Dans la famille Ootsukihe. Je demande la soeur : Yandere-chan [Terminée]

Rang C

Reiko Ootsukihe

IRP !
Nom : Ootsukihe
Prénom : Reiko
Âge : 17 ans
Sexe : Femme
Nindo : ///
Village : Civile Yama no Kuni
Clan : Aucun
Rang souhaité : C
Grade souhaité : Civile [Hagane n'existant pas encore]
Bingo Book : Bingo-Book

Je ressemble à...

Tu n'a jamais été une montagne de muscle, après tout, tu es née dans la noblesse d'un pays. Une femme musclée, c'est laid et ce n'es pas noble du tout. C'est ce que disait ta mère. En soit, cela ne t'a pourtant pas empêcher de développer une certaine force discrète et une belle agilité. Malgré ton petit mètre soixante et tes cinquante kilos, tu fais preuve d'une belle capacité à encaisser les coups, avec un passé comme le tien, normal.

Tu possède une belle et longue chevelure aux couleurs de blés, illuminée par le soleil. Encadrant un visage aux allure si mignonne, un visage doux et charmeur, quand cela te chante en revanche, il peut prendre des allures de démence, de folie sadique. Ton corps est lui aussi, des plus agréable à observer. Une forte poitrine, moelleuse, surplombant un ventre plat. Cependant, jamais tu ne montrera ton dos, ce dernier conservant des cicatrices du passé asses douloureuse. En soit, que dire de plus sur ton allure physique ? À première vue, tu es une jeune femme banale, jne simple civile noble. Oui, précisons bien noble puisque tu as tout de même gardée tes manières de la haute, tes vêtements, ta démarche. C'est ce que tu es après tout.

Je pense à ...

Une femme sait se montrer douce, oui, tu en es une. Sachant te montrer douce et délicate, tu n'es pas spécialement un monstre. Toi aussi tu éprouve des sentiments, des envies de bien être, des désirs de calme et de tranquillité. Pourtant ... Tu possède cette rancoeur et tu baigne dans la haine depuis. Tu la dissimule, tu la cache, tu montre un aspect radieux de ta personnalité changeante. Si tu y arrive, ce n'es qu'une bonne chose. Mais pense tu tenir ainsi éternellement ? Tu as beau le nier, mais cette chose au fond de toi, prône la destruction et le désespoir, elle te mets sa force entre tes mains. Pourtant, elle t'a sauvée la vie, alors tu lui dois tout, tu lui donne tout tant que tu vis auprès de ton frère.

D'ailleurs, parlons-en de ton frère. La relation que vous avez, c'est pas très bien vu. Mais tant que personne ne le sait ... Qui s'en préoccupe ? Cela dit, tu te montre d'une extrême possessivité avec lui. C'est plus fort que toi. C'est ton frère et il t'appartient, c'est là ton raisonnement cela dit, tu va encore plus loin car la première femme qui l'approchera, tu la tuera. C'est ce que tu as choisi de faire. C'est clairement pas joli, mais c'est ta perception des choses. Hormis cela, tu es une jeune femme qui ne sait rien des grands villages, aussi surprenant cela soit il, quand on décide de s'éloigner au fin fond du pays des montagnes, forcément, on apprend beaucoup moins de choses au sujets des autres, de ce fait, elle ne considère pas ceux-ci comme les plus puissants, et peut faire preuve d'une certaines capacité à les dénigrer sans limite.

J'ai vécu...

- Nous sommes au nombre de trois ...
- ... existant depuis tout âges, depuis toute ère ...
- ... marquant les histoires de nos empreintes, façonnant le destin.
- Je suis le passé, Kako.
- Je suis le présent, Genzai.
- Je suis le futur, Mirai.

Laisse nous te conter cette histoire.

