Les leçons de Takara Hiseijo

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Hiver 119 Journal « Entraînement d'une médecin de combat », Chapitre 1 (Parchemins Seikaton)

Pour les membres du clan qui souhaite apprendre grâce à mon expérience les techniques du clan, ou les miennes, j'écris ce journal dans cette raison. Je préfère préciser, si vous ne savez pas utiliser le Seikaton, la probabilité de pouvoir apprendre quelques d'utile dans ce journal est très minime, que quelques de mes techniques ne sont pas liés au Seikaton. Cet avant-propos fait, passons à la phase entraînement.

J'aurais pu commencer avec une technique plus simple, mais celle-ci à attirer mon attention pour être la première, et ce pour une bonne raison. Les parchemins Seikaton sont des équipements que les membres de notre clan peuvent faire, et sont utiles en combat, et ce pour plusieurs raisons. Tout d'abord, ses parchemins sont utilisables par tout le monde. Une fois créer, il suffit à la personne d'y injecter son chakra pour pouvoir l'utiliser. Oui, le principe est le même que celui des parchemins explosifs. Ça permet donc d'avoir une sorte de trousse de premier secours dans une mission. Cependant, il y à un problème. La nature du chakra de Seikaton fait que le papier fini par être consumer peu de temps après sa création. Ça dépend des circonstances cette durée, mais en général, ça ne dure pas plus d'un jour.

Ensuite, la deuxième raison de ce choix, c'est qu'en général, une personne qui arrive à créer un parchemin Seikaton arrivera sans difficulté à faire des techniques de soins plus poussés. Donc prenez ça comme un test pour essayer vos compétences.

Le processus est très simple. Prenez la feuille de chakra, et insuffler une flamme de Seikaton dedans, puis, ajouter y le tag Seikaton, tout simplement. Ce sceau très primaire, est, comme vous pouvez vous le doutez, pas très efficace, et se descellera tout seul au bout de quelque temps, ce qui aura évidement pour effet de détruire le papier de chakra.

Maintenant, voyons son utilisation. Vous pouvez l'utiliser de différentes manières. Tout d'abord, vous pouvez simplement l'appliqué et l'utiliser de suite sur une petite blessure pour la soigner instantanément. Évidement, un autre ninja que vous peut utiliser le parchemin s'il infuse son chakra comme interrupteur. C'est l'utilité même de cette création de parchemin. Que quelqu'un puisse être soigné sans que vous êtes là. Ça peut sauver la vie lors d'une mission.

Vous pouvez aussi, évidemment, le faire consumer à distance en composant le mudrâ du tigre, et même mettre une minuterie pour choisir quand utiliser le parchemin. Ce qui peut être pratique dans certain de vos plans, peut importe ses derniers.

Voilà, je vous ai tout appris sur la création de parchemin Seikaton, au prochain chapitre, on va s'occuper d'une autre morceau, qui serra plus utile à vous qu'aux autres, mais, nécessaire. Après tout, un médecin mort ne peut plus aider le combat...

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Hiver 119 Journal « Entraînement d'une médecin de combat », Chapitre 2 (Reikika)

Nous voici au chapitre deux de mes explications des techniques du clan Hiseijo ainsi que des miennes. Pour ce chapitre, nous allons voir une technique créer par les shinobi du clan et non les médecins, le Reikika.

Mais qu'est donc que le Reikika me diriez-vous ? C'est très simple. C'est une aura de feu de Seikaton qui englobe l'utilisateur. Cette technique n'est pas connue par la plupart des membres du clan, et pour cause, pour les médecins du clan, cette technique est inutile, car un médecin soigne avant tout les autres, mais nous autres shinobi, on en a besoin. Ça peut nous sauver la vie… Ou nous permettre à continuer le combat sans se soucier des soins, du moins pas directement.

