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InvitéInvité
| Sujet: un contrat parfumé Sam 16 Aoû - 22:07 | |
| -Kaori? kaori. KAORI! -Je suis la papa, pas la peine de hurler! -Répond moi quand je t’appelle! -Mais j'était à la réserve, vérifier les fleur pour le banquet de demain. -Ha oui c'est vrai. Bon, garde à boutique, je rien en début d'après midi. j'ai un rendez vous important et je passerai chez le traiteur en revenant, car ta mère n'est pas la. -Toujours pas décider à cuisiner un?
C'est l'aire un peut grognons que Mr yasei pris sa sacoche avant de franchir le seuil de la boutique et de tournée à gauche dans la rue. "Ha la la, ce papa. Comme si je ne connaissait pas les ficelles du métier" Et c'est sur cette pensée que Kaori ce dirigea vers ça partie préférer du magasin, l'atelier à parfum. et oui car dans cet petite boutique connue pour ses créations originales et son sérieux, cela fait maintenant 5 ans que la jeune femme y propose en plus des parfums de sa création. Aveugle de naissance, elle à développer ses autres sens et à, comme on dit dans le métier, un nez. Elle est capable rien qu'a l'odeur de répertorier plus de 50 parfum mélanger et reconnais toute les essences de fleurs connus. Les femmes des grands du village ce font offrir ses subtiles essences et paye le prix fort pour en avoir la recette exclusive. Ninja de métier, la jeune shinobi parcoure les alentours du village pour y trouver de nouvelle idée pour ses créations.
Mais attention, si les parfums sont un loisir attrayant et lucratif, elle en à bien d'autre utilité...
Mais la n'est pas le but actuel. Kaori à reçus une commande spécial et se mie au travail avec cœur en fredonnant doucement. Au bout de 20 minutes, elle entendit des pas crisser sur le gravier de la rue devant l'échoppe. Elle releva la tête et détecta un homme, d'age mur, stationner devant le magasin. le vent lui postait une odeur de savon, de tissus doux et d’encens. un vénérable. elle se redressa complètement, balaya ses cheveux pour faire tombé sa frange devant ses yeux et annonça bien haut de sa voie chantante:
-Entré! la boutique "fleurilège" vous souhaite la bienvenue!
Dernière édition par Kaori Yasei le Dim 17 Aoû - 21:18, édité 1 fois |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Sam 16 Aoû - 22:37 | |
| Tout avait commencé la veille au matin. Fusasaki Somei venait de recevoir une mission discrète pour le compte du village qui allait l’emmener à Kiri. Il avait réfléchi longtemps à l’exécution et est arrivé à trouver une route qui faisait le meilleur compromis entre rapidité et sûreté. Le voyage ne se présentant toutefois pas comme une mince affaire, et les préparations allaient être dures. De plus, voyager seul sur une telle distance attirerait l’attention de voleurs ou autres indiscrets. Alors que Fusasaki pensait pouvoir gérer les premiers, il ne pouvait garantir qu’il serait capable de se cacher d’éventuels espions. Enfin, de la compagnie ne serait pas pour le gêner, même s’il devait pour cela se faire passer pour un innocent marchand… c’était ce qu’il faisait la plupart du temps, de toute façon.
Pour assurer sa couverture de marchand, Fusasaki avait donc besoin d’une mission marchande pour accompagner son objectif secret. Celle-ci lui permettrait d’entrer facilement dans le village caché une fois arrivé, car même si ce n’était pas sa priorité, il comptait bien tirer des avantages économiques de cette mission, comme toutes les autres. Il avait rapidement parlé avec d’autres membres de son clan spécialisés dans le commerce avec Kiri et les villages de sa région et ils lui avaient recommandé plusieurs types de marchandises dont le trafic serait garant du plus gros bénéfice. Une fois le soir venu, il fut donc décidé que Fusasaki aménerait une cargaison de parfums de qualité à Kiri, afin de soit les échanger contre des biens locaux (pour lesquels il avait également une liste de ce qui se vendait le mieux à Konoha) ou contre une rémunération immédiate, qui lui assurerait un retour plus rapide.
Les parfums en eux-mêmes devaient venir des meilleurs fournisseurs de Konoha, n’était-ce que pour honorer la réputation d’honnêtes marchands de qualité que le clan Somei voulait conserver. Même si Fusasaki ne se revendiquait jamais de son clan lorsqu’il était en mission (et rarement lorsqu’il n’était pas en mission), il se sentait obligé de respecter le gage de qualité qui avait fait l’honneur des siens à leurs débuts. Il connaissait quelques noms de bonne réputation à Konoha et c’est ainsi qu’il avait fixé un rendez-vous pour le lendemain avec le marchand Yasei.
Ainsi donc, Fusasaki, vêtu de ses amples vêtements de riche marchand, se dirigea à travers les quartiers plus ou moins marchands de Konoha. Il passa devant une célèbre place de restauration où de jeunes shinobi discutaient de leurs récents exploits d’entraînement. L’un d’entre eux prétendait avoir couru aussi vite que leur enseignant pendant un test, alors qu’un autre tentait de surenchérir en présentant sa technique de feu. Heureusement que Fusasaki avait fait attention à leur discussion, car sinon il aurait été pris au dépourvu par les flammes qui jaillirent dans cinq directions à la fois. Tous n’eurent pas cette chance, et une femme qui balayait la rue devant chez elle prit une gerbe dans les jambes. La situation ne vira heureusement pas à la panique car les jeunes ninjas en devenir accoururent et lui administrèrent des premiers soins, alors qu’une jeune fille faisait couler de l’eau étrange sur la blessure, sans doute pour rafraichir la blessée.
Maintenant qu’il y pensait, Fusasaki ne s’était pas véritablement entraîné depuis qu’il avait commencé à vivre une double vie de ninja et de marchand. Il ne perdait pas une occasion de faire quelques tirs d’essai ou des exercices physiques au terrain d’entraînement, mais les séances qui duraient toute la journée, pendant lesquelles il pouvait réfléchir à une nouvelle technique de combat, cherchant à perfectionner son style de combat unique. À présent, les seules séances d’entraînement auxquelles il participait étaient celles pendant lesquelles il tentait d’enseigner comment récupérer les pièces perdues aux jeunes ninjas de son clan. Cela lui manquait, de se perdre corps et âme dans un combat qui n’existait pas encore, d’imaginer des situations compliquées et tenter de s’en sortir par des ruses improbables et imaginaires.
Lorsqu’il arriva à la Cinquième Rue Principale, Fusasaki ralentit le pas. Il prit le temps d’observer les environs, et remarqua surtout que la journée s’annonçait très belle. Il nota l’emplacement de la boutique qu’il venait visiter, et vit que la devanture était très bien présentée. Des fleurs de cent couleurs différentes s’y disputaient la place, alors qu’une pancarte proprement décorée vantait les vertus de divers parfums vendus à l’intérieur. Enfin, il y était. Il comptait prendre une charrette entière de parfums avec lui, ce qui allait lui coûter très cher. Cependant, si tout se passait bien, l’investissement se révélerait largement payant, à condition de choisir des fragrances particulièrement rares ou exquises.
Fusasaki arriva devant le pas de la porte. Il sentit d’abord de puissantes mais délicates odeurs lui arriver au nez. De la gauche et de la droite, les étalages présentaient des poudres, des bouteilles de parfums, des fleurs en bouquets ou en pots. Il entendit une jeune fille lui adresser la parole :
-Entrez ! La boutique « Fleurilège » vous souhaite la bienvenue !
Il se tourna vers la direction de la voix et remarqua ladite jeune personne. Elle était visiblement employée là, car elle se trouvait derrière un comptoir, du matériel de parfumerie posé devant elle. Il remarqua aussi qu’il avait dû être bien bruyant pour qu’elle le remarque avant même qu’il ne fut entré, à moins qu’elle… c’était bien cela, elle était aveugle. Elle ne le cachait pas plus qu’elle le montrait, et cela aurait pu ne pas se remarquer si son regard n’était pas fixé droit devant elle, au lieu du comportement que toute personne aurait eu normalement, à savoir parcourir son interlocuteur des yeux pour le jauger. Certes, elle était aveugle, mais pour quelqu’un travaillant avec le nez, ce n’était pas un problème. Fusasaki se souvenait même avoir entendu dire que les personnes perdant l’usage d’un sens voyaient leurs autres organes développer une plus grande sensibilité.
