-Tss..., siffla Sergerk en s'arrêtant devant le bâtiment où les anciens Kazekage avait stockés les armes des générations précédente.
"Une semaine de congé et au retour, une mission de nettoyage. Je risque pas de me tuer à la tâche..." pensa t'il " Quoi-que ça va me prendre la journée, voir plus !"
Sa tache était en effet de nettoyer ce vieux bâtiments, de dérouiller et aiguiser les armes encore en état et de jeter le reste. C'était une requête du Kazekage actuel qui avait surement remettre en place ce bâtiment que Gaara No Sabaku avait fermé lorsque qu'il dirigeait Suna.
Sergerk soupira puis s’avança donc vers le cadenas lourd bloquant la porte et l'ouvrit d'un coup de sabre ; la clé avait été conservé par Gaara et personne ne sut, à sa mort, où il avait placé les clés du cadenas. Heureusement pour Sergerk, la clé du bâtiment en lui-même était dans ses mains, remise en même temps qu'il avait pris la mission. Il remercia intérieurement celui qui avait retrouvé cette clé car il ne se voyait pas défoncer la grande porte blindée qui se dressait devant lui. La serrure n'était pas non plus cassée et Sergerk pu entré sans difficulté. Enfin, presque. La porte était rouillée et Sergerk du forcé pour la poussé.
"Évidemment, pas de lumière. Au moins y il a des fenêtres.
Il entra dans la pièce principale et se dirigea vers un des murs. Sa nyctalopie lui était très utile car des formes ressemblant à des corps jonchaient le sol. Il toucha le rideau qui empêchait la lumière d'entrer et il le sentit et le vit en lambeau. Sergerk déchira donc tout les rideaux jusqu'à ce que la pièce soit éclairés. Il constata donc que les corps étaient des mannequins servant à l'entrainement. Des cibles de toutes sortes se tenaient dans le même état lamentable de l'autre côté de la pièces. Sergerk scruta la salle et ne vit aucunes armes. Il en déduisit qu'on rangeait les armes dans la pièce qui se trouvait derrière la porte au fond de la salle.
Sergerk attrapa les mannequins et les cibles et les tria : ceux en bonnes état dans un coin, ceux rattrapables dans un autres et ceux devenu complètement inutile, Sergerk les jeta dehors.
Il fallu ensuite dégager la poussière qui jonchait le sol et Sergerk se dit "Encore une fois, j'ai l'impression que cette mission m'était destiné."
Il leva ensuite sa main à la hauteur de sa bouche avant de souffler :
- Daitoppa !
Aussitôt la poussières se leva et, poussé par un vent pas très puissant mais suffisant, se précipita vers la seule sortie possible, c'est à dire la porte encore ouverte.
- Tant pis pour le voisin ! plaisanta-t'il.
Il n'avait pas vu qu'un couple de passant s'était arrêté devant le bâtiment pour voir des cibles projetée et de la poussière s'envoler. Si ce couple avait réussi à éviter les cibles, il se prit en revanche la poussière dans la tête et dû repartir couvert de saleté.
Sergerk, de son côté, était en train de replacé les mannequins en bonne état à leurs places. avant de constater que la partie la plus facile du travail était fini mais qu'il était déjà midi passé.
Il partit, après avoir refermer la porte, dans la zone marchande pour y acheter de quoi manger mais aussi des artisans qui pourraient réparer les cibles et mannequins potentiellement réparable. Il en trouva un qui accepta et comme les frais était payé par le commanditaire de la mission, l'affaire fut conclue. Sergerk fit des aller-retours entres l'armurerie et l'échoppes et lorsqu'il eu livré tout le matériel, il s’aperçut que l'après-midi avait déjà bien commencé. Il retourna à l'armurerie et ouvrit la porte situé au fond. La salle qu'il découvrit était presque entièrement composé d'étagère ou beaucoup d'armes était entreposé. Sergerk partit d'abord vers le fond et s'attaque aux armes de jets. Il commença par jeté les parchemins explosif et les bombes lumineuses et fumigènes qui étaient tous inutilisables sans exception. Il lava les kunaïs et les shurikens qui occupaient à eux seuls la moitié des étagères car c'était les armes les plus utilisés puis il passa la tête par la fenêtre et vit que la nuit était tombée.
- Comme quoi la nyctalopie n'a pas que des bons côtés... pensa Sergerk à voie haute.
Il décida de reprendre son travail le lendemain.
Sergerk arriva de bonne heure devant l’armurerie, bien décidé de finir le jour-même. Il repartit dans la salle du fond et rangea les armes de jets qu'il avait lavés la veille. Il s'était aperçut que les sembons étaient devenu inutile et il les mit avec les ordures qui trainait encore dehors. Il lava ensuite les lances et les quelques haches que cette réserve conservait. Il arriva enfin à la section qu'il avait réservé pour la fin : les sabres.
Il lava la plupart des lames présentes et mit au fond les lames cassées mais pouvant être récupérées.
Ayant finit le nettoyage, Sergerk rangea tout à sa place, fit un tas d'objets inutilisable et pu enfin soupirer : sa tâche était finie. Néanmoins il était plus de 15 heure et il n'avait pas mangé. Il y alla puis partit pour le bureau des missions en attendant l'inspecteur des travaux finis.