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 Akame Akuryu, la folie au service de la Brume. [Terminée]

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Akame Akuryu
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Akame Akuryu
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Fiche shinobi
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Akame Akuryu, la folie au service de la Brume.  [Terminée] Empty
MessageSujet: Akame Akuryu, la folie au service de la Brume. [Terminée]   Akame Akuryu, la folie au service de la Brume.  [Terminée] EmptyJeu 20 Juil - 23:41



Akame • Akuryu


IRP !

Nom : Akuryu
Prénom : Akame  
Âge : 22
Sexe : Femme
Nindo : Les survivants doivent porter la volonté de leurs défunts camarades
Village : Kiri  
Clan : Aucun
Rang souhaité : A
Grade souhaité : Juunin Spé. Assassin
Bingo Book : Bingo-Book


Un corps frêle...


Vous êtes-vous déjà demandés quel accoutrement porter, lorsque votre but est d'attirer à vous les faibles d'esprit qui remarqueront que vous n'avez rien d'impressionnant, mais que vous portez une belle arme ? Moi, oui, d'ailleurs j'ai rapidement trouvé une tenue qui remplissait cet usage, tous ces insignifiants sont si prévisibles… ce n'est presque pas amusant de les appâter. En revanche, vous qui lisez ces lignes, je sens que vous valez mieux que mes proies et que vous vous posez toujours la question. Je vais donc vous faire cadeau de mes conseils, qui sait, peut-être nous retrouverons nous dans ces vastes terres, afin de chasser ensemble.

Regardez-moi, du haut de mon mètre soixante-quatre, avec ma tenue de parfaite écolière, composée d'un chemisier foncé, sans manches et d'une cravate rouge assortie à ma minijupe, complétée par de longues chaussettes noires, assorties à ma paire de chaussures. Je me permets maintenant d'interrompre votre regard intéressé envers mes formes, même si je dois bien avouer que cet accoutrement les met en valeur, ce qui est totalement souhaité. Vous vous demandez certainement, en voyant mon visage totalement innocent, orné de pupilles couleur rubis et mis en valeur par de longs cheveux couleur ébène qui descendent jusqu'à mes genoux, ce que je peux gagner à me vêtir de la sorte ? Détrompez-vous, attirer les regards ne m'intéresse nullement, du moins pas pour les raisons auxquelles vous songez.

Laissez-moi vous dire une chose, je vis au pays de la Brume, là où, compte tenu de la situation politique, les détraqués sont nombreux, sur mes terrains de chasse, les mêmes qui croient me traquer, jusque dans les plus petites ruelles. C'est à ce moment-là que la désillusion les frappe, quand celle qu'ils pensaient à leur merci leur inflige une blessure mortelle, ou non, avant de les ramener dans sa tanière. Vous ne trouveriez pas cela amusant d'appâter un homme un peu trop envieux de votre corps jusque dans un endroit propice à l'acte, avant de lui sectionner net tout ce qui lui aurait permis d'assouvir sa pulsion ? Non ? Oh… vous n'êtes vraiment pas drôles, finalement.


... abritant un esprit corrompu...


Je ne suis pas certaine d'avoir saisie votre requête… vous souhaitez en apprendre plus sur ma personne ? On dirait que ma tenue est efficace même sur les personnes un tant soit peu cultivées, à moins que je vous surestime ? Quoi qu'il en soit, vous allez bien vite regretter votre curiosité. Mais tout d'abord… prenez ceci, votre billet pour les méandres des vices de l'humanité. Il vous donne droit à un aller-retour, mais veillez à ne pas l'égarer, le retour risquerait de vous être impossible si cela arrivait.


Vous semblez surpris ? Pourtant, ne dit-on pas que les yeux sont la porte ouverte sur notre esprit ? D'ailleurs cela est particulièrement vrai pour un clan, d'un village éloigné, dont j'ai disséqué quelques spécimens après que leur faiblesse ait permis à mon village de prendre temporairement le contrôle du leur. Vous vous demandez pourquoi je l'ai fait ? Je suis d'une nature très curieuse et le fait qu'ils puissent changer la couleur de leurs pupilles, dans une teinte proche de celle des miennes, m'intriguait.

Vous vous dites peut-être maintenant que je ne suis qu'un charlatan, je vous vends une exploration des pires défauts de l'humanité et je vous parle de simple curiosité, certes un peu malsaine, mais très banale. Il fallait bien que je commence par quelque chose pour vous parler en détails de ma passion, non ?