- Tout débute, il y'a de cela bien des années, toi et ton frère, n'étiez pas encore nés. Un homme, un minier en fait. Venait de découvrir la faille, le meilleur moyen pour arranger sa position au sein de la société. Sache que tout débute à Yama no kuni. Peut-être ne le sait tu pas, mais ... la condition de vie d'un employé aux mines est déplorable ... les horaires sont longues, les gains minimes, et le respect de la part de la haute direction est ... inexistante. Cet homme là, avait pourtant réussi là où ses comparses avaient échoués. Ce n'était pourtant pas le plus méritant, loin de là. En creusant, il avait trouvé de précieuses pierres. Il ne comptait alors clairement pas les garder pour lui. Ou du moins ... il avait tout un stratagème des plus fourbes. C'est avec malice qu'il dissimula la totalité des pierres précieuses restante, ne disant mots à personne et se contentant d'exiger une entrevue avec le propriétaire de la mine.

- Il avait tout planifié, tout tracé, pour lui, il n'y avait là aucune autre possibilité que sa réussite. Son unique réussite. Il proposa alors un marché simple au propriétaire qui avait finalement accepté. Lui acheter sa mine avec trois des pierres. Forcément, vénale et désireux, le propriétaire refusa en pensant mettre la main sur la source de tout ceci. Durant des semaines il la chercha, réclamant aux employés de creuser toujours plus. Cependant, Kahome l'avait magiquement bien dissimulé. Ils ne la trouvèrent pas, manquant pourtant à de nombreuses reprises de donner quelques coups de pioche dessus. C'est ainsi que le propriétaire revint vers le malicieux pour revoir son offre. Acceptant finalement. Après tout, que valent ces quelques cailloux de la mines contre trois pierres précieuses qu'il pourra revendre des milliers ? Rien. Vraiment. C'est ainsi que Kahome put faire fortune, grâce à un simple coup de chance, un tournant du destin. Un virage ... de l'avenir. Une providence.

- Cet homme devint vénale, il devint riche. Déterrant les pierres qu'il avait caché, il acheta une majorité des mines du pays de cette manière et devint bien vite l'homme le plus influent dans le milieu. Sa voix faisait loi, ses règles en revanche ne divergeaient pas de celles des autres, il ordonnait le travail acharné, la trouvaille de pierres comme celles qui avaient fait sa richesse. Il devenait avide de pouvoir et de richesse, mais ... il resta un homme capable d'aimer, ou du moins ... un petit peu. Il se maria quelques années après avec une jeune femme provenant d'une famille noble, Fumihisa. Elle était bien plus raisonnable que lui et savait apaiser là où lui détruisait. Elle avait réussi à voir un homme bon en lui. Il était dur, certes, mais pas inhumain, juste aveuglé par l'influence qu'il avait acquiert. Certains de ses employés avaient parfois tenté de se liguer contre lui malgré tout. On ne les revit jamais. Souvent exécutés par des mercenaires. Il traînait bel et bien dans des histoires macabres et il devenait paranoiaque.

- Ton frère naquit deux années avant toi, aux yeux de la bourgeoisie, les Ootsukihe étaient famille normale, une famille bourgeoise des plus normale. Certains enviait même la richesse de cette famille. Toi, tu naquit deux ans après ton frère. Ton père venait de régler une énième révolte lorsque tu sortis des cuisses de ta mère. Braillant, hurlant au monde ta venue. Mais ce fut aussi le jour où ton père prit la pire des décisions. Il engagea des ninjas afin de faire en sorte que ses employés travaillent sans tenter de se rebeller une fois de plus. L'image de dictateur lui était désormais apposé et il était désormais hais de tous. Craignant tout de même pour sa vie, il ne sortait plus de chez lui seul. Toi, tu te réfugiais dans les bras de ta mère ou de ton frère lorsqu'il était en colère. Pourtant, votre vie à tous était idéale. Tu appris ce qu'il fallait savoir à la maison avec des professeurs particuliers. Ton père exigea que toi et ton frère sachiez vous battre au corps à corps, et malgré le refus de ta mère, il fit tout pour, persuadé que vous en auriez besoin. Engageant des spécialistes en taijutsu pour vous enseigner cela dès que vous atteigniez les six ans révolus.

