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InvitéInvité
| Sujet: La Cité Dolente Jeu 6 Fév - 18:04 | |
| Pour parvenir à mes sombres desseins, il m’était nécessaire d’acquérir encore davantage de pouvoir. Heureusement il m’était toujours possible d’accroitre mes facultés me permettant d’altérer la perception de la réalité. C’était dans la cité dolente que se trouvait mon salut. Obscure et mirifique, ces ruines situées au nord du pays des éléments s’étendaient sur plusieurs centaine de mètres, logé dans le versant d’une montagne. Sanctifié par la corruption de la Mer Noir, elle était impossible d’accès aux non élus, n’ayant eu droit à la grâce de la lieuse de vie. C’était par son biais que j’allais trouver mon salut. En effet, comme elle avait contribué à mon éveil, il lui était possible de m’accorder de nombreux autres dont noir. Œuvrer au nom de la sainte Majora et celle-ci nous rendait cet amour au centuple. Ainsi était-elle faite.
Gravissant les marches de mon pandémonium, je me rendais directement au sommet de la montagne, là où siégeait le trône de ma bien aimé déesse. Autour de moi tout n’était qu’ombre, affliction et abjection. Au cœur de cet océan de ténèbres, je retrouvai mes forces, je sentais ses ombres énergies galvaniser mon corps, dans un flux et un reflux aussi néfaste que vertueux. J’avais dépassé depuis bien longtemps ce seuil commun propre à tout mortel. Majora m’avait appris à ne plus craindre les ténèbres pour mieux me montrer comment les dompter. A présent, je faisais partie intégrante de ces derniers, m’abreuvant de leur source néfaste telle la flore s’épanouissant sous la bienveillance de l’astre diurne. Comme tous maux présent sous quelconques formes, j’étais devenu indispensable à la cohésion et l’équilibre de toutes choses. Une négation veillant garantir une fin à la quiétude ainsi qu’un renouveau, le tout se répétant dans un cycle sans fin. C’était dans le but avoué de perpétuer la pérennité de ce cycle que j’avais accepté de devenir un serviteur que ces les mortels osaient appeler le mal incarné.
Montant une ultime marche j’arrivais finalement face au temple des six-chemins, désormais transformé en sanctuaire de la mansuétude dans lequel reposait l’instrument reliant la déité que je servais à notre monde. La distorsion temporel opérait toujours dans cette partie des ruines, mais l’écart dimensionnel avait été amoindri depuis la visite qui m’avait valu de devenir ce que je suis à présent. Une fois à l’intérieur, la saveur glacée des ténèbres se fit encore plus présente. Dans ce linceul de maléfice, je sentis mon cœur se mettre à battre au rythme des pulsations de celui de l’Abysse. Empruntant l’obscur couloir menant à la salle principal, j’arrivais finalement dans celle-ci, faisant alors face à la toute-puissance du masque de Majora. L’évitant sur plus d’un mètre au-dessus du sol, il resplendissait de mille éclats indigo noirci de corruption. Le masque était à l’origine de la Mer Noir recouvrant la montagne et s’était éveillé le jour où j’eu l’infinie honneur d’en faire usage pour cacher mon faciès. Il m’était impossible de réitérer une telle opération, car mon âme, ne pourrait alors supporter un nouveau voyage dans l’abysse. Il m’était tout de même possible de le toucher afin de prélever une arme de sa puissance. Posant un genou à terre je plaçai ma main droite sur mon corps et m’inclinai dans une révérence solennelle.
-Majora Shéogora, Saint Lieuse de Vie, je suis votre humble et fidèle serviteur. Accordez-moi votre pouvoir afin que votre volonté soit faite.
Ce faisant, je tandis ma main droite en avant en direction d’une masque. L’aura indigo qui l’entourait s’intensifia aux points de former un nuée de filament d’énergie qui convergèrent vers la paume de ma main. Insufflant ce nouveau pouvoir en moi, il m’était désormais possible d’enchevêtrer les illusions pour former un labyrinthe chimérique dont nul ne pourrait en ressortir indemne.
