détruit… Cependant, il a été séparé, dévasté, oublié avant même d’avoir vécu la gloire qui lui revenait de droit. Ce petit clan, un clan détourné de plusieurs clans, c’était former grâce à plusieurs individu des  plus spéciaux. Des Shinobi avec des capacités uniques, qu’on ne voie qu’une fois dans sa vie, des Kekkei Genkai ! Kekkei Genkai, signifiant, une capacité unique qui ce transmets génétiquement dans un clan. Cette capacité, ne pouvant être  transmit que dans le clan, fut dévier au fil du temps, et sortie du clan. Il en va de même pour d’autre clan, ainsi forment  des capacités encore plus unique, démentiel, tellement rare, qu’une personne sur un milliard ne pourrait l'avoir. Ainsi est née la jalousie, d’un homme/femme  n’ayant aucune capacité unique, sortant du commun des mortels, convoitait ses élus que sont les utilisateurs des clans spéciaux. Le clan Daiyamon'do Ryuuguu est un de ses clans spéciaux. Pourtant, un seul homme découvert jusqu’à ce jour profitait pleinement du pouvoir démentiel de ce clan si peu actif. Le premier shinobi à pouvoir manipuler le diamant à la perfection fut né.

Vie

Privée