Mission de rang B~ Minons la vérité~ Un combat innatendu

J’étais envoyé par ce cher Tsuchikage en mission,  une mission de mensonge, basée elle-même sur le mensonge. Comme notre village et sa politique, j’ose même parler du monde Shinobi dans sa généralité à propos de mensonge. Des éboulements, mon clan était parti réparer ça. Soit ils ont été incompétents soit il y a autre chose. Le Tsuchikage penche pour la deuxième option sans trop savoir ce qu’il se passe vraiment là-bas. Muni de mon sac à dos, comme d’habitude je partais du village prêt à remplir mes fonctions. Une mission de rang B… Il sait ce qu’il se passe là-bas, j’en suis sûr maintenant que j’y pense. Il connait ma valeur, des éclaireurs il en a surement déjà envoyé. Pas moi, il ne m’insulterait pas de la sorte.


Des questions auxquelles je devais répondre seul donc prenait racine dans mon esprit. C’était une nuit seulement après l’entrevue avec l’Iwa d’or, je devenais un peu paranoïaque quant à l’idée qu’on puisse me repérer et me juger pour félonie. Ce n’est pas mon rôle de soutenir un parti politique, moi chuunin. Et pourtant il le fallait, si mon clan était libre et dominateur alors j’aurais le champ libre pour devenir le shinobi le plus puissant de Iwa. Plus tard, peut être aurais-je le privilège de tuer des nukenins de renoms comme l’Akatsuki. Je n’avais plus de place pour les rêves, à cet instant je devais prendre la route pour le village qui m’attendait.
Des forgerons, c’était des forgerons que je découvrirai sur place.


Un monstre, des nukenins ? Je réfléchissais au fur et à mesure que j’avançais aux pistes exploitables. Rimy et moi avions découvert quantité d’ennemis lors de notre dernière mission.  Et cet homme mystérieux, un démon humain en quelque sorte. Il m’aspirait un mystère et un dégout étrange, mon rapport n’était toujours pas rempli. Après cette mission, il le sera. J’arriverai sur place d’ici deux grosses heures, l’ennui me prit pendant le trajet. Je ressentais un sentiment étrange, c’était la première fois que je quittais le village depuis mon retour. L’occasion de vérifier les changements et métamorphose en un mois et quelques de voyage, de péripéties et de rencontres. J’avais rencontré des personnes différentes mais si intéressantes, je me prenais à ne pas les juger, j’avais même une part de sympathie. Et ce Senju était si bon avec moi, nous n’étions que des inconnus pourtant. Plongé dans une certaine nostalgie à la pointe de mélancolie.


-HALTE !


Un gaillard mal rasé était la devant moi, cela faisait plus de deux heures que je marchais et j’apercevais les hautes chaines de montagnes surplombant le village de Naga, je relevais mes yeux droit sur lui. Ils le gênaient visiblement, impétueusement comme à mon habitude, je dis :


-Laissez-moi passez, je suis envoyé par le Yondaime.

-Nous avons l’interdiction de laisser passer qui que ce soit dans notre village.


Il avait cet air faible qu’on retrouve chez les soldats perdus, les petits pions dans les grandes parties. Un air détaché de la lourdeur que porte ce monde, la vie en général.  Je ne cherchais pas à comprendre ce genre de petits êtres insignifiants, la vermine comme je les appelai à une époque. Je n’avais pourtant pas changé tant que ça, je ne voulais pas écouter les ordres d’un être comme lui. Alors je passais outre, je défilai devant lui glorieusement. Aucun respect pour ses paroles, il n’était qu’une petite poussière sur mon chemin rempli de combats.

-Je t’ai, je- je t’ai dit de ne pas passer !

