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 Une journée à la clinique Hiseijo

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Takara Hiseijo
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MessageSujet: Une journée à la clinique Hiseijo   Une journée à la clinique Hiseijo EmptySam 1 Juil - 15:15



Printemps 120, Journal « Les flammes contre la pestilence », Chapitre 1 Partie 1

C'est une catastrophe. Il n'y a pas d'autre mots pour décrire la situation qu'Iwagakure… Non, Tsuchi no Kuni et probablement au-delà est en train de subir. Il y à quelques semaines, j'ai commencé la rédaction de ce journal en me présentant, mais l'épidémie est tel que je n'ai le temps d'écrire à nouveau dedans seulement maintenant.

Commençons, si vous le voulez bien, par un résumé de ce qui est arrivé dans ces dernières semaines. Une étrange maladie à fait son apparition. Pour le moment, les chercheurs n'ont encore rien trouvé pour la combattre, mais avec les moyens dont ils disposent, ce n'est qu'une question de temps. Mais pour le moment, tout ce que nous, médecins, pouvons faire, c'est de la combattre du mieux qu'on le peut… Mais la majorité des traitements sont des échecs.

Les patients, qui ont les symptômes suivants : Fièvres, Toux, Cracha de sang et Tâches Rouges sur la peau, sont des infectés par la maladie. Cette dernière semble avoir un effet différent sur chaque personne, plus exactement, la période d'incubation et d'activation est différente pour chaque personne. C'est probablement un virus avec un haut taux de mutation. Cela rend la tâche plus ardue pour trouver un remède. Mais je suis sûr que ça ne va pas tarder. J'ai confiance envers les scientifiques d'Iwagakure.

Mais vous êtes probablement au courant de tout cela. En effet, l'épidémie sera très probablement connue dans le monde quand vous lirez ce journal. Ce que vous rechercher, en le lisant, c'est probablement ce que mon clan et moi-même ont fait pour combattre la maladie qui se propageait et comment nous avons aidé les habitants de la
métropole ? Et ceux qui ne souhaitent pas le savoir je vous invite à reposer ce journal et à lire autre chose, car après tout, c'est un journal qui parle de moi et de ce que j'ai fais.

Au début, on ne pensait pas avoir affaire à une épidémie, juste à une nouvelle maladie qui commençait à se propager dans Iwa. On avait à traité quelques cas isolés qui ne possédait pas spécialement de symptômes alarmants… Juste la fièvre et la toux. Mais tout ça à très vite changer. En effet, les malades commençaient à influer dans notre clinique, et même ceux qu'on soignait revenait quelques jours plus tard avec un cas pire que ce qu'ils avaient au départ. Au début, je dois dire que mon clan était paniqué, il pensait que certains médecins avaient raté leurs traitements, mais très vite on dut se rendre à l'évidence… Cette maladie ne serait pas combattue aussi simplement que par le Seikaton. Ils sembleraient que notre talent puisse « réparer » les cellules infectées, mais pas les guérir, la maladie, au plutôt le virus, semblait être toujours présent dans le corps, quoi qu'on fasse. Du coup, pour le moment on ne fait que repousser l’échéance de la mort des patients. C'est déjà pas mal me direz-vous, ça leur laisse une chance potentielle de survie quand un remède sera trouvé par les instances scientifiques d'Iwagakure. Mais en vrai ça pose un problème, pour nous les médecins.

On est surchargés de travail ces temps-ci. Les patients qu'on guérit un jour revienne plus tard, et maintenant que les médias se mêlent de cette histoire, et qu'un d'entre eux a eut le malheur de faire un reportage sur notre clinique et comme quoi nos soins permettraient de récupérer face à la maladie, on à des tas et des tas de clients tous les jours. S'en est arrivé à un tel point qu'on doit maintenant prendre sur rendez-vous pour ne pas avoir des personnes infectées qui se baladent dans la clinique. Notre clinique s'est reconverti en cabinet médical,



c'est le comble.

Par chance, notre entraînement de médecin nous à préparer à de tel situation, et notre clan, qui constitue les médecins de la clinique, sont réparties en trois équipes qui tourne sur des horaires de huit heures, sans pause depuis deux semaines. Moi-même, qui suis pourtant encore loin d'être du niveau des médecins du clan, était réquisitionné alors que je devrais m’entraîner sur ma maîtrise de l'Iroujutsu. Moi qui souhaitais devenir médecin de terrain, on peut dire que c'est raté. Je passe tout mon temps soit chez moi, soit à la clinique.

On est tellement débordé que j'ai même eu l'obligation d'être un docteur dans la clinique bien que je n'ai pas reçu mon diplôme de médecine. D'après mes pairs, mes connaissances et mon talent naturel pour le Seikaton suffise pour cette tâche, mais j'en doute fortement. Vous n'imaginez pas le nombre de visage que j'ai recroisé dans mes consultations, et même le nombre exponentiel de nouvelle tête que je vois. C'est sans fin. Et puis c'est barbant. Les consultations se passent tous de la même manière : Le malade rentre, avec ou sans proche, l'existence connue de la maladie entraîne forcement des questionnements qui reste sans réponse, il demande des soins, ont lui prodigue, il part, semble retrouvé espoir, puis on le retrouve quelques jours plus tard dans la liste des patients pour la journée.

