Partagez
 

 PTSD Vétéran n°415 [Zanka Minagiru - Terminé]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Zanka Minagiru
Rang B
Rang B
Zanka Minagiru
Messages : 3

Fiche shinobi
Grade:
Nombre de missions effectuées: 0 SS - 0 S - 0 A - 0 B - 0 C - 0 D
Talents:

PTSD Vétéran n°415 [Zanka Minagiru - Terminé] Empty
MessageSujet: PTSD Vétéran n°415 [Zanka Minagiru - Terminé]   PTSD Vétéran n°415 [Zanka Minagiru - Terminé] EmptyMer 29 Mai - 7:13

Minagiru Zanka
Bordure inférieure
Physique
Le sol tremble à l’approche de son imposant gabarit, le vent n’ose qu’à peine effleurer sa longue chevelure, de peur de subir son courroux destructeur. La lumière courberait l’échine si elle pouvait pour s'empêcher de se confronter à la menace que représente le contraste noir et blanc de sa toison avec sa peau. Au lieu de cela, elle redouble d’effort pour sublimer son apparence, pour faire ressortir, par un subtil jeu d’ombres, ses formes outrageuses, sa musculature puissante tout autant que le peu de charme, humble, qu’elle peut trouver à cette bête féroce. Son visage est jalousement envié par le marbre, dont les veinules n’égalent pas le grain de beauté si particulier qui fait l’atout phare du minois de ce monstre presque toujours impassible.

Le démon ne sent pas le souffre, il n’a pour ainsi dire pas d’autre odeur que le manteaux phéromonal de peur qu’il tient de ses ennemis. Et si d’aventure il se trouve que vous croiseriez son chemin sans que votre mort soit intervenu sans un son, il se pourrait que vous ayez l’occasion d’entendre sa puissante voix, digne d’un affrontement entres collines, avant, peut-être, de vous évanouir.

Les bandages sont impuissants faces à sa poitrine, ne parvenant à comprimer qu’à peine sa grande capacité pulmonaire. De la même manière, rien dans son accoutrement laisse penser que l’on va passer un charmant moment en sa compagnie, ni sa casquette, dont la visière est comme un indicateur se pointant sur sa prochaine victime, ni son long manteau, signe qu’elle délivrera sa justice ou que son ennemi se trouve. Le bestiaux est paré d’un hakama, comme pour nier sa féminité et faciliter l'annihilation de chaque étincelles d’espoir d’apercevoir ses jambes sans doute magnifiques.
Mental
La gloutenerie, la luxure sont probablement les deux vices qui caractérisent ce monstre. La créature est peut-être plus proche de l’Humain qu’il est permis de croire à la vue de son palmarès. Capable de compassion, de morale, d’un sens de la justice profond ainsi que d’une sagesse et d’un stoïcisme rare pour ce genre de manifestation, la force de la nature éclate tout de même parfois d’une certaine colère indomptable, mais jamais n'a haï.

Son nom lui a été donné par espoir, et c’est ce que la bête à décidé de représenter. En revanche, pour chacune de ses actions, l’ignominie demandera un tribut, bien évidemment tiré dans la liste de ses faiblesses qu’elle avoue sans une dose de honte. Oui, le cataclysme parle, car son jugement ne peut-être rendu sans que sa victime ne connaisse ses torts, tous ses torts, avant de mourir, en terminant par sa rencontre.

Que dire de plus ? Quoi ajouter à cette description pour rendre cette immonde furie ? Elle possède également la capacité de se lier avec d’autres pour augmenter encore plus la menace qu’elle représente. La bête ne donne que rarement sa confiance, mais elle sait quand elle doit coopérer pour survivre, que dis-je… Oblitérer… Ses ennemis.
Histoire

Chapitre 1: Une machine à tuer

Je suis née avec un objectif prédéterminé, éclater tout ce qui pourrait nuire à Konoha. Mes parents n’ont que peu d’importance, après tout je ne m’en soucie pas moi même, ils ne font pas partie de ce que je pourrais appeler des citoyens utiles à ma chère cité… Mais si l’on doit me poser la question, je répondrais simplement qu’ils sont paysans, ou étaient, ils pourraient être mort sans que je le sache après tout, mais qu’est ce que j’en ai à foutre…

