A brand new world.

L'examen était finis, après une escapade à Konoha pour une mission de la part du Kaze Kage Soufuku Nitobe, le samouraï tout juste promu chuunin du se rendre au village de Suna pour un départ immédiat, en effet il devait se rendre sûre les rives d'un endroit jusqu'alors inconnu. Le vieux continent tel était le nom qu'il lui était attribué. Il se demandait quel était le moyen de transport et lorsqu'il apprit qu'il devrait effectuer le voyage par bateau le mauvais souvenir de la traversé maritime qui l'avait emmené à Kiri refit surface. C'était partit pour un énième mal de mer. L'acharnement du destin. Avec tant bien que mal il traversa donc l'étendue bleue, après quelques vomissement et mots de ventre il arriva sûre une terre qui était bien différente de ce qu'il avait put voir à présent.

Cet endroit, Le vieux continent, il fut surprit lorsqu'il en entendu parler la première fois et de cette surprise naquit en lui une grande curiosité. Quel était donc la raison pour laquelle  il devait s'y rendre, était-il le seul shinobi envoyé ici ? Une question bien idiote, du moins il était toujours aussi mal informé, évidemment qu'il n'était pas le seul et l'unique sauveur car le monde, le sien celui des ninja et des samouraï était menacé par un tyran fous aux idéaux noir, souhaitant colonisé le monde shinobi après avoir acquit le sien. Pourquoi... Mais pourquoi il y a tant de personne ayant l'esprit aussi tordu ? Vous me direz il faut de tout pour faire un monde mais la, ça fait quand même beaucoup. Chose bien avec c'est gens là, on ne s’ennuie point ! Ah que non ! Au contraire il y a de l'action à tout les coins de rues. Le vieux continent, un nom bien noble pour une terre emplie de mystère.  Le lieu d'arriver ce nommé Vinay del Zexay, c'était la capitale de la Confédération de Zexen, le partit qui avait demander l'aide à leur voisins ninjas. Ici bas, la foule applaudissait et acclamé ceux qui mirent pieds au sol, ils hurlaient à leur gloire, on pouvait comprendre l'espoir qu'ils nourrissaient et l'attente suscitée envers les samouraïs et autres guerrier. Cette scène fit comprendre l'importance des chose pour notre jeune samouraï de 21 années. Il comprit alors que c'est personnes avaient besoin de réconfort et d'espoir mais surtout que l'avenir du monde shinobi n'était pas la seule cause de cette bataille, il y avait aussi un peuple, une nation à libérer. Une femme, en armure, sa chevelure longue et grise s'adressa alors au peuple venu de l'autre coté de la mer :

- Bienvenue à vous shinobi de l'autre continent, je me présente, je suis Chris Lightfellow Général en chef de l'armée de la confédération de Zexen, je vous remercie d'avoir répondu à notre demande. Comme vous êtes sûrement au courant, l'empire de la lune écarlate basé dans les pays unis de Toran, à rallier tous les pays de se continent, mais nombreux sont ceux qui n'embrassent pas sa cause. Je vous ai donc fait venir ici pour lever une armée en recrutant ces gens pendant que vous parcourez ce continent. Vous aurez trente jours avant que le dernier bateau ne parte du port pour vous ramener sur votre continent…

Elle s’interrompit lorsque un homme en armure lui aussi, vint lui dire quelque chose à l'oreille, et reprit :

- ... Et avant que l'empire de la lune écarlate ne lance son attaque sur nous, les résistants. Nous vous enverrons alors un compte rendu de la guerre dès que celle-ci aura pris fin. Pour vous aider dans votre recrutement, la confédération de Zexen vous offre à chacun un domaine qui vous permettra d'y accueillir et rassembler vos futures recrues. Je vous souhaite donc bonne chance pour cette mission et encore merci de nous prêter main forte.


Elle était vraiment belle, enfin ce n'était pas le plus important, non elle avait parler de deux choses qui retinrent l'attention du Nitobe, premièrement l' Empire de la lune écarlate, un nom qui exprimait vraiment la confiance et l'assurance que pouvait avoir le coté adverse, mais par dessus tout la mégalomanie de leur dirigeant. Enfin nous allons avoir un domaine, et  nous ne nous battrons pas du moins c'est ce que le samouraï avait comprit en déduisant qu'elle avait parler de recrutement. Elle remercia alors les nouveaux venus choses que Soufuku trouva inutile il comprenait le besoin d'avoir des allié puissants afin de libéré le peuple et surtout de combattre l'injustice.
Elle partit, et un homme sortant de nul part vint à la rencontre de Soufuku il lui donna une carte et 29 bon, c'était peut être la monnaie courante sur ce continent, il lui disait qu'avec cela il pouvait dormir n'importe où enfin dans n'importes quelles auberges du vieux continent, il se dirigea alors avec lui jusqu'à le première auberge venu, et s'en alla.