C’était le dernier son de sa voix, ma main sur son épaule déchaîna son jugement dernier. Sans un regard je sentais sur ma joue le scintillement chaud de la lumière, les reflets de son corps cristallisé à l’instant. Il se tût, ses yeux devaient sûrement avoir peur, peur de la mort. Il étouffera d’ici 3 minutes vu sa corpulence, je ne voulais pas réveiller la nature qui dort avec une explosion inutile. Tant pis, il mourra ainsi pour ne pas perturber la vie. Elle reprit son cours, tout simplement.
Le village était là, j’y pénétrai donc après deux heures et demi de marche.  La vie autour de moi s’était éteinte, il était mort. Je regardais autour de moi, rien ne se passait franchement. Un bruit continu de métal chaud qui cogne, sûrement l’ouvrage d’un forgeron. La montagne était rayonnante au soleil, le cristal la sublimait.
Je m’introduisais dans la maison d’où provenait ce bruit ferreux. Je sentais mon katana caressait mes hanches, je ne voulais pas faire de mal mais le monde le voulait. Le bruit s’intensifiait à mesure que j’avançais, c’est un homme. Il est robuste et semble forger une arme dans son établi.

Je continuai à avancer, il ne semblait pas m’avoir entendu. Il travaillait comme une machine sans se soucier du monde extérieur. Ma voix ne le perturba pas un seul instant, je l’appelle mais reste sans réponse alors je le touche. Ma main le secoue mollement, il ne réagit pas. Que se passait-il ici ? C’est à ce moment précis que je compris ce qu’il se déroulait par ici, le village était sous emprise. Alors je quitte les murs de pierres rustiques de sa demeure. Dehors, personne n’était là pour me gêner. J’étais vivant parmi les morts, me disais-je.


-Déguerpis.

Me dit quelqu’un, sa voix était dure et féminine à la fois. Je me retournais et vis une femme âgée, couverte de sang. Il se passait quelque chose d’effroyable ici mais je n’entendais et ne voyais rien. Je m’approche d’elle calmement, je lui montre que je n’ai pas peur pour qu’elle non plus ne ressente pas de peur.

-Que se passe-t-il ici ?

-Vous, Iwa nous détruit !

Elle tombe en larmes, ses sanglots ne me froissent pas le cœur pour autant. Je la regarde, elle est pitoyable. Iwa les détruit, dit-elle. Incompréhension total face à elle, je lui demande ce qu’il se passe encore une fois. Ses paroles sont brouillées, malgré mon attitude la peur l’a pris et la casse. Mais d’autres paroles m’interceptent.

-Dis leur Mamie ! Il  devait nous protéger mais il nous massacre ! Des exp-‘

Le mystérieux Nukenin:

L’autre voix s’écroulent, je me tourne. Un garçon est à terre, il à mon âge et le sang trône sur son visage, ce qu’il en reste. Il est petit et frêle, au sol comme un oiseau blessé. La vieille a accouru vers lui, ses larmes ne cessent. En redressant la tête, je vois plus loin que le cadavre. Un pas en arrière, j’ai honteusement reculé devant celui que j’ai reconnu, l’enfant homme se tient quelques pas derrière le spectacle mortuaire.  C’est bien lui, sans l’ombre d’un doute. Ses pupilles vicieuses scintillent de leur vert habituel. Pas le temps de chercher à comprendre, cinq de mes shurikens s’élance sur lui. Il disparait, je le vois sur le toit du forgeron. J’avais prévu le coup, mon shôton se charge de l’immobiliser.

A ma merci, je le vois pourtant exécuter quelques mûdras, sa vitesse d’exécution est la plus rapide que je j’ai jamais vu.  Un dragon aqueux  se dirige droit sur moi, encore une fois mon mur de cristal pare le coup. Je sens une chaleur humide sur ma nuque, je tourne la tête et remarque une langue énorme. Il… Il m’égorge sous sa langue, je sens mon souffle s’envoler. Comment peut-il faire ça ?

- Lâche-moi !