Je suis un produit, pas tellement une femme, jamais tellement été une enfant par ailleurs. J’ai été vendue pour devenir une machine, entraînée pour devenir une bête, je détruis, je tue, je traque, je massacre, et je réfléchit, c’est ce que je fais. Mon entraînement s’est fait en un seul grand cycle, j’ai suivi rigoureusement la voie que me prescrivait le Shinobi qui me supervisait, Uzumaki Gasuru. Celui-ci désirait faire une division de gardien pour les enfants de son clan à venir, mais au final, il s’est ravisé en comprenant que placer un bouclier devant ses proches ne ferait que les affaiblir. Ils auraient besoins de plus de liberté, de risque pour s’épanouir et survivre seuls, sinon quoi ils me seraient tous resté dépendant. Il me délégua donc à Konoha, qui était déjà ma “best place”. Ce sentiment de faire partie d’un tout me faisait le plus grand bien, j’étais comme ce grand mur d’enceinte, en plus solide, en plus féroce, en moins… Vaincu.

Je n’avais jamais gouté à la défaite, et ne l’ai jamais goûté par ailleurs et ne suis pas sûre que cela arrivera un jour, probablement, qui sait ?

Le premier examen était une formalité, Genin était une plaie sans précédent en revanche. Pas le droit de sortir sans autorisation, pas le droit d’être seule, j’ai dû apprendre à me conformer à l’idéal de la volonté du feu, et apprendre les mots comme “solidarité”, “compassion”. “Polie” n’est pas encore tout à fait au point chez moi au jour d’aujourd’hui, mais je tâche d’y travailler, quand le putain de temps m’est permis, ou plutôt “autant que faire se peut”.

J’ai déchaussé les dents du Sunajin qui m’avait pris pour cible facile à l’examen pour devenir Chuunin. Rien de bien compliqué, ma force physique et mon endurance avaient fait la différence, quelle importance que son contrôle du chakra ait été meilleur à l’époque, je me demande si cette différence était toujours d’actualité, mais passons.

Mon contrôle du chakra était ardu, parce que beaucoup d’énergie était en jeu, ainsi donc Garusu, toujours mon professeur après toutes ses années, m’expliqua le fond du problème, avec un parchemin vieux que quelques dizaines de dizaines d’années, démontrant les bienfaits d’une capacité si grande pour l’invocation. Mais voilà… le hic était que je ne connaissais aucun clan sage, et que bien évidemment, peut-être fallait-il que je trouve ma propre voie dans ce domaine. Sans aucune maîtrise, mais toujours sans peur, je me lançait dans le rituel d’invocation. Maître Jiraya, un grand ermite et propagateur de paix en son temps, avait découvert le secret de ce qu’il arrivait à une personne lorsqu’il incantait sans pacte, cela ne manqua pas.

---
Chapitre 2: Roi parmis tant d’autres

Je me retrouvais cernée de rongeurs qui se jetaient sur moi en un instant. Coups de poings, pieds, ils n’étaient rien contre ma force, mais leur nombre dépassait mon endurance, je prenais un saut d’écart avant de conjurer une limite. La marée de rats bouchait mon champ de vision de tout côté, s’invitant jusque sur le plafond de la barrière.
-Suffit, déclama une voix grave, je m’en occupe.

Une grosse masse s’affaissa sur mon kekkai, faisant éclater les rongeurs n’ayants pas eu le temps de s’éloigner. La limite que j’avais imposé tint bon, mais probablement qu’elle ne durerait pas, il me fallait soumettre au plus vite ce nouvel ennemi. Avec le carmin couvrant ma protection, je ne pouvais apercevoir mon ennemi, mais j’entendais ses coups cycliques, toujours sur un tempo précis. Je retirais donc ma défense au moment ou son arme gigantesque allait faire un impact et j’avais profité de nos champs de visions réduits pour créer des clones.
-Ingénieux, mais je suis au delà de ça, commenta lentement le grand rat.

