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 Un Prophète.

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MessageSujet: Un Prophète.   Un Prophète. EmptyMer 2 Nov - 23:19

Un Prophète.





Il existait dans ce monde une terre inconnue, un village qui n’avait jamais connus la guerre, ni la déchéance des maux qu’avait pu apporter le contexte féodal et les âges houleux de cette ère. Ce n’était pas une terre telle que celle qui sont mentionnées dans les contes et légendes, pas d’animaux fantastiques, pas non plus de pouvoir extraordinaire. Non rien de tout ça n’était présent ici-même. C’était à vrais dire une parcelle insignifiante, un endroit lambda là où aucun humain ne voulait venir, des humains y vivaient-ils ? La question était légitime, bien que personne ici ne pourrait y répondre. Tant sur une carte personne n’aurait réussis à placer ce point tant convoité pour situer cette région anonyme aux yeux du monde. L’herbe y était verte, la plus parts des pins et autres conifères qui y poussaient devenaient grands et forts, profitant, une fois le printemps venu, de la douce brise afin de propager leurs spores et contribuer par la même occasion à la pérennité de ce fabuleux paysage qui en son centre voyait régner un grand lac, don les bras étaient de véritable fleuve de couleur azuréenne. Les animaux vivaient dans cet univers saint de manière fortement paisible n’ayant pour soucis, que de se donner à cœur joie au cycle de la vie. Sur les léger courant fluviales, se trouvait une pirogue, elle fendait les flots d’eaux-plates grâce à sa tête en forme triangulaire. Fait de bois creusé l’embarcation plutôt stable était décorée par plusieurs motifs aux couleurs pastel allant du bleu pour représenter des vagues au rose qui représentait autre chose qui sans doute venait des coutumes locales, le moyen de transport maritime descendait le fleuve à une allure stable, mais nul doute que sa capacité à accélérer devait être plutôt bonne lorsqu’il s’agissait, de remonter ces mêmes fleuves décrit plus tôt. Se tenaient sur l’embarcation deux hommes et une femme, tous trois alignés la gente féminine se trouvait au-devant tandis que les autres suivaient.

Elle avait avec elle un panier en osier qui contenait en son fond de grandes feuilles qui servaient alors, à protéger les poissons fraîchement péchés par les deux autres qui constituaient l’équipage. Après quelques heures à pagayer ils arrivèrent à rejoindre la rive. Sur laquelle et après un petit strapontin de bois vernis, se trouvait l’entrée d’une sorte de village. L’entrée était signifiée par une sorte de halo fait de bois où une plaque en la même matière portait, des descriptions illisibles sauf pour un archéologue. Le village était plutôt de type rustique ainsi se confondaient maisons traditionnellement féodales dans le paysage rural et quelques huttes. En y parcourant les routes faites de terres battues, il était facile de distinguer des commerces de proximité où étaient vendues des ustensiles fait d’argiles est autres nécessaires, dont les villageois avaient besoins pour la vie de tous les jours. Dans la quatrième maison, trois sentiers après l’entrée du village, vers l’est. Vivaient une famille spéciale, elle n’était pas spéciale par sa force ni par son pouvoir. Mais par le fait que cette dite famille, était une clé, non pas pour ouvrir un passage secret et ramener n’importe qu’elle chose qui donnerait au monde un élan différent de celui qu’il possède actuellement, non pas une clé pour ramener les morts à la vie, ou donner aux disparus la chance de se venger. Non, tout du moins, elle était simplement la clé narrative, qui ouvrirait les portes donnant vues sur la suite du récit qui va découler sous vos yeux. Cependant l'histoire de cette famille n'a pas vraiment son importance maintenant. Non il est primordiale d'évoquer, pour le moment, le point suivant : il concerne cette tribus, ses croyances et les coutumes de cette grande famille.

Il y a bien longtemps, lorsque le Seigneur Vent soufflait et que la Terre Mère de sa verdoyante fourrure, resplendissait de mille-et-unes lumières, sous le regard ardent du Prince Soleil. Le tout sous le contrôle et volonté qui régit toute chose en ce monde... La Nature. Vivait en ce monde les premiers hommes, ils vivaient principalement d'agriculture et de la chasse, chassant alors ce que la nature leur offrait pour pouvoir se nourrir en respectant la cérémonie pour remercier celle qui les avait créée de sa bonté et de ses offrandes. Ils ne chassaient que ce qu'ils mangeaient et vivaient en harmonie avec faune et flore. Les premiers hommes ne connaissaient aucun conflit, pas de guerre et très peut de maladie. On les appelait les Compagnon, la civilisation Utari. Inutile aujourd'hui de vouloir trouver un de leurs descendants, ils vivent reclus loin de cette chose éphémère qu'est la société actuelle, qui à perdue de sa nature en s'octroyant le mérite et allant la recherche de l'évolution à contre nature du genre humain. Le peuple des compagnons doté de multiple croyance vouait une force et une admiration pour le genre animal, ainsi quelques animaux gardiens étaient représentés par des totems.

