Tigresse et jeune roi [Gin et Kotori]

Le soleil frappait fort sur la chevelure de jais de la nukenin. Un long soupir lui échappa, cela faisait un bout de temps qu'elle avait choisit de disparaitre après de nombreux évènements qui s'était dérouler dans le plus grand des secrets. Aujourd'hui, elle avançait seule, sans son fidèle compagnon jashinist, avec sa tristesse et sa robe de deuil. Elle tenant en main les rennes d'une puissante montures noir comme sa tenue, celui-ci n'attendait qu'un geste d'affaiblissement de sa cavalière pour s’échapper et disparaitre à travers l'horizon rocheux de Tsuchi no Kuni. Mais Kotori avait la main ferme, tout comme son caractère, son vrai caractère qu'elle gardait enfuit au fond de son coeur sous un masque de douceur et de gentillesse.

Pourquoi cette puissante Kunoishi, cachant son vrai soi sous un masque de deuil, avançait-elle vers la capitale de ce pays ? Pour voir un ami rencontré au clair de lune. Elle se souvenait parfaitement de ses cheveux argenté en bataille et de sa gentillesse à son égard. Et du saké aussi, un excellent saké d'ailleurs. Le jeune Tsuchikage avait sut se faire une amie de taille. A cette idée, Kotori fit un beau sourire en renfermant ses yeux sombre de ses délicates paupières. Elle fit une bref halte, s'étira faisant retentir le craquement sous de ses os et remonta à cheval, en une position d'amazone qui mettait d'avantage en avant son élégance. D'un petit claquement de langue, l'étalon noir se remit en route.

Pour être élégante, le kunoishi était la meilleure et de loin. Malgré qu'elle eut atteins l'age mûre, son corps donnait l'air d'une jeune femme à peine adulte, un corps qui lui donnait moult avantages. Bientôt, les portes d'Iwa se dessinèrent devant elle, elle donna un petit coup de talon et sa monture pris un petit galop, droit et bien rythmer. Pratiquement aucune résistance ne lui fut offerte lorsqu'elle passa les portes du village, elle trouva là la personnalité et l'innocence même du kage de ce village. Ce qui ne fit qu'élargir son sourire. Son coeur n'était pas rythmer par l'excitation de revoir ce jeune ami, mais elle était curieuse, énormément curieuse de le revoir et de s'informer. Elle voulais savoir ce qu'il s'était assez sur cette terre pendant sa disparition et pour cela, un kage lui serai d'une grande utilité. Kotori ne considérait pas Gin comme un objet, elle portait du respect à ce jeune homme qui avait sut conquérir les siens et qui avait fait preuves d'assez de puissance pour avoir ce poste, mais les informations lui manquait et elle détestait ne pas savoir.

Elle déposa sa monture sa monture à une petite auberge peu cher, à qui elle donna quelques billet d'avance pour s’assure de la bonne santé de sa monture et se dirigea d'un pas tranquille vers le grand bâtiment au cœur du village qui devait sans nul doute, accueillir le bureau du Tsuchikage. Elle salua les gardes en entrant dans le bâtiment, aux récalcitrants elle leur offrir un doux sourire ainsi qu'un magnifique regard en expliquant gentiment qu'elle venait parler au Tsuchikage. un jeune homme hypnotiser par son jolie minois lui offrit même de l'accompagner jusqu'au bureau de celui-ci, elle déclina gentiment. Les plus dure à convaincrent furent ceux qui gardaient la porte du bureau de Gin, après de long soupire et de douce demande flatteuse, elle finit par pouvoir toquer à la porte du bureau en agissant fourbement et rapidement.

- Madame. - cria l'un des gardes
- Je vous en prit ! Puis-ce que je vous dit que le Tsuchikage est un ami ! - dit Kotori, espérant bien se faire entendre du jeune kage.

Allons, allons ! Hiryû, laisses donc Kotori entrer !

Le tour était jouer. Ses petites plaintes aiguës avait atteins les fines oreilles de maitre Tsuchikage. Même si son corps bougea à peine, elle jubilait intérieurement de cette petite victoire. Elle adorait gagner, cela faisait parti du caractère qu'elle avait essayer de brider pendant vingt longues années et voilà que de plus en plus, il revenait au galop tel un cheval furieux. Kotori le voyait bien et essayait de réfréner ses envies, ses pulsions, mais cela devenait de plus en plus difficile depuis cette évènement. Au moins paraissait-elle ne pas avoir changer en apparence, même si la tempête se préparait intérieurement.

Elle offrit un petit sourire aux gardes, au plus jeune surtout, qui masquait une fine once de moquerie et pénétra dans le bureau du Tsuchikage. Il n'avais pas changer depuis leur rencontre sous le clair de lune, dans cette sombre forêt de Kumo. Il était un peu plus grand qu'elle et s'il avait une tenue des mieux tenue, aucun plis, aucune taches, ses cheveux d'argent en bataille rappelait à Kotori son jeune age. Il avait à peine la vingtaine et il lui semblait si enfantin, elle aurait presque eut envie de le materner. Mais il ne faut rien exagéré, cela faisait bien longtemps que la kunoishi n'avait pas passez plus d'une heure avec un seul enfant. Le visage doux du jeune kage lui avait rappeler ce passé proche qui lui manquait, la protection de cette maison pour orphelin, une grande maison diriger par une très vielle femme qui lui avait perdu de maitriser ses mauvais réflexes. Chassant d'un battement de cils ses mauvaise penser emplie de mélancolie, qui donnait une lueur étrange à ses yeux noires, elle élargie son sourire pour Gin qui l'accueillait dans son antre.

- Cela fait longtemps maitre Tsuchikage. Comment vous portez vous donc ? Et votre village ?

L'atmosphère était des plus détendue, de joyeuse retrouvailles en somme. Le bureau éclairé par le soleil de midi rendait le lieux plus chaleureux, tout comme les couleurs chaudes des lieux. Gin avait de la chance de travaillez dans un endroit tel que celui-ci, juste ce qu'il faut de reposant et pourtant assez pour mettre en avant le coté bureau des lieux. Kotori avait beau aimer cette endroit, elle aurait mentis si elle avait dit qu'elle aurait aimer travailler dans un bureau, elle serait devenue folle. Elle n'aimait pas l'enfermement, le grand air et la liberté de ses gestes la rendait des millions de fois plus agréables à vivre.

- Pour ma part, je me porte bien. Je venait faire un petit tour en tes terres et voir comment tu te portait. Rien de plus. - fit-elle en souriant.