Tenzo Iburi, Le Shinobi de la résonance Fulminante

Iburi

Tenzo

In Rp...

• Âge : 21
• Nom :Iburi
• Prénom :Tenzo
• Sexe :Homme
• Nindo :Maîtriser l’art des shinobis, créer le son parfait
• Village :Konoha
• Clan :Iburi
• Grade :  Anbu-Racine(Avec l'accord d'un administrateur)
• Bingo-Book (Remplacer https://sns-rp.forumgratuit.org/URL_DE_VOTRE_BINGO_BOOK par l'adresse de votre Bingo-Book. Puis supprimer ce message.)

On n'oublie pas un visage...

Description physique en minimum 10 lignes, sans oublier que nous prenons en compte la longueur et la qualité de l'écrit.
Contrairement à l’esprit, le corps exprime sa simple existence, son passé et ses aliénations sont plus apparentes. Son passé d’esclave, certes bref, traça des sillons dans son dos, il fut également marqué au fer rouge dans le haut du cou, une forme de cercle d’au moins 10 bons centimètres de diamètre. Avec le temps et après avoir retrouvé la liberté, il n’eut jamais un appétit très développé, ce qui le rendit frêle durant tout le reste de son existence, son goût des choses simples resta emprisonné avec son passé et sa mère. Oteko, le sauveteur étrange qui avait croisé son chemin, lui prodigua un entraînement à l’art du Shamisen ,et ainsi le pauvre orphelin à la peau livide et froide sut se réchauffer en pinçant de ses doigts quelques cordes. Plus tard ce simple don de créer des résonnances avec les choses se mua en une capacité inné à former des mudrâs, il devint relativement bon  dans le ninjustu et dans leexpert, l’agilité de ses doigts lui conférait un avantage indéniable. Malgré son talent naturel pour le ninjustu et le Shamisen qui aurait déjà  pu faire de lui un ninja exceptionnel, l’héritage des Iburis, leur capacité à se transformer en fumé, à produire de la fumé, le rendit redoutable en combat rapproché et vint dans une certaine mesure combler la défense déjà complexe de l’utilisateur de Shamisen lambda. Par ailleurs la mémoire du clan devait être restaurée, et dans une sorte de liturgie Tenzo rendit hommage à ses défunts ancêtres en se tatouant un arbre mort dont les branches et les racines ,enchevêtrement de flammes d’encre  noire, venaient recouvrir dans son dos certaines de ses cicatrices. Recouvert généralement par un Kimono de couleur bleu, son Shamisen dans le dos, ses équipement ninja autour des hanches, il apparait civilement comme une personne affable. Cependant son rôle au sein de la racine, le force à revêtir en mission l’uniforme de l’anbu, tout dépend des occasions. Il fait environ 1 m 80, cheveux noirs proches du bleu

Dans les méandres de mes pensées...

Description mentale en minimum 10 lignes, sans oublier que nous prenons en compte la longueur et la qualité de l'écrit.
Une description mentale du personnage semble requise. Mais comment décrire une chose aussi abstraite que la pensée d’un être humain? Si ceci n’est pas la réponse à l’énoncé c’est bien l’une des questions que l’esprit tortueux de Tenzo pouvait se poser dans ces innombrables moments de doute. La mort prématurée de sa mère, les espoirs scintillants qui brillaient dans ses yeux continuaient de le hanter, souvenirs inoubliables presque marqués dans sa façon d’être, il était le fantôme incarné des rêves de l’infortuné clan Iburi. Sa mère Yukimi après avoir échappé au Terrible Orochimaru grâce à l’intervention du village  Konoha avait pu vivre une vie presque paisible. Un mariage heureux avec un propriétaire foncier de la région Est du pays du bois, lui promettait un avenir radieux, sa jeunesse ayant été plutôt mouvementée, la jeune Yukimi pensa trouver la paix  nécessaire à la renaissance de son clan. Elle tenta de son vivant d’instruire le jeune Tenzo à l’histoire tragique de son clan, et insista, particulièrement, sur le don de sa naissance. La mort de sa mère, tragique accumulation de circonstance  et  d’appât du gain serait le premier contact qu’il aurait avec la misère humaine. Il en eut malheureusement bien d’autres. Profondément marqué par la déchéance du mariage de ses parents et l’atroce fin qui leur était destinée, la pauvreté et l’errance de sa jeunesse, Tenzo ne put que développer un caractère froid et distant.
Son caractère se mua pourtant en un cynisme sympathique, lorsqu’il fit la rencontre d’Oteko, un personnage excentrique digne d’un roman picaresque qui le sorti des bas fonds d’un circuit d’esclavage apparut  dans le pays du bois. Il fut son maître pendant un temps en tant qu‘utilisateur du Shamisen, et lui transmis une parti de son état d’esprit tranquille, serein, et enclin à l’humour mais ne parvint jamais à  ôter cette teinte de mélancolie qu’il y avait sur le  visage de Tenzo.  Après  la mort d’Oteko, Tenzo entra dans l’académie  des ninja de Konoha, peu enclin à se créer des relations sociales, il développa un aspect taciturne, et trouva dans son Shamisen, dans son  art, son réconfort.