La figure la plus puissante était celle de l'ours, qui signifiait le courage, la force, l'amour et la bravoure. Des qualités qui aujourd'hui ont certainement disparus... Mais un jours ils furent chasser de leurs terres par les premières armées, les premiers conquérants qui établir leur culture de l'arme et du fer avant eux même d'être balayé par les arts qui dominent à présent l'art et la bataille sur le Yuukan. C'est donc dans un endroit inaccessible qu'ils se réfugièrent, attendant ici qu'un homme puisse redonner une chance au genre humain et lui rappeler la raison principale de son existence. Une vieille prophétie ou légende, l'appellation dépend du point de vue de chacun, disait, que les dieux ours, un jours accompagnerons celui qui aimera. Ils attendirent donc patiemment à l’abri des regards et loin des convoitises que cette chose ou personne viennent à leurs encontre. Là où il vivait, dans cette immense forêt se trouvait un arbre, vieux et robuste, un figuier ils l’appelaient : '' Pipal '', et disait de lui qu'il était la représentation de la nature, le trône où cet homme viendrait à naître. C'est pour cela que chaque année, lors de la fête de l'animal. Ils viennent déposer des mets locaux et des offrandes de toutes espèces.



C’est donc ici là, sûr ses terres qui réunissaient les rares merveilles du monde qu’elle vivait avec son petit frère la jeune femme était celle qui gérait le domicile. Une chose qui arrivait lorsqu’ils perdirent leurs parents, partis chasser et pêchers un jours du pluie est emportés par les courants fluviales. Bien-sûr elle avait eut du mal à gérer ce passage accéléré à l’âge adulte, mais ce n’était sans compter sur l’entraide et l’esprit de famille qui régnait dans ce patelin perdu en pleine nature. Et puis il y avait aussi les croyances locales, la nature y possédait une forte place, non elle l’épicentre, d’une culture fondé sur l’amour, l’échange et la simplicité. Ainsi la terre donnait et reprenait c’était le cheminement normal que connaissait le cycle de la vie. La nature mère de toute chose en avait décidée ainsi, elle avait repris par l’intermédiaire de son long bras qu’est le fleuve, deux de ses enfants pour les blottir contre son cœur. Là-bas, ils attendraient que leurs enfants les rejoignent. Bien que ces informations puissent paraître inutile, il est important de préciser qu’elle portait le nom de feuille d’automne, le plus jeune s’appelait soleil de printemps, tous deux nés lors des différentes saisons.

Elle était grande pour son âge, mince et les cheveux châtains presque bruns. tandis que son frère était rondouillard et possédait deux petites tâches roses sur le haut de ses joues, sur le haut de sa tête, trônaient épis et une longue queue de cheval, nouée par une ruban de soie bleu-ciel, il manquait une dent à son sourire espiègle. Un peu agitateur le jeune homme n’avait pas froid au yeux et ne rechignait pas à l’idée de partir à l’aventure. Souhaitant devenir comme les plus grands chasseur de sa contré et avait la chance de compté sur la sagesse et le grand calme de sa sœur qui cachait sans doute une grande timidité. Le gamin attendait que celui qu’il appelait grand frère ne revienne, cela faisait bien un mois qu’il était partis en voyage. C’est donc dans leur maison faite de bois d’ébène que la scène suivante prenait place, sûr une petite table en bois, ronde et dons une feuille d’érable était posée en guise de napperon, qu’ils avaient une discussion assez complexe, il fallait le dire pour la sœur qui devait faire face à l’incompréhension du jeune garçon.

- Mais !!! Dit-il. Pourquoi est-ce que nii-chan est parti si longtemps ?

Souriant mais ayant fortement envie de rouspéter la femme sermonnait

- Mais tu sais très bien qu’il reviendra, c’est important pour lui tu sais ? Marquant une légère pose pour déposer la corbeille tissée qu’elle avait dans les bras. Ça ne fait que un mois, ce n’est pas long, et puis... As tu seulement fais les exercices qu’il t’a conseillé de faire ? J’en doute fortement, tu sais si un jour tu souhaites lui ressembler, il va falloir que tu t’acharnes des maintenant et que tu t’entraîne chaque jour.