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| Sujet: Re: La Cité Dolente Jeu 6 Fév - 21:42 | |
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Mon entraînement dans l’art des illusions devaient se poursuivre. Celui avait toujours lieu en plein cœur de la cité dolente, là où ma puissance se trouvait être à son apogée. Malgré qu’il me fût possible de rejoindre l’organisation d’Akatsuki, j’avais encore tant à apprendre dans les arts shinobis et notamment dans ceux liés aux illusions. En effet, je ne fus jamais à proprement un ces soldats formés aux pratiques du ninjutsu, bien qu’ayant passé une partie entière de ma vie à étudier leur précurseurs. Il fut de cela un certain temps, à une période aussi infime qu’infinie, où je fus un homme parfaitement normal, ignorant des lois qui régissaient les constances de notre univers. Puis Majora avait arraché cette immondice que l’on appelait âme de mon corps pour me laisser ployer face à l’appel de l’abysse m’ouvrant ainsi le chemin menant vers la vérité. Purifié de tout éclat, mon corps devint une coquille vide, tel le néant, prêt à absorber tous les ténèbres du monde en lui. L’entité que j’étais devenu, demeurait cependant juvénile, encore imparfaite et incapable d’exprimer pleinement son potentiel. C’était pour cette raison qu’il m’était indispensable d’apprendre à me dompter moi-même.
Cette nouvelle technique que je m’apprêtai à apprendre, ne pouvais m’être transmise par l’immense puissance du masque de Majora pour la simple et bonne raison qu’elle se trouvait déjà au fond de moi sommeillant et n’attendant que d’être réveillé. Nulle vie impure ne pouvait subsister dans la Mer Noir, cependant, je pouvais toujours faire appel à mon Cauchemar pour jouer le rôle d’entité incarné. Ainsi, rejoignis-je une plateforme centrale située au niveau du deuxième temple le plus élevés de la cité dolente. Les six apôtres possédaient jadis leurs propres temples disséminés aux quatre coins du pays des éléments, mais chacun disposait également d’un sanctuaire au cœur de la cité dolente. Celui au sommet étant jadis réservé à Majora. Celui juste en dessous, là où je me trouvais, appartenait jadis à Sojobo Tengu aussi surnommé le messager des Dieux. Liés au ciel, ce sanctuaire était entièrement voué aux hautes altitudes, de ce fait, se nombreuses plateformes situé à son extrémité menait directement à une vue plongeante sur le versant de la montagne. Faisant face à panorama qui s’offrait à moi, j’abaissai mon capuchon afin de laisser le vent caresser mon visage. Je me surprenais à épier cette horizon au-loin, verdoyante de vie, là où la Mer Noir ne pouvait aller. J’ignorai pourquoi se paysage m’intriguait tant, mais je me rendais compte que je passais de plus en plus de temps à l’épier depuis cette hauteur. Après quelques instants de contemplation qui ne me parurent que trop long, je décidai enfin de commencer mon entraiment. Mon Cauchemar, lui, ne se fit guère attendre. A peine eu-je tourné la tête vers la voie qui menait à l’intérieur du temple qu’il se trouvait là, doté de son long manteau noir à capuchon voilant un visage existant. Il était tout ce qu’il avait toujours été, l’ombre de moi-même, vide de l’intérieur et irréel de l’extérieur. Sans un mot, il composa une série de signe et les ténèbres plus oppressantes nous envahir. Nous fûmes plongés dans les méandres interdits de nos êtres. La Mer Noir n’était nullement concerné par l’extrême affliction qui nous entourait. Cette noirceur indicible, nous ne la devions qu’à nous-même.
Commença alors pour nous un entraînement de longue date où perception, temps et compréhension de la réalité s’entremêlait sans cesse. Ainsi vécus-je en moi-même l’équivalent d’une période indéfinie. Mon Cauchemar et moi lutâmes sans relâche pour le contrôle de cette chimère dont nous étions les deux auteurs. La lutte semblait sans fin, j’étais déterminé à atteindre mon but. Pourtant quelque chose d’imprévu se passa. Quelque chose… Quelque chose d’autre était avec nous. Il s’agissait bien de cela oui. Un autre imbibé de lumière recroquevillée en lui-même en un état miroitant. Cette « chose » n’avait nullement attrait avec nous même, il s’y dégageait un sentiment, une émotion, un souvenir, parfaitement inconnu, qui ne nous était point légitime. A chaque fois que je voulus me tourner vers elle, mon Cauchemar s’empressait de me rappeler à l’ordre. Ainsi fut-il jusqu’à mon retour à la réalité où ne pus-je jamais avoir connaissance de ce qu’il en retournait.
