Je pense à ...
L’entraide et la solidarité. Voilà les deux mots qui me vinrent à l’esprit lorsque je pense à moi. La camaraderie, la fraternité… sont des principes qui me sont chers, très chers. Pour moi, les amis passent avant tout. Jamais je ne pourrais laisser tomber un ami en combat, jamais. Je ne me le pardonnerai pas. Pour ce qui est de ma vertu principale… je dirai aller jusqu’au bout des choses. Je déteste plus que tout entamer quelque chose et ne pas le finir.
Avec mes amis, je suis quelqu’un de très protecteur. J’ai horreur qu’on touche à l’un des miens, du moins à mon entourage. J’adore passer la plupart de mon temps libre avec mon groupe de pairs, pouvoir rigoler, m’amuser avec eux. Quand j’étais petit, j’étais quelqu’un de plutôt discret… ce qui n’est plus trop mon cas actuellement. Malgré que je sois quelqu’un de très réfléchis, l’indiscrétion en lieu publique à cause de mes boutades à bas niveau ou à des remarques vis-à-vis de mon égaux surdimensionné, pourront causer ma perte plus tard, j’essaie de travailler sur ça personnellement depuis que je suis devenu Juunin. Mais, je sais qu’il y a un temps pour tout.
La diplomatie ainsi que la patience ne font pas parties intégrantes de moi. Je n’aime pas passer par quatre chemins lorsque je suis au combat. Mais je ne suis pas non plus l’idiot qui foncera tête baissée sans réfléchir vers mon adversaire. Je suis plutôt le grand stratège qui va élaborer une bonne stratégie pour aller au bout de ma mission ou alors de mon but. Chaque situation préconise une stratégie élaborée au préalable par mes soins, et cela pour tout les cas possibles et inimaginable.
Pour ce qui est du combat en lui-même, le défi annihile ma haine. Pour un stratège, je ne suis pas très patient, je suis plutôt quelqu'un de très impulsif qui dérape rapidement à la première occasion venue… ce qui rend mes stratégies courtes à la préparation mais très efficaces grâce à mes heures de pratiques avec mon père, un ex-mercenaire. Lorsque la haine qui est enfouie en moi depuis mon plus jeune âge prend possession de mon corps, je suis incontrôlable. Ce qui est en soit, une qualité comme un défaut. C’est-à-dire que je n’arrive vraisemblablement pas souvent à contrôler mon impulsivité, ce qui m’a valu du mal acquérir le grade de Juunin. Mais, cela permet parfois de me sauver de situations bien compliquées. Comme vous l’aurez compris, je connais mon corps, mes capacités ainsi que mes limites. Cette connaissance de moi-même me permet d’être un redoutable combattant, très astucieux malgré une mauvaise maîtrise de mon caractère ainsi que mon jeune âge.
On me surnomme la brume de Kiri dans mon entourage. Pourquoi ? Car, lorsque j’agis avec préméditation, je suis aussi discret et rapide que l’ombre de ma proie… Et aussi à cause de la meurtrie que j'ai commis en étant plus jeune.
Mais, étant donné que j’ai grandis dans Kiri… nous savons tous toutes les souffrances et horreurs que ce dernier a connu… plus je prends de l’âge… plus je vois en moi un côté sadique, un côté horrifique me rappelant mon enfance. Cette phase de moi peut m’être bénéfique, me rendre plus fort… Ou bien me faire sombrer dans les profonds ténèbres. Malgré tout, Kiri est mon village. Je ferais tout pour le protéger.
J'ai vécu...
Il fut un temps où j’ai été un jeune enfant innocent, jonglant entre l’académie des ninjas où j’ai été un très bon élève – très dissipé, mais un bon élève – et le fils modèle à son papa qui quant à lui rêvait que je devienne mercenaire. A cette époque, pour moi il était normal que mon paternel me dicte quelle voie prendre pour plus tard. Les événements qui vont suivre vont totalement bouleverser ma perception des choses.
