La pluie laissera place au soleil

Quelle belle journée pour se balader en forêt. Le sol commençait déjà à sécher après la pluie d'hier soir et une odeur de propre emplissait le nez de la petite Kotori. Ses longs cheveux de jais suivaient des zéphyrs, animé par le chant des oiseaux matinaux. Cette ambiance. Cette forêt. Le chant des oiseaux au petit matin. Tout cela mettait le coeur de Kotori en fête.

Une mèche de cheveux se fit rebelles et tomba devant ses grands yeux noir. Elle s'arrêta et la mit derrière son oreille. Elle sourit. Tout était calme. Elle mourrait d'envie d'aller s'allonger dans l'herbe fraiche et de regarder le ciel, mais elle n'aimait pas s'attarder trop longtemps à un endroit. Pourquoi ? Elle ne le savait pas elle-même. Ses réflexes d'ancienne Kunoishi de l'Akatsuki peut être. Elle secoua la tête à se souvenir désagréable. Elle n'était plus la marionnette de cette association. Elle était libre.

Agissant contre son instinct naturel, elle quitta le chemin en terre battue et s'enfonça un peu dans la clairière pour y trouver un endroit paisible où s'asseoir. Elle n'eut pas beaucoup de mal à trouver un endroit qui lui plairait. Un vieil arbre se tenait fièrement au milieu de la clairière. La forêt de Hi l'étonnerais toujours par sa grandeur et la fierté de ses végétaux. Elle aimait passer par ici. Elle préféré la forêt dangereuse aux pluies de Ame ou encore aux sources de Kiri, elle y trouvait là beaucoup plus de vie et de réconfort avec toute cette diversité. Elle s'assit confortablement et se laissa aller à la contemplation des lieux. Le soleil perçait de ses doux rayons les feuilles des arbres et réchauffait peu à peu l'atmosphère, éveillant au passage de jeune lapins, souris ou encore écureuil. La jeune femme crue même voit des fleurs s'ouvrir sous ses yeux.

" Quel endroit agréable ... On dirait un petit paradis ... " - Pensa t-elle

Tout semblait bien ... Tout semblait parfait ... A tel point que la femme aux cheveux noir dut se battre avec elle même pour ne pas s'endormir.

- Bonjour, puis-je me joindre à toi pour contempler mère nature.

Cette unique phrase la fit sursauter, elle ne pensait pas que quelqu'un viendrait la déranger ici. Elle tourna vivement la tête vers l'intrus, mais se calma immédiatement après l'avoir vu. C'était une jeune femme avec des cheveux blancs, elle l'avait tutoyée certes mais rien de méchant. Cette jeune fille ne semblait pas émettre le moindre signe de danger. Son instinct lui hurlait de se méfier, de rester sur ses gardes à tout jamais, mais elle le fit taire. L'ambiance autour d'être, la vie de se petit paradis ne pouvait pas, ne devait pas être gâcher par son instinct.
Kotori lui sourit, et lui répondit amicalement:

- Bien sûr, asseyez-vous, je vous en prit.

Si cette jeune femme la tutoyait, Kotori elle ne pouvait s'empêcher de vouvoyer. Elle laissa la douce enfant qu'elle voyait devant elle s'installer confortablement. Oui, Kotori n'avait que 36 ans, certes, mais elle voyait tous ceux qui n'avaient pas connus la guerre, comme des enfants chanceux.
Son instinct s'attaqua à sa gorge et la serra, que voulait-il ? Des informations. Son cerveaux réclamait de connaitre l'individu pour s'assurer du non danger. Elle devait le calmer avant que son corps en subisse les mauvais effets.

- Comment vous appelez-vous ? Si je puis me permettre de vous le demander, il est rare que je tombe sur des jeunes et jolies femmes comme vous en pleine nature.

- J'aimerais tellement que le monde soit aussi calme qu'à ce moment précis, que les tentions disparaissent, que le monde dans lequel nous sommes vives enfin en paix ... comme à l'époque de Naruto-sama, ... comme le rêve de Jiraiya-senseï ...

