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 A la recherche des créateurs.

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Suzaku Tamasaburo
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Suzaku Tamasaburo
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Nombre de missions effectuées: 0 SS - 0 S - 1 A - 1 B - 1 C - 0 D
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MessageSujet: A la recherche des créateurs.   A la recherche des créateurs. EmptyJeu 22 Déc - 2:11

A la recherche des créateurs.
A la recherche des créateurs. 32418677jt
« La glace est forte, elle me constitue, je serais fort»

Cela fait un long moment que j'avais pris pied dans ma nouvelle vie, effectuant des missions pour ce village qui m'avait recueilli. Je n'avais pas eu le temps de m'occuper de mes propres affaires et il était temps. J'avais une journée de repos, une journée que normalement, j'aurais pu passer à flâner, me reposer ou même profiter du soleil, sauf que mes recherches devaient débuter.

Ces hommes qui hantaient mon esprit, ces blouses blanches qui m'avaient en quelque sorte donné une nouvelle, mais m'avait oublié tout le reste avant, je devais les retrouver. Je voulais connaître mon passé. Savoir qui j'étais, qu'elle genre de personne j'étais, ou même trouver de la famille encore en vie. M'habillant de ma tenue habituelle, blanche et noir. C'est au milieu de la nuit que sans un seul bruit et d'une vitesse éclair, je m'éclipsais des murs du village. Après tout ce temps écoulé, il n'était pas facile de me souvenir ou se trouvait le village qui m'avait remis sur pied.
Allant d'abord au nord, ou rien ne me paraissait commun, je décidais de partir vers le sud. Aucun résultat, ma mémoire ne retrouvait pas le chemin, ni même des endroits clés qui aurait pu m'aider à me repérer. C'est vers l'Est que ma prochaine destination se trouvait et un déclic se fît à la vue d'un arbre en particulier. Un arbre dans lequel je m'étais reposé, il était creux et si c'était le bon, il devait y avoir des morceaux de tissu ensanglanté. J'avais arraché une manche, car celle-ci était tellement imbibée de ce liquide rouge que des gouttes tombaient au sol permettant de me suivre lorsque je me suis évadé de ce complexe. En arrivant devant, j'aperçus au fond un objet sale et très petit. Dans la main, je retrouvais ce fragment de mon passé, la route était bonne. Si je ne me trompais pas, le village devait se trouver quelques lieux plus loin, mais dans quelle direction ? Un conifère avait l'air d'avoir grandi plus haut que les autres arbres et je me plaçai à son sommet. Il y avait une magnifique vue d'ici, je voyais absolument tout et à 360°. Le vent me caressait le visage, l'air frais me revigorait les poumons et l'endroit habité en question se trouvait à une demi-heure de marche. Là serait mon point de départ.

Je retrouvais ce lieu ou je n'avais pas mis les pieds depuis des lustres. Je reconnaissais un peu la rue ou je m'étais évanoui et c'est au coin d'une rue que je voyais un bâtiment avec le logo des soins. Je décidais donc d'aller revoir l'infirmière qui m'avait soutenu pendant mon séjour dans cet hôpital.
L'accueil me demanda qui est-ce que je venais voir et lui répondis que je ne connaissais pas son nom et lui décrivis l'infirmière en question. Par micro, elle l'appela « Sue » afin qu'elle vienne à l'accueil. Peu nombreux étaient les visiteurs, en même temps, c'était un petit village avec peu d'habitants. La jeune fille arriva et en me voyant, elle eut un grand sourire.

- Ah monsieur qui n'a pas de nom ! Alors, la mémoire vous est revenu ? Comment allez-vous ? Il a dû s'en passer des choses depuis ce temps. J'ai perdu mon pari en tout cas. Je pensais ne jamais vous revoir. Racontez-moi ce qu'il vous ait arrivé.

Je lui énonçais donc ce qu'il s'était passé après mon départ de cet hôpital. L'entraînement, les missions, comme quoi j'étais devenu un shinobi de Konoha et la façon dont j'avais désormais un nom. Nous discutions de tout de sa vie et de la mienne, de nos rencontres et de nos relations amoureuses. Pour elle, ce n'était pas un souci, en revanche de mon côté, le néant était mon allié. Elle en rigolait et me confia que ça arriva peut-être un jour. Au bout d'une heure de conversation, je lui fis la promesse de revenir la voir prochainement et repartie à la recherche des hommes de mon passé.