Son rire s’évanouit dans tout le village, il résonne dans mon cerveau comme une symphonie mal jouée. Il disparait sous mes yeux, il s’est évaporé et je suis la sous son emprise.  Il réapparait juste en face de moi, mais sa langue est toujours autour de ma gorge. J’étouffe encore alors qu’il est devant moi, je comprends ! C’est une illusion, il a fait une erreur en ne relâchant pas son étreinte. Je profite de cette erreur minime pour dérober du sol les galets et minerais. Sa langue se tranche sous les cristaux incisifs. Je reprends mon souffle, cette fois mon kaze kiri est prêt. Cinq mûdras et voilà que la lame de vent  s’abat sur lui [KAZE KIRI] mais il a eu le temps de me voir arriver, il saute mais n’empêche pas son avant-bras gauche de se dérober du reste de son corps.


Ils rient de moi malgré sa douleur, j’entends  cette fois bel et bien son rire se propager entre les murs du village. Il est à l’origine de cela ? Je ne comprends toujours pas mais il mêle Genjutsu, les Hebijutsu et le suiton. Cette fois cela ne fait aucun doute, c’est un nukenin de très haut rang.


-Attaquez cette vermine !

Une dizaine d’hommes sortirent de toutes parts, j’étais encerclé. Ils arrivent sur moi par les airs, je me décide à dévoiler mes armes.

SHIN KUHA- LA VAGUE DE VIDE !!



Une grande lame de vent de démultiplient jusqu’à briser leurs membres, c’est un croissant qui provoqua la saignée de ces pantins. Ils meurent tous un par un, telle la pluie ils s’échouent sur le sol. Leurs corps résonnent lors de la retombée, chaque pion s’écrasent un à un. Mon souffle continue encore et encore jusqu’à briser même les adversaires blessés au sol. En attaquant dans les airs, ils avaient fait une terrible erreur. Mon courroux les avait envoyé rencontré la mort. Je n’oubliai pas le principal adversaire pour autant, encore debout devant moi il se tenait le coude. Mon kaze kiri dévastateur avait eu raison de son avant-bras.

-Tu as osé me mettre à sang… Espèce de vermine !

Un chakra puissant et néfaste perturbait la nature, l’équilibre était rompu et voilà que ce monstre se dévoilait un peu plus encore à moi. Des têtes de serpents de dégageaient de son dos, une dizaine de tête ornaient son corps. J’étais fait. Mes jambes en tremblaient, il est puissant, trop puissant. Sa tête vibrait follement, il était en transe.

-Allez mes petites, attaquez.

Il était rapide, arrivant sur moi à pleine vitesse, mon temps de préparation était minime. Pas le choix, je ne peux pas l’affronter, je saute donc.  Les serpents l’ont vu, ils s’agrippent à mes vêtements justes à temps. Je sens mon corps me désobéir, attiré vers le sol, mon estomac cri de douleur contre le genou de l’enfant-homme. Mon shôton s’activent instinctivement, les dix têtes se voient cristalliser puis exploser. Je tourne sur moi-même au sol, c’est un combat rude que je mène.  Je dois réussir à fuir avant qu’il ne m’abatte.

KESSH-KA KUKI- CRISTALLISATION DE L’AIR !!

Je plaquais mes deux paumes l’une contre l’autre, le cristal s’agglutinaient autour de moi. L’ennemi me regarde avec incompréhension, il court vers moi tout en exécutant ses mûdras. Sa vitesse a bien chuté, je vois quels mûdras il effectue. Je suis plus rapide ici, et il mourra dans une minute trente.

Karyuu Endan !! s’écrie-t-il.

Un puissant jet de feu s’abat droit sur moi, le feu est assez lent. Je parviens à l’esquiver, j’effectue quelques mûdras, je crache mon souffle divin droit sur mon adversaire. Il s’élance dans les airs comme prévus, j’abas ma dernière carte cette fois.

KURISUTARU TSUKI !

Ma lune s’élance droit sur son point de chute, il est fait comme un rat. La lune a doublé de puissance dans la zone de cristal, il va mourir sur le coup avec toute cette force. Je le vois retombé droit sur ma lune, ils vont se croiser, se trouver et discuter jusqu’à mourir ensemble. L’action me parait des millénaires, le choc à bien lieu. Il explose littéralement, sa chair et ses os s’arrachent sous la lune tournoyante, le sang jaillit de sa bouche et tout cela dans un cri effroyable de douleur.
Un instant passe et je me retrouve né à né avec un mur de serpent. Ceux-ci se rétractent ensuite, accroupis la tête basse et les yeux fermés, le monstre ensanglanté est là. J’ai une fois de plus subis son genjutsu. Je ne sais plus quoi faire, je pourrais continuer le combat mais si je ne l’abats pas d’ici une heure mes réserves tomberont à sec avec tout mon fuuton. Il prit les choses en mains, debout devant moi, ses yeux éblouit par le rouge de sa chair il me regarde et dit.


-Nous nous reverrons dans de meilleures conditions, je n’en suis qu’à ma forme numéro deux. Lors de ma mutation total, ton shôton ne pourra plus rien. Tu seras mien, toi et ton village êtes mes proies. Nous nous reverrons jeune Ryuka, tu as su capter mon attention. Le pouvoir est mien, sois mien.

Dans un dernier tour de magie, je vis la masse ensanglanté disparaître sous mes yeux. Il nous voulait, le village et moi. Je comprenais que nous courrions un grand danger, il a une armée de renégat et ressurgira plus puissant encore. Le temps était compté, je devais terminer ma quête initial et parler de tout cela à au Yondaime. Les cadavres et le sang me tenaient compagnie, je tournais sur moi-même. Je m’en étais très bien sorti aujourd’hui, presque sans aucune blessure. La vieille, je devais retrouver la vieille.  J’accours à chaque maison, sans difficulté je la trouvai quelques instants après pleurant sur le corps de son petit.

-Que s’est-il passé ?

-Le v- le v-…



Elle pleure sans s’arrêter, les larmes de tout son corps s’échappent de ses pupilles. L’eau salée dégouline sur ses joues. Je m’approche d’elle puis lui chuchote quelques mots pour la rassurer, je me forçais à la rassurer car je devais savoir ce qu’il s’était passé, précisément. Elle reprit un peu de son calme, elle me regardait de ses pauvres yeux larmoyants. Un dernier reniflement et la voilà parti.



-C’était il y a un mois, nous avons subi des éboulements, puis d’autres encore et encore. Des Ryuka sont venus réparer les dégâts et rétablir l’ordre, la cristallisation à bien été faite sur les montagnes, les hauteurs. Malgré tout cela, tout continuait alors nous comprîmes que ce n’était pas les hauteurs mais le sol. Des hommes sont morts en descendant dans les profondeurs,  jusqu’au jour ou apparut. Déos. Il s’appelait Déos, il nous a promis de rétablir l’ordre ici, punir les coupables en échange de quoi. Il devait être nommé chef du village le temps de sa mission, il commença à chercher des solutions jusqu’au jour où il trouva  l’origine de nos malheurs. Des travaux gigantesques avaient lieu à Tsuchi no kuni sous nos pieds, personne n’avait été informé. Alors il fut nommé chef du village, nous lui faisions confiance.

Mais quelques jours après, il commençait à se dérouler des choses étranges. Nos enfants ne revenaient pas de leur visite médicale, nos hommes les plus forts revenaient vidés et fatigués du travail. Ils ne nous donnaient aucune explication à cela, les enfants étaient entraînés à devenir des shinobis. Les plus faibles développaient leur physique, les plus doués continuaient leur développement et étaient engagés dans la défense du village. Un jour, la fille la plus jeune du village développa un chakra très spécial. Elle maitrisait ce qu’ils appellent… ils ont dit qu’elle maitrisait le Yoton. Du jour au lendemain elle disparut, le chef dit qu’elle avait déserté. Nous retrouvâmes son corps, la peau sur les os dans la rivière la plus proche d’ici. Depuis, Déos gère très bien le village et il n’y a plus eu d’incident.