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| Sujet: Re: La Cité Dolente Dim 9 Fév - 18:04 | |
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La peur étant un sentiment propre à tout un chacun il est particulièrement difficile de l’affubler d’une constance concise. Apprendre à appréhender les moindres subtilités de sa noirceur se révélait alors être une tâche peu aisée même pour un individu tel que moi. Aussi compris-je que malgré l’influence qu’il m’était possible d’exercer sur l’esprit, je ne pourrais jamais contrôler la peur dans le cœur de mes victimes. Plutôt que de m’attaquer directement aux notions fondamentales de leur être aussi soluble qu’indicible, je pouvais faire appel à la raison et à la science. Ma nouvelle cible devenant alors le système limbique de chaque individu donc le fonctionnement ne pouvait diverger. Ne possédant aucun cobaye, j’allais utiliser ce pouvoir sur moi-même, mais dans une moindre mesure. Tout genjutsu se basait sur la perturbation du flux de chakra dans le cerveau d’une personne. Je n’échappai nullement à cette règle. L’entraînement allait principalement consister en une longue méditation pour apprendre à régénérer ce genre de perturbation. Localisé dans le système limbique, elle ne pousser à un excès d’adrénaline et de divers hormones originaires de la peur.
La cité dolente serait le théâtre de cette confrontation entre l’esprit et la matière. Seul dans le sanctuaire de Majora, je pris place sur le trône siégeant au cœur du temple. Assis au milieu du silence des ténèbres je commençais alors à méditer, maniant les flux de chakra dans mon corps et plus précisément dans la région de mon cerveau. Cela était une opération risqué car une mauvaise manipulation pourrait entraîner des dommages sur mon système nerveux. Malheureusement un entraînement aussi pointilleux nécessitait de devoir manipuler mon propre chakra avant d’être capable de perturber celui d’un ennemi dans une zone précise de son cerveau et à distance, de surcroit. De longues heures s’écoulèrent alors. Chacun d’elles me rapprochant un peu plus de mon but ultime. J’avais la chance de posséder le manteau noir, m’octroyant des habitudes innées en matière de genjutsu. Cependant, cet entraînement ne se faisait pas sans conséquence. La moindre erreur, la moindre défaillance accidentelle dans la manipulation de mon chakra suscitait en moi une intense douleur. J’avais comme l’impression qu’une aiguille me traversait le crâne à chaque erreur de ma part. La précision nécessaire à cet entraînement valait celle d’un chirurgien en pleine opération.
Cela finit par payer au bout de plusieurs jours de longue et douloureuse méditation. Je ressorti épuisé aussi bien psychologiquement que physiquement, mais ma nouvelle technique était désormais au point.
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Cité Dolente Lun 17 Fév - 0:14 | |
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J’avais depuis longtemps compris la nature de Majora. Bien qu’elle fût l’origine de tous les maux de ce monde, elle était indispensable au maintien de l’existence. Le mal ne pouvant exister dans le bien et réciproquement. La mort comme la vie incarne un aspect essentiel de la vie. Le début accordant un renouveau après la fin. Ces deux concepts se référait à l’entre deux de l’existence tandis que l’aspect de l’âme incarnait ce qui s’y trouver entre. Le commencement tout comme la fin n’était guère des notions liées à Majora. La mort en elle-même représentait son pire ennemi, car, cette dernière mettait fin à toutes choses et par conséquents aux fruits de l’existence, ce qui est appelé émotion, ce qu’incarne Majora. Sans vie, il n’est point question d’émotion, sans émotion, il est point question de Majora et sans Majora, je ne suis être. Les pouvoirs que m’avait offerts la lieuse de vie convergeaient vers cette idéologie. Plutôt que de chercher à les entraîner dans les bras insipides de la mort, j’avais tout intérêt à leur faire ressentir pleinement la vie, avec toutes craintes, ses peurs, ses afflictions… Ainsi, la puissance de l’Abysse demeurait incapable de blesser voir de tuer qui que ce soit. Elle ne faisait qu’attiser la part d’ombre en eux. Ce n’est qu’en songeant dans l’éternel rêve de la Mer Noir qu’il est possible d’atteindre l’absolution. La meilleure chose à faire, consistait alors à créer une technique permettant ainsi de plonger en étant de veille les futurs apôtres du cœur des origines jusqu’au moment de leur sacrement, les laissant ainsi rejoindre notre famille. Bien heureusement, l’Essence de l’Abysse se trouvait être d’une nature extrêmement malléable. Par l’intermédiaire d’un peu d’entraînement, il me serait possible de créer et maintenir un cocon protecteur entièrement constitué de cette énergie noire.
