C'est bon d'être chez soit !

Rang S

Une fois le test de Nami terminé, Soufuku eu l'honneur de se faire escorter par un homme. L'homme en question le conduit à un groupement de maison et d'immeuble, qui était recouvert de sable, c'était certainement le vent qui l'avait déposé vu qu' il soufflait à forte rafale sur la région. Soufuku et son accompagnateur marchaient jusqu'à un petit immeuble . Ensembles, ils montèrent jusqu’au troisième et dernier étage de l'immeuble. Un couloir accompagné de trois portes occupaient l’espaces, la seconde porte était celle destinée au nouvel arrivant. Après avoir remercié le ninja, il ouvrit la porte et découvrit un petit endroit composé d'une chambre et d'une salle à manger la cuisine y était intégrée. Il était claire que ça changeait de la maison familiale. Mais c'était toujours mieux que de vivre à la rue.

Enfin avec le temps il s'y habituerait forcément, il enleva donc ses sandales, entra dans la pièce principale et posa son katana brisé, sur le présentoir qui se trouvait dans la pièce. Il se fit du thé et s'assit. Demain il devrait parcourir le village dans l’espoir de trouver un forgeron pour réparer son précieux sabre offert par son père, que dirait-il s'il trouvait la lame de son fils dans cet état, mieux valait ne pas y penser. Plusieurs heures passèrent et Soufuku éprouvé s'était assoupi. Il se réveilla et décida d'observer le village de Suna par sa fenêtre. Il avait une bonne vue sur l’étendue désertique de la ville, en bas, le samouraï put voir des enfants jouant dans le sable. Les gamins semblaient sales et fragiles. Soufuku voulait descendre et s'amuser avec eux , après tout n'était-il pas humain d'aider son prochain lorsqu'il était en difficulté ?

Les enfants partirent, certainement dans l'endroit qui leurs servait de domicile. La frustration s'empara alors du jeune Suna-Jin qui se rappela les mots de cet homme qui l'avait accueilli le jour de son arrivé au village. Il lui avait dit que la situation du village était complexe. Et Soufuku n'en savait pas plus mais, il se demandait comment un homme faisait pour pouvoir laisser des individus sans défenses dans une telle misère ! Cela le laissait perplexe il était évident que le village cachait quelque chose de louche, il se demanda tout naturellement si cela avait un rapport avec le fait qu'il ne pouvait pas voir le Kaze Kage.

De nombreux mystères entouraient son entré au village et Soufuku n'aimait pas ça. Il voulait en savoir plus, hélas c'est le mauvais côté de la curiosité, les mystères doivent être démantelés c'est comme ça. Mais il valait mieux pour lui de ne pas créer du grabuge car, ici il n'avait pour l'instant aucun ami, sa seule connaissance était cette petite fille qui était Juunin, son nom était Nami et c'est elle qui avait été désignée pour être la tutrice de Soufuku. Une gamine prétentieuse aux premiers abords mais fortement drôle en y regardant de plus près enfin il l'avait à peine rencontré, il était certainement trop tôt pour parler de lien. Et puis avec son sabre brisé, comment allait-il pouvoir se défendre ? Pour une première journée en tant que villageois il y avait certainement meilleure situation que la sienne.

Rang A

La tyrannie, elle nous afflige toujours. Partout à travers l'histoire il y avait des traces de leaders tellement monstrueux qu'ils en changeaient le cours normal de la vie. Tout les pays, tout les continents y étaient confrontés. Que ce soit dans les contes ou dans la réalité, la dictature était toujours cachée quelque part.

Toutefois, dans la réalité comme dans la fiction, la dictature, la tyrannie, finissait toujours par tomber. Un, ou plusieurs héros, finissait toujours par se lever et combattre ce régime pour en redonner un meilleur et plus glorieux. C'était le cycle de la vie. Imperturbable, immuable, quelqu'un arriverait-il un jour à changer ce cycle? Même Naruto n'y était pas arrivé. Les temps les plus durs faisait toujours monter les plus grands héros. En ces temps difficiles à Suna, un héros se lèverait bientôt, et Tsuku le savait. Non seulement il le savait, mais il l'aiderait.

Le vent soufflait beaucoup cette soirée-là. Le soleil se couchait lentement, il ne restait que quelques heures à la lumière pour survivre. La nuit tombait lentement. Tsuku marchait lentement, ayant pris soin de se recouvrir de sa cape de l'Akatsuki. Personne ne le remarquait, il était comme un fantôme. Il s'approchait lentement dans l'endroit où il devait allez.

