Kenshi, l'épéiste du désert [ Terminé]

Le jeune homme aurait pu avoir tout ce qu'il y avait de plus banale. Une chevelure sombre, des yeux de la couleur du chocolat, une peau légèrement pale. Mais la nature en avait décidé autrement...
Le plus extraordinaire fut ses cheveux. Désormais, d'un rouge profond, ses mèches prenaient la forme d'une crinière. Des flammes royales lui donnant l'air d'être un monarque sorti des enfers.
Deux rebelles, toutefois, se dressaient fièrement de chaque côté de son front. Une chevelure caractéristique d'une race perdue depuis des temps immémoriaux. Une partie de son ascendance serait-elle de cette race, jamais on ne le saura.
De même ces cils, véritable reflet de sa chevelure, reflète ce ton écarlate. Parlons-en de ses yeux, fenêtre de l'âme, qui feraient craindre le plus brave des hommes. Une lueur destructrice, un soupçon de malice, ses organes de la vision eux, devinrent flamboyants. Ils hypnotisaient leurs proies comme des insectes attirés par la lumière, des serpents charmés par le son des flûtes. Des yeux extraordinaires dans un monde normal, mais ne disait-on pas que le chakra accomplissait tous nos rêves. Quoi de plus normal que de posséder des yeux dorés dans ce cas.

Des traits fins, un corps dessiné dans le marbre. Apollon, dans sa grande miséricorde, lui avait accordé sa grâce. Résultat de la magie purifiante, Alec possédait la peau laiteuse et légèrement bronzée d'Adonis. De fins muscles parcouraient ce corps taillé pour la chasse. Autant pour les filles que pour les ennemis. Un style qu'il concrétisait par des vêtements spéciaux.

Il était toujours vêtu d'un manche-longue, se partageant les flammes et la pureté. D'un rouge couvrant tel du sang les pans de tissus prévus pour couvrir ses épaules et ses bras. Le reste du tee-shirt, d'une pureté éblouissante, se mouvait au gré des vents. Une petite gemme, violette couvrait le centre de sa tenue uniforme. Lors de missions plus spécifiques, il peut recourir au blouson sans manches, de la couleur du sable. Une preuve de son appartenance à la Nation de l'air.
Concernant le bas, jeunes demoiselles, rassurez-vous il n'est pas tout nu. Un short marron couvre ses parties génitales. Le jeune homme n'aime que peu ressentir ses jambes recouvertes. La raison... Il ne peut plus sentir le vent sur deux de ses membres les plus utiles et puissants. Rien de mieux que des vêtements amples afin de réaliser des acrobaties et des techniques. En effet, le jeune homme voit les combats comme du sport.

Voilà la description de notre beau roux épéiste.

On dit que la vie est une expérience riche qui se construit au cours du temps, dans le bonheur, dans la douleur et dans la souffrance. Alec pouvait dire que le commencement de son souffle de vie avait porté ses fruits dans cet aspect de richesse. Son premier meurtre avait changé sa psyché. Une part sombre avait corrompu son âme, ne laissant agir que les ténèbres. Une découverte fort intéressante. L'odeur du sang agissait comme une anesthésie pour ses sens. Sa part d'humanité laissait place au prédateur, un prédateur qu'aucune proie ne voudrait rencontrer. Une arme serait une bonne définition pour lui. Pourquoi ? Aurais-je oublié de préciser ? Son premier meurtre était en fait un meurtre en série. Une dizaine d'hommes et de femmes qui se trouvaient dans le domaine de Lucifer par sa faute. Comment avait-il justifié ce fait ? Tout simples, ils étaient des ennemis de sa nation.

3 choses primaient dans sa jeune vie.

La Loyauté, que dire de la loyauté sinon qu'elle demeure absolue. Une représentation d'un amour profond pour sa patrie, sa famille, ses amis. Une qualité qui déteignait sur le professionnel. Le Rasack était un homme de parole. Sa parole donnée à Suna, il obéissait avec ferveur aux ordres de ses supérieurs. Néanmoins, cela ne signifiait pas devenir le toutou du village. Des initiatives, il en prenait dans l'optique d'optimiser la réussite militaire du village. Il souhaitait devenir un des meilleurs shinobis de son village. Un sentiment de dette qui étreignait son cœur en raison de la débâcle de l'un de ses consanguins au plus haut poste. Ce n'était que justice de rendre à ce nom un peu de dignité.


Respect, un témoignage poignant envers l'héritage de ses ancêtres. Kenshi obéira toujours à un ordre direct de ses supérieurs ou de ses aînés s'il s'avère que celui-ci est juste. Son respect comprend aussi ses ennemis. Le jeune épéiste ne médira jamais les croyances et les aspirations d'un adversaire. Ainsi, il se donne toujours à fond afin d'honorer ses concurrents. Son respect comprend aussi la dimension d'héritier. En effet, il souhaite ardemment contribuer à la grandeur de son clan. Un désir clairement de rétablir la réputation du potentiel de son clan, un clan récent.

Jugement, le droit sacré des hommes. Kenshi n'aime guère être témoin d'une injustice. Un homme, qui n'assume pas ses actes ou qui ne paye pas pour ses crimes, ne mérite point sa miséricorde. Une situation qui peut faire renaître l'obscurité dans le cœur du shinobi. Un homme, sans honneur, n'est pas un homme.

Lorsqu'il range son armure et ses armes, le jeune Rasack se révèle d'une personnalité fort attrayante. Posséder un ami comme lui est une bénédiction pour vous, Chers Lecteurs. Dans le domaine sentimental, Kenshi ne demeure pas en reste. Jeunes filles, n'ayez crainte, la galanterie et la courtoisie sont des armes qu'ils maîtrisent à la perfection.
Cependant, malgré cette bonne foi, un côté manipulateur et sans scrupules peut s'exprimer rarement. Sa profession demande un moyen d'information et pour sa patrie, le jeune ninja usera de tous les moyens à sa disposition pour obtenir ce que recherche son village. Que cela soit la torture, la séduction, etc. Même s'il en a honte, cette théorie est validée par une pincée de cruauté qui se trouve au fond de son âme. Dans une autre vie, il devait être un homme sans foi ni loi.
La ruse coulant dans ses veines, un élan de stratégie emplit son esprit. Un esprit aux capacités de raisonnement suffisantes pour résoudre des conflits ou éliminer une menace avec le moins de perte possible.

Voici la recette qui permet de créer l'esprit du jeune Kenshi Rasack.

Rasack, un nom plutôt connu dans le désert. Non pas pour ses capacités ou l'or de ses yeux, mais par les exploits de l'un d'entre eux. Un homme qui s'était élevé au plus haut rang du village, sunagakure no sato. Un Kazekage. Durant son règne, il exposa son peuple à la guerre et à l'annexion. Certes il fut victorieux, mais qu'en étaient-ils de ces orphelins qui avaient perdus leur parents, morts pour un soi-disant honneur de la patrie. Qu'en était-ils des familles qui perdaient leur seul moyen de survivre. Qu'en étaient-ils de l'unité du peuple ? Suivre la destinée d'un fou et laisser le village exploser. Le règne de Sergeck serait toujours entaché de ce fait. Il avait réussi avec l'assassinat de Gin Inkan, tsuchikage de l'époque, mais, qu'en était-il de Suna. Cependant comme Alexandre le Grand, à sa mort présumé du à une maladie, ses généraux se partagèrent son empire.
C'est dans cette période de trouble qu'émergea de l'ombre des groupes politiques et militaires. Rapidement les pro-gaara rejoignirent le néant, leurs sangs tachant le sable. On ne pouvait se fier à personne, l'unité était ouvertement brisée. Les nombreuses attaques eurent pour conséquence la baisse significative de la population du village ainsi que le mécontentement des villageois. Une tentative de fuite, d'exode fut opéré. Le pays n'était plus sûr, sa capitale tombait dans le vice. Cependant, l'espoir fut vite étouffé. Les serviteurs de la mort chassèrent les civils comme du bétail. La désertion n'était point toléré. Suna, autrefois une des merveilles du continent, une pyramide riche et prospère se retrouvait être en ce temps une prison, un tombeau de sable ou chacun pouvait disparaître aussi vite que la lumière du sable. Ce temps fut aussi celui de la naissance de Kenshi.



Très tôt il fut confronté à cette réalité. Il n'y avait pas d'avenir radieux, il n'y avait que la mort et la loi du plus fort. Il fut élevé par sa sœur et son grand-père. Ses parents, avaient tentés de fuir avec eux du village afin de quitter cet enfer. Hélas, ils perdirent la vie dans cette entreprise saugrenue. N'importe quel enfant éprouverait de la fierté devant cette marque d'amour de ses parents, mais kenshi n'était pas n'importe quel enfant. Son grand-père, un vieux Rasack, lui avait conté cette histoire avec une morale :
«  Seuls les lâches cherchent à fuir au lieu de combattre le problème dans un face-à-face. »

Son vieux grand-père en fit une arme. L'insécurité croissante avait convaincu l'homme d'entraîner ses deux petits enfants afin qu'ils sachent se défendre en cas d'agressions. En effet, pilleurs et arnaqueurs avaient faits de Suna leur royaume. Il n'était pas rare d'entendre parler d'un vol, d'un viol ou d'un assassinat en plein coeur du publique. Il n'était pas plus haut que trois pommes lorsque Kenshi tint sa première lame. Le kenjutsu et plus précisément l'art du sabre constituait la renommée du clan Rasack. Même si il n'était point particulièrement fier du nom qu'il portait, c'était le sien et il le serait jusqu’à la mort. Les leçons furent excessives. Le grand-père n'hésitait pas à blesser sa descendance afin que ceux-ci apprennent la douleur, car la douleur demeurait un moteur nécessaire. Le jeune ne connut pas l'enfance, il n'en avait pas le droit. La mort, une banalité à ses yeux. Pour le plus grand bonheur du vieil homme, le jeune kenshi avait décidé de poursuivre sur la voie des sabreurs. Sa sœur, Haruna, devint une bonne manieuse de lance.