La cité dolente demeurant ainsi mon principal refuge, je me rendis dans l’un des temples de ce dernier pour commencer mon entraînement. Malgré la puissance que j’avais acquise, il me restait encore tant à apprendre. Cet immense pouvoir que l’on m’avait conféré, continuait encore de sommeiller en moi. Ce fut dans le premier temple situé à la base de la montagne que je décidai d’entreprendre les premiers essaye à mes nouvelles techniques. Ce dernier était un sanctuaire secondaire dédié à Yoko Mangegami, Apôtre de la vie. En rapport avec son élément, une grande cascade s’échoué par-dessus une partie du temple créant ainsi un rideau aqueux aux niveaux des infrastructures donnant directement sur les sorties. Cet eau, jadis source de vie, avait depuis longtemps été corrompue par l’essence de l’abysse. Je commençais alors à canaliser les énergies sombres présentes dans les lieux afin de les manipuler à ma guise. Il me fallut passer de longue heures à improviser certaines séries de mundra avec de trouver la combinaison ainsi que les effets qui se rapprochait le plus de ce que je désirai obtenir. Encore une fois, mon lien étroit avec l’Abysse s’avérait avantageux, car ce dernier me permettait de manipuler plus aisément les forces qui m’entouraient. Je pus également remercier ma grande perspicacité et mon sens de la logique pour finir par trouver la combinaison appropriée de signe nécessaire à l’accomplissement de cette technique. Malgré tout, cela ne fut point aisé. J’en vins cependant à une découverte assez étonnante. Sans doute que cette notion relevait d’une implacable banalité chez les adeptes du ninjutsu, mais je réalisais que par l’intermédiaire des mundras et de la combinaison appropriez tout pouvait être possible. Il ne manquait alors plus que le catalyseur originel, l’énergie approprié et inhérente à cette capacité ; voir cette volonté de défier les fondements qui régissent la nature, noir même les fondements de notre réalité. A partir de là, tout, absolument tout devenait possible. Si le Rikudo était parvenu à atteindre une manipulation du ninjutsu à son paroxysme, les légendes le désignant comme un dieu mortel se révélait fondée. Néanmoins, quoi qu’il en fut, son incommensurable pouvoir n’était rien à côté de celui de Majora, sa propre création, sa fille. Alors que j’étais finalement parvenu, après plusieurs jours d’essai à manipuler cette sphère d’ombre, je réalisai l’origine de cette continuité, de l’héritage qui pesait sur mes épaules.
