[Entrainement] Yari no Fukasa

Nous étions dans notre domaine que nous avons nettoyé après notre retour. Plus exactement, nous étions dans ses profondeurs, dans la petite nappe souterraine qui nous sers de jardin secret et de futur lieu de maternité des parasites. Nous avions besoin d'une grande quantité d'eau pour maîtriser la technique que nous avions imaginer. Une technique que nous avions imaginez d'une autre technique suiton : Suiyari. Et si tout se passait bien, cette nouvelle addition ne fera qu'augmenter notre habilitée à nous battre proche d'une source d'eau… Il faudrait quand même que nous nous entraînions sur des techniques hors sources d'eau, mais ce n'est pas la question pour cette technique.

Nous marchions sur la nappe phréatique qui entourait l'autel, et nous préparions à commencer la technique. Dans le principe, nous avions l'habitude de créer une tel technique, ce n'est pas si différent que la technique Kiretsu, la majeure différence venait surtout de qui faisait la technique. Là où Kiretsu était contrôlé par le corps du parasite, la technique que nous allons nommer Yari no Fukasa allait être utilisé par nous, enfin le corps humain. Ce qui nous permettrait même d'utiliser les deux techniques en même temps, et rendre impossible la traverser d'une zone ainsi créer par nos soins. Mais nous nous avancions, nous devions déjà contrôler cette technique.

Par les pieds, nous faisions affluer du chakra dans l'eau en dessous de nous pieds, puis, en nous concentrant, nous commençâmes à donner une forme à l'eau sous nos pieds. Tout d'abord c'était une sorte de début de clone, puis, nous amincissons la forme, pour la rendre la plus fine possible, puis nous lui donnons finalement la forme de lance. Avec l’entraînement, nous serions capables de créer la lance directement. Mais… Ceci n'était que la première partie de la technique, à partir de maintenant, ça serait différent de Suiyari.

En effet, là où Suiyari était ensuite lancer sur l'ennemie, Yari no Fukasa était différent. Elle perce l'ennemie. Peu importe sa position, et en le poursuivant. La méthode est très simple. Jamais la lance est coupée de son origine, la source d'eau et de chakra que nous donnons à celle-ci, ce qui permet de continuer à former la lance et de la diriger dans les directions que nous le souhaitons. Il est temps de lancer l’entraînement.

Profitant de notre immobilité, nous absorbons en même temps l'eau présente dans les environs pour régénérer notre chakra, et ainsi ne pas perdre de temps dans la maîtrise de la technique. Portant notre attention sur la lance, nous commencions à la grandir en ligne droite, en l'éloignant de nous, à une vitesse plutôt impressionnante. Elle s'éloignait, progressait, s’agrandissait sans aucune limite… Ou nous croyons.

Elle s'arrêta, au bout d'une bonne distance parcourue, elle se stoppa. Plus exactement, le chakra s'éloignait trop de la source pour continuer à former la lance plus loin, tous nos efforts pour faire progresser la lance, nous dirions environ au-delà vingt-cinq mètres, était inutile. L'eau perdait sa forme et redevenait… de l'eau. Ainsi nous ne pouvions aller au-delà de cette distance, mais… Est-ce que … ? Nous concentrions le chakra et… nous firent revenir la lance vers notre position. Ainsi, nous étions capables de faire bouger librement la lance dans une zone de vingt-cinq mètre, cette habilitée allait être utile pour les attaques surprises par exemple. Nous faisions bouger la lance dans toutes les directions. Cependant, l’entraînement fût terminé plutôt que prévu, quand notre toux se fit entendre dans la grotte souterraine. En effet, nous étions toujours malades, et elle tentait de nous emporter avec elle. Mettant un genou au sol, nous nous arrêtons, faisant tomber la lance dans l'eau qui l'as constituait, et nous respirâmes de manière rapide pour passer la douleur. Après quelques minutes ainsi, notre toux disparaissait, et notre corps repris ses droits. Nous décidâmes que nous en avions assez fait aujourd'hui, et que nous continuerions de maîtriser cette technique dans les jours qui vienne, après notre repos.