Sa stature était immense, il allait falloir plus de clones pour l’empétrer dans un conflit qu’il ne pourrait gagner seul. Mais il avait des alliés, et donc le nombre ne serait jamais suffisant. Chaque clone se receptionnait sur un pan de mur avant d’attaquer une partie différente de l’animal en même temps que je déclenchais un genjutsu lui faisant croire à la létalité des blessures que mes illusions ne lui infligeraient pas.
-Quoi !?
-Tu va mourir, saloperie !
-...

Alors qu’il s’occupait de frapper l’intangible, je me logeais sur sa tête, ses deux yeux louchèrent , exorbités de surprise.
-Ne me dis pas que…

Deux kunai, chacun avec un parchemin explosif se logaient respectivement sous chacun des deux yeux de la bête, qui n’avait que son aveuglement en ligne de vue si il n’obtempérait pas.
-C’est fini, grand rat, soit tu t’incline, soit tu perds tes yeux et ta vie.
-Hahahaha, je ne vais pas abandonner le pouvo…

Une explosion se produisit, et la tête fumante du rongeur colossal tomba en entraînant le reste de son corps pendant que je posais le pied à terre après m’être receptionnée.
-Alors ? Vous allez m’ob…
-Impressionnant, je ne pensais pas que tu ferais le poids face à cette illusion. Hahaha…

Ses yeux de rongeur me fixaient, il était encore en vie, mais son corps n’était pas la ou je l’avais laissé, du genjutsu.
-Match nul donc ?
-Indubitablement.
-On fait quoi alors, on se partage le trône ?
-C’est mon trône, je m’y suis fait, si tu en veux un tu n’aura qu’à te le fabriquer avec le corps de tes semblables.

Alors qu’il me proposait cela, je voyais que son corp était ramassé dans un siège composé de milliers d’individus entrelacés, leurs queues créant une toile capable de soutenir le poid du colossal rongeur. L’idée me paraissait glauque, je lui en faisait part.
-Quand tu n’aura plus le choix que de tuer pour défendre ce à quoi tu tiens, qu’il s’agisse de pouvoir ou d’autre chose, alors tu apprendra qu’ériger un symbole d’effroi sculpté dans tes victimes est plus efficace que de mener de front toutes les batailles. Le moral est ce qui lie les miens, tout comme pour les hommes, si l’on craint, l’on sait à qui obéir, et au contraire, si l’on est craint, alors le pouvoir est nôtre.
-Il faudrait que je devienne comme vous alors ? Vous êtes moche…
-Est-ce vrai ? Qu’elle est ma véritable apparence, ma véritable odeur, mon véritable souffle ? Ne crois tu pas que ce que je te montre est nécessairement ce que tu accepte de voir ? Le vainqueur décide, le puissant commande. Je suis le conquérant, alors si je te dis que je suis beau et splendide, alors…

Pas du genjutsu, pas du fuinjutsu, plus puissant que cela, la créature changeait habilement de forme, devenant un humain à part entière, avec… un assez bon goût en matière d’apparence et d’audace vestimentaire. Je prenais un temps pour observer mon entourage, le lieu devenait moins lugubre de secondes en secondes, finissant par s’arranger en un grand hall digne d’un roi. Même son trône se changea en sculpture dorée de rats portant un palanquin qui constituait l’assise de l’éphèbe roi des rats. Celui-ci piochait dans un cabinet apparu à ses côtés pendant l’organisation du monde dans lequel nous nous trouvions et en sortit un parchemin qu’il lança à moitié, gardant l’un des pans dans sa délicate main. Le tissus se déroula, circulant au sol comme les roues d’un chariot, s'arrêtant juste devant mes pieds.
-Dépose ta marque, ensuite je t’apprendrais.