En effet, cette technique permet de nous envelopper de flamme de Seikaton, et donc vous pouvez faire le lien, de nous soigner pendant que l'aura est active. Cependant, l'aura ne soigne que les blessures externes. Bien que plus rare, les dégâts internes seront plus difficiles à soigner. En tout cas, l'aura de flamme elle permet de soigner rapidement les blessures mineures, et à une vitesse réduite les blessures plus graves, bien que pas trop grave. Cependant les blessures très graves ne peuvent être soigné, la concentration en flamme n'est pas suffisante.

Mais maintenant vous vous demandez sûrement, mais comment j'utilise la technique ? Tout simplement, laissez le chakra parcourir votre corps de fond en comble, et donner lui la nature du Seikaton dans votre corps. Il sera alors naturellement expulsé par les pores de votre peau, vous conférant donc une aura de flamme qui vous soigne des blessures externes.

Mais attention, vous pouvez soigner si vos coups touchent trop longtemps. Par exemple, prenez dans votre embrasse quelqu'un, et ce dernier sera aussi soigné, bien que moins efficacement que vous… Donc, vous voyez le problème non ? Ne faites pas de contact prolongé avec l'ennemie au corps à corps si vous utilisez une telle compétence, ou vous pouvez potentiel soigner votre adversaire !

L'apprentissage du Reikika est plus long que compliqué. Apprendre à laisser suffisamment de chakra dans tout son corps tout en mettant pas trop est assez ardue, surtout si vous comptez utilisez des techniques derrières. Ça demandera un entraînement vigoureux sur l'esprit. J'aimerais dire sur le corps aussi, mais vous connaissez la propriété de nos flammes, qui le régénéré, donc ce pas ça qui va vous poser problème. Petite astuce de ma part, je vous conseil de combinée Reikika avec Honoo Sawaru, le toucher des flammes. Ça permet de créer un effet déstabilisant quand l'ennemi pense que vos flammes ne lui infligeront pas de dégâts, alors qu'au fait vos mains sont de réelles flammes. C'est un avantage de surprise qui peut vous aider dans un combat, ne l'oubliez pas.

Sur ce, c'est la fin de cette explication, je vous retrouve dans le prochain chapitre pour la suivante.

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Automne 115, Journal « Entraînement d'un médecin de combat », Chapitre 3 (Hengen no Katon)

Voici le troisième chapitre de mon livre consacrée à mes différentes techniques. Dans celui-ci, nous allons apprendre une technique, encore une fois, plus utile à un Shinobi qu'à un médecin, mais ses applications ne sont pas que militaires, cette technique, est le Hengen no Katon.

Ce jutsu consiste, comme son nom l'indique, de transformer des flammes, que ce soit du Katon ou des flammes naturelles, en flammes de Seikaton. En soi, c'est une technique qui à l'air simple, qui demande juste des connaissances dans la maîtrise du chakra et un peu de physique, mais, ce n'est cependant pas le cas. Que ceux qui auront appris à maîtriser le Seikaton au plus au point pourront l'utiliser. En effet, la particularité de cette technique est la taille de la flammèche utilisée pour faire un tel exploit. Oui, vous avez bien lu, une flammèche. Une petite flamme qui est capable de modifier la totalité d'un feu ? C'est en effet possible. Cette flammèche est sur-chargé de chakra, on peut même dire que le chakra Seikaton est sous pression dans cette dernière. Et il n'attend qu'une chose, se libérer.

Vous vous demandez sûrement pourquoi prendre une petite flammèche au lieu d'une grande boule de Seikaton ? Il y à plusieurs raisons à ça : Tout d'abord, une flammèche demande moins d'energie à produire et à maintenir ensemble, dû à sa petite taille. Ensuite, une flammèche peut passer d'en davantage d'endroit, j'y reviendrais plus tard. Et enfin, c'est discret. Ce sont les avantages dont je développerais l'utilité dans le paragraphe fait pour.

Pour en revenir donc sur l'effet, une fois la flammèche au contact avec un nid de flamme, celle-ci se disperse et libère le chakra en Seikaton présent dans cette dernière, se mélangeant donc aux flammes. La quantité est telle que les flammes sont converties en Seikaton. Bien évidemment, ça dépend de la taille du nid, les grandes surfaces comme incendies demanderont évidement plusieurs applications de cette technique.

