Renaissance [RP Annulé]

Une aube resplendissante se profilait sur l’horizon déversant avec générosité ses rays chatoyantes distillé par la brume à des milliers d’éclats prismatique. L’air été imprégné de la fraicheur matinal. Chacune de mes expirations laissaient échapper de volute de vapeur d’entre mes lèvres. Le brouillard ne me laissait guère entrevoir à plus de quelques mètres devants moi. Cette brume mirifique glorifiée par la clarté miroitante de l’astre diurne englobait une grande partie de cette région du pays de l’eau. Je me trouvais en ces lieux pour une raison bien précise. Je m’apprêtai à rejoindre le village caché de la brume. L’ironie de cette occasion provenait du fait que ce dernier portait parfaitement son nom. Par le passé, j’avais à de nombreuse reprise parcourut le pays de l’eau afin d’approfondir mes recherches, je n’avais cependant jamais eux l’occasion de mettre les pieds dans le village shinobi. Cette splendide occasion de m’y rendre, je la devais entièrement à ma nouvelle allé Amaya. J’eus parfaitement raison d’espérer trouver en elle  ce qui me permettrait de parvenir à mes fins. Nous en étions venu en un commun accord, il m’incombait désormais d’honorer notre pacte en accomplissant cette tâche qui me revenait de droit.
Afin de pénétrer dans ce village qui était étroitement gardé, je m’apprêtai à me présenter non pas en tant que membre de l’akatsuki, ni en tant que Zero, mais purement et simplement en tant qu’humble civil. Considéré comme un simple marchand nul ne pourrait  desceller mon identité. En effet, je n’existai à proprement pas aux yeux du monde civilisé, cet atout était là ma première arme. La seconde, provenait de mon lien avec le manteau noir. Celui-ci, je n’étais rien de plus qu’un homme ordinaire dénué de chakra comme de toute maîtrise du ninjutsu. Mon allié intervenait dans l’officialisation de ce que je n’étais point, œuvrant dans la création de justifiant mon entré dans le village en tant que marchand. Comme je m’y attendais, son influence en tant que yakuza du pays de l’eau se révélait particulièrement utile.
Ce faisant, j’arrivais enfin devant les portes du village a bord d’une calèche transportant diverses denrées  exotique. D’autres marchands m’accompagnaient. Ils ignoraient tout de ma condition d’origine et n’avait que pour rôle d’enrichir la crédibilité du pseudo état derrière lequel je me cachai. Sans grande surprise, après avoir inspecté la véracité de nos laissez passez, les gardes commencèrent à fouiller de fond à comble notre moyen de locomotion afin de s’assurer qu’aucun subterfuge n’y était dissimulé. Bien entendu, ils n’y trouvèrent rien pour la simple et bonne raison que je n’emportais rien avec moi. Les réels artifices avaient été introduits la veille par l’intermédiaire d’un autre convoi de marchand.
Ainsi les portes du village caché de la brume s’ouvrir à moi m’autorisant à entrer dans en ces lieux. Entre temps le soleil s’était davantage relevé dans le ciel, chassant lentement, mais sûrement les couleurs rougeoyantes de l’aube. Malgré qu’il fût encore tôt, l’activité florissait au sein du village. Shinobi, commerçant et simple citoyen entamait déjà leur journée d’activité. Lorsque nous eûmes rejoins le centre-ville, je délaissai mes pseudos compatriote pour m’atteler à ma véritable tâche. Rejoignant sereinement les ruelles les plus isolées du village je m’assurai que tout se passait exactement comme prévu.


Voici comment s’était déroulé les évènements. Plus tôt dans la soirée d’hier, un convoi de marchand travaillant également pour notre compte. Ces ceux-ci transportaient avec eux une cargaison de parchemin vierge à livrer pour le village afin d’honorer une commande lancé par ce dernier. Cependant, ces parchemins ne l’étaient qu’en apparence. La moitié d’entre eux avaient été spécialement fabriqué pour l’occasion. En effet, ils étaient constitué de deux couches façonnés de sorte à ce qu’elles soient totalement indissociable l’une de l’autre. La première était parfaitement normale et jouait le rôle de subterfuge. La seconde couche quant-à-elle voyait sa face cachée recouverte de sceau propre à ceux des parchemins explosifs. Ainsi, de véritable bombe avait pu être introduite en toute quiétude. Les parchemins piégés avaient alors été livré à qui de droit, dans chaque recoins du village et ceux en toute impunité. Divers, bureaux, script, bibliothèque avaient alors été approvisionné aux quatre coins du village. La tour du Mizukage n’y échappait pas également. Cette attaque de plusieurs points simultanés allait être le point d’orgue de cette intervention.
Parcourant les aléas étroits des rituels je laissais le manteau faire œuvre pour appeler son cauchemar laissant ainsi une silhouette sombre encapuchonner jouir de son pseudo libre arbitre. Pardessus se trouvait également le kimono d’ébène à l’effigie de l’organisation de la lune rouge. La détonation était convenue à une heure très précise. Il n’y avait plus de temps à perdre. A peine le manteau noir était-il apparut que des shinobis senseur avait descellé la présence d’un intrus. Je comptais alors dans ma tête.

« 3.. 2… 1… »

Les détonations retentir aux quatre coins du village. Effrayante, terrible, elles mirent à sacs de nombreux quartiers. De nombreuses explosions endommagèrent et enflammèrent différentes structures du village. D’épais nuage de fumée sombre ne tardèrent pas à s’élever depuis les zones accidentés. Je composais alors une série de signe puis plaquait ma main sur le sol. Le puissant chakra de l’Abysse s’y déversa afin de créer un portail, libérant ainsi la furie du Jabberwock. Telle une allégorie de la haine, la créature poussa un cri strident à en déchirer l’âme. Sa stature imposante ne passait guère inaperçu et des shinobis ne tardèrent pas à arriver pour faire face à cette soudaine menace. Tournant mon capuchon je pus ainsi reporter sur mon attention sur la tour du Mizukage, endommagée par l’explosion.