De fer et d'acier.

Rang S

De fer et d'acier.

Musique d'ambiance.

Spoiler:

Sur cette grande toile qu'est le ciel, un fond bleu, quelques bouts de contons blancs, et un gros point jaune représentant l'astre brûlant. Le temps, tout particulièrement clément, était agréable, sur la ville principale de Tetsu no Sato, le pays du fer, celui des samouraïs. Les rues étaient bondées de passants, des civils en tout genre, des sabreurs aussi, Ici, les hommes de la garde du chef de la ville se distinguaient, par leurs tenus, une amure complète, en acier gris, qui possédait aux casques des masques à gaz, cette idée qui était révolutionnaire à l'époque, fut obtenue par l'homme le plus célèbre en ces lieux. Après avoir combattu le redoutable Hanzo et survécut a son poison, il équipa les soldat du pays du fer de ce genre d'armure, ultra sophistiqué. Dans les rues du pays , il y avait diverses odeurs dues aux différents restaurant qui étaient disposés au seins de celle-ci. Soufuku le jeune samouraï, qui venait de quitter ses compagnons de route, Mugen, Jin et surtout Fuu. Venait d'entrée dans cette ville, a sa grande surprise, il découvrit, un lieu, paisible, calme et conviviale, il sentais en lui comme, un appel, une certaine réjouissance, il tait ici chez lui en quelques sortes. Et l'idée de découvrir le pays d'où provenait sa famille le réjouissait d'une très certaine manière. Enthousiaste, il souhaitait dans un premiers temps rencontrer le chef du village dont la réputations n'était plus à faire, demandant à quelques commerçants, de quel manière pourrait-il se rendre afin de voir celui qui avait jadis aidé, les ninjas lors de la quatrième grande guerre. Ont lui indiqua brièvement le chemin. Et il alla, voir de quoi étaient fait les troupes d'élites du pays du fer.

Il arriva, vers une sorte de château, d’architecture féodale, entouré d'une clôture en bois vernis, couverte par des tuiles de cuivres rouges, le porche symbolisant l'entrée du domaine, ornée d'un dragon d'or. Le château, surplombé par un toit de cuivre rouge lui aussi, était en effet imposant, il exprimé parfaitement toute la force et la noblesse de Tetsu no kuni. Composé entre autres de plusieurs cours, avec plusieurs petites habitations traditionnelles. Soufuku lui se dirigea vers le château, là, deux gardes, l'interrogèrent sur ses motivations, affirmant qu'il souhaitait rencontrer leur chef, afin de pouvoir s'entretenir avec lui. Ils étaient particulièrement hésitants, quand un homme, fit son apparition. Grand, svelte, les cheveux attaché en queue de cheval de couleur noir parsemés de quelques mèches d'un gris foncé. Il s'affirma être, l'intendant du chef, faisant signe à ses hommes de laisser passer le jeune nouveau venu. Dans un premier temps, il pensait que le gamin voulait s'engager dans les forces armées du pays du fer, mais celui-ci se présentant, démentit l'idée, disant qu'il était simplement de passage. Lorsqu'il eut dit son nom et son prénom, il est à noter que l'homme en question qui répondait au noms de Kariya, eut une réaction peut banale, en effet, il regardait alors Soufuku Nitobe, avait une espèce de convoitise à faire naître en vous, une grande inquiétude. Après une bonne demi heure il fut demandé à Soufuku de confier son sabre à un membre de la garde rapprochée. Chose qu'il fit, il comprenait parfaitement les mesures de sécurités et la vigilance des gardes. Mais bon, depuis son petit séjours en prison, il savait qu'il ne recommencerait plus aucunes choses aussi stupides pouvant le mener à retourner en cellule. Il entra donc dans une petite salle, ouvrant une porte coulissante faite de toile et de bois.

A l'intérieure, éclairé par des bougie, il y trouva un sol fait de parquet, des armoires de bois étaient disposé, et ornée de toutes décorations. Il y avait un présentoirs, ici, une armure, et un sabre. Au beau milieu de la pièce une table basse, et deux poufs ou coussins posés à même le sol. Un homme était assis devant. Soufuku enleva ses sandales. L'homme face à lui était vieux, es cheveux blanc e long possédant un bandage sur le haut du crane sans doute, pour cacher une blessure du passé, ses yeux cernés par la vieillesse. Regardait en destination du samouraï de Suna. Lui s'inclina en gage de respect. Il entra et prit place face au noble et vieil comme lorsque celui-ci lui fit signe. L'atmosphère était pesante, le silence était présent. Lorsque le vieil homme de son air sérieux prit la parole en premier :

- Et bien, tu as bien grandit Nitobe Soufuku.