Ma nature curieuse m'a poussée très jeune, avec l'influence de quelques facteurs extérieurs, à m'intéresser de très près à l'anatomie humaine, sous tous ses aspects. N'allez pas vous faire d'idée, je ne suis qu'une humble scientifique. Ce n'est tout de même pas de ma faute si aucun de mes congénères n'a jamais admis, comme je l'ai fait, considérer les humains comme du matériel de travail ? D'ailleurs bien trop de gens se voilent la face, muselant leur nature bestiale intérieure. Moi, j'ai eu l'occasion de la laisser parler et je ne le regrette pas. Il n'y a rien de plus divertissant que d'expérimenter les limites de notre propre génétique, ou plutôt de son produit. Malgré près de trois millions d'années d'évolution, notre corps ne résiste toujours pas au zéro absolu, ni même à une température excédant quatre-vingts degrés Celsius. Il n'est pas non plus résistant à un poison si son dosage au sein de l'organisme dépasse la limite indiquée par la dose létale médiane. Tant de faiblesses pour une espèce comme la nôtre, cela ne vous donne pas envie d'approfondir les recherches en ce sens ? C'est la différence entre vous et moi. Et vous ne devez certainement pas comprendre d'où m'est venu cet intérêt. Je vais récompenser votre patience. Toutefois, ceux qui auraient égaré leur billet sont priés de rebrousser chemin tant qu'ils le peuvent encore, s'ils le désirent. Pour les autres, vous êtes libres de continuer, si vous le souhaitez vraiment.




... vous conte sa transformation.


Bienvenue dans mon histoire, vous savez déjà ce que je suis, vous allez maintenant savoir comment je le suis devenu, comment j'ai été moulée par un esprit qui n'avait plus rien d'humain. Et comment je l'ai surpassé. Toutefois, soyez patients, car pour l'instant je ne suis encore qu'une enfant parmi les plus pures et naïves que ce monde ait porté.

Maman s'appelait Hikari, c'est en l'an 98 qu'elle est morte, peu après m'avoir mise au monde, c'est donc mon papa, Ichirō, qui m'a élevée seul, et d'ailleurs il n'était pas totalement étranger à cette mort prématurée, mais j'y reviendrais. Lui qui chaque nuit s'isolait dans la cave de la demeure familiale, pour des raisons obscures, m'éleva contre toute attente avec une attitude exemplaire, néanmoins jusqu'à mon quatrième printemps…

J'avais tout juste appris à lire et à écrire quand mon paternel m'offrit sa bibliothèque personnelle, au début je n'en menais pas large face à cette impressionnante pile d'ouvrages, mais Ichirō avait déjà en tête de m'inculquer que je devais au plus tôt accumuler des connaissances pour survivre dans ce monde. Je n'avais pas bronché à cette époque, après tout je développais déjà une insatiable soif de savoir, cette occasion était à saisir. Ces ouvrages contenaient une quantité infinie d'informations sur deux arts ninjas en particulier, l'Iroujutsu, mais aussi le Genjutsu. Dans mon innocence de l'époque je n'imaginais pas encore l'usage que mon paternel faisait de ces disciplines, mais j'y trouvais une occupation et les possibilités que ces talents procuraient me fascinait. Pendant ce temps-là, papa préparait mon initiation à son mode de vie… pour le moins particulier.

Pour ma cinquième année de vie je reçus un cadeau particulier, je n'avais aucune idée de ce dont il s'agissait et me souvenait seulement de la recommandation très claire qui m'avait été faite.

- Je t’ai apposé un sceau qui te sera bénéfique dans le futur, néanmoins à l’heure actuelle il est encore endormi. Il te faudra devenir suffisamment puissante pour le réveiller, mais ne t’inquiète pas tu auras très bientôt l’occasion de t’entraîner. Quant à cette fiole, ce qu’elle contient est issu de mon propre almanach, je te déconseille toutefois d’y goûter, c’est une formule assez… létale.


Ma vie continuait donc, je contenais mon impatience de découvrir ce secret et passait tout mon temps à étudier, j'en étais très heureuse, ignorant le fait de ne pas être à l'académie avec les autres enfants de mon âge, discutant souvent avec son père, encore bien trop innocente, cela basculera bientôt et serait le début d'un chemin où il serait impossible de faire demi-tour.

Dans ce recoin du village caché de la Brume, notre demeure était comme boudée par le reste des habitants, probablement à cause du caractère bien connu et redouté de papa, qui cachait aux yeux du monde mon existence, comme la mort d'Hikari. C'est donc dans l'ombre que je fusse finalement initiée à ces pratiques morbides, tel qu'annoncé, lors de mon sixième printemps, je fusse invitée par mon géniteur à pénétrer dans son espace personnel et dans le même temps, j'entrais dans la folie de mon paternel.

- Papa, qu'est-ce que c'est tous ces bocaux, ces instruments ? C'est ton laboratoire ici ? Je trouve que ça manque de livres et il fait assez sombre, qu'est-ce que tu réalises comme expériences ici ?


- Ma fille, nous allons partager mon expérience du jour, tu vois cet homme nu allongé là sur la table ?


- Oui, pourquoi il est là ? Il vit avec nous papa ?


- Pas exactement, il vient d'un village civil de ce pays, comme chaque cobaye qui se retrouve sur cette table, approche mon ange.