Il laissa ces déductions pour un autre moment, car il avait plus important à faire. Il avança de quelques pas, et demanda :
-Bonjour, je suis Fusasaki de la famille Somei. Je vais bientôt mener une petite caravane marchande, et je souhaiterais amener des parfums de qualité issus de Konoha. Pourrais-je parler au propriétaire ou à un responsable, afin de régler un éventuel accord ? |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Sam 16 Aoû - 23:15 | |
| Une voie grave lui répondit à l'entré de la porte, elle ne c'était pas trompé. penchant légèrement la tête sur le côtée gauche, comme à son habitude quand elle réfléchissai, Kaori examina les paroles de son nouveau visiteur. Somei était un nom qui lui parlai. En même temps, être commerçant et ne pas connaitre ce nom relevais de l’aération. Une famille aussi riche et puissante dans le commerce assurait une clientèle de qualités et stable, même s'il avais la réputation d'être dur en affaire. Dur, mais juste. Comme son père n'était pas la, la jeune femme vie la une chance inespérée de faire prospérer la boutique, faire connaitre son nom et ses parfums.
- Soyez le bienvenus. Mon père à dut s'absenter pour quelque heure mais je peux surement répondre à vos attentes! Les parfums sont mes créations et je peut m'adapter à votre demande.
La jeune shinobi se leva et se faufila entre les étales sur la pointe des pied, légère comme un papillon. Souriante, elle s'avança vers le marchant et s'inclina respectueusement.
- Je ne me suis pas présenter. Je suis Kaori Yasei. filles de Yahiko Yasei, le propriétaire de la boutique.
Elle étendit la main gauche en désignant le rideau de soie à l'arrière du magasin.
-Je sens que votre commande est particulière et importante. Passer au salon de discution, je ferme le magasin le temps du rendez vous.
Elle alla jusqu'à la porte, retourna le petit écriteau (en Livraison) et clôtura la porte. revenant vers Fusasaki elle le précéda au petit salon. De taille réduite mais au proportion harmonieuse, la pièce donnais sur un petit jardin d’intérieur. La lumière y entrai doucement par de grandes porte de papiers ouvertes. Les nattes vertes sentait le roseau frais et quelque braise rougeoyait dans le foyer centrale. Une bouilloire en fonte et des bols de terre étaient disposer sur une étagère. A l’opposer, sur une étagère jumelle, ce sont des tas de rouleaux qui prenaient place sur les planches. des estampes de fleurs d'un autre age parsèment les murs de couleur fanée. Dans le petit jardin, une multitude de pot était éparpiller, ça et la. L'on aurai put dire que cela était anarchique au premier abort mais une fois la vision d'ensemble acquise, cela prenais un sens véritable. Petit havre de paix, une minuscule fontaine faisais même entendre son chant. avant de s'assoir, Kaori pris su papier sur l'étagère, un planchette de bois et son poinçon. Elle les plaça à coter de son tapis avant de partir à l'opposé de la pièce chercher du thé, deux tasses et de l'eau pour mettre la boisson en préparation. Une fois cela terminé, La jeune femme s’assit en tailleur, la planchette sur les genoux et tourna la tête vers son client.
- Je vous écoute, dites moi tous. J'aurai besoin de savoir, les besoins exactes, les quantités, la date du voyage et tous ce qui vous semble utile.
Son poinçon dans la main droite, la main gauche à plat sur le papier, elle était prête à prendre la commande.
Dernière édition par Kaori Yasei le Dim 17 Aoû - 21:20, édité 1 fois |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Dim 17 Aoû - 0:33 | |
| Une fois présenté, le marchand nota une réaction intéressante chez la jeune fille : elle semblait réfléchir à toute vitesse. Elle avait peut-être entendu parler de lui, ou l’annonce d’une grosse commande pouvait lui indiquer de rester prudente afin de tout régler pour le mieux. Elle se présenta toutefois à moitié :
-Soyez le bienvenu. Mon père a du s’absenter pour quelques heures, mais je peux sûrement répondre à vos attentes ! Les parfums sont mes créations et je peux m’adapter à votre demande.
Tant d’informations en une seule phrase ! Déjà, Fusasaki était intéressé par cette personne. Malgré son handicap, elle semblait parfaitement à l’aise. Elle s’était désignée comme étant fille d’un responsable, peut-être même du propriétaire, ce qui expliquait qu’elle fut autant en confiance. Elle prétendait également être la créatrice des parfums de la boutique. C’était plus qu’intéressant, c’était prodigieux. Si le commerce de Yasei était célèbre pour ses fleurs, il se faisait également connaître pour sa diversité de parfums, et si une seule jeune fille était à la source de toute leur gamme, elle devait avoir un talent formidable.
Elle se leva de son petit atelier et s’avança gracieusement vers Fusasaki. Arrivée devant lui, elle s’inclina légèrement et finit de se présenter, confirmant les soupçons de son visiteur :
-Je ne me suis pas présentée. Je suis Kaori Yasei, fille de Yahiko Yasei, le propriétaire de la boutique.
Elle enchaîna en montrant un rideau de soie situé à l’arrière du magasin :
-Je sens que votre commande est particulière et importante. Passez au salon de discussion, je ferme le magasin le temps du rendez-vous.
La situation prenait une tournure parfaite. Non seulement Fusasaki allait-il pouvoir faire un contrat avec le marchand (car il faudrait qu’il appose sa signature en tant que propriétaire et fournisseur), mais il pouvait d’abord discuter avec la créatrice des biens en personne. Celle-ci se dirigea vers la porte derrière lui, retourna un panneau afin de ne pas être dérangée par la suite, et verrouilla. Elle se dirigea ensuite vers le salon, invitant le marchand à la suivre.
Il s’agissait d’une petite pièce pourtant décorée confortablement et donnait sur un petit jardin intérieur présentant de nombreux pots de fleurs diverses. Les odeurs, surtout, étaient une merveille. Nul parfum ne saurait reproduire la senteur d’un petit jardin à moitié cultivé accompagné d’une senteur de roseau frais.
Kaori était déjà en train de préparer un petit thé afin d’accompagner leur discussion. Elle avait saisi une petite planche de bois, un poinçon et du papier, qu’elle avait posés à côté d’elle. Cela servirait sans doute par la suite. À ce moment, Fusasaki ne doutait pas qu’un accord pourrait être passé dans les règles. Il avait déjà une bonne impression quant à la qualité du commerce, il pouvait donc acheter sereinement. La jeune parfumeuse se tourna vers lui pour commencer à discuter sérieusement :
-Je vous écoute, dites-moi tout. J’aurais besoin de savoir les besoins exacts, les quantités, la date du voyage et tout ce qui vous semble utile. Regroupant ses pensées, Fusasaki résuma sa situation :
-Je vais commencer par le plus important : j’avais prévu de partir d’ici quelques jours. La date exacte n’a pas beaucoup d’importance, mais je tiens à ne pas perdre de temps. Si je ne suis pas parti dans une semaine, c’est que je ne pars pas. Concernant les autres informations, tout peut se négocier.
Il s’arrêta un court instant, écoutant le doux bruit de la fontaine du jardin, puis reprit ses esprits et continua :
-Je vise un voyage vers Kiri, ce qui est somme toute assez éloigné. Pour justifier un tel déplacement, je compte emporter une charrette entière de vos parfums. Il me faudrait du meilleur de votre qualité, car c’est sur un marché étranger que je propose d’exporter vos produits. Si tout se passe bien, il se peut qu’à mon retour, j’aurais des papiers de commandes signés par des vendeurs locaux. Toutefois, il me faudra du parfum tel qu’on n’en trouve pas là-bas. C’est malheureusement un point sur lequel je n’ai pas de connaissances. À moins que vous ou votre père ne connaissiez les gouts des habitants de Kiri, nous allons devoir miser sur ce que vous faites de mieux. C’est ainsi que je vous propose ceci : Je veux vous acheter ce que vous avez de mieux à vendre en matière de parfums originaux. Pas de version personnelle de classiques, non, je veux des nouveautés que je suis sûr de ne pas trouver une fois arrivé. Mon bénéfice est évident, si l’opération fonctionne. Pour votre magasin aussi, le succès de mon voyage peut amener de la reconnaissance dans un pays étranger, un nouveau marché.
Il s’arrêta à nouveau, laissant Kaori réfléchir. Il ajouta, à voix mi-basse
-Qu’en pensez-vous ?
Mais il n’était pas sûr qu’elle l’ait entendu. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Dim 17 Aoû - 21:53 | |
| Kaori ne pipa mot et ce plongea dans ses pensées. Le village de Kiri. Elle le recitua rapidement et pesa le pour et le contre. Le village cacher de la brume était séparer du continent par la mer. ajouter à cela que le pays était le pays de l'eau, la présence d'humiditer était plus qu'évident et cela comportait un risque pour ses parfums. Quand au délai du départ, une semaine semblais bien cour. La jeune femme mettais parfois plus d'un mois pour créer de nouvelles fragrance, sans compter le temps de réunir tous les ingrédients. et la quantité semblais astronomique, sachant qu'un parfum ce vendait habituellement en flacon de 20 à 30 cL. A moins que...
- Je vous en prix, prenez un peux de thé, le temps que je face un rapide calcule, à la lumière de vos informations.
Elle servie les deux bols et en posa un devant la natte de Fusasaki. Elle pris sa planche et ce mit à poinçonner à toute vitesse, par colonnes, sur le papier en laissant échapper par instant un léger murmure.