Cet homme connaissait le prénom de Soufuku qui était stupéfait devant ses premiers mots, ne sachant pas quoi répondre, laissa donc continuer le vieil homme.

- Depuis la dernière fois que j'ai rendus visite à ton grand père, tu étais encore un jeune garçon. Soufuku, ton mode battosaï ? Arrives tu à l'utiliser ?

Il acquiesça d'un signe de tête, ne prenant pas la parole, le souvenir qui le gagna, de la visite de cet homme, beaucoup plus jeune à l'époque rendant visite à son grand père. C'était donc lui, l'homme que son grand père avait servit, l'illustre Mifune. Il prit donc la parole à son tours et poliment s'adressa à l'homme qui sied face à lui :

- Mifune-sama, c'est un honneur pour moi de vous rencontrer. J'ai en effet de plus en plus de faciliter avec le mode battosaï. Je suis aujourd'hui affilié à un village ninja, celui de Suna no Kuni. Et je suis devenus chuunin récemment. Je suis aujourd'hui face à vous, car j'ai en effet un requête, à vous quérir, hélas je suis le dernier représentant des Nitobe encore en vie aujourd'hui, je ne sais ni pourquoi, ni comment ma famille a disparut. Je suis venus ici, pour en savoir plus sur mes origines de samouraï et aussi, il y un autre chose, mais chaque chose en son temps.

Mifune, semblait ravis de voir que le jeune avait si bien grandit, il était attristé par la mort d'un de ses homme de mains, et ne possédait pas les réponses, que le jeune homme souhaitait avoir, il lui expliqua alors, qu'il l'aiderait, et qu'il allait le confier à la garde de son intendant. Avant de mètre fin a la discussion il renchérit :

- Surtout, ici, ne combat pas, il ne faut en aucun cas que l'on sache que tu possèdes le mode battosaï, cela pourrait attirer, convoitise et faire naître des actes malveillants.

Soufuku repartit donc, Kariya lui montra ses quartiers, et lui dona rendez vous dans l'arrière court pour qu'il puisse assister à l'entraînement, des troupes de Tetsu no Kuni.

Rang S

De fer et D'acier.

Thème.

Spoiler:

Il passa une heure à attendre, l'homme, invité à voir à quoi pouvait ressembler, un entraînement entre deux soldats. Ce fut une après midi, brève il y découvrit, ces samouraïs en armures. Leur manière de combattre était différentes de celle que l'on avait enseigné à Soufuku. Enfin utiliser la chakra, pour améliorer le tranchant d'une lame et sa portée, bien différents du style classique des samouraï. En y repensant le dernier des Nitobe, possédait lui aussi du chakra, sauf qu'il n'en avait jamais fait usage. Il décida comme toutes bonnes personnes découvrant une ville de visiter le village. Non loin de là, trois personnages semblants chercher quelque choses, marchaient dans les rues de la ville, il s'agissait en faites, de Mugen, Jin et Fuu les compagnons de routes de Soufuku. A la recherche du samouraï qui sentait le tournesol. Fuu, attachait un farouche optimisme quand à l'idée de retrouver cette personne qui paraissait d'après ses dires si importante pour elle. Mugen et Jin en fidèl garde du corps posaient les questions.

Entrant dans un magasin, il découvrir une femme, elle n'était pas vieille mais on pouvait voir, qu'elle avait du vécu, la mine triste, elle tenait une boutique spécialisé dans la vente de tissus. Elle discuta avec la petite, et lui appris qu'elle venait de perdre son mari, le reste de la famille enrôlé par Kariya dans l'armée et qu'autrefois elle vivait paisiblement dans le domaine de sa famille. Fuu attristé comprit les sentiments de cette dernière lorsqu'elle lui dit que son fils lui, avait disparut et qu'elle espérait un jours tout de même pouvoir le revoir. Même si cela semblait maintenant plus utopique. Elle dit alors aux trois compagnons, que dans cette ville, il fallait faire attention, un groupe de rebelle s’apprêtait à frapper, et que pour ne pas se faire attaquer par les soldats de Mifune, il valait mieux ne pas trop s'aventurer armé d'un katana dans les rues du village au risque d'être pris à tort pour un rebelle. Ils retournèrent alors enquêter de leur côté, espérant trouver des réponses sur cette personne sentant le tournesol.

Soufuku, lui, après une demis journée à visiter la ville, se rendit dans ses quartiers du château, ici, Mifune avait encore demandé à le voir. Se demandant le pourquoi de cette nouvel convocation, il alla donc voir l'homme qui entretenait autrefois des rapports amicaux avec son grand père. Mifune, lui parla donc du livre, se livre que tout samouraï se devait de connaître, le gorin no sho. Rédiger selon les légendes par Miyamoto Musashi, le plus habile et le plus fort de tout ceux qui maniaient le sabre.

Il lui en apprit un peux plus sur sa famille, sur les combats qu'il avait mener avec son grand père lorsque celui-ci faisait partie de la garde du chef de Tetsu no Sato. Enfin, il affirma à Soufuku, qu'il devait se méfier de certaine personne, ce genre d’énigmes déplaisantes, le samouraï y avait souvent le droit c'est derniers temps. Après ce vieillard louche vus lorsqu'il méditait, un autre vieillard moins louche cette fois, lui parlait d'une manière incompréhensible. Le plus important à retenir sans doutes et que lorsque que, le jeune lui demanda, pourquoi ? Mifune lui en apprit alors sur la situation du pays :

- Et bien, tu vois, jeune Nitobe, ici, il y a certaine personne qui ne sont pas d'accord avec mes principes avec mes actes. Je ne citerai personne mais il faut que tu fasses attention, a ceux qui, se montrons particulièrement attendrissant. Ici, les choses ne sont pas comme à Suna, non au contraire, tu découvrira par toi même, que le pouvoir est une chose importante qui mène parfois à la mégalomanie. Les plus démunis, les plus apeurés, sont ceux en qui ta confiance, et ta justice doit aller. Tu es un homme fort, possédant de grand pouvoir et de grand pouvoir implique logiquement de grande responsabilité.

Encore une énigme, L'air de ne pas trop comprendre Soufuku fit comme si, il l'avait. Il demanda alors à la surprise de Mifune :

- Mifune sama, puis-je suivre votre entraînement, afin de perfectionner mon art du sabre ?

Un moment de réflexions fut accordé au grand samouraï qui aida Naruto dans lors de la quatrième grande guerre. Mais c'est avec grand plaisir qu'il accepta la demande du gamin, qui d'autre que lui de toute façon aurait put lui apporter autant de gage de qualité ? Certainement pas Kariya. Tiens, Kariya, sous ses aires bienfaiteurs, son aspect mystérieux qu'il dégageait ne laissa pas Soufuku indifférent. Non il s'en méfiait grandement. Car il se pourrait bien qu'il s'agisse de l'homme don Mifune parle, effectivement Kariya, à récemment était nommé bras droit du chef samouraï. Mais que voulait-il quels sont ses véritables objectifs ? Dans un sous sol qui apriori devait être secret, un groupe d'homme d'au moins une quinzaine, devant une estrade où se tenait un autre, cet homme, le regard perfide et avide de pouvoir s'apprêtait à faire un discours :

- Nous y sommes presque, mes frères, l'heure de notre gloire à sonné, nous irons bientôt prôné l'idéalisme samouraïs, Mifune, le lâche le faiblard, l'incapable son heure est compté, bientôt le monde entier reconnaîtra que le ninshuu ne doit perdurer. Mais avant ça, nous devons, oui éliminer tout ces traîtres, ces samouraïs impures, qui ont lié un pacte avec l'ennemie ninja ! J'ai éliminé ce vieux Nitobe, sa femme travaille ici, et me paye une redevance pour rester en vie, son fils ? Ah oui celui qui est arrivé ? Bref, j'en fias mon affaire personnel, il y a d'ancien compagnons de Mifune qui recrutent des membres, pour nous faire chuter, ici, à Tetsu no Sato, l'aube sera faîte de fers et d'acier !

Quand on parle du loup, on aperçoit le bout de sa queue, Kariya, le fourbe, il mijeotait donc de faire tomber son mentor, celui qui lui avait donner rang, celui qui lui donna par bonté, sa confiance, un projet fous, une folle envie de destruction massive, qui étaient c'est anciens compagnons pouvons nous les trouver ? La chasse est à présent ouverte, le déluge s’apprêtant à s'abattre sur le pays du fer, lui ne fais que pointer le bout de son nez.

De Fer et D'acier : Fin du RP.

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée