Un balai de trop

La nuit étais tomber tôt et cette période de calme avait permis a la petit de se sustenté de petit lézard. On en trouvait beaucoup dans cette ville, de quoi manger un long moment. Croustillant, quoi que un peu dure à mâcher, Maigo ne se plaignait pas de se régime.

Après son repas, la petite se dirigea non nonchalamment vers un endroit repéré durant la journée un endroit tranquille et sombre ou elle pourrais dormir pour la nuit. De normal, elle aurait du dormir dans la maison du Kage Soufuku, mais ce dernier étant à l’hôpital et donc, laisser a elle même, Maigo fessait ce qu'elle croyait juste, soit trouver son propre abris.

Sauvage de sa naissance et son abandon, elle ne comprenait aucunement les coutumes étranges de ces bipèdes. Elle même marchait rarement sur ces deux pied, marchant à quatre pattes telle l'animal qu'elle est. Un de ces bipède venait d'ailleurs près de l’endroit ou Maigo s'était allonger pour la nuit. Cherchant à faire fuir la vagabonde, il la poussa de son ballai. Maigo c'était endormie dans le marcher sous une étal ce qui ne fit pas du tout plaisir au marchant occupent cette place.

Reveiller par des coup de balai, la petite arracha bien vite ce dernier des mains du marchant. Du haut de ces dix ans, elle ne s'en laissait aucunement imposer. Grondant contre le méchant, son langage corporelle montrait clairement de l'agressivité ce qui fit reculer le marchant qui appela un shinobie, en passage par la, pour l’aider. Le shinobie pouvais voir sous l'étal une fillette au cheveux blanc tout comme sa peau. Ses yeux bleu profond montrait une certaine colère, mais davantage de peur. Couverte de sable et de crase, la petite ressemblait plus à un bête sauvage qu'à un humain.

L’attaquant partie a la demande du ninja. Rassurer par son replis et aussi par le fait que l’homme un peinture s’était fait plus petit, Maigo cessa de grogner et changea sa position pour une position de défense plutôt que d’attaque.

Ses grand yeux observaient ce que les rayons de la lune dévoilaient sur le nouvelle arrivent. Étrangement, ce garçon - à son odeur musquer cela ne fessait aucun doute - avait le visage rougie de façon symétrique. N'ayant jamais vus cette particularité, il fut possible d’observer une lueur de curiosité à travers le regard effrayer de la petite.

La sauvageonne ne voulait aucune faire de mal, après tout comme elle n'avait pas faim et n'avait pas besoin de fourrure sa ne lui servait a rien de tuer ou blesser des gens. de plus rentré dans un combat inutile risquai simplement de la blesser et donc de diminuer ses chance de survie de chasse prochaine.

Comme tout enfant, elle se laissa vite berner par le sourire et l'air calme du chunin. Approchant à 4 pattes, la petite tendit doucement et lentement sa main vers le visage de l'adolescent pour toucher ses peintures rouge. À ce moment de la journée - ou plutôt de la nuit - Les marques facial paraissaient plus violacer qu'ils ne le devraient, mais pour l'imaculer, cela ne changeait rien puisqu'elle ne connaissait même pas le nom des couleurs.

Craintive de se nouveau monde, Maigo n’aurait pas le choix de rapidement s'adapter et elle avait comprit - depuis les quelques jours enfermer dans cette ville - qu'elle n’aurait pas le choix de s'adapter au bipède de la place. Elle s'était déjà retenue de manger leur enfant se contente des petits animaux ou de viande salée voler sur les étals ce qui lui avait valu quelque confrontation et correction de la part des habitant dont plusieurs s'était pleint au bureau du Kage. D'ailleurs une plait purulente se voyais près de ses cote, le sang ayant traverser le tissu tout comme le pu qui en sortait.

Couleur sang sans en être voilà a quoi ressemblait la teinture du visage de l'étranger. Maigo observait attentivement c'est doigt rougie pas le contacte, fessant rouler le substance entre ces doigt la sentant et allant même jusqu'à la licher.

Rapidement distraite du marquage facial, Maigo fut dérange pas un bruit métallique. Levant les yeux vers l'étranger, elle remarqua qu'il s'était lever et qu'un serpent sortait d'un chose étrange qu'il portait. Se serpent n'avait ni yeux ni bouche mais le bruit percent des limaille s’entrechoquant effraya bien vite la gamine.

Le serpent était impressionnant et la sauvageonne savait que trop bien les danger que le serpent pouvait représenter, elle en avait observer plusieurs chasser. À tout danger sa solution et cette fois c'était le fuite!

Fuir, mais pas ou? cacher sous létal passer prêt du serpent aurait été sa seul chance de s’enfuir mais connaissant la rapidité d'attaque des serpent cela n'aurait qu’encourager se dernier a la mordre mieux valait de rester immobile.

Osant à peine respirer et bouger elle continuait de regarder cette chose au bruit assourdissant s’approcher d'elle. puis, étrangement, le serpent se dissolva pour venir se mettre sous elle et la soulever. Intriguer et apeurer la petite fit plusieurs tour sur elle même cherchant a comprendre, mais n'osent sortir de la zone grise de peur que le serpent revienne.

C'est un regard suppliant et inquiet, suivie de petit couinement de détresse qui se riva sur l’homme peinturluré. Il ne pouvait comprendre, mais Maigo clamait pitier.

La chose perdit lentement de l'altitude et reposa la petite créature aux sol. cette dernier recula bien vite pour se cacher dans l'ombre de l'étal d’où elle pouvait observer créature et shinobi. Accroupie, elle se protégeait des potentielle attaque en était assoupie et appuyer sur ces pattes arrières bras replier près de son poitrail les main crisper pour libéré la paume tout en laissant ses ongle tranchant pointer vers l'ennemie.

Puis tout se sable argenter se transforma en un petit lézard, proie facile et vulnérable au attaque. piquer dans son instinct de chasseur, mais aussi dans instinct de survie - tuer ou être tuer - la petite chercha donc a capturée le lézard de ses petites mains. Le sable ferreux nu aucun mal a se faufiler entre ses doigt pour reformer l'apat un peu plus loin.

Après quelque essaie, la petite, qui suivait sa proie en un mélange de saut et de marche a quatre patte - qui montrait sa grande agiliter en cette position - chercha un autre moyen pour attraper et enfermer la bestiole. une idée ingénieuse passa a traver son esprit. Si elle pouvait faire une sorte de cocon de sang pour se protégé, elle pouvait surement y enfermer quelqu'un ou quelque chose non?

Le sang qui tachais ses vêtement commença a se léquifier pour se poster non loin de leur lieu d'origine. Après quelque seconde, les vêtement était tacher que par le pue. L'arme de la petite, redevenu liquide, forma un filament rapide et précis vers le curieux lézard, mais fut un échec une partie de la sphère s'était former sans que le reste ne se forme.

Loin de se décourager, Maigo continua plusieurs fois. Elle continuait de suivre la limaille de sa démarche sauvage et essayait toujours de capturer le lézard entre ses mains, mais a chaque coup le petit lézard réussissait a s’échapper. La sphère, t'en qu'à elle, ne cessait de se construire que partiellement et de se déconstruire pour permette a Maigo d'avoir du matériel pour continuer d'essayer. Une mi-sphère, un mur, une plate : le sang prit toute les formes. Ces que quelque quartier plu loin que la petite réussi a former sa sphère correctement enferment le petit lézard.

Sur leur passage le shinobi et sa protégé avait attirée bien des regards et attiser plusieurs conversation. Aucun civil n'avait oser intervenir et tout les shinobis qui avait croiser leur route avait jeter un regard distrait sur la situation.

Satisfait de sa capture la petite ramassa la sphère solidifier et l'observa d'un aire curieux avant de la renifler et de la licher. Elle continua son inspection en secouant ardument la petite sphère.

La sphère roulant dans sa main, Le petite se concentrait sur sa proie. La limaille redevenu simple limaille produisais un son caractéristique lorsque la petite secouais la boule de sang : celui d'un hochet. Amuser par le son, Maigo continua de plus belle à mouvoir sa prison.

Elle alla même jusqu'à lancer cette dernière au sol, c'est a se moment quelle observa la créature plus grosse que sa dernier proie. La vampiresse avait capturer une bête pour en affronter un autre. bravant la bête, elle recommença son manège, mais cette fois avec plus de discrétion, cherchant un moyen de l'avoir par la ruse.

De plus, fait non négligeable, la plait que ornait ses cotes la fessait arrosement souffrire. Ne montrant aucune souffrance pour ne pas devenir la proie, la petit fini tout de même par se cacher prés d'une caisse posé au sol après avoir franchie l'entré du quartier des Jishaku.

Portant une main à ses cotes meurtries, elle petite reprenait son souffle. Un nuage de vapeur s’échappait de sa bouche. Ce phénomène, elle n'arrivait pas a le comprendre. Comment les nuits pouvaient être si froide alors que les jours était plus chaud que le cœur encore battant de chien de prairie? La chaleur du jour était égale au jour de sècheresse, mais pas seulement quelque jour. NON! Tout les jour que le ciel emmenait.

Fatiguer de sa chasse, mais surtout du a sa plait qui la meurtrissait, Maigo se recroquevilla pour appuyer son dos contre la caisse ne fessant que suivre la bestiole du regard, écoutant le bruissement de la limaille, une main contre sa plait.

Fiévreuse par cette infection, la petite se savait rapidement condamner si elle ne pouvait se soigner, mais ici, dans ce désert, endroit dépourvue de végétation, comment pourrait-elle y arriver? Ce monde était trop hostile pour qu'elle puise y survive encore bien longtemps. Peut-être devrait-elle s'abandonner au bipèdes? Certain l'avait approcher sans sembler agressif, de tout manière ces dernier aurait raison d'elle. Un viendrait un jours pour défendre son territoire ou sa nourriture et Maigo ne pourra plus riposter...

Le bipède sympathique qui l'avait suivie de près, celui au visage rouge, partait en courant, une vitesse de pointe étonnante mais rien comparer aux dangereux jaguars de la forêt de feu! Avec l’ombre du Jishaku disparus le lézard s'effondrant sur lui même, disparaissant dans le sable.

La petite ferma les yeux quelques instants, respirent l'aire qui avait chauffer toute la journée, mais qui n'avait su garder cette chaleur, respirant les odeurs laisser par la confection des repas du soir, respirant l'odeur sans fleur de l'endroit. Une prison, une cage! Cette ville n'était qu'un gigantesque prison dépourvue de barreau.

Un bruissement, celui caractéristique des pat dans le sable. Ces pas étaient bien presser et semblait provenir de deux bipèdes. Alerter et terrifier, la petite ouvrit grand les yeux, deux saphirs dévisagèrent le chunnin ainsi que l'ancien. Feulant sans grande conviction, Maigo nue pas le force de repousser qui que se soit, ou peut-être lui manquait-elle la conviction?

La lumière vert surpris la sauvageonne esquivant le coût d'un mouvement latéral qui la projeta tout droit dans les bras du jeune Jishaku. Ainsi immobiliser, la petite ne pu reculer a la deuxième tentative du grand-père.

Dans la mer de ses yeux miroitait l'inquiétude de l’inconnu, mais rapidement elle comprit. Sa douleur disparaissait quand la lumière la touchait. Le lien ne fut pas difficile a créé et ce lien fut le début d'un pont d'amitié entre ce duo et l'immatriculer. Rapidement, de cette vilaine plait ne resta plus que la tache de pue sur les lambeau de vêtement de la petite.

Lorsque le vielle homme retira ces main, L'enfant nécessita pas un instant a retirer le vêtement qui couvrais le haut de son corps pour examiner allègrement ce qui fut jadis un pente glissante vers la mort. Son inspection passa par plusieurs sens, le toucher, la vus et même l’odorat! effectivement la petite se contorsionna pour sentir emplacement de ces nouvelles cellules épithéliales.

Heureuse et remplis de gratitude Maigo offrit son plus beau sourire et un :

-Mèrki

Vestige de ses parent un mot déformer par des année d'inutilité, prenant la poussière dans la partie langage du cerveau. Un Merci drôlement prononcer? peut-être, enfin espérons que le duo comprenne ce petit mot, signe d'un civisme passer.

Les premier pat vers la domestication commençait. Soigner la petite sauvageonne l'avait mi en confiance envers ces deux étranger, mais comme tout animal, la nourriture était aussi une bonne méthode de la convaincre de sa sécuriter ici.

Toujours appuyer contre le ninja, Maigo renifla le pemmican. Se remettant sur ses quatre pattes la petit fit face au ninja, vola le morceau de viande en le prenant dans sa bouche et s'éloigna pour le manger. Elle continua a porter attention au jeune ninja appréhendant une attaque pour récupéré son bien.

elle engouffra le morceau avant d’approcher doucement Shinki cherchant a comprendre pourquoi il n'avait pas broncher ou chercher a récupéré sa nourriture. Son langage corporelle n’énonçais plus de la crainte, mais de la curiosité.

Approchant d'avantage, la nouvelle a Suna approcha son visage de celui du shinobi le sentent puis portant portant un petit coût de langue sur le nez du bipède. Reculant par la suite pour mieux le fixer dans les yeux.

Le maquiller chercha a faire comprendre quelque chose a Maigo. cette dernière, trop occuper a manger le morceau de viande sécher, ne se préoccupa pas de ses paroles. Elle n'avait guère l'intention de laisser son repas pour quelque gestuel désorienter et inutile de ce bipède, de plus ces parole était tout aussi saugrenue que ses mouvement, enfin, au yeux de la petite.

C'est peu après que Maigo aie remercier la jeune homme que l'homme a la lumière reviens avec un vêtement, le donnant au contrôleur de limaille qui le présenta ensuite à la demoiselle. Comme on si attendait, elle renifla doucement le morceau de tissu. Se dernier sentait étrange, Pa tout a fait ce qu'elle avait deja sentie mais à la fois l'odeur ressemblait à tout ses morceaux de linge pendu sur des cordes prêt des maisons de la forêt du feu. Ces même vêtements que la chitonnienne volait de temps à autre.

Comprenant que le vêtement était une offrande, la petite se déshabilla devant les deux homme et autre personne qui épiait la scène. Par ce geste il était claire que la petite ne comprenait pas le principe de pudeur, mais il livra aussi quelque bride de son passer : des cicatrices. Par dizaine, ils parsemaient son corps livrant une histoire: coup de griffes, brûlure, corde trop fortement serré, blessure a l'arme blanche et bien autre.

Ne faisant guère attention a la réaction de son entourage, la petite ne fit qu’enfiler la robe offerte et tester le confort de cette dernière. Reprenant ces réflexe de fillette, elle tourna sur elle même

«Un homme et une femme tape dans leur mains au rythme d'une musique inodible. un sentiment de familiarité, de chaleur, de joie...»

Maigo se figea regardant le vide espérant continuer de voir ce souvenir.Éphémère, il disparue, enlevant tout sourire a la petite... elle perdait de nouveau ses parents.

Des larmes perlait au coin des yeux océanique. Abandonner par la mort, elle restais dans se monde sans but ni victoire, une âme perdu parmi tant d'autre. Elle ne pouvait se l'expliquer, mais lorsque beaucoup aurait abandonner elle se sentait l'obligation de continuer a vivre. Etes-ce ces parents qui lui insufflait ce désir?

Maigo perdit l'équilibre et se retrouva encore a quatre pattes au sol. Les mains tendu l'avait fait sortir de sa torpeur et progressivement, miette par miette, elles désagrégerais l'amure de la petite. Relevant la tête, la juvénile observa les deux membres de la petite famille. Tout deux avaient prit soin d'elle.

Le plus jeune tendit sa main d'avantage vers la nouvelle. Au début perplexe par ce qu'elle devait en frair, elle comprenait qu'un interaction était demies dans cette situation, elle décida d'y coller sa joue. Ce contacte peau a peau fut grandement apprécier par la petite qui commença à frotter ça petit joue glacer contre la paume chaude du Jishaku, un couinement de plaisir s’échappa même de sa bouche.

La vampire était prête a le suivre, à apprendre cette nouvelle imposer par le destin, elle vivrait avec ces bipèdes. Après tout, ceux vivant sur cette gigantesque plage semblaient bien gentil. La solitude serait histoire du passer.