Soufuku Nitobe. Ce jeune homme, nouveau au village. Il serait le héros de Tsuku. Il serait celui qui recevrait la confiance de Tsuku Hakka pour devenir le héros qui allait se lever contre la tyrannie et contre la dictature de Suna. Peut-être même le futur Kazekage, qui sais.

Plus loin devant lui, des enfants jouaient dans ce qu'on aurait dit un carré de sable, tout près de l'endroit ou l'homme de l'Akatsuki devait se rendre. L'un des enfants le vit et fit un signe aux autres jeunes qui partirent tous sur le champ, comme sentant un danger.

Tsuku ouvrit la porte du domicile de ce jeune homme, de ce futur héros. Gravissant lentement une à une les marches le séparant de celui-ci, le froid et l'hostilité semblait prendre possession de plus en plus de l'immeuble, jusqu'à ce qu'il soit rendu. Il y eût alors ce qu'on aurait dit une minute de silence. Levant son pied, il éclata la porte qui le séparait de son but. Seule cette porte maintenant pouvait empêcher le destin de ce jeune Soufuku, mais elle était en pièce.

Comme tétanisé, le jeune homme se retourna rapidement vers Tsuku. Voulant se défendre, il mit sa main sur le côté de sa taille, comme s'il voulait prendre son sabre. Celui-ci, cassé, était sur une table un peu plus loin. Tsuku ne perdit pas plus de temps.

- Raiton shunshin.

Il prit un bond gigantesque et attrapa Soufuku par la gorge, l'écrasant sur le mur derrière lui. Il le regarda dans les yeux quelques secondes puis ouvrit la bouche.

- Dans les ères noires et désespérée, un homme toujours se lève. Seras-tu cet homme?

Il y eût alors quelques secondes de silence. Soufuku semblait incrédule face à ce que Tsuku venait de dire. Ce dernier fit quelques symboles avec sa main droit et la mit sur l'épaule gauche de Soufuku.

- Ishin Hakka!

Un symbole rond apparût sur l'épaule gauche du jeune Suna-jin. Le destin était maintenant lancé, l'histoire allait être ré-écrite.

- Ne me déçois pas. Maintenant, dors!

Soufuku s'étendit lentement sur le sol, endormis. Tsuku le lâcha et se retourna vers la porte démolie. Il entendait des pas monter, comme si quelqu'un voulait venir aider Soufuku. Tsuku alla alors vers la fenêtre et l'ouvrit. Regardant une dernière fois le jeune homme endormit, il dit tout haut :

- Je compte sur toi.

Il sauta de la fenêtre et disparut.

Rang S

Soudainement la porte du domicile de Soufuku éclata, le brouhaha le fit sursauter et il se retourna promptement afin de voir qui était le visiteur. Effrayé tentant de prendre son katana, malheureusement, il était trop tard son sabre était brisé, posé sur la table au milieu de la salle à manger. Il n’eut le temps de réalisé les choses que l'homme bondit comme un fauve enragé et le saisit par la gorge. Soufuku compris alors qu'il avait à faire à une personne d'une puissance titanesque et qu'il allait certainement y laisser sa vie si l'homme en question était accompagné de mauvaise intention. Ses pupilles fixaient le samouraï, l'agresseur lui dit alors :

- Dans les ères noires et désespérée, un homme toujours se lève. Seras-tu cet homme?

Une question, que voulait-il dire? Soufuku ne le savais pas, la poigne de l'homme était tellement forte qu'il en avait du mal à respirer. Plus le temps passait et plus il perdait des forces. L'homme en question fit quelque signe de sa main droite puis la posa sur l’épaule gauche de Soufuku...

- Ishin Hakka!

A cet instant, la douleur, atroce, semblable à une brulure, surmonta en Soufuku qui ne put s'empêcher de hurler de douleur. Marqué au fer rouge, le samouraï, la tête baissée ne regardait plus son visiteur dans les yeux. Tandis qu'un mystérieux symbole rond se dessinait peu à peu sur son épaule...

Un jours après Soufuku se réveilla il était toujours sonné par cette mésaventure, la marques toujours douloureuse, était bien présente sur son épaule. Mais que lui voulait cet homme à la fois si menaçant mais surtout si espérant. Il semblait placer une foi incroyable en Soufuku. Lui marqué à vie se posait des question sur le sceau qu'il lui avait été apposé. Et surtout à quoi pouvait-il lui servir, pourrait-il rencontrer ce mystérieux visiteur...

» B - Soit proche de tes alliés !
» B - Soit proche de tes alliés ! [ECHEC]
» [Terminée] Que justice soit rendue
» Enfin chez moi
» ... Et je te souhaite la bienvenue chez moi !

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