- Oh ?! Le gamin était comme émerveillé face à une révélation qui pointait le bout de son nez et commençait à faire germer dans son esprit un plan sans faille. Mais oui ! Tu as raison ! Grande-sœur tu n’es pas si bête que ça finalement ! Sur ces derniers mots il se dirigea à vive allure vers l’extérieur de leur maison.

- Sale gosse... Rouspétait la jeune femme.

Quelques instants plus tard, sur le rebord en chêne de la fenêtre qui donnait vue sur le village un petit oiseaux bleu vint s'y poser et y taper cinq fois du bec. La brise était légère caressait le visage et la chevelure de la jeune femme de qui les yeux médusés observait avec un grand calme bienfaiteur, le petit volatile. L'oiseau semblait avoir volé pendant un nombre incalculable de jour, il piaillait d'une voix stridente comme affolé, le volatile avait un message de la plus haute importance. Quelques heures auparavant, l'aube avait finis par laisser place au jour, alors qu'une pirogue revenait de plusieurs jours de pêches, dans le ciel volait un oisillon bleu, annonciateur d'un message....
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MessageSujet: Re: Un Prophète.   Un Prophète. EmptyDim 6 Nov - 1:27

Un prophète,
Partie Deux : ''L'éveil''
.




Dans ce ciel azuréen, taché par de grande lacération flamboyante. A l'encontre des vents fort de saison, caressant les nuages et virevoltant. Un petit être agitait ses petites ailes frénétiquement, parfois en haut, parfois en bas, il avançait dans le tumulte sans rechigner, ce petit oisillon au plumage brun faisait cette ronde chaque matinée. Il passait au dessus de ce long fleuve et saluait les saumons qui remontait le courant, touchait de ses ailes les éclaboussures produites par les être a écailles. Si frêle, son endurance ne lui permettait pas à l'accoutumer de soutenir des trajets si important, en effet depuis son nid douillet fait dans une clairière, il se rendait dans la grande forêt. Zigzaguant à travers les pins et sequoias, qui à l'aide de leurs grandes blanches vertes et fortes le saluait. Celui qui courait dans les cieux et dansait dans les courants aériens venait alors réveiller toute la forêt. Aujourd'hui il empruntait le même itinéraire, voyait donc les saumons et se dirigeait tout droit là où la verdure régnait en maîtresse. Le soleil se levait au fur et à mesure des mètres parcourus, le ressentis que la chaleur lui procurait était agréable et rendait son voyage un plus agréable. Après avoir effectué une cabriole l'oisillon voyageur se dirigeait alors derechef vers la destination qu'il choyait tant. Entré dans la forêt, il piaillait une chansonnette, qui ne laissait pas indifférent...

C'était au cœur de la nature la plus sauvage, une cascade qui donnait sur un petit étang dont les bruissements d'eaux magnifiques à l'écoute donné un charme encore plus conséquent à ce lieux préservé et magnifique. L'herbe y était des plus vertes et l’innombrable espèce de fleur ferait chavirer le cœur à n'importe qui, qui tenterait d'en humecter le doux parfum. Des abeilles butinaient, des cerfs s’abreuvaient, quant des rongeurs, lapins et autres sortaient de leurs terriers. Le Hiboux, patriarche lui veillait au bon déroulement des choses avant de somnoler et de laisser la place aux jeunes gens. Les divers animaux qui peuplaient la forêt se rendirent alors en direction d'un immense et vieil arbre, dont le squelette était imposant, ses branches étaient longues et noués, et son écorce pâle avait sûrement due voir les premiers âges de ce monde et son feuillage resplendissait à la lumière du soleil, faisait la courbe face à au puissant astre. Il était certainement comme un grand-père qui affectueusement prenait ses enfants dans les bras, les regardants s'aimer et grandir, s'amuser et devenir à leur tour de vieux briscard. C'était le cycle de la vie, chaque animal était placé de manière à former un demi-cercle autour du ficus. En son centre, posé en tailleur, il se tenait là, les yeux fermés, respirant calmement, il leva bras gauche, et vint alors se poser sur son index déplié un petit oisillon brun, qui cogna deux fois du bec, pour le saluer. L'homme était de dos, torse nue, couvert de multiples cicatrices, ses cheveux était longs et noués, ses muscles dessinait bougeait lentement.