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Cité Dolente Lun 17 Fév - 14:24 | |
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Manipulé la perception de la réalité d’autrui n’était guère une chose aisé, pourtant cela demeurait à la portés des utilisateurs de genjutsu tel que moi. Afin de compléter la panoplie qui était mienne je devais davantage apprendre à contrôler l’esprit des humains afin de leur faire voire des choses selon mes désirs. Il s’agissait en réalité d’une technique parfaitement basique consistant à toucher directement au sens de la vue créant ainsi des illusions visuel ne pouvant influer sur le reste de l’organisme d’un individu. Malaxant alors mon chakra, je m’employai à utilisai cette nouvelle technique sur moi-même de sorte à en être directement le témoin des effets. Les mudras nécessaires à la création de ses illusions n’étaient pas fixe, ils variaient en fonction de l’illusion que je désirai créer. C’était en cela que résidait toute la subtilité de l’apprentissage de cette technique car elle incarnait la maitrise globale du genjutsu visuel sous tous ses aspects. En effet, il existe de nombreuses illusions capables d’influer directement sur le sens visuel d’une cible, cependant, il en existait un seul est unique pour déterminer cette altération à basse échelle. Cette technique relevait davantage du leurre, destiné à tromper une cible où à lui faire croire à une chose présente qu’il ne l’est pas en réalité. Je passais ainsi de longue heure à multiplier les tentatives sur-moi-même, désireux de créer de multitude apparition fantasmagorique tous droits sortis de mon imagination. J’y parvins avec une certaine difficulté, ceci principalement dû au fait que ses différents aspects me permettaient un large panel de possibilité.
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Cité Dolente Mer 9 Avr - 9:20 | |
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Afin de parfaire mes connaissances nécessaires à l’accomplissement de mes objectifs, il m’était nécessaire d’en apprendre davantage sur l’art des sceaux. Jadis, lors de mon ancienne vie, je m’étais grandement intéressé l’utilisation de ce dernier bien que je n’eus guère le temps d’en maîtriser toutes les subtilités. Désormais ce savoir se trouvait à ma portée. En effet, la cité dolente recelait d’ancien parchemin contenant d’antique connaissance lié au fuinjutsu. Il me suffisait de me servir. Cependant, avant de prendre l’initiative d’apprendre à maitriser l’un d’eux, il m’était nécessaire de revoir les bases, à savoir la maitrise initiale. Rejoignant le temple situé au sommet de la montagne, là où se trouvait la plus grande concentration de connaissance, je m’installai dans la bibliothèque afin de commencer mes recherches. La distorsion temporelle présente dans cette dernière se révélait particulièrement utile. Je comptais précisément la mettre à mon avantage afin de me jouer des années. Cela m’importait peu de vieillir prématurément, car, les pouvoirs de Majora m’avaient confié la jeunesse éternel.
Ainsi commençais-je mes investigations durant de longues journées afin de parfaire mon savoir. Lorsque mon savoir eut atteint la mesure de mon ambition, je me mis alors à apprendre à contrôler l’un des sceaux présent sur le parchemin de la bibliothèque. Ce dernier m’intéressait tout particulièrement du fait qu’il accordait à son utilisateur la possibilité de stocker son chakra à l’intérieur afin de l’exploiter ultérieurement et à distance. En somme, il s’agissait d’une parfaite technique qui me permettrait dans l’avenir de mettre au point de nombreux piège afin de tourner l’environnement à mon avantage. Les premiers essais se révélèrent assez infructueux, ne me permettant pas de canaliser l’Essence de l’Abysse à l’intérieur. Le deuxième obstacle fut de parvenir à lancer des techniques à partir dernier. Je parvins cependant à mes fins au bout de multiple réitération. Satisfait de mon travail, je décidai pourtant de ne pas m’arrêter là.
Dernière édition par Zero le Mer 9 Avr - 9:23, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: La Cité Dolente Mer 9 Avr - 9:21 | |
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Le prochain sceau que je souhaitai apprendre était cette fois-ci une technique défensive. En effet n’étant guère un combattant affranchi, ce type de capacité demeurait indispensable si j’espérai survivre dans ce monde peuplé de shinobi bien plus expérimenté que moi. Une fois encore, je trouvai mon salut dans la bibliothèque de la cité dolente. Ce fuinjutsu défensif reposait sur un principe de trinité, composé de trois gravures qu’il était nécessaire de disséminé en triangulation afin de créer une barrière protectrice sans affinité. D’après la description faite dans le parchemin, elle était suffisamment résistante pour stopper les assauts les plus basiques voir de ploquer certaine issue. Bien que la ténacité de cette dernière soit particulièrement limitée, celle-ci saurait s’avérer particulièrement utile pour ce que je désirai en faire. L’essentiel de la difficulté quant à la maitrise de ce sceau résidait principalement dans le système de triangulation car, bien que comportant des similitudes, chacun des trois sceaux était uniquement. Ce faisant, il se révélait assez long à place ce qui rendait cette technique totalement inexploitable en cas d’urgence.