"Voyons. Le voyage durera au bas mot 2 semaine avec la traverser. Puis il faut compter le temps d'écoulement. Mettons 3 semaines au maximum. tous créer serai trop compliquer, je me servirai de création que j'avais laisser de coter. A ma connaissance, le pays sort de guerre civile, il faut donc tabler sur un prix attirant et sans trop de Préparation. Les poudres serai un solution, mais il nous faudrait des tonneaux à double fond. si je passe chez le verrier demain, le temps de préparer la commande et de laisser reposer, il me faudra juste une semaine. Disons 5 jour si je les laisse finir en fùt. il faudra que je passe au forgerons aussi, en priant pour qu'il ne soit pas trop occuper. Papa viendra avec moi chercher ce qu'il me manque."
Après de page de petits points, elle expira longuement et releva la tête avec un sourire:
-Je pense avoir ce qu'il vous faut. je peut vous proposez deux choses. la première est de diviser la cargaison en 2 produits différents: les poudres et les parfums. Le m'explique. au vue du délais de départ et du temps de distillation, pour la quantité souhaiter cela sera trop juste. Les poudres offrent une autre alternative. plus facile à créer et à transporter, elle peuvent, qui plus est, être plus facilement séparer. De meilleur prix, elles séduisent une clientèle plus large car plus accessible. On les utilise comme telle ou diluer. Je vous conseillerai de ne prendre que 30% de parfum pure. Déjà pour éviter les perte dues au voyage et pour le prix, nettement plus élever. Pour les senteurs, je choisirai 5 essences du pays pour les poudres, 3 pour les parfums et 3 essences de Suna pour les parfums également. Pour eux, l'exotisme est, je pense ne pas me tromper, le soleil, et les grandes forets de lumière."
La jeune femme reposa délicatement sa planche au sol et resservie un peut de thé.
- Je vous laisse réfléchir |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Ven 22 Aoû - 11:26 | |
| Déjà la jeune fille était plongée dans ses pensées, dans une position que Fusasaki reconnaissait bien : la réflexion autour d’enjeux monétaires. Kaori semblait tiraillée entre le délai très court et la grosse quantité demandée et l’attrait d’une affaire de telle ampleur de l’autre côté. Elle s’interrompit rapidement pour s’adresser à son vis-à-vis : -Je vous en prie, prenez un peu de thé, le temps que je fasse un rapide calcul, à la lumière de vos informations. Elle servit donc à boire et ramassa la planche qu’elle avait posée à côté d’elle, où elle commença à poinçonner selon des motifs que le marchand était incapable de suivre ou de reconnaître. Il s’agissait certainement d’une sorte de langage écrit qu’utilisaient les aveugles pour faire substitut à l’encre qui leur était invisible. Tout en rédigeant son papier, elle murmurait des éléments à calculer. -Voyons. Le voyage durera au bas mot deux semaines avec la traversée. Puis il faut compter le temps d’écoulement. Mettons, trois semaines au maximum. Tout créer serait trop compliqué, je me servirai de créations que j’avais laissées de côté. À ma connaissance, le pays sort de guerres civiles, il faut donc tabler sur un prix attirant et sans trop de préparation. Les poudres seraient une solution, mais il nous faudrait des tonneaux à double fond. Si je passe chez le verrier demain, le temps de préparer la commande et de laisser reposer, il me faudra juste une semaine. Disons cinq jours si je les laisse finir en fût. Il faudra que je passe au forgeron aussi, en priant pour qu’il ne soit pas trop occupé. Papa viendra avec moi chercher ce qu’il me manque. Cette petite était capable de penser à tout, et relativement vite. Impressionnant. Elle releva la tête, visiblement satisfaite : -Je pense avoir ce qu’il vous faut. Je peux vous proposer deux choses. La première est de diviser la cargaison en deux produits différents : les poudres et les parfums. Je m’explique. Au vu des délais de départ et du temps de distillation, pour la quantité souhaitée cela serait trop juste. Les poudres offrent une autre alternative. Plus faciles à créer et à transporter, elles peuvent, qui plus est, être facilement séparées. De meilleur prix, elles séduisent une clientèle plus large car plus accessible. On les utilise comme telles ou diluées. Je vous conseille de ne prendre que trente pourcents de parfum pur. Déjà pour éviter les pertes dues au voyage et pour le prix, nettement plus élevé. Pour les