Asahi ( Soleil Levant ).

- Aujourd'hui je ne vois ni Maître ni Élève.
Nous sommes tous deux condamnés, nous sommes tout deux amis.
Vous qui ne devez plus montrer votre visage.
Et moi qui souhaite par dessus tout voir le monde.
Le destin nous a offert la mort...
Je l'attend comme une vielle amie...
Alors avant de partir je vous fais don de mon enveloppe charnelle.
Maître... Montrez... Moi... La mer... Rien qu'une fois.-

Peu après l'attaque de Kiri sur Konoha, une fois que les troupes du fer furent rentrées chez elles et que Soufuku Nitobe repris son service de Kazekage, il devait y avoir une réunion d'états-major au sein du pays entre le shogun, les grands généraux et le conseil du fer. Ensemble il devait planifier l'avenir du pays du fer. Qui avait depuis la nomination de Jin en tant que chef de guerre annexer les pays frontaliers, c'était chose faite pour certains territoires adjacents qui étaient initialement compris dans l'immensité du pays des nuages. Kumo était en ruine et aucune juridiction viable n'assurait alors leurs protections. Chose faite par Tetsu no Kuni.

Les habitants de ces petits patelins, pour ceux qui le voulaient pouvaient s'orienter vers les arts bushi propices aux samouraïs. Ont débattaient aussi sur la sortie de Soufuku Nitobe pour le compte du village de la brume et à l'encontre de Konoha, beaucoup s'indignèrent face à ses actes. Certains demandaient même de quel droit avait-il pus voir la famille impériale ? Durant le même instant dans une étendue de sable l'homme entrain de tomber prononça subtilement durant sa chute les doux mots servant à rompre un sort. Sa conscience fut comme projetée a une vitesse fulminante. Vertigineuse sous le tempo de battement de cœurs qui allaient crescendos.  Puis ce fut étonnamment le néant... Le néant total.

Révélation.

Dans une salle obscur, éclairée par la faible lumière des flammes vacillantes sur des bougies a la cires dégoulinantes sous les effets de la chaleurs. Où un sombre rideau obstruait la seule fenêtre qui donnait sur la lumière du jour, cette salle était faite de dalles de pierre froide, en son épicentre se trouvait un bassin la pierre contenait une eau limpide et turquoise et était marqué par des écritures indescriptibles leurs multitudes signifiaient là un sort complexe et difficile à mettre en place, des pétales de roses en étaient disposés à la surface. L'eau émit quelques ondes qui firent voguer dans une poussée physique les végétaux. En premier lieu, une main en sortie elle était de couleur blanche s'agrippa au rebord du bassin son corps nue et svelte laissa apparaître une musculature bien dessinée synonyme, d'acharnement au combat et à l’entraînement.

Dans le bas de son dos allant jusqu'à la moitié de celui-ci, une chevelure qui à l'origine était blanche comme neige et qui virait maintenant au gris a cause de l'âge. Il avait le regard fiers et froid et saisi un kimono de couleur bleu-vert qui recouvrit la marque qu'il avait reçu il y a vingt ans sur l'épaule gauche et qui lui causait tant de mal, il indiqua à un serviteur de faire passer un message et se dirigea lentement à travers les corridors du château. Pied nue, il sen sentait revivre à chaque fois que son épiderme entrait en contacte avec les pavés qui constituaient le sol.  Il arriva jusque une grande porte. Celle-ci s'ouvra violemment. Et les personnes assissent au tours de cette grande table rectangulaire. Le regardèrent avec stupéfaction on lui demanda alors qu'il était.

- Qui ose prétendre le droit de nous perturber ?



Écartant les bras et souriant c'est d'un air narquois qu'il répondit naturellement.

- Et bien ne reconnaissez-vous pas le visage d'un vieille amis ? Alors laissez moi me présenter à vous je suis l'Empereur de Tetsu no Kuni aussi connus sous le nom, de héro, légende, le derniers roi démon ou actuellement appelé dans d'autre contré, Hachidaime Kazekage... Nitobe Soufuku.

Certains s'exclamèrent et Jin ne pouvait qu'approuver il reconnaissait bien la l'iris bleu de son vieil ami. On lui demanda alors comment avait-il fait quand d'autre était prêt à frapper pour haute trahison, laissant gagner le doute de l'assassinat du derniers des Tokugawa.

- Pour tout vous dire, lors de mon arrangement avec Mifune-dono, j'ai été nommé officieusement instructeur du jeune Empereur. Hélas frappé par la maladie il m'offrit son enveloppe charnelle pour gérer le pays. Je vous donne ma parole de samouraï, jamais je n'aurai voulus lui faire de mal. Mal grès sa jeunesse frappante l'Empereur ne souhaitait pas voir son pays sombrer. Et il a donc prévu ce subterfuge pour enrayer un long processus d’élection où chacun aurait tenter de tirer son épingle du jeux.

Les discussions battirent leur plein, Soufuku affirma alors qu'il devait se rendre à Suna, pour dans un premier temps aller chercher le corps de l'Empereur pour lui offrir une sépulture digne de son statue. Il fallait aussi qu'il récupère sons sabre. Et comme il aimait si bien le dire, il devait placer son dernier pions sur l’échiquier du monde pour enfin y faire régner la paix.