J’entrepris alors de mon propre chef et sans prendre l’indication sur le parchemin d’apprentissage, de modifier ces sceaux avec de les apposer sur des parchemins. Dès lors, il me suffirait de disposer les trois au sol afin de former la barrière protectrice. Cette fois-ci les résultats se révélèrent concluant et ceux dès le début. Je dus néanmoins passer de longues heures à méditer sur ce problème avant de trouver une solution. Dès lors, je compris que l’art du fuinjutsu comprenait une importante faiblesse qui était sa mise en place. Certains fuinjutsu étant parfois difficile à mettre en place je décidai de trouver une solution afin d’y remédier.
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Cité Dolente Mer 9 Avr - 9:22 | |
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La problématique posée par le temps de mise en place d’un fuinjutsu devait résolu. Créer un sceau pour remédier à cela, revenait à vouloir corriger le problème avec le dit problème. Il ne s’agissait pas de la bonne solution. J’eu alors l’idée d’avoir recours à la nature malléable de l’Essence de l’Abysse. En effet, j’avais pris à le manier selon mes désirs afin de lui donner différents aspects. Cela se traduisait notamment par mes techniques de l’Allégeance Eternel et de la Sphère de l’Oubli. Il m’était possible de donner forme à mon chakra, il m’était alors possible de le faire de façon bien plus complexe, comme pour par exemple donner l’apparence de sceau directement formé. Cela reviendrait à infuser mon chakra dans une surface afin que ce dernier dessine directement le sceau. Je ne doutai pas qu’il serait difficile d’apprendre à ma manier mon chakra de la sorte, mais je savaos également, qu’une fois mit en place, il me serait particulièrement aisé d’en exploiter son plein potentiel. L’avantage de cet entrainement étant qu’il pouvait être pratiqué n’importe où et ce en n’importe quel circonstance du moment qu’aucun témoin ne se trouvait présent sur lieux. Je décidai alors de gagner du temps en le perfectionnant tout au long de mes voyages, profitant des temps morts pour m’entraîner.
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Cité Dolente Mer 9 Avr - 9:28 | |
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Il y avait cet aspect, ce pouvoir que maitrisait la plupart des shinobi, qui me perturbait grandement. Cela se référait à la capacité de pouvoir créer des clones capables de combattre à leur place ou bien dans le but de faire diversion. Bien entendu, je ne manquai pas à cette étrange constante, étant moi-même capable de faire appel à mon Cauchemar pour remplir de nombreux rôles qu’il me serait trop risqué d’entreprendre. L’idée de cette capacité m’étant venue, lorsque le double de Kishi Daiki s’était emparé de moi, me laissant un puissant face à l’immuable grossièreté de cette situation. Je savais que les clones étaient essentiellement constitués de chakra naturel et élémentaire. Ces derniers étant généralement de nature assez fragile, un simple coup suffisant à les terrasser. Dès lors le pouvoir de l’Essence de l’Abysse se révélait particulièrement apte à contrer ces derniers. J’avais appris à d’avantage à le manier en mettant au point la technique de la trace de la destinée, modelant mon chakra selon mes désirs afin de former des sceaux en quelques instants.
Cette nouvelle technique serait bien plus simple à apprendre. La nature malléable du chakra de l’Abysse s’y apprêtant une fois de plus parfaitement, mais demeurant beaucoup plus simple en place de par l’étonnante simplicité de sa nature. Cette dernière consistant à déployer une onde de chakra partant de mes mains se dispersant sous forme de dômes. Il s’agissait là d’une simple émanation de chakra donc pouvant être aisément mise en place. Je commençai alors mon entrainement, faisant usage de mon apprentissage de la maitrise des sceaux pour sélectionner les bonnes mudra nécessaire à la création de cette technique. Une fois de plus et dans une douce ironie, mon propre clone ferait office de cobaye pour cette technique. Etant composé essentiellement de chakra de l’Abysse il ne devrait guère être détruit par l’onde, mais demeurerait à même de confirmer son efficacité.
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| | | | Sujet: Re: La Cité Dolente | |
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