Je m’éxécutais, c’était après tout ce pourquoi j’étais venue. L’armée des rats était à ma disposition, de petits individus certes, mais féroces, et en nombres infinis. A la fin de cette entrevue, je retournais dans mon pays, à mon village, car l’antre des rats était relativement éloigné du reste du monde shinobi. Je faisais par de mes avancées à mon mentor, qui sû me soliciter pour mes nouveaux talents. L’avantage du nombre me conférait une capacité à subjuguer mes ennemis, a les soumettres pour les contraindre à se rendre. Je n’ai jamais intégré la section d’assassinat, en revanche celle de confinement et d’interception m’était toute désignée. J’y ai appris toutes les ficelles pour brider une créature, qu’elle soit surnaturelle ou non.

---
Chapitre 3: Devenir plus, consommer plus

J’entrais dans la fleur de l’âge, et avec cela toutes les nouvelles responsabilités me tombaient tour à tour sur le dos. Devenir juunin, devenir ermite, espionner mes camarades…

Je craquais sous le poids de mes responsabilités, me réfugiant dans les vices… Pas de jeux d’argents, j’étais bien trop pingre pour cela, mais le sexe, la gloutonnerie, je n’avais pas d’autre choix, c’était cela ou être consumée par mes ambitions, et perdre ne ferait de moi qu’une personne faible, non à même de protéger ma ville. Je surmontais donc cela à l’aide des seuls moyens que j’avais d’exulter mon stress et toute la tension que cela me procurait.

J’en sortais grandie, et investie d’une mission spéciale, traquer la bande de surhumains que notre village avait sû infiltrer plusieurs années auparavant, le temps que l’individu qui nous servait d’espion soit captif. Je me lançait à corps perdu dans l’entreprise la plus risquée de ma vie jusqu’alors. Je passais de longues semaines à observer le culte avant de m’y intégrer à mon tour sans pour autant oublier ma mission. J’obtenais la possibilité d’avancer dans le culte, puis je passais à l’offensive après avoir appelé du renfort. Leur talent venait principalement de l’échange de fluides entre leur adversaires et eux même, mais avec mes invocations multiples, les cultistes étaient désappointés, perturbés par le mélanges de précieux liquides. Le sacrifice des rats était exemplaire, suivant mes moindres ordres, au péril de leurs vie, ils obtinrent la victoire que je leur destinais, et les survivants conjurés purent festoyer sur les restes des damnés immortels. je n’avais que faire de les ramener, il me fallait en tuer le plus possible, et ce fût un carnage, qui s’imprima plus que du sang sur moi, mais profondément dans mon coeur et dans mon âme.

Les massacrer me changea, ma pitié s’étiolait, mon sens de la justice perdait de son éclat, et à mon retour, je ne savais vraiment si j’étais toujours saine d’esprit ou si vraiment, j’étais devenu le monstre que tout le monde a toujours tenté de me faire devenir. Lors de mon arrivée, l’on me demanda ce qu’il s’était passé, mon rapport… Tout ceux qui n’étaient pas mort dévorés vivants avaient détalés, l’horreur imprimée sur leur visage et leur foi en leur dieu immortel du désastre et de la mort étiolée par l’épreuve qu’il leur avait envoyé. Je partais me coucher, pour me relever dans des draps humides de sueurs quelques minutes plus tard… Le visage défiguré de mes ennemis imprimées dans ma conscience comme un canvas morbide dans lequel je ne pourrais pas trouver l’apaisement nécessaire au repos.

---
Chapitre 4 : L’insondable vérité

Impossible de fermer l’oeil, impossible d’en parler, je ruminait cela en méditant, cherchant la voie à suivre dans le senjutsu, mais pas de remède miracle à l’horizon. Les maudits m’avaient eux aussi infligé quelque chose de substantiel en disparaissant.

Quelqu’un finissais par frapper ma porte pour me tirer de mon état, j’ouvrais, découvrant le chef de la division d’intelligence. Celui-ci venait prendre mes dépositions et impressions du champ de bataille, de l’organisation logistique et technique de nos nouveaux ennemis, en même temps qu’il m’annonçait le décès lors d’une mission de l’Uzumaki qui m’avait mentoré toute ma chienne de vie. je n’étais pas en état, mais j’obéissais, trouvant un certain réconfort dans le travail, me permettant quelques temps après de trouver le sommeil, enfin, entre deux dossiers.