Le problème, est qu'on commence tous à fatiguer. Une utilise énorme ment de chakra pour soigner les malades, on dit même que certains on fait trop de zèle et sont tombés d'épuisement en plein milieu de leur soin. Mais par chance, on à encore aucun malade dans notre clan… Est-ce dû à notre talent qui nous offre une meilleure résistance naturelle face aux maladies ? Ou notre rite de nous purifier avec nos flammes à la fin de chaque journée qui repousse sans cesse l’échéance
à laquelle la maladie risque de nous toucher ? Si seulement on savait, on pourrait aider tellement plus. On pourrait refaire notre stock de parchemin et soigner les malades à travers toute la ville, ou du moins rendre la vitalité à ses derniers pour qu'ils puissent vivre plus longtemps, jusqu'à la création du remède.

Tout compte fait… Ça serait difficile. Aucun membre du clan qui a les connaissances dans de la technique possède le temps ni l'énergie pour les fabriquer, toute notre sueur passe pour soigner les patients en face de nous. Soin qui à un succès mitigé. Mais je suppose que c'est mieux que les médecins de l'hôpital qui n'arrive pour le moment à rien.

Sur ce, lecteur, je dois retourner à la clinique, c'est l'heure de mes consultations. J'écrirais ma journée typique à la fin de celle-ci, dans la suite de ce chapitre.


Dernière édition par Takara Hiseijo le Dim 2 Juil - 10:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Une journée à la clinique Hiseijo   Une journée à la clinique Hiseijo EmptySam 1 Juil - 15:36




Printemps 120, Journal « Flammes contre pestilence », Chapitre 1-Partie 2

Ce fût une journée éprouvante, encore une fois. J'ai tout juste la force d'écrire ses lignes.

Je suis de l'équipe de journée, de 8 heures du matin à 16 heures le soir, on peut dire que je suis assez chanceuse, mon rythme de vie n'en est que peu modifier. J'ai envie de dire détrompé vous, c'est peut-être la pire tranche horaire pour travailler dans ses conditions. Car on a beau prendre sur rendez-vous, on reste avant tout une clinique. Si une urgence fait son apparition, on doit également s'en occuper. Mais, me diriez-vous, cela arrive à toutes les heures de la journée, et c'est vrai, même de nuit les équipes doivent traiter des urgences en plus de la maladie. Mais le pire n'est pas là. C'est ceux qui viennent sans rendez-vous et qui vous supplie de les soigner. J'ai de la chance personnellement, en tant que shinobi, j'ai un mental endurcis, et je peux donc faire fis de ses demandes et les sortir de la clinique, mais mes pairs qui ne sont que des médecins, la plupart par passion, ça leur fait mal de ne pas pouvoir les soigner. Je peux les comprendre, mais je suis bien contente de ne pas subir se remord… Pas trop du moins.

Du coup, je suis en général celle qui les met dehors, et voir toutes les réactions des habitants n'est pas toujours une chose facile. Il y en a qui comprenne, d'autre… vous regarde avec des regards tellement remplis de désespoirs ou de haine que ça change presque la couleur de leurs yeux. Vraiment, heureusement que mon entraînement de shinobi me permet de garder le cap.

Mais chose promis, chose due, je vais vous décrire ma journée à la
clinique aujourd'hui.

J'arrive, en même temps que les autres membres du clan de mon équipe, à la clinique à huit heures. A peine on rentre que les autres médecins, exténués par leur journée, quitte les locaux pour rentrer a nos appartements pour s'y reposer. On s'habille puis on va dans nos « cabinets » respectifs pour commencer les consultations du jour. Après que cette dernière est faite, on passe à la suivante, et ainsi de suite jusqu'à la fin de notre permanence. De temps en temps, un cas grave arrive à la clinique, que l'hôpital ne peut s'occuper, et c'est à nous de le gérer. Ça chamboule donc tout notre planning et après on doit accélérer pour récupérer le retard. C'est pas évident. Voilà comment se déroule une journée à la clinique depuis plus de deux semaines maintenant.

… Vous voulez un exemple de consultation ? Je présume que je peux faire l'effort d'écrire un exemple, c'est une consultation que j'ai eu aujourd'hui. Évidemment, pour des raisons de secrets professionnels, je ne vais pas écrire les noms des personnes.

Imaginez donc, je suis derrière mon bureau de fortune, je regarde qui est le prochain patient. Une femme du nom de X. Je me lève donc, ouvre la porte du cabinet improvisé, et l'appelle donc.