Cela fit un peu moins plaisir au puriste rasack, mais leur don fonctionnait après tout pour toutes les armes. C'est en réalité que Haruna Rasack venait d'entrer au service du village. Ce fut un moment de séparation intense pour Kenshi. Sa sœur lui avait donné la force de résister à cet enfer, aux sévisses. Ils s'étaient promis tous les deux en cette période, de survivre et d'apporter la paix pour leur famille, leur union. C'était eux contre le monde. Le jeune homme continua de s'entraîner avec sa lame, devenant progressivement prêt à tuer d'un seul geste. Le grand-père suivait l'évolution de son petit-fils avec intérêt. Ils étaient des Rasack, le choix de rejoindre le groupe des pro-sunshunke tombait sous le sens. Cependant il allait grandement être déçu…

Kenshi rejoignit l'académie ou du moins ce qu'il en restait. Il tenta d'apprendre correctement les bases pour devenir shinobi malgré les attaques répétées des pilleurs et des bandits. Le jeune homme fit couler le sang pour la première fois de sa vie. Un pilleur allait attaquer une de ses camarades car celle-ci s'était mis sur son chemin. Réagissant au quart de tour, le prenant à revers, deux shurikens furent lancés afin de distraire le criminel avant que la lame de son épée, sans trembler vint s'enfoncer dans les entrailles du bandit. Le sang gicla d'un coup éclaboussant le jeune homme. Cette scène marque encore les cauchemars du jeune homme aujourd'hui, comme une marque au fer rouge.
Il devint plus sombre, plus réaliste. La dernière once d'espoir avait quitté son coeur. Il était devenu un meurtrier afin de protéger ses amis. N'était-ce pas ce qu'on demandait aux shinobis ?

