Le putsch des Pros-Shun. ( EVENT SUNAJIN )

Après avoir envoyé les convocations aux trois genins pour qu'ils puissent rencontrer Sachi leur prochain professeur qui les guidera jusqu'au rang de juunin si tout allait à merveille. Soufuku pris ses notes, son sabre et sortis de son bureau. Aujourd'hui le soleil battait son plein, un temps idéal pour les grandes choses. Et c'était là un jour spécial quant on savait ce qui allait se passer. Au centre du village de Suna, en pleine rue, une estrade avait été placée. Elle arborait les insignes shinobis et ceux du village, était inscrit en grande lettre, les noms de toutes les factions politiques du village. Le mot d'ordre était à l'unité. Oui l'union faisait la force enfin de l'autre coté de la médaille il fallait interroger les victimes ! Dans sa plus belle tenue il avait l'air fin prêt à commencer. Cela faisait maintenant plus d'un mois qu'ils étaient arrivé à Suna et dans ses mains il avait le texte qui allait changer à jamais le sort des habitants du désert. Il était là question de la prochaine constitution qui régirait le village. Peu à peu les rues se comblèrent et il y eu une foule immense. Yumi était présent, Naeko aussi, Sachi qui deux heures avant faisait connaissance avec ses élèves étaient là aussi. Soufuku ressentait une certaine pression. Il fallait dire que depuis le temps où il était genin, le samouraï avait parcouru un chemin dantesque, cette vieille dame bienfaitrice à ses yeux serait fiers de lui. Il le savait, un pied après l'autre il enfourcha le petit escalier de bois, et du haut de l'estrade surplombant ses villagois il se teint devant eux, les saluant il posa ses deux mains sur la petite bordure de bois et pris la parole.

- Mes chers frères, mes chers compatriotes, hommes, femmes, enfant sunajins.
Je suis aujourd'hui face à vous en tant que Kazekage, non pas un Chef mais un guide, une épaule, un ami... Ensemble nous avons connus des épreuves, mais nous avons réussis à les surmonter avec bravoure. ( Jouant avec sa main tel un monarque ), lorsque je vous regarde je ne vois pas un peuple désunis, je ne vois pas le tristesse et les aléas que le temps a causé. Non je vois mes chers compatriotes, je vois mes compagnons, mes camarades ceux avec qui demain dès l’aube je marcherai jusqu'au restant de mes jours. Nous aurons affaires à des batailles mais c'est main dans la main que nous arriverons à passer ces épreuves, je vous invite à regarder votre prochain, ne voyez vous pas dans l'iris de ses yeux, dans ses pupilles votre propre reflet ?

Je me tiens en ce jours parmi vous pour vous annoncer les réformes prises pour la sûreté du village. Qui désormais sera une entité affilié au pays du vent nous somme une nation indivisible et décentralisé, les villages annexes sont comme nos frères nous nous devons donc de vivre avec eux ! De plus le pays du fer est à présent notre allié, dans nos futurs batailles. Je serai votre huitième Kazekage, et j'aurai avec moi des institutions claires et précises pour gérer la vie et les mœurs du village. J'ai nommé en tant que Bras Droit, Esuki Yumi, un Conseil de Loi sera aussi nommé dans les prochains jours et il contiendra des membres issues des partis pro-gaara, pro-shunsuke et des faucheurs car c'est ensemble que nous devions décider, de l'avenir de la nation du vent ! Suna est un pays démocratique et vous aussi mes chers camarades ! Avez la parole ! Vous êtes la clé de voûte au bon fonctionnement de notre pays ! Ces prérogatives sont inscrites en lettre d'or dans la Constitution Sunajin que vous pouvez lire librement à l'acédémie, dans les hôpitaux, dans les locaux des membres de lois, au tribunal sunajin et dans la tour du Kazekage.

Chers Sunajin,  je vous demande d'accepter si vous le voulez bien, dans la cohésion d'embrasser ce fabuleux projet, de chérir votre prochain car officiellement et ce dès l'instant ou je m’adresse à vous nous sommes entrer dans cette nouvelle ère, si propice à la paix !

Vive Suna, vive la Liberté !

Les deux en l'air comme pour le signe d'une victoire acquise, le peuple de Suna n'eut le temps d'applaudir que des bruits sourds se firent entendre...