Comment souhaiter un bon rétablissement ?

Il est parfois difficile pour un humain de rencontrer un autre humain qui sort de l’hôpital et de lui parler comme si de rien n'était. On aura tendance à réfléchir d'avantage à ce que l'on dit, de peur de blesser la personne en question. Mais dans le même temps, on se dit qu'agir de cette façon peut également blesser. Du coup, on se tétanise et on ne fait rien. L'humanité est complexe.

C'est sur cette dernière affirmation qu'Udekane Ryuchi avance en direction du centre médical. Cette matinée claire et ensoleillé était celle ou la petite Misuzu Hozuki faisait sa sortie d’hôpital. Il paraissait logique pour la jeune gynoïde de lui souhaité un bon rétablissement. Cependant, bien qu'étant en tout point complète, son programme tournait encore et encore pour savoir de quel façon allait elle engager la discutions. Il n'y avait aucune information au sujet des rétablissement d'après guerre dans ses archives. Elle allait donc devoir se débrouiller sans.

La petite Misuzu ne devrait plus tarder. Udekane arriva finalement en face de la bâtisse. elle avait préféré garder ses bras métalliques pour que les gens du village s'habituent à la voir, dissipant petit à petit leurs peurs de l'inconnu. Il étaient fascinants à travailler comme ils le faisaient pour la reconstruction de village ; tout en regardant Udekane du coin de l’œil pour la surveiller. Elle portait un bouquet de fleurs assez grand pour que celui-ci apparaissant dans l'une de ses deux mains. Celui-ci était composé de roses blanches en son centre dans lesquelles apparaissait ça et la des brins de sauge parfumé. On remarquais également, séparé en deux partie des pivoines blanches et des fleurs de mille-feuille. Pour finir, une fleur d'oranger en son centre, au milieu des roses. La pivoine symbolise le rétablissement, tout comme le mille-feuille. Pour ajouter de la force à cette symbolique, Udekane avait rajouter la fleur d'orange en son centre qui signifiait "pour toujours et à jamais". Cette composition aurait été parfaite si ce n'était le second sens de la fleur d'orange qui était la virginité. Udekane avait contourner le problème en transformant le sens de la fleur d'oranger en l'entourant de rose blanches. Symbole de pureté et de raffinement, elle complétait et transformait le symbole de virginité en simple explosion de pureté et de douceur. Le message du bouquet était donc très clair : Je te souhaite un bon rétablissement, pour que tu recouvre une santé de fer, que tu la garde à tout jamais, et que tu puisse vivre une vie heureuse jusqu’à la fin de tes jours. C'est donc avec un bouquet blanc au reflet violets ( qui est un symbole d'amitié ) que se présentait Udekane à sa future nouvelle connaissance. Elle ne savait pas si la petite Misuzu comprendrait consciemment le message de ses fleurs, mais l'inconscient ferait le reste. Il ne lui restait tout au plus qu'à attendre.

Jusqu'au moment ou apparue la principale intéressée. Physiquement, elle semblait correct, si ce n'est que quelques bandages qui recouvrait une partie de son corps. Udekane s’avança :

-Mlle Hozuki ? Ravi de vous rencontrer, je me nomme Udekane Ryuchi.

Elle lui tend le bouquet.

-Je tenait à vous souhaiter un bon rétablissement ainsi qu'à vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour nous, au nom de tout le village ; alors que vous n'étiez pas obligée de le faire. Un être humain aurait normalement préserver ses chance de survie, ce que vous n'avez pas fait, vous êtes incroyable.

Elle fi un pas en arrière et regarda plus en profondeur la petite femme de ses yeux dorées .

Misuzu pesta pour la soixante-treizième fois depuis son arriver dans le merveilleux centre médical de Kumo. Elle était condamné à un repos forcer qu'elle n'appréciait guère. C'était elle, la médecin et non la patiente. Elle n'aimais pas ses collègue de Kumo. Loin de quelconque jument quand à leur niveau de médecine, elle n'avais pas apprécier qu'il la déshabille pour l'examiner et soigner toute ses blessures. Pourquoi avait-elle été à court de chakra ? Pourquoi ? Ah, peut-être parce qu'elle avait trop utiliser Kiseki no Misu, sa technique favorite qui soignait avec le plus de précision possible. Mais cela avait dévoré ses réserve de chakra et la chaleur du combat l'avait fait attendre ses limite. Les Hôzuki sont fait d'eau et on besoin d'elle pour survivre dans le monde. La patrie de l'eau n'est pas leur terre natal pour rien. Loin de s’étendre sur ses origine dont Misuzu pour être fier, elle en voulait encore et toujours à ses médecins d'avoir vu ses cicatrices horrible sur ses bras. Elle détestait ses cicatrices, elle détestait tout ceux qui les avait vu. Chiguru, son coéquipier, les médecins de Kumo... Il n'y avait que son maitre, Atari Ni, qu'elle ne haïssait pas.

Enfin le jour de la libération avait sonner. " Enfin", lâcha Misuzu sans retenue, ce qui fit sourire le gentil médecin de Kumo.après quelque conseil qu'elle n'écouta pas et des vêtements offert, car oui, les affaires qu'elle avait emmener avec elle à Kumo avaient été détruit avec le reste de village, la ninja enfin habiller de vêtement normaux, et non une chemise de nuit médical, elle pouvait enfin sortir. Bijou et bandeau rendue, Misuzu parcourue l’hôpital d'un pas rapide, pour ne pas braver l'interdit qu'elle se plaisait à appliquer: " Ne pas courir dans les couloirs de l’hôpital". Bien entendue, elle courrait en cas d'urgence, mais dans les autres cas, elle prenait son temps.