Jamais je n'oublierai...

Histoire en 20 lignes minimum de préférence divisées en grandes parties (ou chapitres)
L’enfant tant attendu
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Les espoirs inassouvis du clan Iburi se reflétèrent dans le visage de Yukimi. Ils s’envolèrent en croisant les yeux de son enfant, il fulminait déjà de vie, et une épaisse fumé dansait sur le plafond, elle souriait tenant dans ses bras le nourrisson. Il grandit vite et bien, au sein de ce foyer que Sekuri parvenait à maintenir tant et si bien… Le village en bordure du pays du bois avait été le dernier lieu du grand périple de Yukimi, celui qu’elle avait entamé grace à l’aide de Yamato. L’enfant n’avait pas la même faiblesse que ses ancêtres, cela sa mère l’avait compris dès l’instant où elle l’avait tenu dans ses bras. Contrairement aux membres maudits de son clan, il avait la particularité de ne projeter  que de la fumé, son corps restait étonnamment solide, ce ne fut que plus tard qu’il développa la capacité de son clan  à l’aide de son chakra, une chose aisé vu la nature de son pouvoir.  «  Et à cet instant, Yamato dans une tentative désespérée, utilisa sa capacité de créer du bois. Mokuton , si tu t’en souviens… Une gigantesque structure de bois, qui tentait vainement de rattraper les morceaux de mon corps… Et quand tout semblait perdu, la fumée de tes ancêtres, prit le relais et me sauva. De cette vision magnifique, un arbre resplendissant naquit plus au nord, au sein d’une caverne aujourd’hui  transpercée par ses branches  insatiables…. » Lui racontait-elle, certains soirs avant de continuer: « Tu es l‘enfant tant attendu, la légende que nous promettait le terrible Orochimaru.. » Sa jeunesse fut remplie de nuages… Apparus  succinctement à chaque moments de plaisirs…  Son adolescence en fut également pleine… pour d’autres raisons. La stabilité du foyer où il naquit ne perdura que 5 courtes années, son présent père il nous arrivera dans douter, avait l’intention muette de pourvoir au besoin de sa famille, avec ses gains de jeux. Une volonté bien présomptueuse il en convient, qui mena indubitablement le mariage à sa perte. Echangés  après une soirée de défaite acharnée, Yukimi retrouvait le plaisir de l’esclavage et de l’humiliation, tandis que son fils appelait Tenzo en référence à son oncle , paix à son âme, accueillait  encore timide   les diverses manifestations imaginables de la charité et  de la bienveillance du genre humain…

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Le sauveteur  tant inattendu

« Divertis moi! » Hurlait l’homme gras expulsant au passage quelques miettes di morceau de pain qu’il avait dans sa bouche aux joues remuantes. Le garçon se cripa, le rachitique spécimen dont le propriétaire s’était affublé en achetant cette femme, devait bien pouvoir servir à quelque chose. « Allez! Fume! Fume! » répétait-il en tendant sa coupe à Yukimi non loin de là. Le propriétaire fêtait alègremment avec ses nombreux amis la joie de sa richesse, autour de trois tables disposées en un carré imparfait qui entouré Tenzo. Prit au dépourvu, il se mit à gesticuler et à sautiller à cloche pied sans raison, il rougissait déjà, le garçon d’à peine 7 ans, semblait déjà comprendre l’objet du ridicule. Le bruit de sa coupe en train d’être rempli détourna le gros lard, il regarda la femme, la remerçia d’une main au fesse, et s’offusqua de la stupidité de son fils. Yukimi penaude se mit à servir les autres répliques viles et serviles qui étaient à sa table. Ils rirent, ils burent à s’en faire exploser la pance, on jeta une pomme au garçon [ oh non je sens que je vais la faire…]. Affamé il s’en saisit,  la porta  à sa bouche et la mordit [oh non!]. Ce qui sembla les amuser! Tenzo ne comprit qu’après qu’il venait de fulminer. « Le musicien est là chef! » S’écria un homme en entrant éreinté dans salle. « N’est-ce pas là un beau cochon grillé?! »[ca y est je l'ai fait... Et voilà c'est le drame] lança une voix parmi  les tables, qui répercutèrent une longue salve rire. Un homme vêtu d’un kimono rose ceinturé de rouge, avec sur la tête un grand chapeau japonais et sur le dos un instrument de musique  entra, il observa la scène et dit : « n’est-ce pas là un cochon bien maigre!? ». Il sourit. «  Ah! Enfin quelqu’un d’amusant, entres, entres, à coté de l’enfant! Montre lui comment divertir! » Il s’exécuta et s‘assis en tailleur à coté de Tenzo, il prit sa guitare (shamisen), la posa sur ses genoux et pinca une première corde. Un son grave retentit, la glaciale résonnance qu‘il produit dans les os de chaque individus présents attira l‘attention du jeune garçon..
La soirée passa, et les riches bandits se pâmèrent le ventre plein d’alcool et les oreilles de mélodies traditionnelles. Vint un moment, où l’étranger au chapeau discuta de sa paie, Yukimi entendit vaguement qu’il la refuser en échange du garçon, ses yeux s’humectèrent de larme, transis de bonheur et de peur à la fois. Tenzo comprit vite dans les yeux sa mère, la nature du malheur,  il aurait voulu lui dire au revoir, mais le temps semblait pressé son nouveau propriétaire.

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Le Shinobi au Shamisen: « Senritsu kebatsu no Jinrui »

Le nouveau propriétaire s’avéra être un être bienveillant, il libéra Tenzo le lendemain de leur rencontre, après avoir parcouru quelques bons kilomètres en direction du sud, vers la frontière du pays du feu. En réalité, les appréhensions que Tenzo ne concernèrent pas l’homme en question, mais bien plutôt la condition de sa mère. L’homme se prénommait Oteko et se révéla être un alcoolique sévère, accro au sexe et fan de discours à rallonge dont  l’incapacité à écouter le silence l’avait forcé à devenir musicien. Mais il cachait un plus sombre passé, auquel Tenzo n’eut pas accès, ou du moins il ne trouva pas les vagues monologues imbibés d’Oteko souvent un sens cohérent: « Les notes sont comme les gens, elles naissent et puis disparaissent, comme de ridicules échos sur une tablature désincarnée… Elles ne sont ni belles, ni laides, elles sont, et cela suffit pour qu’elles soient belles dans toutes leurs expressions… Vois tu! Le Ninja s’approprie son adversaire, il comprend et connait, il prépare pour mieux abattre ses justus… De la même manière, le musicien s’approprie le son. Vois tu je n’accorde d’importance qu’à peu de chose, tu aurais été  n’importe quel autre esclave je ne t’aurai pas pris sous mon aile, mais tu seras un grand shinobi et je veux qu’avant ma mort, tu me remplaces. Vois tu n’ayant pas eu de descendance jé… » L’homme s’évanouit. Tenzo le regardait dubitatif, les yeux tout grand, cela ne faisait pas 24h qu’il était avec lui. Les jours défilèrent vite et bientôt les années, ils ne firent que s’entrainer et chasser, installant des camps dans les bois, retournant en ville mendier quelques pièces en grattant quelques cordes, dépensant cette argent en femme et en alcool. Au bout de 4 ans, lors d’une nuit douce, Oteko prit la parole, ses mots étaient rocailleux et son visage sombre: « A présent je n’ai plus qu’une chose à t’apprendre, et ce sera la dernière, je disparaîtrai après, te laissant  à ton sort et espérant te recroiser. » il s’éclaircit la voix «  Les shinobis du Shamisen ont depuis des temps immémoriaux, transmis cette mélodie, supposé descendre de la Princesse Kaguya: « Senritsu kebatsu no Jinrui » » il prononça ses derniers mots en laissant sa bouche prononcé les syllabes de manières exagérée, comme si faire sortir ces mots d’une gorge humain inspirait peine et trépas. «  Maudit soit ceux qui entendent ce son, je ne pourrai pas t’apprendre que les deux premières étapes de cette mélodie, la troisième à ton niveau te tuerai en t’enveloppant d’un doux linceul » Il pinça trois cordes à la fois qui alliées semblèrent être un chant, Tenzo se figea, prit d’imperceptibles tremblements, Oteko  répéta ses notes plusieurs fois, et descendit d’une octave en prenant deux cordes différentes.. La mélodie était aussi glaciale que la première note qu’il avait entendu ce jour avec sa mère. Il prit conscience qu’il ne la reverrait jamais. La seconde partie de la mélodie lui noua l’estomac au point qu’il tomba à la renverse, comme prit par un Genjustu, il voyait  des images irréelles. Sa mort, la mort des êtres chers, un poids métaphysiquement insoutenable; des acouphènes acharnés harcelant ses oreilles.

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Le shinobi de la résonance fulminante

Après cette démonstration, oteko expliqua que la dernière partie de la mélodie était gravée à l’arrière de son instrument, et qu’il allait à présent lui transmettre. La mélodie pouvait être joué dans un sens aléatoire et ne dépanadait  que de son utilisateur. C’était apparemment un justu entre le genjustu et le ninjustu, qui consistait en une  propagation sonore parallèle à une propagation de chakra.  L’homme se coucha, sorti une petite fiole de son kimono ainsi qu’une bourse qu’il lança au jeune musicien,  il lui tendit après son instrument et le chassa. Au loins Tenzo se retournait il vit l’homme boire le contenu de la fiole, avant de se mettre à tousser, à la lueur de la lune resplendissante et froide,  la nuit était un drap de solitude.


Il entra ensuite dans l’académie de Konoha, et passa 10 ans au service du village.  Il gravit peu à peu les échelons et se spécialisa dans l’art du Mokuton ainsi que du fuinjustu, son shamisen étant une arme et un art différent  mais relié à l’art des shinobis. Il a atteint aujourd’hui le grade d’Anbu au service de la racine, son profil sombre et taciturne étant un atout de taille  dans une telle organisation.

Mon clan, mon honneur

Histoire de clan (longueur au choix) cf wiki naruto

Vie

Privée