- Tu te montrais particulièrement attentive à chacune de ces séances alors que ta mère craignait à l'idée de te voir kunoichi. Non, elle se refusait, une enfant de la noblesse ne pouvait pas s'abaisser à servir de pantin aux villages divers qui peuplent ce monde. Mais que pouvait faire ta mère face aux décisions d'un homme comme son époux ? Elle était impuissante, alors elle pansait vos bleus, vous encourageant à défaut de pouvoir vous l'interdire, se disant que vous pourriez au moins vous défendre. Puis ... ta mère eu l'idée de marier son fils aîné à une fille de la noblesse du pays, dans le but de répandre le nom de sa propre famille. Oui, elle voulait rendre les Ootsukihe influent au sein même de la noblesse de Yama no Kuni. Tout comme son époux était devenu le plus puissant au sein de son domaine. Il avait d'ailleurs réussi à avoir la main mise sur l'entièreté des mines en quelques années, un dur labeur qui lui rapportait toujours plus de richesses. Il innovait toujours, mais quand sa femme lui parla de son projet, il ne pû que la soutenir dans cette démarche. Apporter la gloire à son nom, le faire résonner dans le pays autrement que par l'écho des cailloux ... c'était un rêve qui deviendrait une réalité.

- Ton frère et toi, devenue très proches, aviez réellement du mal à accepter cette réalité et ce fut douloureux à chaque voyage qu'il faisait pour rencontrer sa future épouse, celle qu'il haissait déjà en soit. Tu ne supportait pas de voir la sale tête de cette femme qui te volerait ton frère, vous vous suffisiez entre vous, et ... aussi louche cela soit-il, tu étais extrêmement possessive à l'égard de ton aîné. La promise pouvait d'ailleurs témoigner de nombreuses menaces de mort de ta part, pourtant ... elle n'en rapporta aucune, se contentant de rire de celles-ci, que pouvait faire une enfant de 10 ans ? Rien, à part manger son goûter et se la boucler ... puis un jour, le mariage dû avoir lieu, tu avais ... 12 ans. Une cérémonie grandiose était organisé, ton père en était déjà tout excité, et ta mère, tout autant que lui. Pourtant ... ce jour-ci, tout bascula dans un drame tragique.

Ames sensibles s'abstenir.
Le passage qui suit contient de la violence pure et je demande aux plus sensibles de ne pas lire ceci, afin de ne pas être choqué par ce qui va suivre durant les deux prochains paragraphes. Une balise sera indiquée afin de signaler la fin du passage violent. Merci de votre compréhension.

- Le convoi qui vous amenait toi et ta famille au lieu du mariage fut attaqué par une bande de mercenaires. Il n'y avait pas besoin d'être un génie pour savoir qu'ils venaient de la part des employés de ton père. La protection rapprochée de celui-ci fut bien vite détruite, quant à vous, ils vous enlevèrent, purement et simplement ... les premiers jours furent atroces. Ils enchainèrent les tortures sur vos parents, devant toi et ton frère, vous inspirant la crainte. Tout cela fut si ... brutal. Non, tu n'avais jamais pensée à ça, jamais de tels actes de barbaries ne t'avait effleuré l'esprit, mais là tu y était confronté ... ton père perdit des membres, devenant eunuque également, ta mère subit alors les violences, les viols et les humiliations ... et vous, toi et ton frère entendiez les cris, sans pouvoir savoir. Vous imaginiez le pire selon ce que les tortionnaires vous racontez. Pleurant pour ne pas entendre, apeurée, traumatisée, vint un jour où tu n'entendis plus de cris, plus un son ... le calme affreux marquant la fin d'un crime ... puis tu les vit rouler au sol ... tremblante, secouant la tête en refusant de regarder celles au sol ...