senteurs, je choisirais cinq essences du pays pour les poudres, trois pour les parfums et trois essences de Suna pour les parfums également. Pour eux, l’exotisme est, je pense ne pas me tromper, le soleil, et les grandes forêts de lumière. Je vous laisse réfléchir. Évidemment, il y avait à réfléchir. La jeune Yasei avait analysé la situation bien mieux que Fusasaki ne l’avait fait, et n’aurait pu le faire, car elle connaissait les parfums. Sa proposition était très intéressante, et elle avait déjà des idées quant aux senteurs à amener, ce qui le soulageait grandement : il n’avait aucune idée de ce qui plairait à Kiri. Le raisonnement quant à l’exotisme était bon, et il était sûr qu’il partait avec un bon avantage commercial. Il était cependant un peu gêné de la mettre autant sous pression. Après un petit moment, il proposa : -Tout ceci me semble très bon. Je suis cependant troublé de vous voir contrainte à finir aussi vite. S’il le faut, je peux tenter de repousser le début de mon voyage. Concernant vos commandes de matériel de transport, je pense pouvoir vous aider. Si vous annoncez que vous faites une commande pour une affaire avec la famille Somei, et que celle-ci se montrera reconnaissante si les commandes pouvaient être résolues au plus vite, je pense que vous n’aurez pas à vous soucier d’une file d’attente. Nous avons nos habitudes avec un bon nombre d’artisans de Konoha. Il reste encore le problème du voyage en lui-même. Comme vous l’avez souligné, le prix sera élevé et, même si je peux sans souci payer la marchandise pour la revendre à Kiri, des brigands pourront penser de même. Je vais dès demain passer une demande de recrutement de jeunes ninjas pour m’accompagner dans ce voyage. Il s’arrêta légèrement, guettant une réaction, mais n’en attendit pas vraiment, alors qu’il annonça : -Alors, on a un accord ?
Dernière édition par Fusasaki Somei le Sam 23 Aoû - 0:06, édité 1 fois |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Ven 22 Aoû - 23:06 | |
| Un voyage! Voila une occasion rêver pour faire valoir ses nouvelles capacités. Qui plus est, Elle pourrai s'assurer personnellement de l'état de la cargaison. Si en plus ce client disait vrai, les délais de fabrication seraient bien écourter. Elle inspira profondément et tourna son visage vers le vieil homme.
-Les délais me semble raisonnable, surtout si je profite de l'avantage que vous m’offrez au près de mes fournisseurs. Pour moi le contrat d'accord est conclus, il ne nous reste plus qu'à être d'accord sur un prix. Je prend en compte l'avantage indéniable du nom de votre famille dans mes calcules. Mais j'ai également une proposition annexe qui pourrai vous intéresser. Si vous accepter de patienter quelque instant, j'ai en ma possession un objet intéressant.
La jeune fille posa sa planche sur le côté, ce leva et disparus derrière le panneau de soie. Elle revient quelques minutes plus tard avec un coffret en bois de rose, couleur miel, entre les mains. Sculpter avec le symbole de konoha sur le couvercle, elle le posa délicatement à côte de ça place et s’installa à genoux.
-Ce coffret détient l'un de mes bien les plus précieux. Je ne le poste jamais au magasin. En revanche, je serai honorer de l’arborer si vous me permettez de vous accompagner lors de votre voyage.
Elle ouvris le coffret et laissa apercevoir son trésor. Un bandeau bleu pale, comme ses yeux avec en son centre une plaque graver à l’effigie de konoha. Un véritable bandeau Ninja |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Sam 23 Aoû - 0:29 | |
| Avant même que Fusasaki n’ait pu poser sa question, Kaori arborait déjà un petit sourire. Il ne s’en était pas rendu compte, d’abord, mais il vit qu’elle était satisfaite du cours que prenaient les affaires. Tant mieux ! Un partenaire heureux aura toutes les raisons de fournir son meilleur produit par la suite. Elle leva son visage vers lui, donnant l’impression de le regarder dans les yeux, et annonça :
-Les délais me semblent raisonnables, surtout si je profite de l’avantage que vous m’offrez auprès de mes fournisseurs. Pour moi, le contrat d’accord est conclu, il ne nous reste plus qu’à être d’accord sur un prix. Je prends en compte l’avantage indéniable du nom de votre famille dans mes calculs. Mais j’ai également une proposition annexe qui pourrait vous intéresser. Si vous acceptez de patienter quelques instants, j’ai en ma possession un objet intéressant.