La rivière qui passait au centre de ce hameau était mon point de repère, grâce à celle-ci, je pouvais
peut-être retrouver le complexe de ma second naissance. Pour cela, il me fallait seulement remonter le courant et essayer de trouver quelque chose qui me parlait.
Plus j'avançais à l’encontre du courant, plus je redécouvrais cet endroit que je n'avais pas pris la peine de regarder. En même temps, je mourrais de faim et n'étais pas l'optique de contempler ce qui m'entourait. De nombreux arbres dessinaient cette forêt, des sapins, des érables, des chênes et la rivière avait par endroit de toute petite chute d'eau. C'était vraiment splendide. Au bout d'un certain moment, je reconnaissais un coin, celui où j'avais étanché ma soif. Je n'étais plus très loin et si mes bribes de souvenirs étaient encore correctes, il me fallait prendre à droite. J'avais l'impression de me pister moi-même avec quelques années d'intervalle et cette sensation était assez étrange. Je balayais du regard absolument tout ce que je pouvais, des arbres, l'herbe, la moindre parcelle du sentier que j'empruntais à travers les hautes herbes qui avaient repris ses droits. Je remarquais qu'un sentier un peu plus net était dessiné et pour cause, les herbes étaient quelque peu écraser. Ce pouvait-il qu'il soit encore utilisé ? Ainsi donc, ils seraient encore là et je pourrais déchaîner enfin ma fureur sur eux. Avoir ma vengeance et satisfaire cette envie qui me hantait. Je le remontais et je voyais cette dalle à peine dissimuler, le temps avait desséché les herbes qui cachaient l'entrée et le buisson ne ressemblait plus à rien. Avec une lame de kunai, j'essayais de forcer l'accès au complexe souterrain et c'est après avoir forcé de toutes mes forces qu'une petite ouverture se fît, puis un déclic avant que cette dalle ne s'ouvre. J'entendais un bruit sourd signe que l’ascenseur remontait à la surface pour me permettre l'accès. Il fonctionnait encore, ce qui signifiait que c'était encore en activité. J'avais le souffle qui augment par le plaisir, je trépignais d'impatience de me retrouver face à ses hommes et ce ne serait pas les canons dont ils disposaient qui m’arrêterais.

Une fois en bas quelque chose était anormal. Il n'y avait plus de lumière, la poussière recouvrait les étagères de métal et l'endroit était sale. Il était parti, j'en avais presque la certitude. Je décidais d'en avoir le cœur net et j'avançais dans la pénombre en tâtonnant les murs pour avancer. C'est à l'angle d'un mur qu'une faible lueur éclairait le fond d'un couloir. Comme un papillon attiré par celle-ci, je m'y approchais avec prudence. Des voix se faisaient entendre, des toussotements et des bruits de pas. Il y avait du monde, mais qui ? Ces scientifiques n'auraient jamais laissé tout cet endroit ainsi, j'en déduisais que ce ne pouvais être eux. Je gardais mon kunai en main le serrant à l'approche de la lumière, et là, devant un minuscule feu, quelque homme vêtu de guenille était assis pour certain. À ma vue, ils prirent peur et se levèrent pour aller au fond de la pièce.

- Ne nous faîtes pas de mal, on a rien, c'est à peine si nous avons de quoi manger.

Je les observais et rangeais mon arme. Des hommes à la rue, sans village et sans vie, c'était tout ce qu'ils étaient. Ceux que je recherchais étaient belle et bien partis, sûrement depuis un bon moment, peut-être même après mon évasion. S'en suivit une discussion avec les hommes et femmes présents dans la pièce, demandant s'ils étaient au courant de quelque chose, mais aucun d'eux n'avait d'information. J'étais prêt à repartir, déçu de cette trouvaille, mais l'une des femmes m'arrêta en me saisissant le bras. Elle m'indiqua qu'une pile de papier était rangé dans la pièce d’à côté, le papier qu'ils utilisaient pour avoir cette source de chaleur si chère à leurs yeux. Ça ne coûtait rien d'y jeter un œil. Je fouinais tout ce que je pouvais, lisait la moindre ligne qui était inscrite. Une heure s'écoulait puis une seconde, et toujours rien. Au fur et à mesure que je lisais, l'espoir de retrouver ces hommes apprentis chimistes qui se croyaient tous permis n’estompait. Il ne restait que quelques feuilles, puis une feuille devenu intéressante. Le projet BIS. Un projet qui, dans le cas ou le complexe principal était compromis, le second prendrait le relais rapatriant tous les hommes expérimentant dans ce lieu. J'avais mon information, il y avait donc un second endroit tel que celui-ci. Retournant la feuille, puis me saisis d'une autre et encore une, je cherchais la suite. C'est au bout de la cinquième lecture que je trouvais ce que je voulais tant savoir. Suna. Le second complexe se trouvait à Suna, dans un lieu codé « 4H5K, Roche du vent ». Je ne savais pas ce que ce code signifiait, mais le nom pourrait sûrement m'aider. Je remerciais le groupe de m'avoir permis de chercher et je leur donnais le peu d'argent que j'avais sur moi afin qu'ils puissent prendre de la nourriture. En repartant, je leur promettais que personne ne viendrait les importuner, ni même ne serait au courant afin de les laisser en paix. Je ressortais du complexe et repris la route vers Konoha avec ce code et ce nom en tête. C'était devenu mon nouvel objectif.
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