Ichirō extrayait alors de sa manche un couteau et réveilla le captif, encore hagard suite à la consommation forcée d'un prototype de poison inconnu. Le condamné était bâillonné et incapable d'exprimer son effroi autrement que par d'incompréhensibles cris, alors qu'Ichirō m'avait invité à m'approcher du malheureux avec lui, j'avais obéi sans réfléchir, la peur m'empêchait de fuir et mon cerveau ne répondait plus qu'à la voix du scientifique. Ce dernier plaça alors ma main droite sur le manche du couteau qu'il tenait également, avant de le planter dans le cœur de son cobaye. Il avait respecté sa promesse, je savais maintenant quel était son métier et il allait tout faire pour que je perpétue son œuvre.

- Alors, Akame, le travail de papa te plaît ? Et cet accomplissement n'en est qu'une partie infime, regarde, nous allons en partager un autre aspect.


Il retira le couteau après avoir agrandi suffisamment la plaie pour que l'organe moteur du cobaye soit visible, il profita du choc que j'endurais pour saisir ma main et la porter doucement sur l'organe, accompagné par la sienne, il me fit caresser ce cœur battant à un rythme effréné et en retira ensuite ma main. Puis il arracha la vie de sa victime de sa poitrine, avec un sourire qui reflétait de façon évidente l'émotion qu'il ressentait à ce moment-là : la jubilation. Ichirō se retourna ensuite face à moi, qui, totalement déstabilisée, observait encore le sang recouvrant mes mains et je pus bientôt observer le cœur du décédé qui gisait maintenant sur la table d'opération. Le scientifique s'était baissé également pour poursuivre l'apprentissage.

- Tu vois mon trésor, quand il était encore à sa place, ce cœur battait environ soixante-dix fois par minute, maintenant qu'il en est extrait et notamment à cause de l'adrénaline produite par ce geste, le nœud sinusal fait qu'il bat cent fois par minute durant environ cinq secondes, puis pendant les cinq secondes qui suivront il s'arrêtera progressivement. Ça te plaît de voir un cœur ? C'est un des organes les plus importants de notre corps, je te montrerais les autres plus tard, papa doit retrouver des sujets d'expérience.


Une innocence corrompue, voilà ce que j'étais devenue, maintenant ce muscle dans mes mains frêles mais, sans que je sache pourquoi, je ne pus en détacher le regard avant qu'il ne cesse de battre. Une passion morbide était née dans mon esprit influençable et cette dernière ne comptait pas déménager de sitôt. Encore sous le choc, je balbutiai de manière aussi compréhensible que j'en fusse capable.

- C'est, tout chaud, tout humide, c'est agréable comme sensation et ce liquide qui coule, c'est bien du sang ? C'est joli… je veux t'aider dans ton travail papa, j'ai hâte que tu aies un autre patient. Je veux en apprendre plus encore.


Témoigner de cet acte avait effacé de mon esprit toute notion qui aurait pu s'apparenter a de la compassion. Les êtres humains ne seraient désormais à mes yeux rien de plus que des sujets que je pourrais explorer en détails avec mon paternel. À partir de ce jour je reçus l'autorisation de consulter des écrits bien plus morbides encore, qui pouvaient servir dans les arts que j'étudiais quotidiennement depuis deux ans déjà et mon imagination ne s'en trouverait que plus pervertie encore. Les deux années suivantes marquèrent mon déclin dans les ténèbres. Je maîtrisais maintenant à la perfection les bases du Genjutsu et de l'Iroujutsu, grâce à quelques partages des expériences de mon père, qui se voulaient de plus en plus poussées, et auxquelles je montrais un intérêt qui n'avait d'égal que mon talent dans le domaine. Ichirō décida donc de me donner l'opportunité de réaliser une expérience en autonomie. Il devait voir si, après tout ce temps d'apprentissage, j'étais digne d'être sa fille.

- Akame, aujourd'hui je ne t'apprendrais rien. C'est toi qui va me prouver que tu portes un réel intérêt à mon travail. Je t'ai trouvé un cerveau humain en parfait état, tu as tout ce qu'il faut pour le disséquer, j'attends donc un travail et une argumentation irréprochable. Bonne chance, ma fille, ne me déçois pas. Question, de quoi se compose l'encéphale qui se trouve devant toi ?


Une telle annonce aurait mis n'importe quel enfant de mon âge dans un état proche de la crise de nerfs, mais moi, j’étais satisfaite de cette vie. Après tout, c'est comme ça qu'on m’a appris à vivre. Depuis mes quatre ans j’apprenais par cœur la composition du corps humain ainsi que de tous les poisons existants, pour passer par un rite équivalent à mes yeux à un pacte de sang deux ans plus tard et aujourd'hui était venu le moment de concrétiser mon enseignement, en montrant à mon paternel que je méritais de vivre ici.

- C'est un cerveau malade ça, le corps calleux est sectionné net, il avait de l'épilepsie ?

- Belle déduction, ma fille, j'ai été obligé de lui faire ça, pour que ses crises disparaissent, il se blessait à chaque fois avec les liens, mais passons, continue ton exposé, je suis tout ouïe.

L'insatiable en herbe que j’étais effectua donc méticuleusement la tâche qui m’incombait en ce jour, séparant méticuleusement chaque région de l'encéphale et les disposant harmonieusement sur mon plan de travail. Mon géniteur s'approcha ensuite des échantillons, en saisit un au hasard et m’interrogea à son sujet.

- C'est le lobe occipital, il gère tout ce qui est lié de près ou de loin à la vision de l'individu et d'après l'état de celui-là, l'œil droit du possesseur était aveugle suite à un accident vasculaire cérébral, puisque le côté gauche présente une grande lésion. Tu lui as permis d'améliorer ses conditions de vie en le tuant, papa, ça ne te ressemble pas d'agir pour le bien d'autrui.


- Ahahah, je te reconnais bien là, tu es bien ma fille, dénuée de compassion. Tu as raison, j'aurais pu choisir un sujet en bonne santé, mais tu sais, dans ce monde il ne faut jamais refuser un cobaye, c'est un bien précieux. Maintenant, ce morceau, quelle est son utilité ?

- C'est l'hippocampe, un morceau du cerveau paléo-mammalien, il a trois utilités notables, la gestion de la mémoire, le sens de l'orientation et l'inhibition du comportement.


- Tu m'impressionnes, Akame, maintenant, je vais te poser la question différemment, montre-moi l'organe responsable de la coordination des mouvements ?


Prenant alors un court instant pour observer tous les morceaux humains qui lui faisaient face, sans montrer la moindre émotion, je me contentais de le saisir et repris aussitôt mon explication.

- C'est celui-ci, le cervelet, une partie du cerveau reptilien, il est chargé de la coordination, mais aussi de la précision des mouvements de son propriétaire.


- Parfait. Ton acharnement a porté ses fruits, je constate que tu es incollable sur l'anatomie humaine, tu en connais même chaque os d'après ce que j'ai vu hier. Soit, ce soir je pensais t'apprendre à créer un de mes poisons favoris, j'en profiterais pour t'interroger sur les plus classiques, j'espère donc que tu ne me décevras pas. Oh, avant que tu partes, une dernière question… quelle hormone as-tu sécrétée en masse durant ton exercice ?

Je me tenais sur l'escalier qui menait à la demeure familiale lorsque j'entendis ces mots, retournant alors légèrement la tête en direction de mon paternel, je répondis en esquissant un sourire presque euphorique.

- De la dopamine, évidemment, cette question était trop facile, papa. Je vais réviser, à ce soir.

Une occasion supplémentaire pour moi de prouver mon mérite à mon père, qui s'avéra couronnée de succès et qui allait me permettre de fabriquer mes propres poisons de manière autonome, un pas de plus dans les tréfonds de la folie...

Ce fut lors d'une balade dans la ville, quelques jours plus tard, que papa allait se rendre compte de mon évolution mentale, qui se faisait croissante dans la voie qu'il m'avait inculquée depuis ce pacte de sang. Après une longue tournée des commerces médicinaux afin de garnir notre stock personnel, nous nous sommes retrouvés dans une ruelle, assez sombre. Devant nous gisait le corps du marchand, un peu trop dur en affaire aux yeux d'Ichirō, qui le dépouillait maintenant de sa marchandise, des amatoxines.

- Papa, on devrait le ramener à la maison, tu ne crois pas ? C'est un beau spécimen d'étude, puis, il n'est pas trop abîmé.


- Je t'avoue que j'y ai pensé mais, c'est trop risqué de transporter cet homme jusque chez nous en plein jour, avec ma réputation, les autorités risqueraient d'avoir un réel motif d'intervention et découvriraient donc le pot aux roses.


- C'est bête de gaspiller un sujet, mais bon… quand est-ce que j'ai mon prochain cobaye vivant ? J'ai quelques poisons à tester, il m'en faudrait des très jeunes, moins de vingt ans disons.


- Moins de 20 ans ? Je peux aller te récupérer quelques enfants chez le voisin, il prend sa femme pour un four à pain, tu te doutes bien qu'elle est assez occupée au bout de quinze ans de vie commune, ça ne fera que la soulager.

- Dans ce cas, ramène tous les aînés, il ne faut pas qu'ils soient trop jeunes non plus, ils risqueraient de mourir trop vite. Et, tu es encore victime de compassion, papa, je vais finir par croire que ton humanité reprend le dessus.


- Détrompe-toi, Akame, j'ai envie d'aider cette femme, car elle peut me fournir des cobayes sur le moment, tu saisis ? Un scientifique doit être reconnaissant envers ses fournisseurs… même si parfois la reconnaissance passe par l'expérimentation.

- Voilà enfin un point sur lequel on diffère, pour moi ce village n'est qu'un réservoir de corps sans limites, pour l'instant. Enfin, je suppose que cette passion nécessite de savoir se mêler à la foule pour être exercée tranquillement.


- Tu as du mal à accepter de vivre sur une terre dont le peuple est responsable du décès de ta génitrice, pas vrai, ma fille ?


- Il y a un peu de ça aussi… un jour les responsables paieront.


Ichirō réprima à cet instant un sourire dérangé, sa manipulation fonctionnait à merveille. Il avait forcé la pauvre Hikari à lui donner une progéniture qu'il pourrait formater comme lui avant de la tuer. Il avait fait porter le chapeau à Kiri et moi je n'y voyais que du feu.