Le prix, bien sûr. Pour Fusasaki, presque n’importe quel prix serait satisfaisant. Comme il comptait revendre les parfums à un prix comparable à ce qui se faisait à Konoha, afin que le client final n’ait à payer qu’un petit surplus, il allait proposer un prix d’environ soixante-cinq pourcents du prix de vente à l’unité du magasin. Il s’assurait ainsi un bénéfice de quarante pourcents, et se rendait compte qu’il payait relativement peu cher. Cependant, si l’affaire devait bien se porter, il serait d’accord de monter les prix pour assurer un contrat d’exclusivité en exportation… mais tout cela restait à voir. De plus, le prix proposé devait toujours être bien bas, car sinon, aucun travail de négociation n’aurait lieu.
La jeune fille était partie rapidement pour chercher un objet qui pourrait peut-être venir augmenter l’intérêt de l’accord, à moins qu’il n’ait rien à voir avec tout cela. Fusasaki eut le temps d’observer la fontaine un petit moment en faisant des estimations de prix rapides, mais la jeune parfumeuse revint vite.
-Ce coffret détient l’un de mes biens les plus précieux. Je ne le porte jamais au magasin. En revanche, je serais honorée de l’arborer si vous me permettez de vous accompagner lors de votre voyage.
Elle ouvrit la petite boite pour révéler un bandeau de ninja de Konoha. Elle avait de la peine à cacher sa fierté, et il ne put dissimuler l’étonnement qu’il eut en découvrant qu’elle était donc une kunoichi. En vérité, elle devait avoir suivi un entraînement pour vivre et agir de manière aussi libre malgré sa cécité, et des études de shinobi étaient l’explication la plus logique. Il se souvenait du jour où il avait reçu son bandeau. Il en avait été très fier, et ses parents avaient même été contents pour lui, à l’époque. Depuis, il le gardait dans une des poches du vêtement qu’il portait, où qu’il aille, mais ne le trouvait pas pratique ni confortable. En vérité, il ne se résolvait à le porter que lorsqu’il agissait au nom du village, en tant que ninja.
-Eh bien, voilà qui est très intéressant, c’est sûr ! Je vais demain faire une demande de mission, et je pourrai citer des ninjas comme préférence de candidats. Je ne vais pas manquer d’évoquer le votre. De plus, comme mentionné, votre présence assurera le meilleur transport à toutes ces marchandises, j’en suis sûr.
L’escorte n’était donc quasiment plus un problème. Il manquait encore un détail à régler : le prix.
-Concernant le prix de tous vos parfums. Je pense que vous pouvez calculer le prix que vous en auriez demandé en magasin, et je vous en payerai soixante-cinq pourcents. Comme vous n’avez pas à vous soucier de la mise en vente, je suppose que c’est un accord acceptable. Qu’en pensez-vous ? |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Sam 23 Aoû - 8:31 | |
| La voie enjouer de Fusasaki lui confirma que son offre d'escorte était la bienvenus. elle pencha la tête sur le coter en souriant puis referma le coffret qu'elle reposa à coter d'elle. puis sont visage devient plus sérieux et elle réfléchie une petite minute.
*Voyons voir. au vue de la quantité, soixante dix pour-cent est plus que correcte. En revanche, il me faudra un acompte de 50% du total pour les frais divers de préparation, le reste après la vente. Et si jamais je part, il faudra que je couvre mes frais de voyage.*
La jeune femme parla d'une voie douce et assurer.
- Soixante dix pour-cent est un prix qui me convient. Je souhaiterai rajouter 3 closes dans les terme du contrat. premièrement : Si je suis choisie pour la mission, vous payerez les frais fixes du voyage pour ma part. deuxièmement : Il nous faudra un acompte de 50% pour avancer les différentes prestations et celer le contrat. le reste de la somme sera verser à votre retour de Kiri. La première close n'est valable que pour ce chargement. Je m'engage en échange que la cargaison arrive en parfait état avec moins de 3% de perte. Cela exclus les problèmes rencontrer face à des ennemies bien trop puissant pour votre escorte mais englobe les brigands classiques, les complications technique de voyage, l'état de la cargaison et les produits eux même. troisièmement : Le seau de ma famille devra être apposer sur chaque étuis et sachet de la cargaison.
Si nous sommes d'accord, serrons nous la mains officiellement, mon père rédigera un contrat officiel que vous puissiez comprendre, le Brai est souvent illisible pour beaucoup.
La jeune femme tendit franchement la main en avant, sur que ses conditions, sommes toutes simplistes, seraient acceptées |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Sam 23 Aoû - 10:20 | |
| Elle réfléchit un petit instant, certainement pour évaluer le prix, et contre-proposa :
-Soixante-dix pourcents est un prix qui me convient. Je souhaiterais rajouter trois closes dans les termes du contrat.
Elle continua sans lui laisser le temps de réagir, mais il n’allait rien dire. Passer à septante pourcents ne le gênait pas du tout, car c’était dans la fourchette qu’il avait envisagée.
-Premièrement : Si je suis choisie pour la mission, vous payerez les frais fixes du voyage pour ma part. Deuxièmement : il nous faudra un acompte de cinquante pourcents pour avancer les différentes prestations et sceller le contrat. Le reste de la somme sera versé à votre retour de Kiri. La première close n’est valable que pour ce chargement. Je m’engage en échange que la cargaison arrive en parfait état avec moins de trois pourcents de pertes. Cela exclue les problèmes rencontrés face à des ennemis bien trop puissants pour votre escorte mais englobe les brigands classiques, les complications techniques de voyage, l’état de la cargaison et les produits eux-mêmes. Troisièmement : Le sceau de ma famille devra être apposé sur chaque étui et sachet de la cargaison.
Ces trois conditions le firent réfléchir un petit moment. Elle voulait être payée en avance pour la moitié du prix des produits, et le reste serait payé au retour. Pour Fusasaki, c’était parfait : il aurait ainsi besoin de soulever moins de frais, car il pourrait payer le restant du prix une fois l’argent des ventes à Kiri en poche. Kaori semblait vouloir éviter de trop s’avancer au niveau des complications de mission, mais ce n’était pas avec lui qu’il fallait voir ces détails : ses supérieurs lui indiqueraient comment faire sa mission bien mieux que lui, il en était sûr. La dernière condition demandait un sceau de la famille Yasei sur chaque élément vendu. Logiquement, le marchand ne pouvait pas refuser cet élément, car le but était bien que les clients reconnaissent un nouveau produit étranger, et qu’ils en redemandent. Ne pas fournir d’élément de reconnaissance extérieur aurait été difficile pour les affaires.
Sans attendre d’approbation ou de réaction, Kaori enchaîna sur une conclusion :
- Si nous sommes d’accord, serrons-nous la main officiellement, mon père rédigera un contrat officiel que vous puissiez comprendre, le braille est souvent illisible pour beaucoup.
Effectivement, le braille était illisible… les trous étaient assez petits et en telle quantité que Fusasaki se demanda rapidement ce qu’il se passait lorsqu’un aveugle lisait un texte tenu à l’envers. Kaori se leva pour tendre sa main, que son interlocuteur ne put que prendre de la sienne.
-Félicitations, jeune fille, vous venez de signer une belle affaire pour votre famille, comme pour la mienne. Je vais m’occuper du voyage de mon côté, et nous nous reverrons bientôt pour convenir les détails du rendez-vous pour le départ. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: un contrat parfumé Lun 25 Aoû - 11:11 | |
| kaori serra fermement la main puis s'écarta pour exécuter un salut rituel de remerciement. Elle raccompagna cet heureux client au pas de la porte et lui lança un:
-A très bientôt Somei-Sama, la famille Yasei ce fait un honneur de commercer avec vous!
Après un bref signe de la main, il disparus au coin de la rue et la jeune femme retourna dans la boutique. Elle changea le panneaux d’accueil de la boutique en (Fermer pour la journée) affin de faire la liste de ses préparation. Voir le forgerons, le maitre verrier, chercher les plantes, retrouver ses recettes, élaborer ses poudres, diluer les senteurs, le travail ne manquera pas pour la semaine à venir. Son père ne sera pas de trop et en dehors des commande déjà prise, il ne pourront pas ouvrir la boutique. Pétillante et surexciter, elle arrangea le magasin pour avoir le plus de place possible. une fois tout arranger, passa en revue tous ce qu'elle avait déjà pour ses créations et fit une liste de ce qu'il lui manquant. elle Entendit son père arriver et presser le pas devant le magasin, il entra et demande d'une voie inquiète:
- Kaori? Kaori? tous va bien ma chérie? -Ho papa c'est formidable! je pense nous avoir conclus l'affaire du siècle! -Comment ça?
Tous déboussoler, Mr Yasei suivi sa fille à l'étage et entra dans la cuisine ou elle lui fit du thé.
-Écoute moi... je vais tous te raconter
Et Kaori, ce mie à lui narrer toute l'histoire |
| | | | Sujet: Re: un contrat parfumé | |
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