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 Le revers et le tranchant de l’esprit.

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Soufuku Nitobe
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Soufuku Nitobe
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MessageSujet: Le revers et le tranchant de l’esprit.   Le revers et le tranchant de l’esprit. EmptyMar 18 Fév - 15:04

Le revers et le tranchant de l’esprit.


Thèmes.

Spoiler:



Le pays du fer, était libéré, un jour de fête, dans les rues de Testu no Sato, la foule, le peuple, joyeux, amusé, acclamant , les héros d'une journée, ceux qui de leurs quarante-sept sabres, ont tranchés le destin. Louanges après louanges, lors d'un grand banquet, réunissant soldats, et villageois, sous la présence de Mifune, réinstauré au pouvoir. Les tables étaient disposées  de façon à former un ''U'', sur une bonne quinzaines de mètres. Des jongleurs de feux, des spectacles de kabuki, des chants traditionnelles, racontant les gloires du passés, édifiant celles d'aujourd'hui. Le temps, était doux, la pluie avait cessée de tomber, le soleil d'une faible éclaircie, avait donner un instant revigorant, aux paysage. Les rires, la joie, la bonne humeur qui se dégageait de ce moment qui restera à jamais dans les mémoires de chacun.  Il apparut, marchand, des bandages recouvrant ses légères blessures,  sous ses cheveux blanc, vêtu d'un kimono bleu ciel, il avançait, vers ses camarades. Sur son visage, un sourire, non pas un large sourire en banane.  Mais un petit sourire, montrant un air attachant, un air, que l'on pourrait qualifié de soulager, il aimait particulièrement voir  toutes c'est personnes rassemblées, harmonieusement partageant leur bonheur. Mifune le regardait, ses amis, Mugen et Jin aussi. En marchand il bouscula un homme, de taille moyenne, des yeux clairs, des cheveux longs et bruns, il était vêtu d'une grande fourrure, ne semblait pas venir du coin comme on dit. Cela s’avérait exact, l'homme d'un accent fort sympathique, lui apprit qu'il venait d'un village issu d'un continent plus aux nord, il disait venir d'une ville se nommant Tabarnac . Un nom bien étrange lorsque celui-ci chatouilla les oreilles du samouraï de Suna.

Soufuku pensait à présent à rentrer à Suna, en effet depuis l'examen chuunin à Kiri, il n’avait plus mit les pieds dans le désert, les hautes instances du village, allaient sûrement lui demander explication sur sa longue absence. Et puis, Nami, les Pro Gaara, sans se l'avouer, ils lui manquaient fortement. Enfin après une longues journée de festivité, le jeune avait été convoqué par Mifune. Pour un entretiens privée. Il s'était dirigé vers  une tente, en effet lors de la bataille, le château avait subit malencontreusement quelques dégâts d'une certaine envergure.  Dans la tente, d'une grande taille, des tatamis, étaient disposés sur le sol, deux cousins, devant une table basse faite de bois et soigneusement verni. Une bougie de cire blanche éclairait ce que l'on pouvait qualifie de pièce. Mifune assis dos au nord, attendait son jeune disciple, et sauveur dans un sens. Il était la assis su ses genoux les mains surs les cuisses, son visage ridé, ses cheveux devenant blancs,  les bandes apposées sur son crane cachant une cicatrice obtenue lors d'un vieux combat. Il avait l'air satisfait, regardant, le jeune plein d’admiration, souriant légèrement il l’invitât à prendre place. Enlevant ses sandales de pailles, Soufuku baissa la tête, il s'assit, face à Mifune, dos au sud, prenant les même posture que son aîné. C'est alors que Mifune posa sur la table un livre, de sa couverture cornée, et de ses pages jaunis par le temps, on devinait facilement qu'il avait été écrit il y a fort longtemps, devant l’interrogation du jeune samouraï face aux vieil ouvrage l'ancien prit la parole :

