Hokkaido Yûki est née dans le village d’Iwa , village ninja du pays de la roche.
Elle y naquit dans une famille qu’elle décrivait comme « indestructible » ; « Unie » car bonne entente y régnait entre elle et ses deux frères en ce temps-là.
Raito, le plus âgé des deux, devait mesurer près d’un mètre quatre-vingt. Ses cheveux rouge écarlate s’assemblait à merveille avec ses yeux céruléens, le tout faisant craquer toutes les chouquettes qu’il croisait sur son chemin …
Il lui apprit ls trois interdit du ninja ; Yûki se souvenait très bien le jour où il les lui avait décrites, avant son entrée à l’académie :
« Yûki, tu les as bien mémoriser, tu es sûre ? » dmanda-t-il en la fixant de ss yeux bleutés de sagesse
-Heu … Oui ! affirma-t-elle en souriant de toute ses dents. Elle commença a applaudir son frère, qui la regardait d’un air exaspéré à présent…
Il s’agenouilla devant elle, prit ses mains dans les siennes en soupirant et dit , d’une voix douce mais sérieuse :
« Sérieusement Yûki-Chou ! Je te les ai dites et redites un million de fois ! Si tu ne les connais toujours pas après ton admission à l’académie, tu ne deviendras jamais un bon shinobi !En entendant le discours de son ainé, la jeune fille en perdut subitement son sourire …
Ratito le vit : il la prit alors délicatement dans ses bras , comme si elle n’étais que cristal, et lui chuchota tout en laberçant :
« Le premier interdit est l’argent. Tu apprendras bien assez vite qu’il est essentiel d’en avoir pour vivre, mais qu’il ne doit jamais passer avant , jamais ( il insista sur ce dernier mot puis reprit )
Le second est l’alcool. Je pourrais te donner mille et une raison de ne pas y toucher mais je ne t’en donnerais qu’une seule : imagines-toi un ninja en mission d’espionnage. C’est bon ? Imagine-toi qu’il s’est engloutie plusieurs bouteilles de saké et qu’il trébuche sur des pièges tandu par le camp adverse : la mission est un echec , et il y a risque de mort pour l’équipe ! »
Il rie un instant bêtement puis reprit, après avoir libéré Yûki de son étreinte .
Il fronça légèrement les sourcils puis dit en fixant Yûki :
« La troisième restriction est la plus difficile à respecter .. elle te poseras beaucoup de problème en temps voulu : les garçons. (il soupira et détourna la tête)
Je sais que tu es encore jeune mais sache une chose : ils ne sont ni parfait , ni complètement dénué de sentiments. Certains els cachent bien en leur fonds intérieur tandis que d’autrefont tout le contraire : ils jouent avec les sentiments des demoiselles…
Le bonne seras pas forcément le premier , ni le seconds … Tu mettras peut-être du temps à le trouver mais … Le premier qui feras couler ne serais-ce q’une de tes larmes aura affaire à moi et a Seiji .
Tu as bien comprit cette fois ?»
-oui Oniisan ! !
Quelques mois plus tards, Raito fût convoqué par le Tsuchikage : il passa près d’une heure dans son bureau. Enfin il en sortit et revint chez lui ; le visage blanc, ce qui ne signifiait rien de bon …
Il entra dans le salon , cherchant ses cadets : il n’y vit personnes . Il fit le tour de la maison , poussa la double porte permettant d’accéder au jardin et il les vit.
Seiji, le visage rayonnant de bonheur apprenait a Yûki le lancer de shuriken : Il était près d’elle , un de ses objets pointu dans ses mains et lui expliquait tout en mimant ses paroles comment éviter de rater une cible .
Raito appela Seiji et lui fit signe en disant :
« il faut qu’on parle : son avenir en dépend.»
Voyant le sérieux de son ainé, Seiji embrassa Yûki sur le front , lui mit le shuriken entre les mains en lui disant de ne surtout pas bouger, qu’il reviendrais vite.
Seiji rejoigna son frère qui l’emmena dans sa chambre . Raito regarda autour de lui su Yûki ne les avait pas suivie puis ferma sa chambre a double verrou . Il observait son frère, debout devant le lit-double recouvert d’une couverture à dégradé noirs quand il lui répliqua :
« De quoi veux-tu me parler , sa avait l’air urgent vu la tête que tu tirais ! Ta meufs a cassé, c’est pour ça que tu m’apelles ? en quoi cela concerne … »
-Seiji ! Ferme-là pour une fois et écoute-moi ! Ils ont péri au combats …
-mais de qui tu … ne me dit pas que …
-Oui, je n’irais pas par quatre chemins avec toi : Nos parents sont mort.
La nouvelle fit un choc dans l’esprit de Seiji … « nos parents … Mort ? pensait-t-il ? »
Il attrapa Seiji parle col : des larmes commençèrent à apparaitre dans les yeux de Seiji. il cria :
"Tu mens ! Père et mère nous avaient promis de revenir vivant de mission ! Vivant tu m'entends?!"
Ignorant la colère et les larmes de son cadet, il répliqua :
"Ce sont deux shinobis de konoha qui les ont abbatus sur le terrain. Le Tsuchikage les avaient prévenus que c'étaient une mission périlleuse.... Ils l'ont accepté et l'ont payé de leurs vie!( il respira un coup puis reprit )
Je t'ai mis dans la confidence car je pensais que tu aurais une réaction plus mature que celle-ci ... Mais apparemment , je m'étais trompé ...
Seiji relacha son frère, essuya d'un revers du gauche ses larmes et considéra son ainé quelques secondes ....
Il répliqua d'une voix moins agressive :
"Que comptes-tu dire a Yûki? Elle va ..."
-Rien. Nous n'allons rien lui dire sur le funeste dstin de nos parents...
Si elle nous pose des quesions sur eux , nous lui diront qu'ils sont en mission d'une durée indeterminé. Cela te convient-il ?