Et je viens donc de dire une des utilités de cette technique. Elle peut en effet éviter des dégâts considérables des flammes sur l'environnement, en les remplaçant donc par flammes bénéfiques pour les matériaux, et non l'inverse. Ainsi, comprenez pourquoi la taille est importante. Elle permet à la flammèche de se faufiler dans des endroits qu'une gerbe de flammes ne peut faire. Une autre application possible, militaire cette fois-ci, est de transformer une attaque Katon en Seikaton, et donc d'en annuler l'effet. La discrétion de la technique la rend difficile à détecter, et donc peut surprendre votre adversaire. Ils y a d'autres utilités que je vous laisse trouver, bien évidemment. Je tiens à préciser cependant, que la flammèche ne se propage que dans les flammes. Ainsi, il n'est pas possible de soigner quelqu'un avec cette technique.

La réalisation de celle-ci est des plus simples, pour une personne qui maîtrise le Seikaton. Il suffit de concentrer tout le chakra dans une petite flammèche. La difficulté de la technique vient donc plus de la maîtrise de l'art en lui-même que du jutsu. Vous y arriverez naturellement une fois votre talent sur le Seikaton pousser à son paroxysme. Donc entraînez-vous, je n'ai pas d'autre conseil.
Ce chapitre est donc terminé. Je vous invite donc à lire le prochain dès que vous serez prêt à passer à la suite.

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Automne 115, Journal « Entraînement d'un médecin de combat », Chapitre 4 (Honoo tenraku )

Nous voici sur le quatrième chapitre ce livre, et vous connaissez maintenant la musique, donc passons sans plus attendre sur ce qui vous intéresse, à savoir les détails sur la technique suivante, Honoo tenraku.

Déjà, commençons tout de suite par l'essentiel. Ceci est une de mes techniques Katon, et par conséquent, c'est une technique de combat et non pas de soutien, ni de médecine. Si une telle technique vous intéresse pas, je vous invite à passer aux chapitres suivants, vous y trouverez votre bonheur.

Honoo tenraku consiste à rendre une zone dangereuse pour votre adversaire en créant une pluie de flamme qui s’abat sur celui-ci. Cependant la pluie n'est que temporaire, donc il serait plus adéquat d’appeler ça une chute de flamme. Bien que la technique peut-être offensive et occasionné des sérieux dégâts à des ennemies non attentives, la technique sert d'avantage à du soutien, pour diminuer la zone de manœuvre d'un adversaire, ou le forcer sur la défensive. C'est donc une technique qui fais davantage de dégâts quand combiner avec une autre attaque, ou bien un allié. Les flammes en plus, ne sont pas spécialement grosse, la taille d'un poing tout au plus. Bien que chaude, être touché par une de celle-ci, sauf si c'est dans une zone critique, ne risque pas de tuer une personne, cependant, les flammes étant plutôt concentré, les brûlures risquent de perduré pendant quelques semaines. Pour finir, je vais préciser environ la taille de la zone affectée, qui est plus ou moins quinze mètres.

L'apprentissage de ce jutsu et, je dirais, variable selon la personne. Un utilisateur qui à une bonne conscience de la puissance de ses flammes et des lois gravitationnelles peut, entre autre, l'apprendre très rapidement. Les autres, il faudra plus de temps. La difficulté de cette technique vient donc surtout, au-delà de savoir créer des flammes assez puissantes, sur le fait qu'il faut savoir calculer la chute des flammes précisément, pour ne pas se tromper dans la zone d'arrivée de celles-ci. Les premières utilisations sont rarement bien exécutées, ainsi, je vous conseille de le faire dans une zone plane sans objet qui peut s'enflammer. Par exemple le terrain d’entraînement d'Iwagakure.