- Soufuku, depuis ton arrivé tu en as parcouru du chemin, tu as même usé des techniques que je t'ai enseigné. Tu es certainement l'un des meilleurs épéistes que j'ai rencontré, et tu es encore jeune, la vie, en elle même tu as encore énormément à en apprendre d'elle. Ce livre que tu vois, il s’agit du Gorin No Sho. Il est à l'origine de nos coutumes, bien entendus plusieurs ouvrages faisant office de traités forme le code d'honneur du samouraï mais, celui-ci, tire son importance de son auteur. En effet la personne qui la rédigée, portait le nom de Miyamoto Musashi.  Il fut, le premier Battosaï, ne perdant aucuns duels,  soixante-six aux total. Il à participer grandement aux fondement de notre nation, en aidant le premier chef du pays du fer Ieayasu Tokugawa à unifier les clans samouraï sous sa bannière. Il, à écrit ce livre non loin de l'endroit où je t'es entraîné. Dans la montagne surplombant la forêt s trouve un endroit où Musashi s'était établi, va, trouve le et apprend, à maîtriser le mode Battosaï.  Avant de te laisser partir, je dois te dire, que d'après le rapport de certain, tu as activés comme une puissance caché en toi, j'en ai déduis, de part mon expérience qu'il était question de cette marque que tu possèdes.  Tu m'as aussi dis que plus tard, tu avais eu la sensation de brûler de l'intérieur. Je vais te donner quelque chose, qui pourrais être susceptible de t'aider. Ce petit bout de papier que tu vois, proviens du monde shinobi, il indique à celui qui y injecte son chakra, de quel nature élémentaire celui-ci est fait. Il est temps pour toi d'y aller Soufuku.


Thème.

Spoiler:


Les mots de Mifune, concernent le battosaï, il est vrais que Soufuku ne savait pas particulièrement pourquoi il arrivait à accomplir ce genre de chose, il prit le papier, et sortit. Se dirigeant vers cet immense forêt, pour y découvrir, l’essence même de son pouvoir. Il rentra dans ses quartiers, pour y prendre son sabre, laissant celui obtenu par le père de Fuu, et si dirigea alors vers son lieux d'entraînement. Il marchait depuis plusieurs heures, avançant parmi la végétation, là dans la forêt, il eu le plaisir de rencontrer, animaux en tout genre, il fallait dire, que ce vaste étendu était riche au niveau de la faune et de la flore.  La nuit était tombée,  l’obscurité avait elle, gagnée les lieux, assis, sur un tronc d’arbre sans doute arraché par les bourrasques du passé. Il avait dans le creux de sa main gauche  ce petit bout de papier censé l'indiquer sur sa nature de chakra, l'autre main, la droite en l’occurrence était posée sur son épaule gauche, l'endroit où cette marque lui avait été apposée, Soufuku eu l'idée soudaine que, peut être que cet homme si puissant et autant mystérieux avait fais de lui un pont vers la paix en lui donnant ce puissant et dangereux pouvoir. En tout cas, il se réfutait à l'idée du contraire, et dans tout les cas si le cas contraire devait s’avérer exact, il, le samouraï n'userait de se pouvoir que dans le but de faire le bien. Même s'il devait pour ça sacrifier sa vie. Il concentra son chakra dans le petit bout de papier, soufflant lourdement pour expectorer l'air de ses poumons, comme pour se vider de toute chose, comme pour être aussi vierge que cette feuille qu'il avait en main. Il pensait alors à ce que pourrait lui indiquer le papier, lui, se consumait, comme s'il avait été brûler par les flamme, devenant peu à peu un tas de cendre. Soufuku comprit alors que son chakra était lié au feu, et que sans doute c'est cela qui avait fait que ça marque, se soit activée. C'était la conclusion la plus logique après les sensation de brûlure qu'il avait ressentit au préalable. Il faisait froid, depuis de longue assis, il pensait à trouver un moyen pour se réchauffer. Il eu alors l'idée, d'activer cette marque et d'user de son chakra, devant le danger que cette marque finisse par le consumer, lui aussi, il ne devait utiliser que d'un petit pourcentage de sa grande force sommeillant en son être. Il se concentra donc à la tâche. La brûlure, était cette fois légère, un léger picotement sur l'épaule gauche, comme une légère aiguille chaude vous touchant à peine la peau. Il concentra son chakra, inspirant grandement, ayant dans sa tête l'image d'un cracheur de flamme, le même qu'il avait vus lors de cette soirée où il avoua à Fuu... Son amour pour elle, le déclic était la soufflant lentement, un souffle fin, léger, en direction du sol. Un étincelle, prise par le brise qui accompagnait la lune en cette nuit de solitude, et le feu, pris, un moyen de se réchauffer, un moyen de savoir, que des grandes flammes, sommeillant en lui. Le samouraï venait de découvrir, comment en partie, comment, activer son sceau....


Cela faisait trois jours maintenant qu'il marchait dans cette foret, trois jours, qu'il était livré à lui même, au cœur sauvage, de la nature. Se réveillant au chants des rossignols, se couchant aux hululement des hiboux et des chouettes. Le feu qu'il allumait éloignait tout de même les animaux sauvages et dangereux. Même si, Soufuku s'était résigné à en faire couler leur sang, il était après tout sur leur territoire. Il entraîna pendant ses trois jours à maîtriser une partie du sceau,le désactivant lorsqu'il n'était plus en mesure de contrôler, la force qui jaillissait de la marque. Il, grâce à ça put, soulever des pierres, non pas d'immenses blocs de roches, mais tout de mêmes assez lourdes pour nécessiter l'usage d'un apport de force. Son entraînement physique, était avant tout primordiale pour contrôler cette grande force, il devait, avant tout posséder une grande volonté et un corps robuste. Il marchait encore et encore jusqu'à tomber sur  une chose qui lui rafraîchis  la mémoire, oui, en effet, il tomba nez à nez face à ce qui semblait être une inscription, faite il ya  de cela plusieurs années. Mélangeant gravure, et encre de chine à certains endroits. L'érosion n'avait presque pas  effacée le chef d’œuvre. Il mit du temps avant de reconnaître cet estampe que l'homme qu'il avait vus lors de ces méditations lorsque, il était en prison à Konoha, avait peint. Des oie, une étendu d'eau, pourquoi retrouvait-il ici, ce qu'il pensait avoir imaginé ? Il passera la nuit devant la toile qui là, était plus une façade de rocheuse.  Le matin, réveillé par la rosé, il était toujours assis devant l’œuvre  lorsque les rayons de soleil l'illuminèrent.  Il usa de son mode Battosaï, en se concentrant épiant,chaque détailles, comme un expert qui jugerait lors d'un concours. La révélation d'en passage, se fit alors apparaître, il fallait, marcher jusqu'à une petite cascade, ne demandez pas au jeune comment il le sut, il vous répondra simplement que c'est apparu. Il avança donc jusqu'à trouver une cascade, franchissant le mur d'eau, il découvrit. Alors un endroit, à l'intérieur, gouverner par les stalagmites et l'humidité. Ici de vielle caisse de bois, des marques du passée. Il n savait que faire, le plus étrange était cette rame de bateau taillée en quelque sorte comme pour former un sabre de bois. Il ne la saisit point, il se disait qu'elle devait appartenir à quelqu'un et que par respect il ne devait la prendre.  Il s'assit et médita.