- Les tortionnaires se révélaient pourtant encore plus inhumains que cela. Ils te laissaient toi et ton frère là, en présence des têtes de vos parents durant une semaine entière, sans eau ni nourriture, vous poussant à bout, aux extrêmes possible. Avant de finalement venir vous détacher avec ce sourire sadique, malfaisant ... le mercenaire vous amenait jusqu'une sortie ... tu avais 13 ans, tu y croyais enfin ... cela faisait un an que vous subissiez les pires traumatismes possible ... et vous pouviez enfin sortir ... courant alors derrière ton frère vers une liberté ... illusoire. Ils vous poursuivaient sur ce terrain qu'ils avaient piégés. Riant en vous voyant souffrir. Vous subissiez milles fléaux avant de vous effondrer, vous ramenant dans votre cellule lugubre en riant. L'écho de ces rires ne quittant pas tes pensées. Ce genre de chasse eu lieu durant deux ans ... une à deux fois par mois, vous aviez toujours cet espoir de fuir, ou du moins ... si vous ne courriez pas, ils vous le faisaient regretter ... alors vous essayez d'échapper à chaque surprise, mais ... ils modifiaient chaque pièges minutieusement chaque semaines ... Puis il y eu une fin. Baignant dans la terreur, dans la folie, mais aussi dans la haine la plus profonde, c'est au cours d'une de ces chasses, que tu sentis monter cette puissance malfaisante, quelque chose était née en toi. Cette chose semblait mauvaise, mais ... était-ce étrange ? Tu n'était alors pas consciente de ce qui se passa, ce que tu vis, ce n'était qu'une tête de loup et des tentacules, broyant, déchiquetant les tortionnaires ... alors que tu avais était séparée de ton frère ... Etrangement, tu n'avais pas peur, tu te sentais bien, et ... tu riais, oui, comme une dingue, un rire mauvais, un rire de folie, résonnant dans le bois piégé. Ce que tu voyais te réjouissait, toi tu n'avais rien fait, pensait tu. Pourtant, les corps des tortionnaires gisaient là, mutilés, taillés, percés, une telle violence animalière ...

Fin du passage violent, merci à vous.

- C'est lorsque le calme revint, que tu pu constater le carnage. Tu tombait à genoux devant une telle scène. Cette chose à tête de loup, à l'aura malsaine, avait disparue en laissant derrière elle que des corps inertes et en charpie. Mais surtout … ta liberté. Tu pouvais enfin fuir ce terrain pourpre, les larmes aux yeux, tu en étais cependant traumatisés et tu le savais pertinemment … tu ne pourra rien contre ce qui te hantera et te consumera petit à petit jusque te rendre folle. Trouvant ton frère bien loin devant toi, il semblait dans le même état que toi et … tout autant de corps devant lui. Te jetant dans ses bras, vous n'aviez pas perdus de temps pour fuir … vous vous trouviez une grande demeure, comme celle dont rêvait votre mère, en recul de tout, vous aviez conscience que ces créatures étaient en vous et vous vouliez blesser personnes, ou du moins … pas les innocents. Alors voilà deux ans, que vous menez votre petite vie, toujours aussi traumatisée qu'en cellule, tu pleure chaque nuit de tes cauchemars avant d'aller dans le lit et les bras de ton aîné, comme tu le faisais étant petite. Apprenant à apprécier autant qu'a craindre cette chose qui t'avait sauvée la vie. Pleurant l'absence de ta mère, mais pas celle de ton père. Mais redoutant également le jour où l'on découvrira ce qui se cache en vous, ce que vous avez fait … au fond, c'était de la légitime défense … non ? Kako a réalisé ton passé, Genzai, influence ton présent, mais moi, Mirai, je te réserve bien des surprises pour ton futur. Ecoute les conseils de Kako. Suit la route de Genzai, et tu croisera ton destin.

• Âge : 22 ans
• Localisation : Dans un château
• Prénom : Mistigri
• Passions : dinosaure, anime, livre etc…
• Personnage du manga préféré : Kurama, Kushina, Hinata,

PAIN

• Comment avez vous découvert le forum ? : J'étais à la v1, à la v2 aussi ! Et bientôt la v3 !
• Comment trouvez vous le forum ? : Toujours aussi violet …
• Que faudrait il changer ? : Le violet
• Autre chose ? : L'exil c'est cool
• Avez vous lu le règlement ?* :

Rang C

A vous le STAFF ! J'ai fini !

Rang C

Validation Présentation

Salut à toi !
Une histoire triste comme on les aimes ! Mais y a quelques fautes, hein, tout de même ! Je vais pas te le cacher, bien que ce soit mineur !
Je m'attarde pas trop !

Je te valides donc rang C, en tant que civile ! Tu seras dans le groupe Nukenin, sans le désavantage d'être poursuivi par des Oi-nins évidemment !

Félicitations et bon courage à toi pour les RP !

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