Satsubatsu [PV Haato]

Rang S

Soufuku Nitobe qui avait fais la rencontre d'une commerçante assez étrange, dans le but d'acquérir un nouveau katana, était revenu au village de Suna franchissant les portes d'entré il fut interpellé par les gardes qui lui demandèrent pourquoi est ce qu'il avait quitté le village. Le petit interrogatoire qui était une des règles du village de Suna depuis que le nouveau régime était en place mettait les habitants du village dans une mauvaise posture. A vrais dire ils se sentaient oppressés et espionnés jours après jours et pour les plus faibles, c'était un véritable enfer. L'un des gardes plus qui ressemblait à un bull-dogue avec des yeux exorbitants avait dit à Soufuku que ce n'était parce qu'il accomplissait des missions pour le kazekage qu'il devait se sentir comme un membre apparenté du village. C'était évidemment de la pure jalousie car celui-ci après des années de loyaux service pour le village était resté un simple garde. Il fallait dire que ce ninja était peut fiable et que lors de la prise de pouvoir de l'actuel chefs, avait retourné sa veste aussi vite qu'un bretteur d’exception puisse dégainé sa lame. Enfin vous me direz ce genre d"individu ne préoccupait généralement l'esprit du samouraï. Il était tout simplement plus que méprisable aux yeux du jeune genin.

Le samouraï qui devait pour obtenir son sabre guidé la jeune femme vers le tombeau de l'ancien Kaze Kage se dirigea vers la petite boutique que tenait une vielle femme qu'il avait rencontré il y a quelque temps à la suite d'une mission. Celle-ci lui avait déjà enseigné la situation dans lequel le village se présentait et surtout lui donna des informations qui provoquèrent en Soufuku une colère noir... Oui après ce jours il avait pris la décision d'aidé ceux que l'on appelait les Pros Gaara. Ceux qui souhaitaient avant tout que le village retrouve sa prospérité d’antan. Il arriva au seuil de la porte de la boutique et fut accueilli par la femme à bras ouvert.
Elle avait une affection particulière pour le jeune homme à l’esprit chevaleresque, sans doute car il apportait de l'espoir pour des personnes en difficultés, mais il fallait aussi dire que Soufuku avait un physique avantageux et qu'il plaisait à énormément de femme en ce monde. La vielle dame lui proposa une tasse de thé, qu'il accepta poliment. Il alla droit au but et demanda à la femme ce dont il avait besoin. Elle se montra hésitante... Chose qui était cependant compréhensible. Après tout avec les temps qui couraient, prudence n'est-elle pas mère de sûreté ? Mais finalement elle accepta la proposition du samouraï elle lui expliqua :

- Mon jeune Soufuku, Gaara comme je te l'ai déjà dis était bon, et même si le début de son existence était marqué par la colère et la haine, il fut au fur et à mesure de sa vie un homme digne et fort. Il compris que sans le soutient de ses proches, il ne pourrait surmonter cette haine diabolique sommeillait en lui. IL devint donc au fil du temps Kaze Kage et notre village fut prospère. Tout changement à son explication et c'est grâce à celui qui devint le plus valeureux des ninja en ce bas monde que nous habitant de Suna devons la rédemption de Gaara cet homme, du village de Konoha se nommait Uzumaki Naruto et si il aurait était en vie il n'aurait jamais accepté que Suna finisse entre les mains d'une personne aussi vil que Shunsuke... Enfin reprenons la ou nous en étions, a la mort de notre très cher Gaara, une troupe de valeureux ninjas réussirent à récupérer son corps sans vie. Et le cachèrent. Mon fils était un l'un d'entre eux... Il se sacrifia sans que la fripouille qui nous sert de chef ne sache où est ce qu'ils ont enterré notre bien aimé. aujourd'hui seule une poignée de personne parmi les pros Gaara savent où se cache son tombeaux. Tu es une personne qui est arrivé ici, et qui nous à porté son aide sans se poser la moindre question, tu possèdes des valeurs et je peux voir que ton cœur et pure, tu es devenus un membre de notre groupe, je vais te dire une chose très importante, interpellation pro Gaara à été donné par la dictature, nous nous préférons nous appeler les Sakyuu, autrement dis les dunes de sable car notre volonté même si nous somme contraint de disparaître sera toujours présente et les dunes de sables règnent en maître sur les déserts de Suna. Soufuku Nitobe valeureux samouraï des sables aujourd'hui tu vas devoir te diriger la où se situe le Satsubatsu, l'endroit où Gaara repose. Vas, dans les profondeurs du désert voilà où nous sommes !

Soufuku, qui avait alors apprit des informations d'une importance phénoménale s'inclina par respect devant cette femme qui à elle seul renfermait le passé et l'histoire de Suna, il avait réussit à obtenir sa confiance et à présent ne souhaitait pas la décevoir, ce qui avait par ailleurs renforcé ses convictions. mal-grès la petite énigme que lui avait posé la vielle femme qui souriait devant la fougue de la jeunesse. Il avait comprit que les souterrains du village lieux où divers enfants jouaient étaient en vérité beaucoup plus important qu'ils ne paraissaient. Enfin l'ancien musé c'était un lieux où plus personne n'allait qui avait été condamné l'endroit idéal pour trouver le tombeau sacré. Il partit. La vielle femme, elle le regardait elle souriait devant ce courant d'air chaud qui pour elle et le village signifiait un changement, oui c'était le vent du changement car les chose prenaient peu à peu forme et Suna allait retrouver sa liberté.