Thème


Spoiler:



[justify]Le vide était fait dans sa tête, il faisait encore une fois abstraction des choses qui l'entouraient et c'est a son grand plaisir qu'il entrevu, ce vieil homme, cette fois-ci il ne peignait pas, il était simplement entrain d’écrire, il leva son regard, comme pour dire au samouraï qu'il était le bienvenue, il prit alors la parole :

- Hé bien, tu en as mis du temps, depuis la dernière fois, tu as fais du chemin, il me semble que tu t'es fais un nom, en agissant pour le bien du pays du fer. Soufuku, dis moi Mifune, ta  montré un  livre n'est ce pas ? Le Gorin No Sho, je vois sur ton visage étonné, tu te demandes, comment est ce que je connais l'existence de cette ouvrage si légendaire soit-il ? Et bien, je vais te répondre, patience jeune samouraï, c'est une des plus grandes vertus qui existent en ce monde. Bon par ou commencer... Ah premièrement, je connais ce livre ce n'est pas que je l'ai lus, mais disons simplement qu'il découle de mes apprentissages de la vie en elle même. Ah tu es étonné, pourquoi ? Parce que j'ai rédigé un livre qui à perdurer aux file des ans. Oui je suis bien Miyamoto Musashi, enfin c'est le nom que j'ai adopté en devenant un ronin. Un vagabond, marchand vers un idéal de paix. Je vais te raconter ma vie, celle de ton aïeul, celle du premier Battosaï.

J'étais un jeune enfant de sept ans lorsque je quitta le domicile familiale,  j'ai appris l'art du kenjutsu, et au fur et à mesure je me fis un nom, commençant comme un simple soldat aux ordre de Ieyasu Tokugawa le premier seigneurs du pays du fer, lors de notre rencontre, à Konoha no Kuni, je t'ai montré la bataille qui fit de Ieyasu l’unificateur des clans samouraïs. Je suis alors devenus une sorte d'amis et conseiller pour lui, j'ai poursuivis ma vie de ronins, propageant la paix, combattant les personnes qui nourrissaient de noirs dessins.  Mon dernier combat contre un homme qui se nommait Kojiro Sasaki, où ici, j'ai de ma rame de bateau taillé en bokken, asséné le coup de grâce, le coups qui allait faire régner une grande paix, sur nos terres. J'ai usé de ce que le mode appelle maintenant le mode battosaï.  Lors de mes différents combat. Tu te poses des questions sur cette faculté et bien mon enfant,  il est là question de génétique, en effet, une gêne, me permettait d'user de mon cerveau enfin de le contrôler comme je le voulais, c'est pour ça que ta concentration dans un premier temps et certainement meilleurs que celle des autres, tes réflexes, ta vitesse ainsi que bien de tes facultés s'en trouvent amélioré. C'est une chose uniques, que seul deux êtres à se jours possèdent. Toi mon jeune ami et moi même... Ah en coire ton teint de peau, on dirait que tu es face à un fantôme ! Rassures toi, aucun être sur terre, ne possède cet attribut, du moins à mon époque je n'en connaissais aucun.  Je suis simplement ce que l'on peut définir par l'image de ta conscience, Soufuku Nitobe, tu es ma réincarnation. Et dans tes pensés, tu me vois comme si j'étais réel, mais je ne le suis pourtant pas. Enfin pour finir mon récit,  j'ai par la suite de ma vie, et l'apparition du ninjutsu, vers l'âge de soixante ans, rédiger le Gorin No Sho. Laissant au ninja le soin de régir ce monde si vaste car après tout, 'il est si grand c'est que deux peuples peuvent y vivre ensemble. Il est temps pour moi de te laisser. Soufuku, fais bon usage de ta force, tu dois guider les plus démunis
[/justify]



Thèmes

Spoiler:




Il disparu, Soufuku sortait de sa méditation, il allait à présent entamer un entraînement, il fallait qu'il obtienne, cette maîtrise parfaite, celle qui lui permettrais vraiment d'être le nouveau Battosaï, chose qui l'aiderai sûrement pour les échéances à venir. Trois jours passèrent,  S’adonnant à divers entraînement. Méditation sous la cascade, révisant les katas familiaux, sans pourtant user de son sabre, des mouvements, amples, précis, demandant une grande concentration et un grand travail sur soit. Des épreuves d'équilibres sur deux doigts, des travaux musculaires. L'endurance, et le physique étaient un point déterminant mais, il fallait aussi faire travailler son intellect. Il avait trouver une vieux jeux de Go, vieux jeu semblable au jeu d’échec. Il fit des parties, dont on ne pourrait compter le nombre, de la calligraphie et à sa grande surprise de l'écriture.  Comme son ancêtre, il s'était inspiré de son vécu, de son expérience de la vie, pour en tirer certaines conclusions qu'il mit sur papier.  

Il avait décidé d’appeler se livre le revers et le  tranchant de l'esprit. Un esprit chevaleresque, pourfendeur d'injustice. Il voulait à présent le présenter à Mifune. Descendant dans la forêt contemplant ses paysages devenus si familliés pour lui. Il avait passé quelque semaine à s'entraîner.
Les passant de la villes le saluaient, il leur rendait, pour lui ils étaient égaux, montrant le livre à Mifune, qui lui demanda alors s'il avait trouvé les réponses, L'affirmation du plus jeunes, le soulagea, en quelque sorte . Soufuku l'informa de son départ. Mifune et lui échangèrent une pogné de main, qui l'emplit de fierté. Soufuku alla alors voir ses amis, les quarante sept les saluant, les remerciant, il vit Mugen qui  était là à contempler les nuages. Ensemble ils eurent une discussions, emplis de rire. Les frères d'armes se donnant une accolade.  Il allait voir Jin, qui venait d'ouvrir son dojo. Le samouraï, reçu l'ouvrage de Soufuku, il lui dit alors qu'il enseignerai les principes retranscrit sur ces pages, pour éduquer la nouvelle génération afin que les temps de paix perdurent.  Soufuku et lui se saluèrent, il rendit visite à sa mère la serrant dans ses bras, il partit sur la tombe de sa bien aimée. Son nom inscrit sur le marbre. Il ne pouvait s’empercher de laisser couler une petite larme. Mais il était temps pour lui de quitter Tetsu, il promit alors de revenir. Regardant une dernière fois la tombe de la défunte... Il quitta la grande ville principale.


Ending.


Spoiler:



Il poursuivait sa route depuis trois jours, passant par les villes, qu'il avait visité avec ses compagnons de route, le soleil accompagnant son voyage, il avait revus ses brigands, qui étaient aujourd'hui devenus  des hommes bons, ils saluèrent Soufuku. Différents endroits, jusqu'à tomber sur cette ville, il s'y arrêta une journée, allant à la fin de celle-ci devant l'endroit où se trouvait avait cela une maison de thé, qui servait aussi d'auberge. L'endroit était en reconstruction, il fut accueilli par l'oncle et la tante de Fuu qui s'occupait de l'endroit, Mifune avait envoyé un de ses homme pour leur annoncer la mort de leur nièce. C'était ici, dans un sens où tout avait commencé, ici qu'il avait rencontré l'amitié et l'amour, un vent leger lui caressait la peau, Soufuku, la sensation que Fuu vint lui faire un dernier baisé comme pour le guider vers sa nouvelle quête souriait. C'était un peu nostalgique pour lui de quitter les terres d'où venaient ses origines. Mais il le devait, poursuivant sa route, il finit par arriver après une traversé des montagnes enneigés, aux pays du feu, devant la maison familiale, il priait pour que ses proches reposent en paix. Il arriva finalement aux seuil du désert de Suna. Une page se tournait, une autre s'ouvrait, attendant que l'on y écrive, pour les pros gaara, pour ses proches. Pour le village qui l'avait adopté. Il était temps finalement. Et Soufuku était rentré à la maison.








The End.





Le revers et le tranchant de l'esprit: Fin du RP.
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