Le plan du savant fou se passait exactement comme il l'avait prévu, durant quatre années, maintenant que j'avais prouvé ma valeur de scientifique, il décida de prendre en charge mon éducation militaire. Il m'enseigna notamment les techniques académiques de base et, grâce à un présent qu'il m'offrit pour mon treizième anniversaire, j'eus la chance de m'initier au Kenjutsu. Il m'enseigna également ses illusions les plus jalousement gardées. En effet, digne fille d'Ichirō Akuryu, je ne manquais pas dans mes expériences d'étudier mes victimes aussi bien sur l'aspect mental que sur l'aspect physiologique. L'élève n'avait pas encore dépassé le maître mais je n'avais plus rien à lui envier, si bien que j'allais parfois chercher moi-même mon jouet du lendemain dans les rues environnantes. Divers cadeaux de mon paternel vinrent par la suite diversifier mon intérêt. Poisons, instruments de torture divers et variés et bien d'autres sujets glauques étaient présents parmi l'ahurissante collection de rapports que j'eus rédigée sur mes expériences et ces derniers semblaient tous être des scénarios, complets ou non, dépendant de leur longueur, destinés à la production de films qui seraient rangés dans la catégorie « Slasher » si une classification était demandée. C'est ainsi qu'à mes quatorze ans, je réalisai ma première expérience en totale autonomie, de la capture à l'analyse détaillée, en passant par le découpage minutieux. Je réalisai un inventaire intégral de ce que j'avais trouvé dans le corps de ma victime, d'une façon qui reflétait mon endoctrinement dans la discipline. Sur le document rédigé par moi-même, jeune adolescente encore couverte d'un fluide rougeâtre, se trouvait entre autres le nombre d'os qui composaient la victime, sa quantité de sang précise, ainsi que le groupe de ce dernier et nombre d'autres annotations faites par un esprit malade, qui venait d'anéantir toute chance de rédemption pour sa personne. Mais pour autant mon exploration des vices humains n'était pas finie, il me restait tant de propriétés du corps humain à découvrir.

Cette curiosité malsaine lentement me conduire, après une année d'expérimentation des limites du corps humain, pendant lesquelles je m'étais souvent retrouvée couverte de sang et de morceaux de chair, à un tout autre stade de vice. Ce jour-là, je me trouvais dans le laboratoire de mon père, absent, en compagnie d'une femme d'environ une trentaine d'années et de son mari, plus âgé d'une décennie, ainsi que de l'enfant du couple. La jeune mère de famille allait être la première à subir un test.

- Tu m'as l'air assez plantureuse, je me demande ce qui se passera si je fais de ton 95D un 85A.

J'avais trouvé un usage très spécifique au sabre que je reçus de mon père un an plus tôt, dérobé à un de ses cobayes. J'avais baptisé l'arme « Ketsueki Dokusatsu » ; « Ketsueki » pour les intimes. Comme son nom le laisse supposer j'enduisais régulièrement sa lame de divers poisons pour en tester les effets de manière plus amusante. Et cette pauvre femme allait justement tester un poison qui avait nécessité une bonne semaine de mise au point, la tétrodotoxine. Ma lame parée a l'expérience, je sectionnasse les formes de ma prisonnière, me délectant un court instant du cri de souffrance engendrée avant de lui perforer le cœur et de laisser place à mon sadisme en venant susurrer à l'oreille de ma proie ce qui l'attendait.

- quatre stades de souffrances, premièrement, engourdissements et fourmillements divers, accompagnés je l'espère de nausées, voire plus. Second stade, impossibilité de bouger tes membres. Le troisième stade est mon préféré, ton corps se paralyse et prends une teinte bleutée, ta tension chute et tes vomissements deviennent encore plus douloureux, si tu arrives toujours à les expulser. Oh, j'allais oublier la détresse respiratoire. Pour finir, le clou du spectacle, arrêt respiratoire et petit à petit, baisse de la pression sanguine, puis mort par collapsus. Souffre, poupée.

La trentenaire en était déjà au troisième stade, elle n'était donc plus intéressante. Seulement le père de famille commençait à m'insupporter, avec ses jérémiades dont je n'étais pas la cause, je le fis donc taire en sectionnant net son appareil reproducteur à l'aide de Ketsueki, puis lui trancha partiellement la gorge pour retirer moi-même les cordes vocales de l'homme. M'agenouillant ensuite devant le rejeton du couple, à peine pubère, plantant mon regard fou dans le sien, terrorisé.

- Il ne fera plus de bruit maintenant. Je vais être gentille avec toi mon petit, je ne vais pas te tuer tout de suite, observe cet organe, d'abord.

Je tenais les cordes vocales du paternel juste devant les yeux de l'enfant, qui ne pouvait s'empêcher de pleurer, me désolant une fois de plus, je choisis de raccourcir ma délectation… en augmentant la souffrance. De mon autre main je saisis l'œil droit de l'enfant avant de lui arracher, les cris de douleurs étaient décidément la seule mélodie que mes oreilles savaient apprécier. Mais j'allais encore dépasser mes limites ce soir-là.

Alors que je tenais l'organe visuel dans ma main, mon instinct primaire me soufflait lentement de le savourer, en face de son possesseur, la pire torture psychologique possible à cet âge-là. Comme prévu, son œil restant fut horrifié quand il se rendit compte que j'avais croqué cette partie de lui sans hésiter. Lui aussi criait de désespoir à s'en rompre les cordes vocales, mais j'en étais satisfaite, puisque c'était grâce à moi que ce frêle garçon souffrait, aussi bien physiquement que mentalement. Sa vie allait changer du tout au tout si je le laissais repartir, je lui fis donc la grâce ce soir-là de ne pas le torturer trop vite, avant de lui ôter la vie. Et je peux vous dire qu'un enfant, ressent bien plus la douleur qu'un adulte.

C'est suite à cet accomplissement et au terme d'une discussion avec mon paternel que, durant ma seizième année de vie, j'eus l'occasion de m'intégrer à ce village qui nous redoutait. À ses yeux, j'étais suffisamment corrompue pour qu'il puisse me laisser libre, mais pour moi c'était une simple excursion sur ces terres peuplées de faibles d'esprits, qui me craindraient dès qu'ils verraient ma vraie nature et qui n'étaient donc que des cobayes potentiels. Pourtant, malgré nos capacités intellectuelles très développées, ni mon géniteur ni moi-même n'avions prévu ce qui s'est finalement déroulé.

Cette nation que mon père m'avait dépeinte maintes fois comme une réserve naturelle pour nos expériences, me correspondait finalement. La mentalité qui régnait au sein du corps militaire était celle du plus fort et tous étaient liés par une détermination sans faille, pour se sacrifier au nom d'une seule chose : Kiri.

Je commençai alors à réaliser des missions au compte du village, afin de me rendre utile tout en étudiant de plus près cette communauté nouvelle qui ne cessait de me surprendre, en y mêlant l'assouvissement de mes désirs personnels à la moindre occasion. Intégrée à une équipe comportant un épéiste au caractère aussi orageux que l'étaient ses techniques et une autre femme dont la maîtrise du camouflage dans la brume était d'autant plus efficace qu'elle usait de brume empoisonnée, nous étions chargés la plupart du temps de nettoyer le pays des divers mercenaires qui complotaient dans l'ombre pour nous nuire ou qui tentaient d'infiltrer le village pour nuire au Mizukage. Durant ces trois années passées avec mes camarades, je continuais évidemment à pratiquer quelques expérimentations mais j'appris également ce que signifiait se battre pour un pays. Cette nouvelle expérience allait m'être particulièrement lors de cette opération funeste, en l'an 116.

Une guerre contre le lointain village caché de la Feuille, 20 000 shinobis de l'Eau avaient fait le voyage jusqu'aux portes de cette autre patrie. J'en faisais partie, en tandem avec mes camarades habituels, nous étions chargés d'exécuter discrètement toute la garde rapprochée du Hokage, mais avions interdiction de nous attaquer directement à l'Ombre du Feu, que notre chef suprême avait souhaité affronter en face à face. Notre besogne fut facilement menée à bien et nous nous trouvâmes ensuite envoyés en renfort dans les rues jonchées de cadavres de Konoha, ou les batailles faisaient encore rage. Je n'avais plus de quoi enduire Ketsueki, mais malgré cette lacune son tranchant coûta encore la vie à une vingtaine d'ennemis, puis soudain, dans le village entier, les regards ont sans doute convergé vers cette apparition titanesque, qui a dû faire lâcher leur arme à beaucoup de guerriers tant elle était surprenante.

Un gigantesque monstre à l'allure de taureau, reposant néanmoins sur des tentacules, était apparu en plein centre de Konoha et de là où j'étais, j'aurais juré qu'il livrait une lutte acharnée avec quelque chose qui se trouvait au sol, mais je n'en saurais jamais plus puisque je reçus l'ordre d'éliminer un groupe d'artificiers de la Feuille qui piégeaient le chemin que notre grande armée emprunterait au retour. Un retour qui fut tant glorieux qu'endeuillé. Nous avions écrasé le village caché de la Feuille, mais au prix de nombreuses pertes. Toutefois, cela ne m'affecta pas, je me rappelais au contraire ce que j'avais fini par penser en compagnie de mon père dans son laboratoire et que ces quelques années au service de Kiri m'avaient prouvées.

- Dans ce monde, ce sont uniquement les plus forts qui survivent, tuant tous les faibles se dressant sur leur route, certains se contentent de faire ça jusqu'à trépasser à leur tour, tandis que d'autres choisissent de continuer en portant la volonté de leurs camarades tombés au combat et se jurent de survivre.


Cela faisait maintenant cinq ans que je n'avais plus vu mon père, j'avais réalisé nombre d'expériences dans mon coin et j'avais beaucoup de résultats à lui partager, néanmoins rien ne se passa comme cela. À mon retour, je l'aperçus debout, une bouteille de saké à moitié vide dans sa main gauche, tandis qu'une dizaine d'autres jonchaient le sol.