Sortant du village son sabre de bois en main, nous étions arrivé la fin de la journée, le crépuscule faisait son entré magistrale et au point de rendez vous Soufuku attendait que la jeune commerçante , se montre pour aller ensemble voir celui qui autrefois gouvernait en maître sur le désert.

Invité

Rendez-vous avec un client

Haato et sa fidèle employer et assistante à la boutique « le crapaud baveux » , elles finissaient leur inventaire, classement, rangement et triage, tout en répertoriant les nouvelles acquisitions de la journée. Les heures défilèrent à toute allure avec les nombreuses tâches qu'elles devaient effectuer. Haato assise sur son fauteuil nénuphar, sirotait énième cocktail de fruit (oui elle était encore en plein travail) se fît interrompre par sa fidèle assistante, Gamanille.

- Maîtresse Haato, je croâ que c'est l'heure de votre rendez-vous.

Haato regarda alors son poignet dépourvu de montre (pourquoi ? ça n'a aucune importance, ni le moindre intérêt, disons donc que c'est une habitude dénuée de sens ^^) et dit à son tour.

- Oui effectivement, je crois bien que c'est l'heure.

Haato se leva donc de son confortable fauteuil, déposa son verre et sortit de sa boutique. Elle rompu alors l'invocation, qui fît disparaître immédiatement le « crapaud baveux » et prit donc la route vers son fameux rendez-vous. Elle marcha dans le désert jusqu'au point convenu avec son client, Monsieur Nitobe Soufuku. Elle alla donc à sa rencontre avec déjà son idée en tête.

- Salut, cher client, je sais déjà que cela ne sera pas facile de me faire rentrer dans ses murs alors voilà mon idée.

Elle se pencha sur le sol et invoqua un petit crapaud des plus basiques, elle lui ouvrit la gueule en grand. Cette gueule était étonnamment extensible, si bien qu'elle commença à rentrer dedans tout entière, en disant à son interlocuteur de prendre ce petit batracien dans ses bras et de le déposer au sol quand ils seront arrivés à destination.

Rang S

Le vent se levait sur les plaines désertique du pays du vent, ici le jeune samouraï qui attendait depuis un long moment déjà, la jeune commerçante ambulante, répondant au nom de Haato, ils avait rendez-vous pour une demande de cette dernière afin de visiter le village du sable d'après ses dires. Le village de Suna qui venait d’accueillir le jeune samouraï, de vingt et un ans. Était le village de l'illustre Gaara et aujourd'hui du terrifiant Shunsuke. Un village dont la situation politique très particulière, aux vues des mœurs qui le frappaient depuis la prise de pouvoir du dernier cité. N'était pourtant pas un endroit paisible où l'on entrait comme on le souhaitait. Vous n'aurez cas demander à Soufuku, et je vous assure qu'il ne vous dira pas le contraire. Oh oui il se souvient de ce jours où il arriva ici. Et qu'il fut ligoté comme un vulgaire scélérat par un homme dont il ne connait toujours pas le nom... Ça en dit long sur la chose, n'est ce pas ?

Il attendait, donc la jeune femme, qui vint au lieux, dit de rendez-vous, ah les femmes, elles aiment se faire désirer. Tenant son sabre en bois, il regarda celle qui allait en échange de bons services, un nouveau katana flambant neuf, ayant appartenu à un shinobi du village du sable, le regard de celui-ci avait particulièrement perturbé le samouraï, la lueur rouge de ses yeux lui avait jeté un froids dans le dos. Le jeune genin tout en regardant son interlocutrice allait lui proposer un plan. Mais avec une manière que l'on qualifierait très bien de gentleman, il laissa la dame parler :

- Salut, cher client, je sais déjà que cela ne sera pas facile de me faire rentrer dans ses murs alors voilà mon idée.

Elle invoqua aussi-tôt un crapaud, oui elle était étrangement accompagnée, de batraciens son échoppe elle, en était d'ailleurs a l’effigie. L'animal visqueux et baveux était cette fois plus petit que les autres vus précédemment, en vérité, il était de taille normal, mais pour Soufuku il s’agissait d'un petit être, bien inférieure aux autres. Enfin le plan, oui le plan de Haato, pour entrer en Suna en toute tranquillité, consistait comme elle le démontrait, à entrer dans la gueule de son animal de compagnie qui avait prit une taille démesurée. Le jeune samouraï était lui, offusqué par la scène à laquelle il venait d'assister. Il saisit la répugnance a quatre pattes. Et se dirigea alors vert le village. Son village, il n'avait pas idée si, à l'intérieur son accompagnatrice était à l'aise. Mais d'après ce qu'il avait vu, il s’imaginait qu'elle devait posséder tout un petit conforts pour rendre la traversé plus agréable. Après un bref échanges avec les gardes du village niant quoi que se soit et affirmant que le crapaud était son animal de compagnie il se dirigea vers un endroit à l'abris de tout regard, pour déposer le crapaud au sol. La jeune dame en sortit, et Soufuku s'adressa à elle :

-Alors, le voyage c'est bien passé, nous sommes ici sans surveillance, l'un des rares recoin du villages d'ailleurs, à partir de maintenant il va falloir me suivre et m'écouter, éviter tout combat ou chose stupide serait bienvenue. Êtes vous prêtes ?

D'un petit sourire il attendait sa réponse avant d'entamer une quête qui allait s’avérer pleine d'apprentissage.

» Haato "la marchande itinérante"
» Annales de Haato la petite commerçante itinérante.

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