Le Contr'un.

Rang S

Le Contr'un

L'air de la forêt, marchand sur le craquement des feuilles mortes, l'automne était bien présente. Des champignons germaient sur le sol et la mousse verdoyante s'agglutinait aux pieds des êtres sylvestres. Les rois des forêts à la crinière orangée trônaient ici par millier. Tout de noir vêtue celui qui avait affronté à Iwa le culte de la vie marchait à présent vers l'objectif caché aux yeux du monde, il était temps pour eux de sortir de la pénombre et ce n'est pas un hasard si jusque là il avait harcelé le gringalet. Qui d'ailleurs l'avait une fois de plus épaté avec un astucieux plans d'évasion. Hélas les notes explosives ne furent que facilement mises au loin par le bretteur d'expérience. En balançant sa cape au loin, il n'eut malheureusement pas le temps d'éviter les débris de verre due au souffle de l'explosion. Ayant bénéficier de quelque soins qui n'étaient pas nécessairement important il se mit donc en route pour pister l'homme qui serait la première pierre de son projet d'envergure. Kuma Tetsu pour une tournée d'adieux avait pister le gamin, jusqu'à la frontière. Et voyager à dos d'animal avait fait rattraper à l'homme le retard qu'il avait sur sa piste. Le reste ne dépendait à présent plus que de lui, de ses capacités sensoriels. Après un adieu conséquent à la bête, celui dont les pouvoirs avaient disparus dans leurs majorités cherchait à présent la trace, du fantasque détonateur. Entre temps, il songeait, à ces quelques lignes d'encre, ligne qu'il avait écrit, lignes révolutionnaire...

~ Il est de naissance commune, d'affirmer que les corbeaux qui régissent ce monde ne donnent satisfaction qu'a ceux qui sont des leurs. Leurs sujets prenant inexplicablement la place qui est la leur sur la potence perpétuelle. Dénaturés de leurs substances ces derniers avec les âges ont léguer leurs esprits et leurs corps à un seul. Se sentant protégé sans se rendre à l'évidence de l'état de soumissions dans lequel ils pensent prospérer, sans se douter qu'ils ne sont qu'objet à la valeur bien amoindrie, dont on envoie les restes nourrir le prétexte du progrès. Les corporations actuelles ont sans doute réussies leur plan machiavélique. Celui d'assouvir sans être assouvie à leur tour, rompant ainsi l'équilibre et la boucle pour en former deux distinctes où ceux qui dorment sont saint et ceux qui s'éveillent sont esclaves d'une fatalité nauséabonde. Le pouvoir n'est pas une mauvaise chose en soit, non il est même présent en chacun appartenant à la condition et la nature de l'être. Hélas il a été aliéné chez certain par d'autre qui ne voulaient qu'amplifier le leur.

Le monde dans lequel l'homme vie n'est soumis qu'a une seule règle, celle de l'équilibre, qui est différente de la justice, la justice est un terme bien complexe. Avare et égoïste qui ne reflète qu'une infâme utopie et sert avant tout à soumettre l'autre face de la pièce de monnaie, pour que celle-ci se retrouve enlisée dans des sables profonds, narguant ses semblables dans un abysse infini. Selon les us et coutume, les fausses croyances la justice et de rendre à l'autre ce que lui a été pris, mais officieusement la justice est de faire en sorte que les plus démunis se prennent entre eux, et donnent aux grands monarques. Cela n'est pas la justice. La justice pour dire vrais n'existe pas vraiment, il vaut mieux pour évoquer ce sentiment parler d'équité. L'équité à été balayée par l'invention de la justice, à son origine l'équité est un processus qui amène chacun à avoir mettant dès lors monarques et sujets aux mêmes rangs. Corbeaux et Hirondelles dans le même ciel. L'équilibre rompu, inexplicablement, rompu par les beaux discours et la confiance méprisante qu'il faut avoir des hommes car ceux-ci ont donné à l'un des leurs le pourvoir de décidé de leur sort, sans pour autant pouvoir en discuter d'avantage.

Pour résoudre cette équation qui ne peut être qu'une supercherie, il faudrait redonner à l'équilibre sa valeur, que les consciences se soulèves et que l'équilibre soit instauré, cela prend en compte la notion de bien et de mal, que les plus sages véhiculaient et que les monarques ont détournés. Le mal doit être vaincu par le bien sans outre mesure, c'est pour cela qu'ils prétendent prendre le pouvoir des sujets. La réalité est tout autre, mais la réalité ne leur plaisait pas. Alors ils l'ont supprimés pensant que le cycle éternel de la soumission volontaire perdurerait. Le mal et le bien sont deux facteurs nécessaires et immuables, ont ne peux les empêcher. Ni même les toucher, dès que vous pensez faire le bien, vous faites en même temps le mal et inversement. Il ne peut y avoir l'un ou l'autre, mais simplement l'un est l'autre. Il faut quand cela est nécessaire faire des choix important, tuer quand cela doit être fait, et aimé quand cela doit être fait. On ne peut tuer en aimant. Mais il est possible de d'aimer en tuant. Les deux corollaire ne sont pas séparées, elles sont liée et bien déterminé, si le ying et le yang sont représenté dans un cercle ou dans chaque versés se trouve une part de l'un et de l'autre. Alors il faut que des hommes servent de limite, qu'ils soient le cercles qui contient dès lors ces deux principes qui se confondes et se repoussent insatiablement. Cela n'est possible que par l'éveil de la conscience collective. Que part l’effort qui sera fait par le sujet, de reprendre de son essence. La plus grande lutte que les hommes connaîtrons et celle du maintient de l'équilibre. Celle de redonner aux monde l'ordre qui était à la base établie. Ceci n'est autre que le fruit de mes voyages et de ma réflexion. Un inquisitoire contre les plus grand, mon plaidoyer contre une société facétieuse...~

Entre temps Soufuku Nitobe était arrivé à Kawa no Kuni...

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