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| Sujet: Les larmes du temps Jeu 21 Aoû - 23:02 | |
| Les larmes du temps. Espace temps.- Spoiler:
Dans le vide absolu, dans l'endroit le plus reculé du monde là où personne n'est encore allez. Là devant le néant où les plus répugnants des maux du monde sont enfermés. Ici l'homme au masque se trouvait de mémoire enfin il était connu que seul une poignée d'homme avait réussie à pénétré dans cet endroit que l'on appel le subconscient. Il fallait pour cela et comme nous le devinions si habilement avoir conscience que l'être humain n'explore pas toutes les facultés que son flux cérébrale le lui accorde. Les samouraïs (d'après les études que celui qui portait le sobriquet de Zeto avait menée par le passé) adulaient un homme qu'il considérait comme le plus habile d'entre eux, un guerrier pouvant améliorer ses réflexes ou autre en usant de son cerveau entrant dans une sorte de zone dont personne n'avait accès. Ici même se tenait face à lui un enfant souriant. Alors l'homme s'assit est enleva son masque. Les traits de son visage enfin apparaissait à la lumière du monde. Des cheveux long attaché de manière catogan, une barbe de plusieurs jours sous des traits fin et froid. Une image qui n’effrayait guère le bambin qui regardait l'individu assit devant son minois avec un air qui soudainement vira à la tristesse. La déception s'échappant peut a peut de son visage se dessinait aux coins de ses lèvres, le gamin levant une main le regard sérieux prit alors la parole :
- Est bien je n'aurai jamais pensé te revoir ici... Tu as bien changé depuis la dernière fois. Là, je vois sur ton visage les mêmes question qu'autre fois. Nous sommes chez moi dans mon univers et comme tu peux le voir il n'y a plus rien que d'obscurité je pouvais enfin dormir sérieusement mais ici tu es venus et même si tu l'ignores encore tu es présent de ton plein grès. Je ne suis pas en colère mais j'ai comme un sentiment de déception et d'énorme tristesse qui me parcours. Voilà pourquoi j'ai l'air si maussade alors que ta présence auparavant me remplissait d'espoir ( il leva alors son autre main et comme par enchantement un sabre se fit apparaître. Fendant l'air de cet atmosphère si glauque. Ses pupilles se projetant sur l'homme qu'il semblait connaître ). Cela sera notre dernier face à face ma dernière leçon à ton encontre il me semble que tu as sacrifié ton pouvoir afin d'obtenir une chose qui dépassent l'entendement. Il est dit que les grands combattants se comprennent lorsqu'ils échangent des coups. Alors j'espère que ton fer saura m'apporter la réponse a cette question que je m'apprête a te poser. Quand est-il de tes idéaux de paix ?
Zeto se releva il prit son katana ne sortait alors aucun mot de sa bouche il se contentait de regarder l'enfant qui sous ses traits chérubin démontrait une aura est une maturité digne d'un vieux sage. Il se mit en garde il était temps pour lui de débuter ce qu'il entreprenait est forcément de chasser ses vieux démons. Forçant sur ses appuis, concentré, poussant de son pousse gauche le socle de son katana il dégainait le premier. Se ruant sur son ennemie. Le jeune enfant sabre en main parvint à contrer le premier assaut de son adversaire. Le regard toujours emplie de cette espèce de maturité qui en générale ne devait pas être présente à l'intérieure des iris d'un gamin. Il bougeait d'une manière si gracieuse... Telle une cigogne pourfendant les alizés il répliquait à chaque attaque portée par Zeto. L'homme au masque lui possédait un grand charme au sabre, moins en grâce que son opposant mais d'une très grande maîtrise qui donnait l’impression que ses mouvements rapides étaient dotés d'une propreté sans égale. Au contraire de l'autre bretteur qui se trouvait dans '' l'endroit '' lui relâchait tout de même une certaine brutalité à chaque attaque. Vaillamment ils échangèrent un nombre incalculable de coup d'estoc essayant l'un et l'autre de prendre le contrôle de cette danse endiablée. La vitesse à laquelle ils se déplaçaient était faramineuse un simple œil humain n'aurait jamais eu la possibilité de percevoir ce qui à présent se déroulait dans ce lieux mystérieux. L'enfant porta une attaque soudaine et rectiligne en direction du foie de l'homme masqué. N'ayant pas eu le temps de voir venir le sabre qui se dirigea vers son organe, l'homme lui employa un réflexe dont-il avait le secret pour éviter l'attaque de moitié et ainsi limiter les dégâts qu'il subit. Changeant de son katana de main il porta à son tour un coup qui tailla l'épaule du gamin.
Cependant alors que n'importe quel enfant de ce monde se serait immédiatement arrêté a cause de la douleur lui restait de marbre gardant sa froideur et son sérieux. Ils continuèrent dès-lors sans plus tarder, leur combat. Le temps passait et mal-grès la tempêtes les deux branches ne pliaient pas. Les vêtement en lambeaux le visage marqué de fatigue, la sueur présente sur toutes les parties de leurs corps. Zeto baissa les yeux devant cet être qui emplie à défaut d'être innocent était doté d'une grande sagesse. Il était décidé à lui montrer le pourquoi de sa quête. Il était fin prêt a démontrer à cet homme l'étendue de sa volonté de sa force il était temps pour lui d'en finir. Les particule de la vie défilent avec le temps. Et ici même la mort figerait les aiguilles de l'horloge du destin. Ils foncèrent l'un vers l'autre sabre en position le regard fusionnant au fur et à mesure qu'ils se rapprochèrent l'un de l'autre. Une goutte d'eau tombait du ciel, de son nuage gris, elle fendait l'air. Regardant le paysage, la verdure, les montagnes. Reconnaissant de vue la faune sentant le parfums des fleurs. Elle traversa une tige de bambou. Il se trouva debout face au gosse. Lui était allongé le sourire à bouche d'où un mince file rougeâtre s'en échapper Aux travers de ses multiples râles il ne put prononcer que quelque mot indescriptible jusqu'à la dernière syllabe... Be c'était donc son dernier mot, non il employa ses dernière force à lui tendre une main si fine et si douce mais tremblotante. Baissant le regard s'inclinant Zeto aussi froid qu'une pierre tombale prit la parole à son tour chose rare qu'il fallait pourtant observer.
- Voici le chemin pour ma paix, je suis à présent le dernier. Le monde connaîtra mon jugement j'irai alors prêcher la paix jusqu'au cieux. Je n'ai pas besoin d'aller plus bas. Car en ces terres nous sommes déjà en enfer.
Les yeux larmoyants il s'estompa son corps disparaissant en poussière. Il ouvrit les yeux une goutte d'eau venait de finir sa course passant d'un bambou à son visage la nature était agitée. Il le ressentait se levant le masque sur le visage il venait de finir sa méditation. L'énergie naturelle qui parcourait le monde et le cosmos était en perpétuelle mouvement. Zeto compris qu'il n'avait plus beaucoup de temps et qu'il fallait qu'il aille à l'encontre des shinobis. Il était temps que la paix soit sanctifié en ces terres maudites. |
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