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 Le vent se lève.

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Soufuku Nitobe
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Soufuku Nitobe
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Fiche shinobi
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MessageSujet: Le vent se lève.   Le vent se lève. EmptyVen 4 Avr - 22:57

Le vent se lève.





Le vent se lève. Arton210
Soufuku Nitobe dans le revers et le tranchant de l'esprit, ouvrage d'un samouraï. a écrit:
Et même si votre frère et différent, même s'il n'est pas dans le total accord avec votre pensé. Vous vous devrez de l'aimer, vous vous devrez de le chérir et de lui donner. Quitte à ne rien recevoir en retour. La mort lorsqu'elle viendra vous chercher accueillez la comme une vieille amie, un membre de votre famille, buvez le thé, proposez lui l’hospice. Et puis main dans la main partez avec elle. Dans ce nouveau voyage qu'est la mort.









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Le massacre d'une nuit, le héro déchut. L'homme devint une bête marchand au grès du vent, le désert pleurer à nouveau, Suna-Jin il n'était plus, être humain il restait, la conscience ronger par les lamentations des âmes qu'il avait arraché à la vie, les donnant à la mort. Son sabre, lui aussi issue de ce village lui aussi avait fuit. Suna avait d'autre chat à fouetter. Sergerk ne s'était pas trompé, Soufuku avait apporter un bon lot d'ennuis au pays du vent. Les ailes divines de l'ange couper à la scie,il marchait en direction d'une terre promise la où il pourrait...

Repensent à Nami, à toutes les personnes qu'il avait rencontrer il avait l'air triste, tel un monstre abattu par le pois des responsabilité assis sur un banc, isolé du monde. Toussant, recrachant ses poumons il fut prit par une soudaine fébrilité, les genoux tremblant l'air d'être plus proche de la fin qu du début il souriait devant la vie. L'imposteur libre continuait sa route il tomba sur la maison familiale enfin ce qu'il en restait, refit le monde dans sa tête si seulement il n'avait jamais été question de battosaî ou autre, il n'aurait pas connu toutes cette mélancolie qui l'habitait depuis trop longtemps. La marche longue et silencieuse vers la rédemption était semer d'obstacle, de remise en question. Il avait fait le mal mais créa le bien en éliminant les mauvaises herbes qui en voulaient au Kaze Kage et au village. Il marcha jusqu'aux frontières qu'il connaissait très bien...


La route du pays du fer, passant par devant Konoha Gakure un village qu'il avait visiter  il regardait a nature, les nuages présent dans ce ciel bleu, défilant rizières et montagne, cela avait le don de l’apaiser, lui qui devenait de plus en plus faible... Le pays du fer, en pensant à ce qu'il avait accomplit là bas, le soulèvement des quarante-sept signifiait en quelque sorte le début de tout, il connut entre autre la mort, la tristesse et la joie en l'espace d'un moi. Le pays du fer des samouraïs et des forgerons fit de lui un homme lui forgeant une détermination  aussi aiguisée qu'un katana. Il est dit que tant que l'homme restera debout et sûr de ses convictions, son sabre ne se brisera. Soufuku savait ce qu'il avait entreprit  et où le chemin qu'il avait emprunté l’amènerait dans le futur.  Il voulait discuter avec Mifune, il ressentait le besoin de lui dire qu'elles atrocités il avait commit, non il ne cherchait pas l'asile après tout le pays du fer avait déjà servit il y a plus de vingts ans dans un rôle de médiateur pour l'alliance shinobi.  Et il aimait trop cette contré pour lui faire du mal. C'était un Suna-Jin mais son âme elle était a Tetsu no kuni.





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Mifune agissait comme un père pour lui, comme un conseiller sans doute il serait décu de voir ce que son jeune protégé avait fait. Sans doute il lui donnerait une sanction voir une très grande correction. Ce que Soufuku Nitobe comprendrait évidemment. Il pourrait  à l'occasion  rendre visite à sa mère, ses amis et allez se recueillir sur la tombe sa défunte et bien aimé Fuu. Il passa par ces villes qu'il avait déjà visité lors de son premier voyage. Il entra dans se salon de thé qui avait été reconstruit après un incendie ravageur, il commanda  la même chose que la première fois, le bus de la même manière, se remémorant les actes passé c'était ici qu'il avait rencontré, ses trois amis Mugen, Jin et Fuu ici que son périple commença, sans dire un mot il paya l’addition et reprit la route Testsu no Kuni n'était plus très loin. Après deux journée de marche, crachant du sang  à tout vas, le samouraï se  retrouva à Tetsu, il respirait l'air souriait, il avait l’impression de retrouver un vieil ami qu'il aurait quitté trop longtemps, s'aventurant dans les rues, il se hâta donc chez ce petit commerçant de textile et poussa la porte d'entrée faite de bois, un bruit provenant d'un carillon se fit entendre lorsque la porte s'ouvrit et se ferma. Une vieille femme fit son apparition, souriante devant l'enfant comme-si, elle l'attendait depuis longtemps. Elle salua celui qui était son fils, le  prit chaleureusement dans ses bras. Le lien éternel et impérissable représenté par l'amour d'une mère envers sa progéniture. S'illustrait particulièrement lorsque Le jeune Nitobe retrouvé sa progénitrice.


Il se souvint lorsqu'il la crut décédé, une chose à oublier qui lui avait procuré un tel chagrin... Quelques heures plus tard il était entrain de manger un repas que sa mère lui avait confectionnée une aubaine pour lui, il s'agissait de son plat préféré un bol de riz, du porc caramélisé et quelques algues en accompagnement  le tout avec une sauce dont seule madame Nitobe tient le secret. Le sentiment qui le parcourait était d'un réconfort si chaleureux  que le samouraï avait l'impression de naître une seconde fois.  Il parla longuement avec sa mère lui racontant ce qu'il avait vécu, lui demandant aussi des nouvelles de ses camarades. Elle lui conseilla donc de leur rendre visite s'en oublier d'aller voir Le chef du pays qui n'était autre que Mifune. Soufuku sortit donc pour allez voir les personnes avec qui il avait tant partagé. Le temps était tout particulièrement clément le samouraï alla à la rencontre de ses compagnons d'arme il rencontra d'abord les quarante-quatre samouraï qui composaient avec lui et ses deux amis les quarante-sept ronins.


Il arriva par la suite aux devants d'une petite colline surplombée par une ferme où les enclos fait de bambous renfermaient des cochons et des vaches.  IL entra dans la demeure, et fut accueilli par un vielle amis, Mugen, il s'était marié et avait eu un enfant du nom de Soufuku, un nom en hommage à son ami.  Il fut toucher devant cet acte et l’innocence qui irradiait le gamin. Après de longue discussion Soufuku lui apprit ses actes, Mugen était dépité mais ne jugea point son ami car pour lui, il avait agit d'une manière qui lui était propre et avant tout était un homme. Soufuku s'en alla, plus tard il était arrivé au dojo de Jin, le samouraï à la queue de cheval noir et aux lunette donnait un cours à ses élèves qui formeraient plus tard la nouvelle génération de samouraï, le renégat de Suna espérait qu’ils n'auront pas à connaître la guerre.


Les deux hommes échange Jin ne jugea pas non plus les atrocités commises par Soufuku lors de son évasion de Suna. Mifune l'attendait Soufuku remercia son ami qui avait l'air perplexe et étrange aux dire du samouraï. Il s'en alla pour voir le chef du pays du fer. Quelques heures plus tard devant un Mifune consterné car les nouvelles vont certainement plus vite qu'un homme dans le monde d'aujourd'hui il interrogea Soufuku qui lui répondit d'un sourire :


- Mifune-Dono, mes actes ne sont pas pardonnables, je ne causerait aucun tort au pays du fer, je dois vous dire que je suis frappé par la maladie, elle, viendra bientôt me chercher. Et je suis près à l’accueillir. Le pouvoir du battosaï est un fardeau que personne ne doit porter. Je suis un samouraï et homme ma peine est telle que je dois accepter le châtiment que l'on reçoit en tant que samouraï. Ainsi soit-il.



Mifune d'un signe de tête approuva, il était tout de même triste il convoqua un messager et conduit Soufuku en chambre qui devait lui servir de cellule. Le samouraï déposa les armes en dernière volonté il voulait qu'un messager apporte son sabre à son propriétaire qui était ce Suna-Jin aux yeux rouge. D'autres messager annoncèrent l’événement qui aurait lieu demain au pays du fer. La nuit fut courte entre crise de toux et pensée de ce qu'il avait accomplit jusque ici, le samouraï écrivit une lettre à l'encontre de Nami une lettre qui devrait allez en direction de Suna une fois la chose fini. Il allai se recueillir sur la tombe de Fuu caressant la pierre tombale et contemplant le ciel parsemé d'étoile...