Des imbéciles, ils ne comprenaient pas la moitié de ce qu’avait fait Déos à cette fille. Juste en parlant du côté scientifique de la chose, je n’imagine pas ce que ce pervers malade avait pu lui faire subir à cet enfant frêle. Je devais reprendre les choses en mains ici, alors je lui posai une dernière question.

-Et que savez-vous de ces sous-sols ?

-Tout le monde dans le village sait tout de ces souterrains, ce sont des souterrains construits par Iwa pour éviter la guerre, il y a des laboratoires, des expériences ! C’est mon petit fils qui a été espionné là-bas, je suis sûr de ce que je dis. Nous allions d’ailleurs envoyer un messager à Iwa, il va partir une fois les corps nettoyés et la cérémonie des morts fêtée.

Ils savaient tout, tout ce village d’imbéciles savait tout en détails. Pire, le Tuschikage allait être informé, convaincre un homme est difficile, oui. Faire taire tout un village est impossible. Alors je posai la main sur son front, elle devait se calmer et reprendre toute sa paix avant la fin. Je refermai ses paupières délicatement puis lui dis tout bas.

-Votre village sera récompensé et honoré.

Je quittai la demeure laissant derrière moi deux cadavres, mon katana dans la main droite allait m’accompagner jusqu’à la fin de cette mission. Je dois miner la vérité, la cristalliser pour mieux la détruire.  Dans les rues, les gens commençaient à affluer. Déos parti, le village revivait malgré la douleur de la perte des leurs. J’attendais dans mon coin que tout le monde sortent, au fur et à mesure je remarquais que les adolescents n’étaient pas présents, seraient ils parties servirent ce démon ?
Les villageois recommençaient donc leur vie, la cérémonie eut bien lieu et il fut décidé que le messager partirait demain à l’aube. Ce soir je dormis dans mon coin, ces vermines furent inhospitalières pour leur dernière nuit sur terre. Je ne devais pas dormir, dans la nuit s’éveillaient mes pupilles, la lune exaltait mes sens comme à chaque fois

Je me sentais puissant en sa compagnie, ses reflets blancs me laissaient juste de quoi apercevoir mes victimes. Le sang se mêlait à la noirceur des ombres. Les cris étaient en revanche insupportables, la nature fut réveillée mais qu’importe. Le bruit strident du cristal chantait comme milles oiseaux. Le métal s’enfonce dans la chair, en ressort pour accomplir d’autres crimes jusqu’à vider le monde de ses gens qui devaient être éliminés, c’est le destin. Dit-on.
La nuit m’accompagna tout le long de mon trajet, je revenais donc à Iwa. J’y serais dans deux heures un peu près, je ne dormirai pas ce soir. La lune me tiendra compagnie, c’est toujours en ces moments difficiles que la lune est présente.

Akira Ryuka vous a écrit:

Tsuchikage, mes salutations.

Lors de cette mission, j'ai eu l'effroi de rencontrer un dénommé Déos. Cela fait deux fois qu'il intervient lors de mes missions, Rimy Sama et moi même avions déjà eu affaire à cet homme. Son profil est dangereux, je suis sorti vainqueur de notre affrontement par chance. C'est un manieur de genjutsu, suiton, katon, il maitrise le Hebijutsu du célèbre Orochimaru et possède toutes les caractéristiques d'un voleur scientifiques. Il mène vraisemblablement des expériences dans un coin secret, il mute de corps en corps, son taïjutsu est d'un excellent niveau. Il a menacé de venir me chercher moi ainsi que le village, c'est un acte grave Tuschikage sama. Ce Nukenin a aussi affirmé qu'il serait meilleur, il était vraisemblablement faible lorsque je l'ai combattu. Il m'est apparu un nukenin de rang S, sans aucune exagération. Pour ce qui est du village, tout est allé très vite. Comme demandé, j'ai miné la vérité de manière à ce que votre grandeur ne soit pas dérangé par ces parasites. Tout est rentré dans l'ordre de ce point de vue la.

Mes salutations distinguées Gin Sama