Soufuku NitobeRang S
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Fiche shinobi
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Talents:  |  Sujet: Chronique de Tetsu no Kuni # 2 : Nitobe Shinsuke Jeu 3 Déc - 0:27 | |
| Chronique de Tetsu no Kuni # 2 : Nitobe Shinsuke Il y a quasiment dix-sept ans, dans une petite maison cachée parmi les feuillages et arbres de la foret. Un jeune homme tenant en ses mains un ouvrages aussi vieux que cornus regardait le soleil se coucher, avec un air de nostalgie couplé d'un sentiment de dégoût quant à sa nouvelle découverte. Dans ce livre écris à l'encre était retranscris la vie d'un homme qu'aucun livre d'histoire à Tetsu no Kuni, Pays du Fer ne mentionnait il était certainement là, question de la facette noir de la société étatique du Pays des samouraïs.... Monde actuel il y a plus de 100 Ans. Je suis née un soir d'hiver, mes parents étaient de simples ''gens '' qui cultivait la terre mon père avait rencontré ma mère de la manière des plus naturelles qu'il puisse être. Un soir de fête dans ce qui pouvait ressembler à un village de campagne. J'ai donc grandis parmi les vaches et les pâtures. Mais au fils des âges je n'ai pas souhaité poursuivre dans la voie que le destin m'avait choisie enfin était-ce le destin ou la providence ? Le karma peut être non rien de tout ça je savais simplement depuis ma plus tendre enfance que je n'étais pas à ma place ici. J'avais comment dire un don une sorte de faculté, des capacités physiques exceptionnelle et un intellectuel très poussé mais de grands dons impliquent, pour avoir un effet de contre-poids pour moi c'était simplement une rage peut communes un excès de colère qui me donnait l'impression d'être un surhomme cela me valus de nombreux sobriquet tels quels '' Hakuma'' ou fils du démon. Et bien mes jeunes amis oui je n'ai pas à le dire j'étais un véritable démons.
Plus tard sur le champ de bataille j'ai appris à tué, enfin j'ai plutôt confirmé les prédispositions que j'avais pour cette tâche. La guerre fut ma première femme, mon premier amour. Son doux parfums, son allégresse, sa tristesse. Quel paradoxe pour un homme de se sentir vivant qu'en ôtant la vie d'autrui. J'étais donc devenus un samouraïs hors pairs respecter ma technique du iaigiri était des plus redoutable. Mais ce qui me plus le plus dans cette aspect de la guerre fut de rencontrer des personnes qui étaient comme moi qui possédaient aussi ce fabuleux don. J'appris à mon pus grand étonnement que tout samouraï le possédait. Vint alors le questionnement à mes doux parents et j'appris encore une fois à mon insu la plus profonde que l'un de mes ancêtres fut dans les premiers à être définis comme adeptes du bushido.
Vous ne pourrez imaginer la joie et la fierté me parcourant les veines à ce moment précis. Très vite une nation se forma nous rassemblions clans et familles de samouraïs sous la bannière d'un seul homme le premier Shogun. Je pris mes distances avec ce champ de bataille enivrant pour fonder une famille. Et établir le clan Nitobe. Une fois mon premier fils né j'ai entrepris une brève carrière dans la littérature et la dramaturgie. Sans sucés me direz vous. J'ai aussi étudier le moyen de rassembler une nation. Le peuple en était la clé.
( Pris dans sa lecture Nitobe Soufuku constata à sa plus grande peine qu'un chapitre manquait a la vie de cet homme répondant au même nom de famille que lui. )
Et puis était venue le temps des premiers Shinobis et de leurs manière à reproduire ce que nous faisions de mieux, la guerre. Le Shogun et son gouvernement se mire à collaborer avec cette sous races de bon à rien ne visant qu'a dominé ses semblables. J'en fus attristé nous avons donc formés une rebellions avec d'ancien camarade de guerre pour détruire cet homme peux scrupuleux et prendre le pouvoir c'est simple il n'y avait qu'un seul mot d’ordre annihiler le Shogunat et le système Shinobi dans l’œuf. Personne ne me croira mais à l'époque nous étions bien meilleur que ces charlatant, avec les huit zones du bushido nous étions intouchables et personnes d'autres que nous les généraux sans couronnes ne maîtrisait notre art aussi loin, pour fire simple j'étais parvenus à me changer partiellement en démon d'après les dires de mes camarades, je ne peux vous dire si cela est véridique mais, intrinsèquement j'en ressentais la force. Celle d'une véritable bête. Le soir de notre attaque fut brève car cinq d'entre nous furent trahis. Nous devions nous faire hara kiri comme le voulait la tradition. Voilà mon fils, mes fils à ceux qui me suivrons dans les âges futurs. Je vous lègues ma vie et mes leçons du passé. Le soleil moi Nitobe Shinsuke. |
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