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Le gong retentit à l'aube c'était l'heure. Une foule était présente, quasiment tout les habitant du pays du fer, Mifune assis sur un siège royale accompagné de ses hommes, la mère de Soufuku n'était, elle pas présente. Comprenait qu'elle espérait en silence que la cérémonie soit annulée. Il était habillé de blanc aussi pur que la neige c'est cheveux tirés en arrière surplombée par une queue de chevale. Escorté par ses deux amis il se dirigeai ver le centre de la place où un petit hôtel était installé, assis sur un tapis tout aussi blanc il était sur ses genoux regardant la foule d'un regard déterminé. On lui tendit une petite lame au manche blanc... Mifune baissa les yeux, la foule elle était prête Mugen et Jin grimaçant. Ah si seulement il était possible d'altéré sur le temps et l’espace. Si une âme charitable venait pour sauver notre homme...Le messager en partance du pays du fer arriva à Suna il donna deux lettres et un Katana aux gardes, il leur expliqua quelque chose et repartit. Au pays du fer sur cette place le samouraï ôta le haut de son kimono, son torse, son ventre qui portait cette marque du Kaze Kage. Le vent soufflait des pétales de cerisier se posèrent sur la place, il leva le regard au ciel et vit un aigle, le volatile royale tourna sa tête comme pour saluer l'homme.


Il était temps la lame pénétra son ventre, son visage crispé montrait la douleur qu'il encourait il était coutume chez les samouraïs que lorsque l'un d'entre eux péchait, il devait alors connaître la rédemption par la voix noble du hara kiri. Soufuku en avait fait le choix il était sûr de lui. Le lourd fardeau qu'il portait, d'une manière égoïste il le quitterait, les péchés de ses compagnons dans sa hotte il s'en irait. Le sang ruisselait de son abdomen, on saisit la lame. Le laissant la fier devant la foule. Le regard d'un homme, pouvait dire bien des chose en ce moment même celui du samouraï signifiait celui du devoir accompli....


Plongeant dans un océan infini, il en ressortit suspendu dans l'air en lévitation il regardait le vide qui s'entendait face à lui à perte de vue. Il refus aspiré, l'oxygène lui manquait ses yeux se fermait. Plus tard il les ré-ouvrit dans une forêt. Entre des silhouettes toutes de noirs vêtues. Alors il étaient la le cortège funéraire avançant dans se paysage au couleur terne. La nature semblait figés le vent lui ne soufflait plus, peut être même il ne respirait plus, enfin il ne ressentait rien de ce qu'il avait l'habitude de ressentir. La voix de sa grand mère résonnait dans sa tête. Il arriva jusque à une grande falaise et on le poussa dans le vide tombant au ralentit voyant ses proches qui étaient partis, les personnes qu'il avait tué, Fuu l'attendait en bas le passeur lui était là il attendait son nouveau passager.  Le soleil illuminait son regard, Mugen et Jin la tête baissé, Mifune dépité, le peuple retenait son souffle, les 47 ronins certain étaient en larmes, un fil rougeâtre coulait de ses lèvres. Une situations bien triste mais pourtant le samouraï souriait d'un sourire d'enfant. Il était comme soulagé devant la tristesse et le chagrin que le monde connaissait soulager car le mal qui le rongeait était à présent terminé...


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Le légiste s'était occupé de son corps, il l'avait proprement examiné pour ensuite donner le feux vers afin d’honorer la mort du jeune bretteur.
Une femme tomba sur ses genoux, la main sur le visage comme pour empêcher ses émotions de sortir de son enveloppe charnelle, comme pour retenir sa tristesse. En sanglot elle éclata. Mifune en personne tétait venu lui annoncer la mort de son fils, elle se jeta sur le corps inerte de celui-ci le couvrant de baiser. Elle demanda pourquoi, elle implorait le ciel mais pourquoi le sort s’acharnait sur elle, son père tout comme son fils, était mort suite à la cérémonie de l'hara kiri, son mari ainsi que son beau-père étaient morts au combat.... Le lendemain dans le cimetière de Tetsu no Kuni le peuple entier était présent, à travers la pluie et les odeurs dégagées par bâtons d'encens la mère du Battosaï était là d'un kimono noir un chignon sur la tête, essuyant ses yeux à la moindre larme, accueillant les personnes qui les saluaient. Il était enterré à coté de sa bien aimé, il l'avait rejoint. Dans ce monde l'amour est le plus grand des pouvoirs. Cela en était encore la preuve. Mifune pris la parole lorsqu'il passa comme la coutume le voulait devant la mère du défunt, il lui dit qu'il était désolé, et que s'il avait su il aurait empêche Soufuku de retourner à Suna... Il repartit séchant une larme qui coulait le long de sa joue, même lui se robuste samouraï ne pouvait cacher son désarrois.


