Une mauvaise manie?

Automne 117, Journal « Histoire du passée », Chapitre "Une mauvaise manie?"

Hé bien, cher lecteur, ce journal sera bien celui où je parle de mes anecdotes du passé sans ordre chronologique. Alors après ma mission dans le bunker, voici une autre anecdote. Cette fois-ci, une histoire plus, certes, mais qui me fait personnellement sourire. Laissez-moi vous conter l'histoire derrière ce que certain appelle une mauvaise habitude : Fumée.

C'était lors de ma période de rebelle, celle que la plupart des adolescents passent plus ou moins. Je mettais mis en tête de devenir une shinobi avant d'être une médecin, et je parcourais Tsuchi remplissant mission en mission. J'en ai fait des choses, pour essayer de me démarquer de ma famille. Certain dont je ne suis peu fière, d'autre qui font celle que je suis. Commencer à fumée est l'une d'elle.

J'étais encore Chunin à l'époque, et, comme d'habitude à cette période, je sortais d'une énième dispute avec mon père, sur le sujet de mon futur. Lui me voyait comme un futur prodige de la médecine, et moi je me voyais en tant qu'Iwajin. Finalement, quand j'y pense, c'était assez puéril. Regardez aujourd'hui, je fais bien les deux ! Avec certes une préférence pour le terrain. Mais revenons sur le sujet, voulez-vous. Ce jour-là, la dispute fût particulièrement violente, et donc, par conséquent, j'en étais sortie plus en colère que d'habitude. Je vagabondais, comme toujours après une dispute avec mon géniteur, dans Iwa, histoire de trouver quelques choses sur quoi se défouler. A force de me balader, j'ai fini devant une boutique de tabac, et la jeune moi, voyant là une autre façon d'exprimer ma libre pensée comparé au clan, y entra et y acheta son premier paquet de cigarette…

C'était… des Natural Iwa Spirit.

Une fois l'achat effectué, je m'isolai, comme si j'étais en train de faire quelque chose de totalement interdit et que je ne voulais pas que ça se sache. J’ouvris le paquet, en porta une à mes lèvres et l'alluma. Aujourd'hui, je peux dire que ce n'était pas la meilleur marque, mais, les sensations furent les mêmes. Ça m’apaisa mentalement. Je dois dire que, à cette période, c'était peut-être le plus calme que j'ai été. Au point même où je suis allez m'excusez auprès de mon père. Malheureusement, ce qui devait être une réunion heureuse se finit de nouveau en dispute quand il aperçu le paquet. Je me rappelle encore de ses mots. « Ce n'est pas sain de fumer cela. Tu mets ta vie en danger, Fais au moins honneur à ton fameux code de shinobi, un esprit sain dans un corps sain. » J'étais tellement énervé que après la dispute, dans ma chambre, j'ai dû en fumé trois pour me calmer.

Malheureusement pour mon père, j'y ai pris goût et je suis devenue une cliente récurrente, en changeant de marque jusqu'à trouver celle qui me plaisait. Même aujourd'hui, quand je fume, je le fais par envie et non nécessité comme certains. Au faite, je dirais pas que je suis dépendante de la cigarette en soi, mais plutôt du calme, de l’apaisement que cela me confère. Donc je me balade toujours avec un paquet sur moi lors des missions et de mes opérations.

Hum, vous voulez savoir la marque que je prends de nos jours, au moment j'écris ses lignes ? Soit, ce sont les Wild Nine.

Sur ce, au prochain chapitre pour une autre anecdote.