- Papa, pourquoi boire autant ? Cela ne te ressemble pas. Essaie de rassembler ta lucidité et expliques moi la raison de cet acte.


- Ah, tu es enfin revenue, ou étais-tu passée ? Tu es tombée sous le joug de cet empire pourri jusqu'à la moelle ? Ils t'ont asservie ? Tu me déçois énormément, Akame, comme ta mère le fis jadis.


- Je n'ai pas été asservie par Kiri, papa, j'y ai découvert une mentalité bien différente de ce que nous imaginions, ils me ressemblent beaucoup sur certains points, je ne comprends pas que tu les détestes autant. Nous-mêmes nous ressemblons en de nombreux points, alors pourquoi m'avoir tenue à l'écart durant tant d'années ? Et, pourquoi reparler de maman maintenant ?


- Tu es décidément bien naïve, tu m'as cru aveuglément durant tout ce temps, c'est moi qui ai tué Hikari ! Elle ne m'était plus utile, maintenant que je t'avais toi, une enfant que j'allais pouvoir éduquer comme il se doit ! Tu comprends mon geste… hein ? Je ne laisserais pas ce fichu village m'ôter ma fille, ce que je possède de plus précieux.

Mon père avait les larmes aux yeux, visiblement écroulé suite à la révélation qu'il venait de me faire. Moi-même je pleurais également, mais pour une tout autre raison.

- Tu as tué maman et a fait porter le chapeau à Kiri ? Qu'es-tu devenu, papa, je ne te reconnais plus, ou alors est-ce moi qui ai changé… c'est possible. Quoi qu'il en soit je ne peux vivre sous le même toit que le meurtrier de ma génitrice et puisqu'il se tient devant moi, je vais la venger de ce pas.


Dégainant alors Ketsueki, je décapitais mon paternel sans plus de cérémonies inutiles, comme la machine à tuer que j'ai toujours été. Je repensais soudainement à tous ces citoyens que j'ai torturés et tués par simple caprice de mon père, ils ne méritaient donc pas la mort. Il était trop tard pour que mon comportement subisse une refonte, néanmoins je pouvais faire de mes vices un atout pour la justice et l'ordre de ce village qui était le mien. Je commençais donc par nettoyer méticuleusement ma lame et profita de cette remise à neuf pour la rebaptiser, signe de nouvelle vie tant pour l'arme que pour l'utilisatrice.

- Ketsueki, tu ne te nommeras plus ainsi désormais, mais comment dois-je t'appeler… oh, je sais, il pleut souvent ici, d'autant plus que d'après les dires d'Ichirō ton ancien propriétaire venait du village caché de la Pluie… de plus tu m'as été offerte en automne et comble de l'ironie nous voilà de nouveau en automne… tu ne trouves pas que le destin à un faible pour l'humour noir, Murasame ?

Ma tâche sanitaire effectuée, je me mis en route pour la sortie du village, avant d'être interpellée par un garde, que je rassurai immédiatement malgré mon air déterminé.

- Ne t'inquiète pas, je ne déserte pas, je pars simplement en voyage au sein de Mizu no Kuni, j'ai certaines fautes à expier, mais je ne sortirais pas des frontières. En gage de confiance, note mon nom, Akame Akuryu.


- Akuryu ? Tu es la fille de ce fou furieux ! Ou vas-tu ?


- Ce fou furieux, comme tu dis, n'est plus à l'heure actuelle, libre à toi d'aller vérifier mais c'est justement pour expier ce qu'il m'a influencée à faire que je m'exile présentement. Je serai de retour d'ici trois années, au pire des cas, à moins que je sois trop faible et que mon cœur cesse de battre sur le chemin.


Ce périple me pris finalement deux ans. Deux ans durant lesquels j'avais passé au peigne fin les îles environnantes de Kirigakure no Sato, me liant d'amitié avec les différents habitants de l'archipel, sans dévoiler mon nom par peur d'être cataloguée ou chassée. Ce village m'avait permis de m'ouvrir au monde et je devais l'en remercier, ce que je fis en purgeant ses terres de toute opposition. Pirates, bandits à la petite semaine ou de grand chemin, assassins recherchés pour le meurtre de civils ou de ninjas et même divers nukenins. J'avais emporté avec moi un très grand nombre d'avis de recherches et, aussi bien grâce au temps consacré à ma tâche qu'à l'aide de tous les citoyens que j'eus côtoyés, aucun ne me restait à honorer, si ce n'est ceux des déserteurs, dont je n'ai malheureusement pu couper la tête que de quelques-uns sur les nombreux existants. Il était pourtant venu l'heure de rentrer, ma terre natale me manquait et j'estimais que mon accomplissement me permettait bien de considérer le nom ‘Akuryu' comme lavé de toute honte. Même si mon attitude était loin d'avoir changée, j'avais peu à peu appris à ne l'utiliser que contre mes ennemis et non pas contre le premier venu.

Je remis donc les pieds au village de la Brume pour la première fois depuis bien longtemps, en ce jour de l'été 120. Je fus cependant rapidement surprise du désordre qui régnait, les shinobis du village étaient très rustres envers les habitants et je n'en saisissais nullement la raison. Je profitais donc de la présence d'un garde pour l'interroger.

- Tu veux bien m'expliquer pourquoi notre armée s'abaisse à violenter son peuple ? Je sais que la loi du plus fort est de rigueur en ces lieux, mais tout de même, ce traitement me semble un peu abusé.

- On peut savoir d'où tu débarques ? Ça fait un moment que c'est comme ça.


- Sans doute oui, seulement je reviens de deux années à l'extérieur de ces murs donc je suis un peu dubitative quant à ce spectacle.


- Oh, voilà qui explique tout… ouvre bien grand tes oreilles, tu as raté beaucoup de choses. Premièrement, la Mizukage est morte, deuxièmement, une épidémie décime notre population et les autorités ne font visiblement rien de concret pour améliorer la situation. Et troisièmement, certains ninjas du village commencent à perdre la raison, comme ceux que tu vois ici et attaquent les villageois contaminés, sans doute pour se persuader qu'ils n'attraperont pas ce mal. De plus, la criminalité est croissante depuis que même notre brigade d'épéistes semble inactive, on dit que Dekishi aurait quitté le village, mais aucune nouvelle des autres. Et on ignore la raison de son départ.


- Je vois, ça fait beaucoup de coups durs en une seule fois… bon, sur ce, je vais aller faire le ménage, j'essaierais d'épargner au maximum les shinobis, mais je ne peux rien promettre.


- Kiri est devenu bien faible, j'espère que la rumeur n'a pas été disséminée dans le monde, sinon il est certain que Konoha s'empressera de venir prendre sa revanche ici-même et vu la situation ce ne serait pas exactement à notre avantage.


Je ne pus finalement tolérer que ces soldats se soient laissés prendre par la folie, ils démontraient ainsi leur faiblesse et méritaient donc d'être supprimés. Après cette effusion de sang je fus heureuse de retrouver la maison familiale, restée vide depuis mon départ. Je constatais que le corps de mon paternel ne jonchait plus le sol et je m'en réjouis, pour être honnête avec vous. Je décidais ensuite de renouer avec l’endroit à l’aide des quelques corps récupérés. Eh oui, on ne chasse pas ce qu’on est vraiment, même avec toute la bonne volonté du monde…bien. Il est temps de couper court à ce récit, pour la simple et bonne raison que… seul le futur décidera de mon histoire à partir de maintenant ! Je vous remercie donc tous de m'avoir écoutée jusqu'ici. J'espère de tout cœur vous croiser très vite, afin de sympathiser… ou de vous supprimer.



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Dernière édition par Akame Akuryu le Ven 21 Juil - 14:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Akame Akuryu, la folie au service de la Brume. [Terminée]   Akame Akuryu, la folie au service de la Brume.  [Terminée] EmptyVen 21 Juil - 8:52

Sanak... Ah nan, Sanakoeur est morte, vive Akame!

Comme on dit, une de perdue, une de retrouver Red, hâte de voir ton histoare!
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MessageSujet: Re: Akame Akuryu, la folie au service de la Brume. [Terminée]   Akame Akuryu, la folie au service de la Brume.  [Terminée] EmptyVen 21 Juil - 9:29

Que ça soit Kensaku, Sanako ou Akame, tu resteras toujours ma sœur du courage. Bonne chance pour ta prez, j'ai hâte de te lire ^^
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MessageSujet: Re: Akame Akuryu, la folie au service de la Brume. [Terminée]   Akame Akuryu, la folie au service de la Brume.  [Terminée] EmptyVen 21 Juil - 10:43

Re-re-rebienvenue !
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MessageSujet: Re: Akame Akuryu, la folie au service de la Brume. [Terminée]   Akame Akuryu, la folie au service de la Brume.  [Terminée] EmptyVen 21 Juil - 10:44

Si je peux me permettre kiri n'a jamais pris le contrôle de Konoha Razz
L'armée est venu a vaincu et est repartie aussi sec o/
De plus les uchiha n'etait pas encore de retour à konoha
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MessageSujet: Re: Akame Akuryu, la folie au service de la Brume. [Terminée]   Akame Akuryu, la folie au service de la Brume.  [Terminée] EmptyVen 21 Juil - 12:13

Kiri en force ! Twisted Evil
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MessageSujet: Re: Akame Akuryu, la folie au service de la Brume. [Terminée]   Akame Akuryu, la folie au service de la Brume.  [Terminée] EmptySam 22 Juil - 14:21

Bienvenue dans le monde de SNS, kunoichi portant le nom de.. Ah c'est Sanako ?

Bla bla bla, tu connais la chanson.

Présentation sympathoche, je suis favorable pour le grade de Oi-nin de rang A.
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MessageSujet: Re: Akame Akuryu, la folie au service de la Brume. [Terminée]   Akame Akuryu, la folie au service de la Brume.  [Terminée] EmptyDim 23 Juil - 21:24

Ça me va aussi. C'était bien glauque. Belle écriture, sympa à lire. Amuses-toi bien sur SNS
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