Peut-être finir ce chapitre sur quelques utilités à cette technique, vu qu'il n'y a pas grand-chose à dire de plus à part bien calculer votre coup. Cette technique peut, par exemple, bloquer la fuite des ennemies, ou bien protéger la vôtre. En gros, cela vous permet de placer vos adversaires là où vous voulez. Mais ce n'est pas tout, ça permet d'attaquer les ennemies par le dessus. En général, face à un utilisateur de Katon, ils s'attendent la plupart à des boules, gerbes, ou armes enflammés, en soi, des attaques directes frontales. Donc cela permet de surprendre en plus votre adversaire.

Il n'y a rien de plus à dire sur la technique. Chaque personne à son propre moyen d’exécuter la technique, différente puissance de souffle et autre rentre en compte, ça sera à vous de trouver le meilleur moyen de l’exécuté. Je vous dis donc au prochain chapitre pour connaître une autre de mes techniques.

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Automne 115, Journal « Entraînement d'un médecin de combat », Chapitre 5 (Shuufuku Kenai )

Ce chapitre, ou plutôt ce jutsu sera un peu particulier, car c'est une amélioration d'un jutsu déjà existant dans notre clan, j'ai nommé Sawarusei. Donc cet entraînement ne sera pas le plus passionnant, ni le plus développé de tous, mais pour le bien de ceux qui ne connaissent pas les techniques héréditaires de notre clan, laissé moi vous faire un court résumé, car après tout, je n'ai pas traité de Sawarusei dans ce livre.

Comme vous le savez, le Seikaton permet de soigner les blessures, comme l'Iroujutsu. Cependant, à la différence de l'Iroujutsu, qui lui régénère les blessures, le Seikaton fonctionne légèrement différemment. En effet, les flammes ont la particularité de vitaliser les cellules, les rendant plus performantes, en plus de soigner les blessures. Ainsi, même tout juste sorti de blessure, une personne soigner par le Seikaton peut de nouveau se battre sans ressentir de fatigue due à la blessure. Très pratique, cela permet d'avoir une bonne endurance quand utiliser sur soi-même par exemple.

Mais passons, après ce court rappel sur le Seikaton, passons à la technique, que j'ai nommée Shuufuku Kenai. Comme dit au début, c'est une amélioration de Sawarusei. Plus performante que la dernière, elle est également plus coûteuse. Proche en fonctionne du Shosen Jutsu de la branche de l'Iroujutsu, cette technique consiste à appliquer ses mains sur le corps de la personne pour la soigner. L'autre avantage du Seikaton par rapport à l'Iroujutsu, est que le contrôle de chakra est moins important.

En effet, les flammes aident à soigner naturellement les blessures, là où le Shosen Jutsu demande une concentration quasi exclusive sur le blessé, ce n'est pas le cas de Sawarusei, ni de Shuuguku Kenai. En utilisant une telle technique, vous pouvez donc garder un œil sur le combat pour éviter les mauvaises surprises.

Maintenant, pourquoi avoir créé pour ma part Shuufuku Kenai, si Sawarusei permet de faire la même chose, certes moins rapidement ? Hé bien il est là le problème. Les autres membres du clan, étant des médecins de clinique, ne sont rarement que peu préssé par le temps, sauf bien sûr situation qui l'exige. Mais en combat, chaque seconde compte, ça peut faire la différence entre la vie et la mort. Ainsi, cette technique permet de soigner très rapidement les blessures mineures de vos alliés, et surtout, permet en peu de temps de soigner les blessures graves de ses dernières, ce que Sawarusei ne peut faire, enfin si, mais seulement dans une situation de calme, chose rare en combat.

Ainsi, je ne conseille pas d'apprendre une telle technique si votre objectif est simplement de rester derrière un bureau. Contenter vous de maîtriser Sawarusei et tout devrait bien se passer. Je considère ce jutsu plus utile à un médecin de terrain, mais après, libre à vous de faire ce que vous voulez.

En tout cas, c'est la fin de ce chapitre. Je vous invite à lire le prochain pour en apprendre toujours plus sur mes différents jutsu.