Un an plus tard,  en 116 néanmoins la situation changea. Les plus braves commencèrent à se rebeller. Mais tout comme les pro-gaara, les faucheurs eurent raison de leur âme. Un nouveau massacre dans ce village. La malédiction de Seth, le dieu du désert rouge, continuait de frapper de malheur Suna et sa population. Un soir, Haruna revint dans la maison familiale après avoir coupé les ponts durant des années. Quelle joie se fut de revoir sa sœur pour le jeune ninja. Enfin une bonne nouvelle dans sa vie. Mais elle ne vint pas pour un sentiment d'allégresse, elle comptait rendre un jugement. Un samourai du nom de Nitobe, natif du sable, avait réussi à fuir durant la chasse aux déserteurs. Il revenait aujourd'hui apporter la paix et l'unité dans le village Le vieux Rasack, un pro-shunsuke/sergeck avait commis un attentat sur plusieurs des partisans du nouveau héros du village. Haruna avait donc été envoyé pour le capturer afin qu'il est un procès équitable. Le sang avait assez coulé. Un combat avait débuté, ne laissant aucun doute sur l'avantage certain du vieillard qui pu ainsi s'enfuir dans la nuit étoilée.  Ayant reçu un apprentissage, le jeune homme quémanda sa sœur de lui permettre de rejoindre l'unité familiale sous le commandant supérieur du libérateur.
Haruna, soucieuse de la sécurité de son petit frère, ne pris pas en compte sa proposition mais accepta néanmoins de l'aider à contrer les actions de leurs grand-pères. Honneur familiale, ils revenaient aux membres du clan de décider de leur sort. D'assistant, il passa à partenaire. Un formidable duo rasack le temps des quelques jours de cavale de leur ancêtre. Ce fut le jeune homme qui eut le plaisir d'appréhender le lâche. Ainsi la vengeance avait sonnée, celui qui avait dénigré ses parents pour un acte, venait de reproduire cet acte. C'était un lâche et les lâches ne méritaient point de mort honorable. Tel avait été l'enseignement de son enfance. Le jeune homme avait feint de vouloir aider son grand-père avant de le poignarder avec un kunai en pleine poitrine. Désireux d'en faire un exemple, le jeune homme sortit son tantô et le plaça sous la gorge du traître. Au moment où sa sœur et ses acolytes  arrivèrent, le jeune homme trancha la carotide de son grand-père. Les traîtres n'avaient pas leur place dans cet ordre nouveau. Il pouvait être fier, ses petits-enfants étaient devenus des armes, des armes qui venaient de lui arracher son dernier souffle de vie. Une période formatrice pour le jeune sabreur. Il commença à croire en la puissance des règles. Durant toute son enfance, le manque de règle avait créer le Suna destructeur. Les règles manifestaient l'autorité, l'unité. Une société en avait besoin et c'est ainsi que devant sa sœur et les autres, il jura de toujours respecter la loi. La fin de l'année 116 fut des plus heureuses. L'unité familiale ainsi que les autres partisans du «  samouraï du sable » furent victorieux des faucheurs et la paix put enfin régner sur le royaume du vent.
Kenshi put réellement s'inscrire à l'académie officiellement et terminé sa formation académique de shinobi et entrer au service de l'unité militaire du nouveau Kazekage, Soufuku Nitobe.
Une année prospère suivit. Le Kazekage et ses plus proches alliés instaurèrent des règles afin d'améliorer la vie des habitants et l'armée du village. Le jeune homme était fier de contribuer ne serais-ce qu'un peu à cette évolution qui mènerait le village vers la grandeur. Toutefois, certaines habitudes demeuraient tenaces. Une nouvelle montée de pro-gaara déclencha de nouveaux conflits avec les pro-shunsuke encore présent dans le village. Un coup d'état fut même organisé et il échoua. Kenshi, devenu pleinement adolescent, crut retomber dans la violence de ses premières années. Le libérateur qui fut un des plus grands héros du village, disparu en laissant sa fonction à une Esuki, Yumi-Sama. Il avait enfin de compte fait exactement la même chose que ceux qu'ils punissaient. Le jeune épéiste fut déçu de ce comportement mais il loua quand même les actions de l'homme.
Le règne de Yumi ne fut guère différent à part que la paix régnait et que le village, plongé durant de nombreuses années dans le chaos,  se modernisait.
Les dirigeants du clan cette année demandèrent à Kenshi quel parti politique il prenait. Le jeune shinobi déclara ne prendre aucun parti que celui de la loi. Tout ceux qui se dresseraient contre elle, connaîtrait l'acier de sa lame. Une parole profonde qui toucha de plein coeur les rares survivants du clan. Les guerres civiles avaient décimées leurs rangs. Le clan avait besoin de se refaire une meilleure réputation. Un but que c'était donné Kenshi Rasack, du clan Rasack. Il ne commettrait pas  les mêmes erreurs que ces ancêtres. Il demeurait neutre, mais punirait les deux camps si ils désobéissaient aux directions des supérieurs du village.  
Même si en ce temps nouveau, les rues paraissaient sûres, un conflit pouvait subvenir à tout moment. La guerre, l'épidémie. L'épidémie qui ravageait le pays et qui donnait du fil à retordre à la section scientifique.
Kenshi continuait à progresser dans ses talents, héréditaires comme les nouveaux, afin de palier aux menaces à venir. Le village aurait besoin de lui et de sa force. Il se devait d'être la pour punir, aider, supporter la douleur de ses alliés comme de ces ennemis. Sa liste de meurtres ou de blessures avait depuis augmentée, le jeune homme n'ayant jamais été un saint.
La menace de Kami avait fait son apparition en 120, Kenshi Rasack, 17 ans sera prêt à protéger tous ses amis avec sa lame et son âme.

« -Désolé, traître. J'en étais à raconter ma vie que j'en ai oublié de t'extorquer des informations sur les bandits qui cherchent à troubler la quiétude du village. Suna n'est pas n'importe quel village, c'est le mien. Donc donne moi les infos que je souhaite et je plaiderais pour que tu sois incarcéré. Si non, ben je procéderais à ton jugement moi-même. Quelle est ta réponse ?

- Je ne te dirais rien, pourri. Tu peux te torcher le cul avec.

- Si tu le prends comme cela, en plus sans aucune politesse. Je t'avais prévenu »

Cette soirée la se termina dans les cris et un bain de sang. Ennemi de la loi, vous périrez sur le bûcher.

• Âge : vous connaissez aussi mon âge ^^
• Localisation : Martinique
• Prénom : vous connaissez déjà mon prénom, bande de curieux
• Nindo : Un homme qui connaît ses limites, est un homme qui ne perdra jamais.
• Passions :  
• Personnage du manga préféré : Killer bee
• Comment avez vous découvert le forum ? : C'est Eidan qui m'a fait découvrir ce forum, donnez lui des ryos pour cela. Je plaisante, je suis la moitié de l'âme d'Eidan
• Comment trouvez vous le forum ? : aucun avis de kenshi, il vient d'apparaître dans le Yuukan
• Que faudrait il changer ? :
• Autre chose ? : (Avez-vous déjà RP, depuis combien de temps, une remarque particulière...)
• Avez vous lu le règlement ?* : Yumi est une diva. Ou est ce qu'on peut avoir son numéro s'il vous plaît ?