Cela faisait un mois, deux ? Quelques semaines qu'il était assis ici à profiter des bienfaits de la nature, pour dire vraie, il avait perdu la notion du temps . Le peuple de la forêt lui faisait révérence, signe de l'importance qu'il avait pour eux, signe de la sagesse et de l'aura qu'il dégageait, de la sérénité qui l'habitait... De son dos et en raison de la légère inclinaison de son épaule droite, il était possible de juger qu'il apposait sa main droite sur la terre fraîche et saine pour la caresser. Quelque instant après vint alors devant lui un grand être vêtu d'une cape. Lorsque leurs regards se croisèrent, résonna l'amitié et la joie qui s'exprimait elle, par le sourire à pleine dent du nouveau venu. Lui saisit une vielle branche qui venait de labre et qui était sur le sol à ses cotés pour se redresser, autant de temps passer dans cette position avait affaiblis ses muscles, il eut donc l'impression que ceux de ses jambes le tenaillait durement, se déplaçant avec cette canne d'infortune qui était à la fois un présent inestimable, il se dirigeait en direction de la civilisation la plus proche. Accompagné de l'individu non identifiait, leur complicité se distinguait des le premiers regard, le pardon avait déjà était accordé jadis. L'homme était mort, il venait de renaître. Le temps passé ici lui avait donné un second souffle et la détermination et le sentiment du devoir accomplis se lisait dans ses iris. La réponse à ses questions avait été donnée. Une barbe saillante sur un visage que le temps n'épargnait plus, celui qui comme le phénix avait connu le renouveau, avançait de nouveau.
Un Prophète. Dicapr13
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Soufuku Nitobe
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Soufuku Nitobe
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MessageSujet: Re: Un Prophète.   Un Prophète. EmptyMar 15 Nov - 0:17

Un Prophète,
Partie Trois : La Passion
.

Il n'y avait ni humidité, ni air c'était comme nager dans un vide sidéral sans pouvoir s'orienter à la vue. C'était comme couler à travers une abyme profonde sans pouvoir se débattre. Mais à en juger par son rythme cardiaque, il était plutôt calme, presque même, apaisé. Face à lui ne se tenait rien. Aucun être, aucune forme, il n'y avait que juste une épaisse couche de noirceur. Il essayait de toucher mais fendait ce vide si inquiétant à la normale du bout de ses doigts. Cela était ni lourd, ni léger. Mais...Cela était... Face à l'inconnu n'importe qui serait pris d'inquiétude c'est là, une réaction naturelle et génétique que de vouloir comprendre et savoir ce qui entoure l'Homme.

Lui cherchait à comprendre mais au bout d'un certain et face à la force des choses qu'il pensait jugées. Il avait décidé d'attendre, de toute manière il n'avait pas vraiment le choix. Il réessaya tout de même dans un élans plein de bonne volonté à percer ce mystère présent à ses cotés et à la fois devant lui, par l’intermédiaire de ses sens. Étrangement le samouraï c'était réfuté à user de ses dons que le pourvoyait l'énergie communément appelée chakra. Quand vint alors se dresser devant ses yeux une masse difforme et inconstante. Puis dans la pénombre vint alors une étincelle elle tombait lentement tout en scintillant sur son passage. Elle était devant lui et d'après sa stupeur elle décida de répondre d'une voix non pas familière à l'ouïe du bretteur quadragénaire.

- Je suis la lumière
J'éclaire de mille feu.
Je suis celle ou celui.
Qui donne au plus jeunes et reprend aux vieux.
Je descend de mon perchoir.
Dansant dans le noir, reluisant de ma plus belle robe.
Pour les chanceux
.


Des vers, une charade ? L'inconnu illumina alors le néant et le samouraï assis sur ses jambes de manière formelle se retrouva comme face à un miroir. Son reflet n'était autre que lui même, quelques années auparavant. Ces cheveux clairs et des yeux bleus il était debout face à son moi d'aujourd'hui. Pourtant le Sunajin aurait juré entendre la voix de sa mère il questionna alors, pour comprendre à quoi rimait cette farce qui s'apparentait tout au plus à une grande mascarade dont il se passerait bien.

- Qui êtes vous  et que faite vous ici ?

Tout en changeant de forme passant alors aux diverses connaissances que Soufuku avait pus faire dans sa longue vie l'être repris la parole d'un ton plus solennel mais sans cacher un certain amusement à l'encontre de la situation. Quant au principal intéresse, qui se muait subtilement en analyste d'infortune, il avait déjà eut l'intime conviction que cet individu ne lui voulait aucun mal. Non au contraire il ou elle dégageait une grande bienveillance. A en devenir presque effrayant.