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Automne 115, Journal « Entraînement d'un médecin de combat », Chapitre 6 (Saikan Chūshutsu no Jutsu)

Dans ce chapitre, je vais vous parler d'une technique connue de tout médecin, étant une des premières enseignées : Le Saikan Chūshutsu no Jutsu, ou Extraction de poison. Cette technique consiste simplement à extraire le poison d'un organisme. Mais, c'est plus facile à dire qu'à faire. En effet, il faut une concentration extrême pendant l'utilisation de la technique, pour ne pas endommager le corps du patient. En effet, cette technique extrait le poison par les pores de la peau, et peut donc endommager l'épiderme, ainsi que tout organes sous la peau lors du transfert du poison. Cela reste cependant la méthode la plus rapide pour extraire du poison.

L'utilisation de cette technique n'est pas compliquée. Vous devez simplement créer une bulle qui servira à récupérer et stockés le poison avec vos deux mains, que vous appliquez sur le corps du patient pour ensuite, grâce à la bulle, retirer du sort le poison. C'est un processus long et fastidieux, mais, une fois terminer, aucune trâce de poison ne restera dans le corps de l'empoisonné. Enfin, une fois tout le poison récupérer, vous portez la bulle jusqu’à un récipient pour y stocker le poison, et de là, vous pouvez en faire ce que vous voulez : Un antidote, où le stocké pour une utilisation future, par exemple. Je tiens à préciser aussi qu'il est préférable d'avoir diagnostiqué le patient avant de lui retirer le poison, après tout, certains de ses liquides sont bien plus vicieux que simplement détruire le corps de l'intérieur. Même dans l'urgence, il est préférable d'agir ainsi, mais faites de ce conseil ce que vous en voulez.

Passons maintenant à l’apprentissage, qui est en plusieurs étapes. Tout d'abord, il va falloir apprendre à créer la bulle qui sert de filtre pour le poison. Rien de bien compliqué, vous devrez y arriver en peu de temps. La véritable difficulté vient ensuite. L'extraction du produit néfaste sans endommager d'avantage le corps en face de vous… Et ici, il n'y a rien d'autre que la pratique pour vous entraîner. Acheté un animal mort, par exemple un poisson, et injecter lui une dose de poison. Une fois cela fait, il ne vous reste plus qu'à répéter encore et encore la manœuvre, pour finalement réussir à extraire le poison sans danger. Attention cependant, vous risquez d'avoir besoin de plusieurs poissons, et d'étaler les entraînements sur plusieurs jours, la fatigue mentale arrivant très vite avec cette technique de soin.

Voilà, vous savez tous pour l’entraînement de Saikan Chūshutsu no Jutsu. Je ne pense pas avoir besoin de préciser les utilités d'une telle technique, le principe en lui-même devrait vous suffire à comprendre dans quelle situation l'utiliser. C'est une technique qui demande plus de pratique que de théorie. Je vous souhaite bon courage pour passer l'apprentissage de celle-ci. Sur ce, je vous dis au prochain chapitre, pour apprendre un autre jutsu.

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Automne 115, Journal « Entraînement d'un médecin de combat », Chapitre 7 (Shuuzen Tainai )

Dans ce chapitre, nous retournons dans mon domaine. Ni du katon, ni de l'Iroujutsu classique, mais bel et bien une technique de mon invention. Au fait, c'est une technique qui ressemble à une autre, Chiyu Tainai. Pour faire cours, Chiyu Tainai consiste à faire brûler à l'intérieur de son corps des flammes Seikaton pour renfermer les blessures internes. La technique que je vais vous apprendre permet de faire cela… Pour une personne tierce.

Cette technique se nomme Shuuzen Tainai. Elle est simple à décrire, mais extrêmement difficile à maîtriser. Il vous faut un minimum de maîtrise de vos flammes Seikaton et une bonne concentration pour l'utiliser. En effet, le but est de soigner les blessures internes d'une personne. Pour cela, il y a moult moyens de soigner une personne, et en général, c'est long et compliqué. L'avantage ici, c'est que c'est toujours compliqué, mais bien plus cours.