« Madame X. »

Une femme dans la trentaine se levait et avança vers moi. Je lui tendis la main pour la saluer et elle la prit et la serra… Sa poigne manquait de force, elle était probablement très faible…

« Bonjour. »




« Bonjour, entrez s'il vous plaît. » lui annonçais-je, tout en signalant la porte avec ma main de libre.

La patiente entrait dans le cabinet, et s'asseyait sur une des deux chaises, je pris la deuxième, après avoir fermé la porte derrière moi.

« Alors, que vous arrive t'il ? »

« Hé bien… Je pense que je suis atteinte par la maladie que les informations n'arrêtent pas de parler. Je me sens toute faible depuis des jours, et je n'ai envie de rien à faire à par rester dans mon lit pour me reposer. »


« Avez-vous de la toux, fièvre ? »

« J'ai de la température oui, et ma toux est très prononcé, tellement que j'en crache même du sang. »


Je plisse légèrement mes yeux, encore une autre touchée par ce virus.

« Et possédez-vous des plaques rougeâtres sur le corps ? Est-ce qu'elles vous grattent ? »

« Oui. »

« Je vois. »
Je note sur un bloc-note les informations données par la patiente, “Touché par la maladie.”

« Bien, voyons ce qu'on le peut faire , mais je n'aime pas mentir à mes patients, donc je vais être franche. Tout ce que je peux faire, c'est retardé la maladie. On travaille de concert avec les hôpitaux pour trouver un remède, mais le cas est difficile. »

La patiente eut un regard inquiet mais ne fit pas de vague. Tant mieux, le dernier est limite devenu hystérique quand je lui ai dit la nouvelle. Je me levai, et lui indiqua la table d'opération. La femme se leva et s'allongea sur cette dernière. Je me mis à côté d'elle et commença la consultation. J’effectuai un Kaiseki Ken'shin no jutsu sur la patiente pour analyser et trouver les zones de contagions. Mais comme d'habitude, une grande partie du corps était infecté. Elle avait eu de la chance que la maladie ne c'est pas plus développer en elle que ça.

« Connaissez-vous notre moyen de soigner les blessures, Madame ? »

« J'en… ai entendu parler par un reportage sur la maladie. Il parait que vous utilisez… les flammes pour guérir les maux des personnes. »

« C'est ça. Donc ne vous inquiétez pas, vous ne sentirez rien, si ce n'est un sentiment de bien être. »


Elle hocha la tête, puis je me lançai dans la guérison… Ou plutôt la revitalisation.

-Sawarusei.-




Mes mains prirent une aura enflammé et je les posai sur la patiente. Je me concentrais sur les soins, et petit à petit, les couleurs du visage livide de ma patiente repris des couleurs. Cela dura pendant quelques minutes, que je ne vis, comme d'habitude, pas passé à cause de la concentration nécessaire.
Finalement, j'ai réparé les cellules endommagées, mais je le savais que ce n'était que temporaire avant qu'elle se dégénère à nouveau. J'arrêtais le flot de chakra dans mes mains et les retira.

« C'est bon, c'est terminer. »

« Je me sens… bien mieux qu'au début. C'est donc vrai, vous pouvez vraiment effacer la fatigue des corps de vos clients. »

« Oui. »
fût ma seule réponse, j'avais l'habitude d'entendre ce compliment, donc il ne m'affectait désormais que très peu. Je m'asseyais sur la chaise et attendais que la patiente prenne celle en face de moi.

« Je me répète, mais vous êtes nullement soigné. Votre corps devrait tenir quelques jours, ça dépend des personnes. Dès que vous sentez à nouveau les symptômes, appeler tout de suite pour avoir un rendez-vous le plus tôt possible, on est surchargée après tout. »


« D'accord. Merci docteur. »


Je fis un mouvement de la main. « Pas de quoi. » Je me levai de ma chaise et serra la main de ma patiente. « Merci à vous, et évitez le contact avec les autres. Le plus longtemps vous ne serez pas atteinte par les symptômes, le mieux ça sera. ». J'ouvris la porte du cabinet tout en dirigeant vers la sortie la cliente.

« Oui. Merci docteur. Au revoir. »

« Au revoir. »

Elle partait et je renfermais la porte. Prit une pause de quelques secondes, et regarda le prochain nom sur la liste. Je soupirai, rouvris la porte et annonça son nom. « Monsieur Y. » C'était reparti pour un tour…

Voilà, une consultation typique dans ses journées devenues banales dans ce temps de crise. Je vais maintenant vous laissez, même si pour vous, qui lirez ce journal, ça ne paraîtra pas long, à peine la seconde nécessaire pour tourner la page vers le prochain chapitre, mais pour moi qui sais, peut-être un jour ? Peut-être des journées, seul le temps le dira.

Avant de conclure, laissez-moi vous rappelez une chose : « Le travail doit être exécuté avec la passion du feu, mais exécuté avec un froid chirurgical. »

FIN du Chapitre
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