Le ciel aussi réclamait son roi, il réclamait l'homme qui nourrissait des idéaux justes, l'homme qui avait libéré le pays du fer, une statut avait était construite en son honneur, levant son katana au ciel lors de sa victoire final contre Kariya. Il fut le premier à comprendre que les rangs n'était rien, que peu importe le niveau d'une personne elle était avant tout humaine. L'enfant du fer n'était plus, le quarante septième ronin s'en était allez... Mugen et Jin en  larmes passèrent à leurs tour devant la mère de Soufuku.  Elle sanglotait, cette femme était frappé de malheur elle était la dernière représentante de la famille Nitobe. Elle portait dans ses bras un cadres photos, ou son fils accompagné de son mari posait. Les joues boursouflé les yeux rougies par le chagrin elle ne retenait plus ses sanglots les larmes dévalèrent le long de ses joues. Et même lors de la démarche funèbres qui avait lieux dans la nuit les un et les autres portait des lanternes et à l'image d'un dragon de flamme ils parcoururent le pays du fer en guise de commémoration. Le peuple du fer était présent il passèrent devant la mer, à l'aube de sa vingt et deuxième année le jeune Nitobe était mort de la façon des plus nobles.


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La marche finit au cimetière, les quarante six samouraïs, devant une pierre tombale Jin le nouveau leader pris la parole, une chanson pour Soufuku C'était un hommage très personnel mais il ne voyait pas comment s'exprimé face à cet événement si soudain. La tête baissée il continua sa chanson. Ils portait tous leurs tenue de guerre, les larmes des plus jeunes. Mugen lui avait du mal a retenir les siennes, peut à peut ils unirent leurs voix pour rendre un prompt hommage à Soufuku, le ciel, le vent les entendait. Ils avait la main droite sur le cœur, se souvenant de la bravoure de l'homme Mugen se rappela le jours ou Soufuku usa pour la première fois de son katana, Jin lui se remémorait de leur rencontre dans ce salon de thé.  L’océan qui devait guider les autres derrière l'horizon, là ou se trouvaient les personnes qui l'attendait, non il ne devait pas rougir après tout c'était le départ d'un nouveau voyage. Du haut du ciel, dans sa tenue blanche le samouraï se retourna il allait maintenant reposer en paix, il avait ce qu'il voulait, et remerciait toutes les personnes qu'il avait put rencontré jusque à maintenant, toutes celle qui avaient étés mises sur sa route, Nami son mentor déjanté comment réagirait-elle face à cette maccabre nouvelle ? Il en était désolé. Le samouraï partait loin des maux qui frappes ce monde, un autre Homme prendra la flambeau et celui là, oui il en était convaincu apporterait la paix, il donnerait à chacun le droit de vivre dans la joie. Jin remercia Soufuku grâce à lui il avait comprit que la vie ne prenait un sens que lorsque l'on s'en allait. Sur la pierre tombale on pouvait lire : '' En hommage au quarante-septième Ronin qui sut nous guider lorsque nous étions dans le besoin. '' Le vent se lève sur notre monde et une nouvelle ère débute, de paix elle sera constitué. Merci Soufuku, sortit de la bouche du peuple, la mère de celui-ci bien qu'en deuil, comprenait que son fils était devenus un homme un vrais et elle ne pouvait s’empêcher d'imaginer qu'il était heureux et qu'il l'attendait sagement comme avant lorsqu'il était enfant. Mifune posa une main sur la pierre froide il fit alors ses adieux à Soufuku Nitobe, le dernier Battosaï...


Dans une maison, un petit enfant à la chevelure bleu, assis sur une estrade dans un jardin  composée de cerisier pataugeant les pieds dans l'eau regardant de son regard d'enfant les carpe qui nageaient dans la marre, sa mère l'appelait, le garçon d'un large sourire fit un signe de la main à l'aide de ses doigts il formait un V, celui de la victoire, il prit un bâton et fit mine de donner un coup de sabre il ne savait pas que plus tard ce coup serait dévastateur et qu'il ferai sa réputation, il cria :

- Je suis Soufuku Nitobe, le pourfendeur de la paix !





Un Samouraï à Suna !
The End.
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