Qu'il faisait beau, le soleil rayonnait et viens réchauffer le coeur de la médecin. Kumo avait survécu à l'attaque et se reconstruisait peu à peu. Elle en sourit, elle était de nature grognon, surtout en sortant de l’hôpital et entouré de plusieurs bandes blanches, mais se genre de vision lui faisait chaud au coeur. Alors qu'elle regardait le paysage doux de Kumo, elle remarqua une fille ... avec d'étrange bras. Elle l'intrigua surtout qu'elle s'approcha d'elle, avec dans ses mains gigantesques un bouquet de fleur au douce couleur blanche et violette.

-Mlle Hozuki ? Ravi de vous rencontrer, je me nomme Udekane Ryuchi.

La jeune Udekane Ryuchi, puis-que tel était son nom, lui tendis son bouquet, Misuzu le saisit sans dire autre chose que:

- Euh ... Merci.

L'odeur du bouquet était simplement merveilleuse, le petit vent qui passait fit monter aux narines de la kunoishi un assortiment d'odeur qu'elle n'avait jamais senti à Kiri et qui lui plus énormément. Elle inspira même profondément pour imprimer cette odeur dans sa mémoire et ne jamais l'oublier. Les fleurs était si éphémère.

-Je tenait à vous souhaiter un bon rétablissement ainsi qu'à vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour nous, au nom de tout le village ; alors que vous n'étiez pas obligée de le faire. Un être humain aurait normalement préserver ses chance de survie, ce que vous n'avez pas fait, vous êtes incroyable.

Elle fronsa les sourcils. Certes le compliment et les remerciement furent une très bonne idée, mais cette phrase "Vous n'étiez pas obliger" suivit de " un être humain aurait normalement préserver ses chance de survie" déplus fortement à la kunoishi. Qu'elle était cette petite idiote bien aimable qui venait lui demander ceci. Incroyable, elle ? Elle avait envie de la frapper sur la tête pour qu'elle retire ses derniers mots. Mais sortant tout juste de l’hôpital et ne voulais pas y retourner des sa sortie, elle s'abstint de provoquer la jeune fille aux bras métallique. Elle fit alors tout les efforts du monde pour lui répondre aussi calmement et gentillement que possible.

- Mais qu'est ce que tu racontes ? Je n'allais pas vous laissez alors que des gens manquait de mourir. Je suis médecin après tout, c'est normal. Y a rien d'extraordinaire... - dit elle en regardant Udekane droit dans les yeux.

Quoi ? Mais que dit elle ? Udekane ne comprenait rien ! Alors qu'elle avait fait un compliment, la jeune hôzuki n'avait pas réagis comme l'avait prédit son système. Cela compliquait la discutions. De plus, il était évidement qu'elle avait mal pris ce qu'avait dit la gynoïde, car ses sourcils s'étaient légèrement froncés et une forte tension agitait ses yeux. Néanmoins, elle était un humain spéciale, un médecin. Udekane avait déjà enregistrer des informations sur les médecins, mais elle ne savait pas que ceux-ci ne connaissait pas la peur de la mort. C'est pour cela qu'elle décida de se reprendre.

-Excuser moi si je vous ai froissée. Je ne connait encore que mal les humains et encore moins les médecins. Ceux-ci prennent toujours des risques inconsidérés ? D’ailleurs, je n'ai encore jamais vu de médecins ! Me feriez vous une démonstration ?

Dans sa base de données, les médecins ninjas étaient capables de soigner à peu près tout et n'importe quel blessures. Or, la blessure et la souffrance était des concepts qui intéressait grandement Udekane. Quel était cette souffrance qui lui était si sombre. Et comment la soigner. Son programme n'avait pas les réponses à cela et l'incitait à se poser des questions. Elle chauffait son processeur et se grillait les boulons à trop y penser, et c'est pourquoi elle se permettait de faire cette demande.

Tandis que les deux protagonistes marchait, elle avançaient par automatisme au hasard à travers les rues. Elles arrivèrent au bout d'un moment jusqu'au porte de la ville, ou du moins ce qu'il en restait. A partir de ce moment, tandis qu'Udekane écoutait la réponse de Misuzu, elle entassait les pierres qui gisaient ça et là. Elle réfléchissait toujours au notions abstraite sur l'homme qu'elle ne comprenait pas encore, mais elle espérait vivement que les paroles de la Hôzuzi l'aiderais à mieux comprendre. Après tout, elle avait beaucoup à apprendre.

Soudain, entre les pierres, sortit d'un pas claudiquant un animal blessé. Un renard à la patte cassé qui n'avait pour seul faute d'avoir été au mauvais endroit au mauvais moment. Au vu de la quantité de sang qu'il perdait, il allait sans doute mourir. Udekane l'attrapa sans problème et le déposa sur ses genoux. Elle ne caressa pas l'animal, ses mains froide ne lui aurait été d'aucun réconfort. Elle le regardait juste la, perdre la vie petit à petit tout en écoutant Misuzu finir sa réponse, avec son air totalement détaché qu'elle gardait tout le temps. La mort était quelque chose de normal, qui appartenait au cycle de la vie. C'est un flux constant qui ne pouvait être brisé. Mais le mot médecin existe...