Ici, le samouraï trouva un endroit chaleureux et avant de mener son enquête pour pouvoir recruter quelque membre décida de poser ses affaire à l'étage dans une chambre qui comptait un lis  et où la fenêtre donnait vue sur une place. Il posa donc ses bagages mais ne se sépara pas de son katana après tout, on est jamais trop prudent. Il descendit donc dans ce qui servait de bar et lieu de repas commanda quelque chose à se mettre sous la dent quand...

Quelque chose toucha le sabre du jeune Soufuku Nitobe, enfin pas si jeune que ça tout de même. Il fallait prendre en considération que le samouraï approchait peut à peut de sa vingts-deuxième années passé sur terre. Jeune pour un adulte, vieux pour un adolescent. cette petite place inconfortable destinée aux personnes qui avait franchi le cap de la double décennie, lui allait comme un gant. Il fallait parfois agir en tant qu'homme et parfois en tant que gamin. Et cela, lui sciait à merveille.  La tête dans les nuages, les pieds touchants le sol de l'auberge. Il s’imaginait à présent ce qu'il devrait accomplir ici sur le vieux continent, quand soudainement un petit cris, on ne peu plus aigüe le fit ce retourné. Il vit alors une jeune femme toute de rose vêtue. Elle sur un ton très bourgeois si l'on peut dire s'adressa immédiatement au nouveau venue dans l'auberge de la ville :

- Mon chère je doute que vous savez qui je suis, sinon vous vous seriez excusé immédiatement ...


Le sourcil gauche levé le regard perplexe du samouraï en disait long sur la situation évoquée, il était là devant une parfaite inconnue, a l'allure extravagantes, dans sa tenue qu'il jugeait d’excentrique. enfin il refusa de faire un commentaire sur son aspect et sur ce qu'elle dégageait après tout peut être était-ce coutume ici, d'agir de la sorte. Il ne dit pas un mot, alors qu'elle se retourna pour regarder à qui elle avait à faire. Chose cocasse il faut l'avouer elle s'adresse, aux samouraï qui se trouve dans son dos et fait comme si elle le voyait. Si il n'était pas sur ces terre, il aurait juré que cela était encore une techniques farfelue inventés par c'est shinobi. Enfin bref, elle se retourna et avec stupéfaction elle continua avec un :

- ... vous ?


Elle vint alors s'installer a la même table que Soufuku, le regardant, a vrais dire, cela le gênait fortement. Mais finalement l'idée d'avoir un peu de compagnie n'était pas de refus et puis cette drôle de dames pourrai certainement lui en apprendre sur ce continent et éclaircir certain points qui restaient mal-grès les très bonnes explications fournis précédemment, obscurs pour le samouraï de Suna no Kuni. Elle repris la parole :


- Je vous fait l'honneur d'être à votre table, vous pourriez tout de même me remercier. Vous êtes biens un de ses voyageur fraîchement débarqué ? Faîte vous le plaisir de me conter le pourquoi de votre visite.

Faire honneur ! Remercier ! C'était certainement une personne de la haute sphère, ou peut être une personne en déséquilibre mentale au final qui connaissait la réponse ? Et bien pas Soufuku en tout cas pas pour le moment, il regarda son interlocutrice ne disait pas un mots, attendant sa commande, le ventre criant famine aux files des minutes. Les yeux rêveurs il les leva pour faire face au personnage qui lui parlait et avant de répondre, leva encore une fois son sourcil gauche. Il choisit alors une fois sa réponse bien organisé, de libérer le son et les choses qu'il contenait en lui :

- Vous ne manquez pas de toupé, enfin ne le prenez pas mal, ce n'est aucunement mon intention. Avant de répondre à vos questions, ma cher dame, je vous direz, que vous avez malencontreusement heurté mon katana. Et bien qu'il soit si formidable, il ne peut parler, donc pour des excuse cela serait compliqué en revanche, je peux prendre la responsabilité des choses pour l'avoir à ma ceinture et m'en excuse. D'après ma première observation, je vois que vous êtes d'après vos manières, une personne de issue de la bourgeoisie et que certainement vous avez une place importante en cette cité. Vous l'avez bien deviné je ne suis pas de ces terres et oui je suis envoyé ici a la demande de mon village. Par une certaine précaution je n'en dévoilerai d'avantage mais avant tout si vous êtes digne de confiance bien sur je serai ravi de vous en apprendre plus. Un échange culturelle et certainement l'un des plus riches enseignement que nous pouvons recevoir au cours de notre existence.  Je voulais aussi savoir, je n'ai pas trop compris sur cette carte il y est dis que je possède un domaine mais où est il ?

Il ne dis pas son prénom, la dernière fois qu'il avait été confronté à une telle situations, il avait faillit mourir de la main d'un fous furieux qui l'avait même ligoté sur un lit d’hôpital. sa commande elle était arrivé c'est avec un grand sourire qu'il allait pouvoir déguster son repas quand avant ça il reprit la parole :

- Suis-je vraiment impolie ? Je ne vous ai même pas demandé si vous voulez manger quelques choses, je ne connais pas vraiment l'endroit donc dites moi ce que vous désirez et je vous l'offrirai.


Un parfait gentleman enfin si l'on veut .