Voici comment fonctionne la technique. Vous devez apposer vos mains sur le patient et activer vos flammes Seikaton. Non, ce n'est pas si simple. Car, dans l'état, vous soignerez juste l'extérieur en agissant ainsi. Vous devez générer vos flammes d'une telle manière que celui ne s'arrête pas à l'épiderme, mais le traverse par les pores. Vous comprenez désormais la complexité de la technique. Non seulement vous devez savoir contrôler vos flammes pour en faire des étincelles, mais en plus vous devez les faire traverser la peau. Ce n'est pas évident. D'où la concentration requise, sinon vous ne soignerez rien, mise à part une peau en bonne état. (Sauf bien sûr si une plaie à été ouverte avant.)

L'utilité de la technique est toute décrite. Cela permet de soigner les blessures internes, sans avoir à ouvrir une plaie pour s'en occuper. De plus, la technique est créée spécialement pour ça, permettant ainsi un gain de vitesse quant à la guérison. Que ce soit un cancer, une hémorragie interne ou autre, cette technique est là pour cela. Certes plus spécifique que d'autres techniques, cela l'avantage dans cette situation.

Concernant l’entraînement d'une telle technique, c'est bien plus simple. En utilisant un animal mort, poisson, rongeur ou autre, infligé lui des blessures internes (en l'ouvrant par exemple) puis commencer la pratique. Renfermer la plaie que vous avez faite, puis commencer à essayer de guérir les blessures internes. Par contre je vous préviens, c'est probablement une des techniques les plus dures à apprendre. Je vous souhaite bon courage dans votre entraînement.

Voilà, vous savez tout sur celle-ci. Je vous dis donc au prochain chapitre pour une autre technique.

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Automne 115, Journal « Entraînement d'un médecin de combat », Chapitre 8 (Kousei Kougoushii)

Dans ce chapitre, nous allons voir une version améliorer de Shuufuku Kenai qui est lui-même une amélioration de Sawarusei. Oui, j'ai déjà traité de Shuufuku Kenai. Et en soi, il n'y a pas de grande différence entre les deux techniques. Cependant, il est nécessaire de l'inscrire et d'en parler, et pour cause : C'est peut-être une des techniques de soins les plus puissantes.

Déjà, pour ceux qui auraient oublié, ou qui ont pas lu, qu'est-ce que c'est trois jutsu dont j'ai parlé, et qui sont identiques si ce n'est leur puissance ? Tout simplement des techniques de soin, comme leur homologue de l'iroujutsu, shosen jutsu. C'est une technique qui permet donc de soigner les blessures, en particulier les blessures externes au corps, comme des bleus, des entailles, et autres. En soi, c'est la technique de soin des plus basiques. Mais je pense qu'il est nécessaire de vous apprendre l'existence d'une telle technique.

En soi, ce n'est pas si différent de l'ancienne technique… Si, elle est légèrement différente. Là où Shuufuku Kenai était une amélioration de Sawarusei, Kousei Kougoushii est quant à elle une sur-utilisation du Seikaton. Cette technique est très coûteuse en chakra, mais elle à un avantage certains par rapport aux autres en combat, ou même dans une situation où il faut stabiliser en vitesse un patient. Les soins prodigués peuvent soigner en quelques instants seulement les blessures les plus superficielles, et en quelques dizaines de secondes les blessures les plus graves. Vous ne ferez sûrement pas mieux, sauf peut-être en investissant plus de chakra dans vos mains.

Cependant, ce n'est pas simplement une charge énorme de chakra déchargé dans vos mains. Non, cela nécessite de l'entraînement. Un jeune utilisateur du Seikaton ne pourra sans-doute pas effectuer une telle technique, car il faut un bon contrôle du chakra pour ne pas en expulser inutilement. Déjà que cette technique en consomme beaucoup, ce n'est pas la peine d'en perdre d'avantage. Donc ne vous attendez pas à y arriver dès vos premiers essais, surtout si vous n'êtes qu'au début de votre apprentissage de votre talent de clan.