Le travail était l’un de mes endroit pour épancher mes craintes. Le stress et la tension, eux s’écoulaient dans mes pulsions, pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ? Je m’enfouissais dans la débauche la plus totale, profitant de mes jours de permissions pour abuser de mes vices et revenir au top de ma forme.

Puis le chef de l’intelligence revint un matin, avec un ordre de mission, j’avais un cultiste à surveiller, ou plutôt un Konohajin, enfin, une entitée compromise à protéger autant qu’à surveiller pour être sûr qu’il ne soit pas converti jusqu’au bout, dépravé dans les ordres religieux qu’il avait fréquenté.

Munakata Kumagawa, que dire de lui ? Il n’avait pas l’air vraiment malveillant, mais plus que tout, il n’avait pas l’air d’être encore digne de rester parmis nous. Ca en serait triste si j’avais pu avoir quelques sentiments pour cette pauvre créature, néanmoins le fait que je doive le surveiller le plaçait directement dans les rangs de ceux envers qui j’avais une méfiance accrue.

Il avait tout de ces cultistes, des colifichets aux habits, en passant par les marques de rituels impurs, rien de bon en perspective donc. Moralement il tâchait de se comporter comme un shinobi, bien que ses sentiments suppuraient de lui comme s’il n’avait jamais appris à se maîtriser. Probablement que son problème avec l’autorité venait de là au final, si il n’agissait plus comme le protocole l’avait entrainé, alors peut-être qu’il était plus affecté que ce qu’il laissait croire.

Ma surveillance se faisait en tandem, pour que nous couvrions toutes les heures ou il pourrait être eveillé, il n’avait donc jamais un seul instant pour être libre. Mon homologue était une femme également, un membre du clan Hyuga, à la pénétrante vision passe-muraille.

---
Chapitre 5 : Deux pour un, et la troisième ?

Plus les jours passaient, et plus j’avais l’impression de manquer quelque chose, tant la Hyuga avait l’air de sympathiser avec plus que de raison. Mes propres échanges avec l’homme en conditionnelle s’en tenaient à la conversation formelle. Mes sentiments s’entremêlaient en sa présence, parce que d’une part j’avais tué ses potentiels amis qui me faisaient encore du tort lorsque la nuit tombait, et d’autre part parce que lui ne m’avait rien fait et se conduisait aussi élégamment que sa captivité lui permettait d’être. Je pensais à l’époque qu’il était sans doute en furie d’être aussi entravé, au final, cette attache lui a permis de regagner ses galons et la confiance du peuple, et plus encore, du kage.

Lors d’une de mes prises de service, il se précipitait à moi alors que j’entrais chez lui sans frapper. Il m’avertissait que la Hyuga était partie sans dire un mot. J’activais ma radio, envoyait des troupes chez Munakata, pour le surveiller, et lui disait de rester tranquille et que si il me jouait pas de tour cela se passerait bien. Je prenais une impulsion, sortait du bâtiment, bondissait sur un immeuble et invoquait une nuée de rats. Les rongeurs se précipitèrent dans tous les sens pour détecter la femme. Je canalisais la force de la nature en moi pendant les recherches, mais plusieurs cris attirèrent mon attention. Là d'où je venais, un homme fut propulsé hors de la maison du détenu. Je plongeais, révoquant mes minions.

une fois à côté du blessé, je l’examinais. Il était assommé, et aucune blessure externe n’était apparente. Une ombre se profilait et j’esquivais une autre des policiers militaire qui volait à travers le couloir dans ma direction. Deux yeux blancs me fixaient, brisés.