Je suis né dans une lignée de valeureux combattants mercenaires du village de Kiri. Mon père, était un des plus réputés de son époque. Son « tableau de chasse » comme il aimait l’appeler, contenait de nombreux criminels hautement recherchés. Ma mère quant à elle, faisait partis des anbus du village. Une des plus respectées d’ailleurs, elle ne reculait devant aucune mission malgré les dangerosités de ces dernières, ce qui lui aura couté la vie. Étant fils unique, un lourd poids reposait et repose toujours sur mes épaules : je devais et dois porter au mieux possible le blason de mon clan, lui rendre honneur avec fierté. J’ai été éduqué comme cela.
J’ai vécu une enfance tout à fait normale. Avant l’entrée à l’académie des ninjas de Kiri, il n’y a rien à redire de spécial. Mon père m’apprenait doucement les bases d’un ninja tout en m’initiant inconsciemment à l’art des mercenaires. Quant à ma mère, elle se donnait à son maximum pour m'éduquer de son mieux. J'étais sa plus grande fierté, je me souviens du regard qu'elle avait lorsque les professeurs à l'académie parlait de moi. Elle était si fier. J'espère un jour, regarder quelqu'un comme elle me regardait.
Quelques années plus tard….
Ca y est ! Je venais enfin d’obtenir mon diplôme de l’académie, devebabt donc genin. C’est là que tout a réellement commencé. J’ai été affilé à une équipe avec deux participants du même niveau que moi à vrai dire. Elle se composait d’Akihiko et de Bunjaku, avec qui je m’entendais très bien. Quant à notre sensei, c’était quelqu’un de très particulier. A vrai dire, la noirceur que j’ai en moi depuis tout ce temps – mise à part à cause des drames familiaux -, je lui dois sûrement. C’était quelqu’un de gentil, qui avait une très bonne pédagogie lorsqu’il nous entraînant pour tout ce qui est ninjutsu ou autre techniques de combats. Mais, je suis rapidement devenu son petit protégé, il m’influençait énormément.
Comment dire.. Il avait quelque chose de maléfique en lui. Ses idéologies parfois extrémistes, sa façon de penser et son racisme envers les autres villages qui n'étaient pas allier au nitre. Vous savez, lorsque quelqu'un que vous coutoyez tous les jours, que cette personne vous dicte le même discours tous les jours. Inconsciemment ou nous, vous êtes influencez par cette idéologie. A cet âge là, j'étais devenu spécial à cause de lui. C'est le seul défaut que je trouvais, il voulait trop dicter ma voie comme le faisait mon père.
Tout allait bien, mes parents étaient fiers de moi et j’étais un genin très studieux à cette époque. Parallèlement à ça, mon père commençait déjà ma formation pour devenir le futur mercenaire de la famille Tomohisa. C’était des entraînements rudes, et fatigants. Mon paternel ne me faisait pas de cadeaux, au contraire « Pas d’quartiers » comme il disait. Mes journées étaient très dures : le matin ainsi que l’après midi, j’étais avec mon équipe. Le soir, mon père prenait le relais jusqu’à des fois tard, très tard. « C’est pour toi que je fais ça, tu me remercieras plus tard quand tu deviendras un grand mercenaire » me disait-il. Et d’un côté, il avait raison. Son entraînement intensif durant plusieurs années m’a permis de totalement surpasser mes deux camarades. La force et la puissance, c'est ce que je voulais.
Les premières missions furent… comment dire… très ennuyeuses. Avec mes deux entraînements simultanés, j’avais soif d’action, soif d’aventure et de péripéties ! Mais, tout Genin passe bien évidemment par la passe d’aider les membres de son village, porter main forte. Mais, les premières missions de rang C commencent à arriver petit à petit, ce qui commença légèrement à nourrir cette soif d’action.
A cette époque, j’étais quelqu’un de très souriant, avec une immense joie de vivre. Je le suis toujours, mais actuellement c’est un masque que je porte, pour ne pas montrer à quel point mon âme est devenue noir à cause de la mission. Cette fameuse mission qui a chamboulé le cours de ma vie.
Nous étions en mission dans un village voisin, nous nous doutions jamais de ce qu'il venait de se passer. Les kumojins et les kirijins venaient de signaler un accord pour se séparer. Cet événement, provoqua une dernière embuscade aux devants de la ville, mobilisant une partie des anbus. Nous étions partis moi et mon équipe pendant un petit moment pour récolter des informations sur le fameux village voisin en question. Il y avait quelques jours de marches pour y aller, ce qui ne rendait pas la tâche très facile. Mais apparemment, cette mission s’avère beaucoup plus difficile que prévu. Nous étions arrivés en même temps qu’une attaque sur le village en question. Kiri avait été mis au courant assez vite, ce qui aura permis d’envoyer une unité d’anbus.
Je m’en rappel comme si c’était hier… Nous arrivions peu à peu vers le village. Apparemment d’après le sensei, les anbus nous avaient rattrapés, ce qui me rassura forcement. Enfin arrivés devant la ville, des corps étaient étalés par terre : il y avait des femmes, des hommes, des enfants. C’était un paysage horrible, qui me déchira le cœur étant jeune encore à cette époque. Les bruits lâchés par les coups de kunais qui s'entrechoquaient résonnaient dans tout le périmètre. Notre seinsei nous ordonna d’aller nous mettre à l’abri, ce dernier s’empressa sans perdre une minute vers le village pour le défendre. Le souci était que notre trio de genin n’était pas du genre à rester planqué pendant que les autres se battaient pour nous défendre. Nous nous empressons nous aussi de rejoindre l’affrontement qui se déroulait non loin de là. Dés notre arrivée sur place, plusieurs anbus se retournèrent vers nous. Nous étions prêts à attaquer, quand l’un d’eux se jeta devant nous, et plus particulièrement devant moi et se prit une rafale de kunais, en plein dans le torse. Tout c’est passé extrêmement vite, je n’ai même pas eu le temps de réagir que l’anbus était allongé au sol. Une voix prononçant mon nom venait de ce dernier. Et c’est là que j’ai compris… c’était ma mère. Elle venait de sacrifier sa vie pour la mienne, sous mes yeux. Une trombe de larmes parcourait mes joues pour atterrir sur le corps de ma défunte mère. Je m’agenouillais aussitôt à côté de cette dernière, ignorant totalement toute l’action qui se déroulait autour de moi. C’est comme si nous étions enfermés dans une bulle, une bulle éloigné de tous. Ces dernières paroles…
« Ne pleure pas Chiba… Je sais que tu es quelqu’un de bon, et de fort. Sers-toi de toutes tes forces pour… pour protéger les tiens et surtout ton village. C’est ça être un ninja. Ne te sens pas obligé de suivre la voie que ton père t’a attribué sans te demander ton avis. Créé toi ton propre futur, ton propre chemin. Et surtout, n’oublie pas que je serais à jamais ici… dans ton cœur. Je t’ai…me.A partir du moment où ses yeux se sont fermés, et que je ne ressentais plus sa présence… Tout est devenu flou, les événements se déroulant autour de moi étaient au ralenti. Je n’arrêtai pas de pleurer… de tristesse mais aussi de haine.
Je suis quelqu’un de bon et fort. Ne pleure pas Chiba, me dis-je en me relevant. J’essuyais mes larmes, tremblant comme jamais je n’avais tremblé auparavant.
« Ninpô : technique du camouflage dans la brume. Dis-je avec une haine évidente dans la voix.
Une brume épaisse s’emparait des alentours, on n’y voyait rien. Tous les criminels, venaient d’être massacrés, éventrés vivants, leurs tripes gisant sur le sol. Ils venaient tous d’être éliminés par moi-même, en quelques secondes seulement. Suite à ça, je suis immédiatement tombé dans les pommes. Je n'avais éprouvé aucune pitié. Je venais de mettre à mort plusieurs femmes, hommes en quelques secondes sans éprouver le moindre remord, la moindre émotion. De là est venu le manque de sentiments que je pouvais éprouver. Je n'arrivais et n'arrive plus réellement à éprouver de l’empathie, de la pitié pour mon prochain. Sauf aux personnes réellement proches de moi, sinon le reste j'en ai strictement rien à faire.
Après ce passage, j'ai eu du mal à m'en remettre, j'en ai toujours aujourd'hui. Mais le Nindo de ma mère, m'a permis de comprendre qui je voulais être, je n'en n'avais aucune idée avec ça. Mon père me formatait à devenir Mercenaire sans que j'ai un seul mot à dire. Je venais de comprendre, enfin que ce n'était pas à lui de dicter ma vie, mais plutôt à moi de faire la mienne comme bon me semble.
Quelques années passèrent de nouveau…
Je venais de sortir de l’examen de sélection des chuunins, et l’avait réussit avec bravoure en battant chacun de mes adversaires, donnant une très bonne impression à tous les seigneurs présents dans l’arène. Malheureusement, je fus le seul de mon équipe à obtenir ce rang. Cela faisait maintenant quatre ans que ma mère était morte, je suis devenu Chuunin à l’âge de 12 ans. Pendant ces quatre longues années, j’ai appris à maîtriser ma colère et ma haine, et à m’en servir à mon avantage lors de mes affrontements. Cette période reste assez floue pour moi… Même si j’avais l’air d’être heureux, je ne m’étais pas totalement remis de l’assassinat de ma mère devant mes yeux. Mais, mes résultats en missions ne font que s’améliorer de jours en jours, d’années en années. Trois ans plus tard, à mes quinze ans, le Mizukage me fit le privilège de devenir Juunin.
Les années passèrent à une vitesse ahurissante. Je suis toujours les conseils de mon père, qui malgré ma nouvelle orientation professionnelle, c’est-à-dire devenir anbus. Il m’aide à contrôler mon impulsivité qui me fait parfois défaut, je ne peux plus me le permettre. J’avais pris en mains plusieurs équipes de genins, jusqu’à aujourd’hui.
Konoha - été 117. J’avais sous ma garde à cette époque trois genins très talentueux, qui me rappelaient moi-même. Chacun d’eux avaient quelque chose qui m’était propre quand j’avais leur âge. L’un était axé combat, l’autre très stratégique et le dernier était plutôt le bras cassé de l’équipe qui faisait foirer une bonne partie des missions. Mais ce trio marchait très bien, c’est pourquoi notre Mizukage m’envoie avec mon équipe partir en reconnaissance tout autour du village pour pouvoir transmettre certaines informations aux combattants, car une attaque de Kiri contre Konoha avait été lancé. J’étais confiant, très confiant. J’avais une confiance indescriptible pour ces trois gamins, je savais très bien qu’ils m’écouteraient à la lettre pour ne pas se mettre en danger, pour ne surtout pas faire foirer la mission. De toute manière, à cette époque j’étais plutôt individualiste. Lorsqu’une mission devenait trop dangereuse, les genins passaient derrière moi et je m’occupais du travail. Cette attaque va drôlement changer les choses.
Dés lors de notre arrivée devant konoha , c’était le chao total. De la forêt surplombant le village, on pouvait distinguer les cris des hommes se battant, ainsi que les coups de kunais. C’était bon signe, la situation avait l’air d’être à notre avantage. J ‘ordonne immédiatement à mon équipe de me suivre et de rester en colonne derrière moi, pour faire le tour du village et voir tout ce qu’il s’y tramait. Jusque là, rien de bien compliqué pour nous, mise à part quelques attaques de part et d’autres que mon trio repoussa avec bravoure. Une fois arrivés de l’autre côté du village, les choses commencèrent à se compliquer. Un attroupement de ninja nous bloqua la route, nous arrêtant nettement dans notre avancée. Ashino, l’un de mes élèves –celui qui aime se battre- saute sur l’occasion pour faire une démonstration des techniques qu’il venait d’apprendre ; mais sans succès. Ils étaient beaucoup trop forts pour eux. Une lute acharnée entre les ninjas de konoah et mon équipe s’engagea. L’un de mes genins se mange un arbre en plein fouet suite à une technique provenant de Katon, le mettant dans un salex état. Je pris mes responsabilités et m’interposa entre les ninjas se ruant dessus. Quelques gestuelles de mains, Suiton - Fouet du dragon aqueux. Cette technique permettant de balayer tout les ninjas que j’avais à porter de mains, nous commençons alors à nous écarter du combat. Là est mon erreur monumentale. J’ai laissé mon dernier élève en souhaitant protéger celui qui était blessé. Il avait l’air de bien s’en sortir, il venait d’invoquer la technique Ninpô, le camouflage dans la brume et commença à éliminer chacun des ninjas présents. Mais… je savais que quelque chose clochait, je ne pouvais pas le laisser seul en bas en risquant sa vie pour nous défendre. C’était à moi de le faire, ma tache, ma responsabilité. Je n’aurai jamais accepté de perdre un genin. Mais, dans la situation où j’étais je ne pouvais malheureusement pas faire grand-chose, mise à part utiliser une technique de loin vu que je couvrais Ashino et Hyuni. Là le grand stratège s’éveilla en moi. J’observais de là où j’étais les différents adversaires de mon genin, dont un qui commençait à faire des gestuelles assimilées à Katon. De ce fait, je m’empresse aussitôt de faire moi aussi une série de gestuelle avec mes mains, évoquant Suiton - La technique de la grande cataracte. A ce même moment, mon genin comprit qu’il fallait reculer et très vite. La boule de feu du ninja de konoha fut aussitôt absorbée par mon immense raz-de-marée, emportant au passage les ninjas.
Nous continuons alors notre avancée, je félicite mes élèves au passage pour continuer à mener à bien notre mission de reconnaissance.
Pourquoi cette mission a-t-elle frappée mon esprit ? C’est le lien qu’un juunin peut avoir avec ses genins. Ce lien si fort, si persuasif qui permet de créer une certaine force, une force d’entraide mais aussi de protection. Mon genin, Toshi qui est resté en bas pendant que moi et les deux autres reculions à cause de la blessure de Hyuni, a mis sa vie en danger pour pouvoir nous permettre de gagner du temps suite à la blessure de cette dernière. Le plus grand des pouvoirs est la fraternité, le fait de s’entre-aider et de rallier nos forces pour n’en faire qu’une. Une force surpuissante. Là était la morale de se combat, et de cette attaque en général. L’entraide, c’est ce qu’il fallait retenir, et c’est de là que mon Nindo provient. Ne jamais abandonner un ami, un élève, un sensei ou n’importe qui que nous portons un minimum dans notre cœur.
Voilà ce qui forgera mon caractère d’aujourd’hui. La mort de ma mère, les différentes missions tout seul ou avec mes genins, l’attaque de Konoha qui quant à elle m’a fait prendre conscience de plein de choses sur le travail de groupe, et ma façon de pensée actuelle qui est de faire passer le groupe avant les intérêts personnel. Ma philosophie se définie tout simplement par une force majeur de groupe plutôt que des forces multiples acharnées qui ne donneront au final rien.
Je commençais petit à petit à me faire totalement à la vie de Juunin. Et croyez-moi, j'en ai eu du mal. Devoir toujours détenir une certaine maturité, une certaine vision des choses et analytiques. Mais à l'heure d'aujourd'hui, je devenais quelqu'un de plus en plus sérieux dans mon travail et dans mon but. Mes entraînements deviennent de plus en plus originaux, tentant de transmettre tout mon savoir à mon équipe de genins.
Mes trois genins furent quand à eux promus plus tard au grade de Chuunin, ces derniers n’étant plus sous ma tutelle. A l’heure d’aujourd’hui, je n’ai plu d’équipe à proprement parlé, je continue de m'entraîner avec vivacité tout en continuant les missions qui me sont attribuées. Je n’en lâche pas l’objectif que je me suis fixé depuis la mort de ma mère : devenir anbus pour pouvoir défendre notre village. Je ferais tout ce qu’il faut pour le devenir.
• Âge : 18 ans.
• Localisation : French Riviera.
• Prénom : Thomas
• Nindo : Je ne recule devant rien.
• Passions : Le Basket, la musculation ainsi que les jeux-vidéos en général.
• Personnage du manga préféré : Kakashi ou bien Naruto. Avis mitigé.
• Comment avez vous découvert le forum ? : Google est mon meilleur ami.
• Comment trouvez vous le forum ? : Good j'aime bien.
• Que faudrait il changer ? : Rien à dire pour le moment.
• Autre chose ? : (Avez-vous déjà RP, depuis combien de temps, une remarque particulière...) Nein.
• Avez vous lu le règlement ?* : Yumi est une diva.