Pour finir sur l’entraînement, rien de plus simple, un animal mort (ou vivant, selon votre éthique) à qui vous infligez une blessure assez grave et que vous devez soigner en un temps imparti. L'avantage d'un animal vivant, c'est que votre temps imparti, c'est jusqu'à sa mort. Ça vous met en situation. Cependant, seul vous pourra déterminer si votre conscience vous permettra de faire cela ou non.

Et voila nous finissons ce chapitre. Allez au prochain chapitre pour une technique différente.

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Automne 120, Journal « Entraînement d'un médecin de combat », Chapitre 9 (Nuu Nikkai)

Dans ce chapitre, je vais vous expliquer une nouvelle technique que j'ai mis récemment au point. Celle-ci est des plus simples à expliquer, mais à pratiquer, elle est probablement la plus délicate de mon arsenal. Cette technique, Nuu Nikkai, à un principe très simple. Recoudre, et rendre fonctionnel, un membre qui été coupé lors d'un combat, ou autre. Vous avez perdu votre bras, je peux le rendre fonctionnelle comme avant, de même avec votre jambe.

Vous vous en doutez, ce n'est pas aussi simple. Il suffit pas de récoler le membre et magie, le corps fait le reste. Non. Mais commençons par le commencement. Le processus est long et exigeant, par conséquent, oubliez le fait qu'elle puisse être utilisée en combat. Une erreur, est l'opération sera un échec. Le patient ne pourra pas utiliser son bras, ou pire, il retomba, car vous n'aurez pas reconstruit les muscles comme il faut, ainsi que les os. Donc clairement, vouloir l'utiliser sur un champ de bataille est juste une invitation pour que la mort vienne vous chercher.

Maintenant que cela est dit, laissez-moi vous expliquer comment fonctionne ce soin. Il y à plusieurs étapes. La première est la plus simple. Il suffit de reconstruire les connexions 'externes' entre le membre perdu et le corps. Ainsi, grâce aux flammes Seikaton, vous devez faire en sorte que l'os soit reconstituer, que les muscles soient rétablit, pour résumé, que tout soit de nouveaux connectés pour que le membre soit de nouveau une partie du corps. Cependant, c'est la partie la moins compliqué que vous venez de faire.

Ensuite, viens la partie la plus délicate et la plus longue. Elle se divise en deux sous-étapes. La première est de reconnecter les nerfs des muscles au corps, et pour cela, j'espère que vous avez des bagages en Iroujutsu, car sans cela, vous auriez beau transférer autant de flammes sacrées que vous voulez, ça ne changera rien. Non, c'est un travail de précision avec l'Iroujutsu qui faut. Ça va prendre du temps, et je vous conseille d'endormir votre patient pour qu'il évite tout mouvement. Ça pourrait porté préjudice à votre opération médicale.

Une fois celle-ci faites, il faut maintenant aider le cerveau à regagner son ancien contrôle sur le membre. Moins délicates que la sous-étape précédente, elle reste néanmoins très importante. Sinon votre patient sera comme un nouveau-né, qui ne sait pas utiliser ses membres de manière optimale. C'est juste pour lui éviter de passer sous une rééducation du membre.

Et voila, une fois cela fait, vous avez terminé. Une telle opération peut bien prendre une heure à faire, donc vous comprenez pourquoi en combat ce n'est pas possible de l'effectuer. Pour finir, comment s’entraîner vous vous demandez ? Prenez un animal mort et entier. Un mammifère est idéal. Testez ses connexions de nerf grâce à Shikon no Jutsu, qui permet de déplacer un cadavre grâce aux chakras qui font passer dans les nerfs. Si l'ensemble bouge, alors vous pouvez commencer. Coupez-lui un membre, puis commencer l'opération. À la fin de celle-ci, refaites un essai. Si vous ne pouvez pas bouger cette partie du corps, c'est que vous avez échoué. Bien sûr, cet entraînement n'est pas parfait, mais c'est le mieux que vous pouvez faire tout en restant éthiques…

Nous avons donc terminé ce chapitre, je vous dis à bientôt sur le prochain !

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