- Ne me reconnais tu pas ?On m'appelle la vie, la mort. Je suis ta mère Soufuku, je suis ton père et tes cousins, je suis cette vieille femme et cet ennemi auquel tu as enlevé jadis, la vie. Je suis le Battosaï, je suis ton aïeul mais plus important mon cher Ami... Je suis toi. Tout en changeant encore une fois d'apparence pour prendre celle de ce samouraï de légende que Soufuku voyait plus jeune, dans ses rêves. Laisses moi t'expliquer, et pourtant ce n'est pas faute de te l'avoir dis il n'y a pas si longtemps. Les Hommes Soufuku, m'appellent par divers noms. Mère, Conscience, Père, Seigneur... Je suis tous cela à la fois. Je suis une partie de toi. Et si tu me vois encore aujourd'hui c'est parce que tu cherches encore une fois, des réponses à ton existence[/i]...

Le samouraï avait le regard perdu et ce laps de temps permis à son hôte de surenchérir, sur un ton beaucoup plus explicatif.

- [i]Et bien, j'ai pus constaté que tu t'étais perdu en route, le pouvoir et les aléas du monde ninja ont pris possessions de ton âme, de ton cœur. Et tu as oubliés comme tous les autres d'ailleurs. Le but même de l'existence, La vie ? N'est-ce pas ? Et bien vivre ou mourir Soufuku consiste au seul miracle. Dieux n'est pas mon nom, au contraire c'est une invention de tes semblables pour se donner du courage, le courage nécessaire pour accomplir des miracles. D'ailleurs vivre en considérant ton prochain n'est autre que le seul miracles qui puisse être fait dans ce monde. S'en est même la seule et unique définition. On me voit rarement tu sais ? Certains m'effleurent avant de mourir, d'autres me pensent. Mais peux me parlent. Comprends tu  Soufuku ? Je suis toi, je suis en chacun de vous, ici et là au plus profond de votre cœur. Ce que tu devais faire ? Je te laisse le deviner, le devenir. Je te souhaites une bonne route, la rédemption que tu chéris tant, tu as commencé à l'accomplir... Au revoir mon tendre enfant
...

Soufuku marchait en compagnie de Kumatetsu, ensemble ils avaient finis par sortir de la forêt où il était resté méditer durant un bon nombre de semaine. L'ours l'avait alors questionné sur ce qu'il était venue chercher ici, Et le samouraï lui avait répondu qu'il avait finis par trouver une chose certaine. C'était vague et pas vraiment claire mais l'animal s'en contenta. Lorsque le samouraï franchi le seuil des portes dudit village, les Habitants de celui-ci semblaient heureux de voir qu'il était parvenu et revenu. Un enfant assez turbulent vint à toute allure en sa direction pour lui faire savoir ce qu'il avait appris durant l'absence du vieillard. Celui-ci partis donc dans une hutte qu'il avait construit récupérer ses affaires dont un manuscrit qu'il avait commencé à écrire une fois installé ici. A l'occasion de son grand retour les habitants qui avaient échanger leur savoir avec le samouraï et qui avaient eux-mêmes appris de ses connaissances et sa philosophie.



Avaient préparés un long banquet, des grandes tables rustiques et rectangulaires, taillées dans du boit de chênes présentaient divers mets fait pour la majorités de salades composées à base de plantes et de noix et de poissons fumés. Tous alignés en longs pour accompagnés le héros ils chantaient en cœurs un poème coutumier pour accompagner sa route de chance et sûreté. C'était un témoignage d'amour et de joie, les voix s’entremêlaient et donnait une certaine énergie qui parcourait les veines du fin bretteur à en lui donner des frissons. Soufuku était mort deux fois, et il venait de renaître tel un phénix. Il marchait en direction de son but, pour accomplir sa mission. Il s'adressa alors à Kumatetsu qui ne manquait pas à lui faire remarquer son nouveau look. Une barbe saillante et épaisse, des cheveux mal entretenu et cette longue cape faite de peau de bête qu'il portait sur ses épaules. Le samouraï désarmé avait toujours cette canne qu'il avait obtenue en ramassant une branche que le figuier avait fait tomber. A la sortie de la forêt il s'adressa à son ours le sourire aux lèvres et le regard aimant.

- Bien Tetsu no Kuni est un Pays frontalier avec celui où je souhaite me rendre en premier, fais donc la route avec moi. Ensuite tu te rendras au Pays du Fer et je te rappellerai, les trois jours suivant mon arrivé à Iwa no Kuni. Allons y.

Fin.

The Last Man Standing Arc : Début.
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