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Sujet: L'appel de la Nature Jeu 23 Juin - 23:58
L'appel de la Nature
Elle s’élança alors à la recherche de cette jeune Kunoichi, l'ours femelle au pelage brun et soyeux se servait de son flair pour tenter d'élaborer une piste. Elle trottait à quatre pattes, sa cadence lourde et démarquée la résonance de son poids se faisait sentir dans la terre à chaque fois que celles-ci heurtaient le sol. Elle aperçu alors un petit endroit à l'écart du manoir. Il appartenait bien-sûr encore au domaine mais était inexplicablement isolé de tout autre bâtiment et arène. Ici la nature verdoyante battait son plein et l'ours avait la possibilité de constater avec émerveillement papillons et végétation de couleurs varié. Le vent léger, caressait son poil et la bête pouvait continuer sa quête. Maigo, le samouraï lui parlait souvent de la petite fille qu'il avait rencontrer à Konoha, il avait décidé de l'adopter. Mais en tant qu'homme d’État, il était plus ou moins très occupés ces derniers temps. En devant parcourir le monde et gérer les affaires sunajins et sa passation de pouvoir il avait délaissé la petite fille. Zappant littéralement son éducation et l'apprentissage de la vie en communauté qu'il aurait voulu lui prodiguer. C'est ainsi que fourmilla dans son esprit l'idée suivante, il userait de l'aide d'Oodaïjana pour apprivoiser la jeune ninja en devenir. L'instinct animal de l'ours et son instinct maternelle allaient être d'une grande aide. En sachant pertinemment qu'elles possédaient un point commun, en l’occurrence toutes les deux ne pouvaient communiquer avec les Hommes. Maigo elle n'avait jamais appris, pour son alter-ego a poil, le cas était néanmoins différent.
L'Ours n'était pas muette loin de là elle pouvait gronder comme un ours, lire les écrits rédigé par le samouraï et même comprendre ce qu'il voulait. Cependant, ses cordes vocales n'eurent pas le temps de s'adapter à la phonétique humaine. Là encore Soufuku avait laissé ses occupations le déborder au détriments d'une personne à qui il tenait. Après quelques heures de recherches, elle l’aperçu. Ses cheveux blancs qui surplombaient sa petite frimousse donnait à l'atmosphère un certain charme et une profonde tendresse. Furtivement l'Ours brun approcha, une pattes après l'autre, tout doucement. Ne montrant aucun signe agressivité elle tendis son museau en direction de son visage, pour la sentir et aussi pour lui faire signe qu'elle était là sans aucune en vue de lui faire du mal. Il était maintenant temps pour que l'ingéniosité de Soufuku laisse la nature s'exprimer...
Maigo Rang C
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Sujet: Re: L'appel de la Nature Ven 23 Sep - 1:54
Maigo avait fui le domaine, surmener par Le nombre important de bipède ainsi que leur repas dégoutant, La sauvageonne avait bien besoin d’un pause pour se calmer, après tout, Shinki la chicanait toujours quand elle brisait quelque chose dans leur chambre.
La blanche avait donc entrepris de chercher un endroit ou la végétation était dense et où il lui était possible de trouver des insectes. C’est en pleine nuit que la petite avait échappé à la vigilance de son gardien pour trouver l’endroit tant espéré après une heure de recherche. Elle si était balader librement, éclairé uniquement par sa mère la lune. La fillette avait trouvé quelques troncs morts des quels elle avait pu retirer asticot et scarabée confectionnant ainsi le premier repas décent depuis son départ de Suna.
Le soleil se levait, permettant a la petite de s’orienté différemment, mais aussi de dénicher d’autre insecte. La Suna-jin avait donc découvert, capturé puis manger des papillons et des sauterelles. Allant se cacher sous un immense arbre pour prendre une journée de congé bien mérité. Peu lui importait si les membre de son cortège allait la chercher, peu lui importait de manquer une évènement de taille, ce qu’elle voulait ses retourner à la nature pour quelques jours, respiré l’air frai, ne plus sentir tous ses bipèdes aspergée de senteur plus varier les unes que les autre, ne plus les voir, ne plus être forcer de marcher a deux pattes, marcher à quatre pattes, simplement et purement, comme elle l’Avait toujours fait.
C’est donc recroqueviller contre un arbre, somnolente, que Maigo perçu les premières secousses. Elle venait de loin, mais se rapprochait. Pour mieux les percevoir, la leuceique se pencha et colla son oreille contre la terre. La bête qui venais serait grosse et trop imposante pour la petite, mais quelque chose l’obnubila. La bête, visiblement un ours, ne devait pas se trouver aussi près des bipèdes. Ces créature avait appris à fuir les chasseurs et les bâtiments construis par ses dernier, pas en s’en approcher.
Piquer par sa curiosité, la petite resta figé jusqu’à l’arrivée de ursidé, grognant quand la femelle, fut trop proche. Les mimiques et les mouvements corporels de quadrupède ne mentaient pas, elle était calme et ses intentions étaient bonnes. Rassuré, la petite s’approcha doucement pour, à son tour, sentir le fauve. La fidèle de Soufuku ne sentait pas cette odeur si caractéristique que les animaux on quand ils ont faim. De plus, son pelage luisant et propre indiquait à la sauvageonne bien des indices sur son état de santé.
Comprenant qu’il n’y avait aucun danger, la jeune fille recula et s’assit dans l’herbe. Pas encore totalement confiante, elle resta tout de même dans une position ou il lui était facile de déguerpir et monter à l’arbre, sa seul chance de fuite, puisque la maman ours courrait nécessairement plus vite que Maigo, mais que son poids serait un contrainte imposante si elle désirait rejoindre Maigo en haut de l’arbre.
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