Les paroles de la jeune fille la fit rêver, oui rêver, au temps ou tout était redevenue calme et en paix. Pourquoi Naruto Uzumaki, le 6ème Hokage était-il mort ? Kotori le regrettait autant qu'un membre du village de Konoha. Il avait amené la paix qu'elle cherchais. Une petite brise souffla, entrainant quelques mèches de ses longs cheveux de jais devant ses yeux. Elle les remit derrière son oreille.

- ... Mais puis-je te demander ton nom à mon tour ? Et le lieu d'où tu viens ?

Kotori se réveilla soudain. Elle venait d'apprendre le nom de cette jeune femme. Haato, à mémoriser imédiatement. Elle tourna la tête vers elle et lui sourit.

- Je m'appelle Kotori Namida, du clan Namida. Je viens de l'orphelinat du Saule Pleureur.

Cela devrait lui suffire, elle n'avait pas le choix, si Kotori en disait plus elle pouvait mettre son identité de déserteur en danger.

" Le Saule Pleureur", un triste nom pour un orphelinat, mais comme il ne faut jamais se fier aux apparences cet orphelinat regorgeait de joie. Kotori était dans cette grande maison à l'allure traditionnelle depuis la fin de la guerre. La gouvernante, une vielle et petite femme l'avait accueillit et avait écouté son histoire, car la plus incroyable des tolérances que Kotori eu rencontrer. Elle avait était une Kunoishi de Konoha dans sa jeune et pas n'importe laquelle, une ninja médicale. Un peu avant le début de la guerre elle avait commencé à former l'orphelinat avec sa grande maison qu'elle avait hérité. Aujourd'hui la grand-mère avait près de 84 ans, mais elle avait l'air de toujours bien se porter. Kotori est à son service et elle est heureuse comme cela, Baa-chan n'abusait pas de sa gentillesse et Kotori non plus, elle aidait même à entretenir l'orphelinat par des missions et l'argent revenait au Saule Pleureur ou en surveillant les enfants le plus turbulent. Oui, cet endroit était son cher elle...

Elle dut en oublier Haato quelque instant en pensant à cet endroit. Elle lui fit son plus beau sourire.

- Je m'appelle Kotori Namida, du clan Namida. Je viens de l'orphelinat du Saule Pleureur.

A peine avait-elle finit sa phrase, que Kotori semblait perdu dans ses souvenirs pendant un court instant, puis elle fît à Haato son plus beau sourire.

*l'orphelinat du Saule Pleureur ? j'ai déjà entendu ce nom, mais où ? je ne m'en souvient plus du tous.*

La jeune commerçante, lui fît à son tour un magnifique sourire. Quand soudain Jiraiya, le Ghost-mentor de Haato apparu.

- Yo Haato, quelle magnifique journée n'est-ce pas ? Mais dit moi qui est cette charmante jeune fille à tes côtés ?

Haato devint toute rouge, car étant la seul à voir et à entendre son ghost-mentor, elle pourrait passer pour une folle auprès de sa nouvelle connaissance. Et fît donc un signe de main à Jiraiya qui signifiait "Ouste". Jiraiya comprit qu'il ne devait pas perturber sa jeune disciple, mais ne pouvait s’empêcher de regarder la jeune femme. Kotori regarda alors la jeune fille, se demandant se qu'elle avait. Haato retourna son signe immédiatement faisant croire qu'elle se faisait du vent et elle s'empressa de faire la conversation, l'ère un peu génée.

- Tu n'as jamais eu envie de devenir Kunoichi ? lança un regard froid en direction de son ghost-mentor, qui s'effaça lentement du paysage Moi je ne voie pas l'intérêt d'en devenir une, j'ai déjà assez de boulot comme ça. ricanement De plus cela poserai problème pour commercer avec les autres nations.

Effectivement, la jeune commerçante ne possédait aucun bandeau ninja, ni aucun autre signe d'appartenance à un quelconque village shinobi, car elle était bel et bien une civile et non une militaire.

Haato eu des gestes bizarres, mais Kotori n'en tien pas compte, chacun avait ses petits tics. Elle voulu discuter apparemment, ce qui ne gêna pas la jeune femme aux cheveux de jais, heureuse d'avoir un peu de compagnie non nuisible.

- Tu n'as jamais eu envie de devenir Kunoichi ?

C'était une drôle de question, Kotori en fut étonné et ne le cacha pas. C'est vrai, elle était une Kunoishi, mais n'avait jamais demandé à l'être, on l'avait élevé dans ce but. Le sourire de Kotori deviens un peu triste, c'est vrai, être ninja était sa façon de vivre depuis qu'elle était née, depuis que Tobi l'avait enlevé quelques heures ou jours après sa naissance et ses ninja qui l'avait entouré, c'était sa famille après tout. Pour elle, être Kunoishi était évident, une seconde nature.

- Moi je ne voie pas l'intérêt d'en devenir une, j'ai déjà assez de boulot comme ça. Elle ria De plus cela poserai problème pour commercer avec les autres nations.

Elle ria un peu avec elle, d'un sourire plus joyeux cette fois-ci, elle ne devait pas voir ses sentiments !

Que lui arrivait-il ? Ses vielles habitudes de Kunoishi reprenaient le dessus. Elle regarda la forêt, illuminé qui continuait sa vie malgré les deux femmes qui discutaient.

- Je ne sais pas, je n'y est jamais vraiment pensé - elle parlait de la question de Haato - Je me dis que ça peut être extraordinaire, vivre des aventures, faire des missions et risquer sa vie pour un peu d'adrénaline ou pour sauver quelqu'un. Je pense qu'une vie de Kunoishi peut être pleine de tournant et des nouvelles choses, mais la vie de commerçante n'est pas mal non plus. - Finit-elle en souriant.

En parlant de cela, l'orphelinat aurai bientôt besoin de refaire son stock de provision.

- Je ne sais pas, je n'y est jamais vraiment pensé elle parlait de la question de Haato Je me dis que ça peut être extraordinaire, vivre des aventures, faire des missions et risquer sa vie pour un peu d'adrénaline ou pour sauver quelqu'un. Je pense qu'une vie de Kunoishi peut être pleine de tournant et des nouvelles choses, mais la vie de commerçante n'est pas mal non plus. Finit-elle en souriant.

Kotori semblait attiré par une vie pleine d'aventures et de péripéties, mais le fait de suivre les ordres n'étaient pas dans les habitudes de la jeune commerçante, c'est pourquoi elle n'avait pas eu envie de devenir une kunoichi. Haato voulait garder cette liberté qu'elle avait toujours connue, cette liberté qui lui permettait d'aller où elle voulait et quand elle voulait, mais par-déçu tout, cette liberté d'aider qui elle désirez sans mêler son propre village.

- Oui effectivement je te confirme que la vie de commerçante n'est pas mal non plus.

La petite Haato pensa, en se caressant les cheveux.

*La vie de commerçante ? Pas mal ? Bon, c'est vrai que nous voyageons beaucoup, mais ce n'est tout de même pas de tous repos. Entre la vente, le ravitaillement et pour certaine personne itinérante comme moi, il faut aussi trouver des clients.*

- Mais pendant que j'y pense ... fouillant dans ses poches ... voici ma carte, si tu as besoin de quoi que ce soit, ou si tu connais quelqu'un qui à besoin de n'importe quoi, matériels, provisions, informations et bien d'autre choses, je suis la personne qu'il faut. tendant sa carte à Kotori avec un grand sourire

Haato ne perdait pas le nord, car elle se disait que peut être Kotori avait besoin de quelque chose et si ce n'était pas le cas, elle connaissait sûrement quelqu'un qui lui aurait besoin de ses services.

Kotori laissa échapper un petit rire caillerait devant les pulsions commercial de Haato, ce qu'elle pouvait comprendre très simplement. Elle pris et regarda la carte tout en écoutant son interlocutrice. Matériel, provisions, informations, c'était bien intéressant, mais la kunoishi avant déjà de bons fournisseurs, surtout qu'elle ne pouvait pas acheter d'armes chez la jeune femme maintenant qu'elle avait caché son identité. L'orphelinat n'étant pas très fortune, elle devant trouver de l'argent rapidement, heureusement aujourd'hui elle était aidée, mais elle devait souvent chercher des fournisseurs moins cher pour que les comptes que faisait Baa-chan ne soit pas trop salé. Jouant au jeu de la jeune femme aux cheveux blanc elle demanda:

- Je suis curieuse de connaitre tes prix sur les tissus et la nourriture.

Un sourire s'éveilla sur le visage de Haato en voyant la jeune femme aux cheveux noir se renseigner sur le prix, désireuse de pouvoir acheter quelque chose. Elle tapota doucement la carte de la commerçante sur ses lèvres étirées en sourire. Elle l'écouta passiament, parle de la qualité de ses marchandises et de leur prix "avantageux" comme tous les commerçant qu'elle connaissait. Pendant ce temps, sous la voix de Haato qui masquait beaucoup de choses, les oiseaux chantaient, ils chantaient le retour de la saison de la vie, du printemps. Un couple d'écureuil sorti de son trou dans un grands arbres et se mirent à courir de branche en branche avec une telle agilité qu'on ne les croiraient de ce monde. Les fleurs déjà ouvrent au soleil buvaient ses rayons dans le silence que la nature offrait.

Kotori, qui avait gardé le silence pendant toute la tirade marchande de Haato réfléchit au pour et au contre, de cette affaire, elle devait voir si elle pouvait en tirer meilleure partie.



- Tes prix sont certes avantageux, mais je ne peux vérifier la qualité immédiatement, de plus l'orphelinat à un très petit budget ...

Le troc. Kotori était heureuse, le troc était bien efficace pour des personnes comme elle qui n'avait pas d'argent, pourtant de moins en moins de commerçant utilisait cette méthode au profit de spécialisation et bien sûr, d'un argent véritable. Le sourire de la petite Kunoishi paraissait figer dans le temps tellement elle était heureuse d'avoir trouvé cette jeune femme. Elle demandait un toit où dormir ou alors des informations. Des informations, Kotori en regorgeait, avant de devenir la protectrice de l'orphelinat, quand elle était encore au service de Tobi, elle était un grimoire d'information et sa mémoire ne lui avait jamais fait défaut. Il se pouvait bien qu'elle sache ou trouver ce que la jeune femme cherchait, mais méfiance, une information de trop et cela pour mettre la puce à l'oreille de la commerçante. Kotori pesa le pour et le contre avec précaution.

- Mais au fait ? Dans quel pays se trouve cet orphelinat ? Et ma proposition te satisfait ? - lui dit-elle avait un sourire.

Le changement de conversation soudain étonna Kotori, mais elle n'en laissa en paraitre. Tout naturellement elle répondit.

- L'orphelinat ce trouve en ses terre. Le pays du feu est un pays idéale je trouve. Ta proposition me plait, j'aimerais voir ce que tu as à vendre et après cela nous pourrons discuté du moyen de payement, qu'en pense tu ?

Kotori se leva, quittant avec regret son siège naturel, elle tendit sa main marquée de fines cicatrices anciennes pour proposer son aide à la jeune commerçante. Ses marques sur ses mains, elle les avais eu il y a bien longtemps alors qu'elle s'entraînait au combat, aujourd'hui il fallait bien regarder ses fines mains pour les apercevoir avec évidence, mais ce n'est pas les mains que les hommes en premier chez une femme et les femmes eux-mêmes ne regarde pas les mains de leur congères, c'est généralement elle visage qu'elles regardèrent. Cela arrangeait bien Kotori que ses mains ne soient pas le centre d'attention, elle avait bien quelques cicatrices à d'autres endroits, mais beaucoup plus discret.

Elle regarda une dernière fois le spectacle qui s'offrait à elle, fait de rayons de soleil, d'un vert naturel et originel, d'un vent envoutant les oiseaux de leurs chants, d'arbres dansant aux gré de leurs envies. Que la vie de la forêt était enviable, il arrivait que la jeune femme souhaite être un arbre ou une fleur, mais elle y renonçait vite, cette vie l'ennuierait bien vite. Elle tourna ses yeux sombres vers Haato, son sourire éternelle toujours gravé sur son visage.

- Je te suit.

Ses jambes engourdie la démangeait, elle n'attendait plus que la jeune femme lui montre le chemin pour la suivre enfin et se dégourdir les jambes. Elle mourrait d'envie de courir, de respirer le vent et de regarder le monde entier sa marche perpétuelle.

Kotori se demanda pourquoi la jeune femme lui demanda d'attendre, mais quand elle se mordit le pouce pour avoir un peu de sang, elle commençait à comprendre. Une invocation. Les commerçant pouvait faire des invocations maintenant ? Kotori ne le pensait pas. Quand elle vit la grenouille aux pattes bleus, elle n'eut plus autant doute, Haato maîtrisait les invocations, un art ninja. Pourtant, n'était-ce pas elle qui avait critiqué la vie de ninja, quelque instant plutôt ? Elle s'inclina légèrement pour saluer la grenouille en souriant et entra sans le baraquement, qui tenait réellement bien son nom de bazar, on trouvait autant de tout, que tout avait l'air en désordre.

- Voilà fait comme chez toi, regarde se qui pourrait te convenir sans te soucier de la note.

Elle tourna la tête et hocha la tête avec son sourire d'ange, mais se retournant vers les tissus elle réfléchit. Qui était cette femme ? Il n'était pas donné à tout le monde de maitriser les techniques d'invocation, Kotori elle-même et malgré son entrainement intensif pour égaler Madara Uchiwa ne pouvait pas comme celui-ci invoquer Kurama dit Kyubi, d'ailleurs le Bijuu avait disparue, ce qui embêtait bien l'avatar du fondateur du clan Uchiwa. Contrairement à son aîné, elle ne courait pas après la puissance, enfin ne courait plus, elle avait appris à maitriser ses sentiments comme tout ninja le devait et avait à présent d'autre préoccupation, mais ne pas l'égaler la perturbait. Elle était née pour cela et pourtant le Sharingan et le Kyuubi manquait à l'appelle. Maintenant elle se demandait comment elle pourrait demander à Haato comment elle avait appris ce genre de technique sans attirer l'attention. Chose ardue. Quoi que, avec un peu d'imagination.

- Je ne savais pas que tu étais magicienne Haato... Ah moi que .. Ah moi que tu maîtrises des techniques ninja ? - dit-elle en levait ses yeux pleins d'étoiles des tissus.

Toutes Kunoishi, apprend enfant, à jouer la comédie, à manipuler et à charmer, car tel étaient leur but premier. Un avantage certain quand on cherche à cacher sa véritable identité.

Sous son sourire immortel, graver en elle comme sur une statue de granit, Kotori enregistrait et analysait. Elle lui avoua, sous un rire joyeux qu'elle connaissait des techniques ninja, mais qu'elle n'était pas Kunoishi. Étrange. En temps normal, les ninja qui transmettait leur savoir à des élèves comme c'était surement le cas pour la plupart des gens, recevait le titre d'apprenti ninja, pourtant Haato n'en était pas une. Elle était peut-être détesertrice, comme Kotori. D'ailleurs la jeune femme aux cheveux de jais n'avais jamais passer d'exactement pour validé son titre de Kunoishi, elle avait simplement grandit avec cet apprentissage. Quoi qu'il en soit, même si Haato certifié ne pas être une Kunoishi, ses talents disaient le contraire. Les femmes étaient toutes deux des ninja.

- Tu as trouvé des articles qui pourraient faire ton bonheur et celui de l’orphelinat dont tu prend soin ?

La question de Haato la fit sortir de ses réflexions, elle sursauta un peu, mais reprit tout naturellement. Elle pointa quelque tissu de bonne qualité du doigt, suivi de quelques autres articles.

- Oui oui, je te prendrais bien ses tissus, du fils là bas, ainsi que ...

Elle venait de voir des livres. Source de savoir, de connaissance, de rêve, le bonheur de toucher les pages et des mots, de comprendre l'esprit d'une personne ainsi que ses rêves. Les livres étaient pour Kotori une grande source de bonheur et de calme qu'elle aimait trouver. Son esprit lui-même, était constitué comme une immense grimoire ou alors une bibliothèque énorme, gigantesque et les mots étaient faibles. Elle s'approcha des ouvrages et en pris un dans les mains, déjà elle l'ouvrait pour aspirait les mots et leur vie. Elle se retourna de nouveau vers la femme aux cheveux blanc, les yeux brillant d'envie de savoir, d'écrire d'autre information sur elle, sur la vie, de connaitre ce que ses oeuvre raconte, elle en avait lu est milliers des livres, mais des ouvrages uniques arrivait toujours entre ses mains.

- Je te prendrais aussi tous ses livres.