La bataille avait eu lieu en quelques instants dûe à la disposition. Après enquêtes et plusieurs interrogations, il s’avérait que la Hyuga était affiliée à une de mes camarades morte au combat contre les religieux de Jashin. Sa vengeance était le mobile de sa tentative d’assassinat, malheureusement, elle avait mal joué ses cartes et le temps qu’elle découvre le lien entre sa soeur et les religieux dans un des bureaux des officiers, j’avais eu le temps d’évaluer la situation et d’envoyer du renfort le temps de partir à sa recherche. Tout cela ne tenait qu’à un timing, si elle avait été plus rapide, ou plus prudente, elle aurait probablement pu tenter de tuer Munakata.

Lui avait agit comme attendu, restant à sa position plutôt que de la suivre et risquer de se faire exécuter. Puis en voyant que la garde chargée de le contenir et de le protéger se faisait décimer, il avait décidé de l'arrêter. Son geste avait sauvé des vies, pas que la sienne, et le village lui était redevable.

---
Chapitre 6 : Epilogue

Finalement, la conditionnelle fût imposée à la membre des Hyuga, dans leur territoire. Munakata était libre d’agir comme il le souhaitait, mais son destin et le miens se rencontraient à nouveaux, puisque le Kage avait une mission à nous confier, prendre soin des détails pendant sa convalescence. Ses efforts l’avaient conduit à un burn-out, ainsi avait-il pris la décision de déléguer un peu plus, il pourrait probablement reprendre son travail tout seul d’un jour à l’autre, alors pendant ce temps, moi et Kumagawa étions en charge...

Avatar du personnage
Informations IRP
Nom et Prénom : Minagiru Zanka
Age : 36 ans
Sexe : Féminin
Affiliation : Konoha
Grade souhaité : Juunin
Rang souhaité : B
Talents : Kuchiyose - Senjutsu - Genjutsu - Fuinjutsu ~ Doton - Mini talent
Quelque chose à ajouter ? https://youtu.be/OEQ83NHk6v0
Informations HRP
Pseudo : https://youtu.be/RnizxANLwuw?t=20
Comment avez vous découvert le forum : https://youtu.be/gsNaR6FRuO0
Comment trouvez vous le forum : Je viens de le dire, https://youtu.be/gsNaR6FRuO0
Que faudrait-il changer : https://youtu.be/VEJ8lpCQbyw
Autre remarque : https://youtu.be/py4p7yEHm80
Avez vous lu le règlement ? Yao est une sage-femme
Revenir en haut Aller en bas
Yao Yin
Rang A
Rang A
Yao Yin
Messages : 219

Fiche shinobi
Grade:
Nombre de missions effectuées: 0 SS - 0 S - 0 A - 1 B - 0 C - 0 D
Talents: Gekido, Kenjutsu, Sensorialité, Iroujutsu

PTSD Vétéran n°415 [Zanka Minagiru - Terminé] Empty
MessageSujet: Re: PTSD Vétéran n°415 [Zanka Minagiru - Terminé]   PTSD Vétéran n°415 [Zanka Minagiru - Terminé] EmptyJeu 30 Mai - 8:09

Première validation.

Une présentation plutôt courte et agréable, ca se laisse lire, tu nous sors un personnage hors du cadre habituel de ce que tu fais (Sauf pour le Senjutsu, mais c'est autre chose). Pas grand chose à redire (enfin si, les fautes, j'aurais dû passer sur ton doc avant), validé Jônin rang B de Konoha.
Revenir en haut Aller en bas
https://sns-rp.forumgratuit.org/t6913-bingo-book-de-yao-yin https://sns-rp.forumgratuit.org/f500-dossier-yao-yin https://sns-rp.forumgratuit.org/t6912-yao-yin-la-rage-des-marais
 
PTSD Vétéran n°415 [Zanka Minagiru - Terminé]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Zen Samidare (terminé)
» Une Hyûga de plus !! [Terminé]
» Eidan, l'astre solaire
» Ryo Izumi (terminé)
» Présentation Seishi [terminé]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Senkai no Rick Astley - Reincarnation :: Administration :: Présentations :: Validées :: Konoha-
Sauter vers: