Le fantôme du Pays de l'Herbe.
Nous étions parvenue tous les trois aux frontières du Pays de l'herbe après une longue marche. J'étais accompagné de mon senseï Chory un juunin de Konoha. C'est également lui qui avait suivit mon apprentissage lorsque j'étais génin et qu'il dirigeait encore la team 4 avant qu'elle ne soit dissoute suite à la mort de Satchi. En début de journée, j'ai pu voir qu'il était plutôt embarrassé. Partager une mission avec mes côtés éveillait sans doute de douloureux souvenirs. Mais, il sut faire abstraction lorsque nous avions quitté le village.
Le second partenaire était une kunoïchi, fraichement promu chuunin qui se nommait Sarhiya. D'après sa présentation avant le départ, il s'agissait de sa première mission avec son nouveau rang. Elle était quelque peu anxieuse, par cette mission au rang plus élevé que ce qu'elle avait l'habitude d'effectuer. A vrai dire, c'était compréhensif, la mission qui nous attendait nous poussait à mener une enquête d'un fantôme hantant les bois du Pays de l'Herbe, de quoi vous mettre les frissons.
La cohésion avec la jeune kunoichi n'allait pas se montrer des plus évidentes. Celle-ci arrogante à mon égard, n'avait cessé de me rabaissait quand elle le pouvait le long de notre trajet. Je ne me rabaissais pas en répondant à ses propos, je me contentais de les ignorer, ce qui avait pour conséquence de la rendre fier de me clouer le bec. Je ne lui en tenais pas rigueur, son venin ne faisait que glisser sur moi, comme si je m'étais habillé d'un manteau imperméable.
Nous arrivâmes au lieu de rendez-vous. Le chemin que nous avions suivit se coupa en patte d'oie. Un panneau séparant les deux chemins affichait leurs directions. L'un menait au village. Nous patientâmes tout les trois, faisant passer le temps comme nous le pouvions. Notre chef d'équipe était allé faire un tour dans les environs, la kunoichi assise sur un rocher aiguisait nerveusement la lame de son sabre par l'intermédiaire d'une grosse pierre ramassée au passage. Quand à moi, appuyé sur une barrière en bois, je la regardais discrètement du coin de l'oeil, tout en imitant la lecture d'un livre. Je la comprenais, qui n'aurait pas peur d'un fantôme ? Rien que penser être confronter à un esprit me donner déjà la chair de poule. Mais si les rumeurs étaient bien fondées, il y aurait surement une explication plausible sur ces apparitions.
- Tu n'as rien d'autre à faire que de me matter le nul ?! Dis toi bien qu'une fille aussi classe que moi n'a rien à faire avec un pleurnichard ! C'est compris ?! Et j'en profite autant te dire, si tu oses te mettre sur mon chemin, j'hésiterais pas à te trancher la tête ! ... Oh ! Chory Senseï, vous êtes de retour ?Son attitude désagréable avait laissé place à une toute autre allure lorsque notre chef d'équipe apparu avec un personnage plutôt étrange. Le juunin nous présenta l'homme qui me paraissait assez sinistre.
- Voici l'homme qui a contacté Konoha. Je vous prie d'être très attentif à ce qu'il va vous révéler.L'homme était assez petit. Un longue moustache retombait jusqu'à son cou. Il portait des vêtements d'un tissu assez luxieux pour notre époque. De nombreux bijoux ornaient son cou, ses doigts et ses poignets. Sa voix était plutôt grave. Tout dans son attitude me paraissait louche.
- Bonjour les jeunes. Je me nomme Gato. Je suis un archéologue. Ma passion me pousse à travers le monde pour explorer les ruines de nos ancêtres. J'en ai localisé une tout prêt d'ici. Mais les bois sont... dangereux pour un homme de mon rang. Cette forêt est hanté par un fantôme. Je l'ai déjà vu une fois. Il nous a empêché moi et mon équipe de chercheur de nous rapprocher. Je pense que ce site est cache un secret très importante pour les découvertes sur lesquelles je travaille en ce moment. C'est pour ça que j'aimerai que vous fassiez le ménage pour moi... Vous êtes payés pour ça après tout ?Je regardais mon sensei d'un air sceptique, il resta de marbre, puis reprit la parole en s'adressant à notre client.
- Trés bien Monsieur Gato, nous allons mené notre enquête et vous assurez que la forêt soit sûr.- Bien entendu. Une fois que vous aurez accomplit votre mission retrouvez moi, un peu plus loin sur cette route... C'est là-bas que notre campement se trouve.Le vieil homme tourna les talons et prit la route en direction de son campement. Quand à nous, nous pénétrâmes dans cette forêt. Nous progressâmes dans le plus grand silence. A l'affut de tout bruit suspect, de toutes ombres suspects. Cette forêtme paraissait sinistre
Nous progressions maintenant depuis une vingtaine de minute déjà. Je pouvais entendre les chuchotements frémissants de Sarhya la kunoichi.
- Les fantômes n'existent pas, les fantômes n'existent pas, les fantômes n'existent pas...
Elle se montrait forte, mais en réalité elle était très apeurée. L'idée même de se retrouver nez-à-nez avec un esprit lui était impassable.
- Espèce d'imbécile, tu vas arrêter de me regarder ?! - Ca suffit tout les deux ! reprit le juunin.
Une trés légère brise fit son apparition, déclancha par la même occasion un bruit continu provenant des bruissements des feuilles. Je me crispais aussitôt, d'autant plus que le vent devenait de plus en plus fort. Raisonnant à travers la zone, une voix roque se fit entendre. Mon sang se glaça alors que je tournais vivement la tête dans tout les sens enfin de percevoir quelque chose.
- Fuyez mortel, fuyez !- Rester sur vos gardes ! ... Sarhiya reprend toi !La jeune kunoichi n'était plus en position de combat et s'était recroquevilier sur elle même. Je sortis un kunail, que je serais très forme dans ma main. Un buisson tout proche frissonna et là, je me figeais.
Une forme blanchâtre sortie de sa cachette et fonçait sur nous. Elle avait tout d'une silhouette humaine, mais n'en n'était pas une. Le chef d'équipe fut trés réactif quand il tenta un jutsu de type katon que l'esprit aussi vif que la lumière esquiva. L'ombre le prit pour cible alors que celui-ci esquiva ses attaques du mieux qu'il le pouvait. Je me redressais en serrant les dents.
"Allez bouge toi ! Fait quelque chose !"
Je pris sur moi et recherchais au plus profond de moi le courage de Satchi. Sans décerer les dents, je bafouinais à la kunoichi pétrifiée.
- Allez, on doit réagir, on peut pas le laisser comme ça !Alors que celle-ci était toujours recroquivier elle me répondit d'une voix tremblante.
- Je ne... peux pas.Je me lançais donc, seul sans réfléchir, uniquement pour vaincre cette peur sur le fantôme. Je souhaitais profiter qu'il soit occuper avec mon mentor pour l'attaquer dans son angle mort. Chory comprit de suite ce que je tentais de faire et continuait à l'occuper. Alors que je m'élançais sur lui, kunail armé, il se retourna dans ma direction. Bizarrement, il ne tentait même pas d'esquiver mon attaque. Je le transpersais, non... J'étais en train de passer à travers lui. Une multitude de petites aiguilles transperça tout mon corps... Mais, je ressentais ce chakra. Un chakra si familier. Il était identique au fuuton que j'utilise.
Je tombais à la renverse, un arbre me stoppa. Je tentais de reprendre rapidement mes esprits. De légère douleur se firent ressentir aussi bien que je portais ma main sur ma poitrine. Ce chakra... J'en étais sur. Je ne pouvais pas me tromper. J'avais été le seul jusqu'ici à utiliser un fuuton aussi étrange. Je voulus prévenir mon sensei sur ma découverte alors que je me rapprochais de nouveau vers le combat, Chory le juunin tenta un coup de pied retourné et ressentit les mêmes picotements traverser son épiderme en traversant la masse de chakra.
- Sensei ! Ce chakra est ...- Ryuke derrière toi !Le juunin et moi étions situé entre le fantôme de chakra, lorsque mon maitre m'interrompit. Je m'écartais d'un saut et me retournais vivement. Tout en balayant réactivement la zone qu'il m'avait indiqué, je pus déceler une autre silhouette qui tentait de se cacher derrière un buisson. Je me lançais aussitôt sur lui, tout en lui envoyant une multitude de shuriken très dispersés les unes des autres. Alors que j'arrivais à moins de cinq mètre de celui-ci, un second fantôme de chakra apparut et stoppa net ma route en m'écorchant d'un coup de pied pivotant le torse. Je roulais dans les airs avant de me rattraper et d'attérir sur mes pieds. Une entaille horizontale séparait le tissu de ma veste. Le second fantôme de chakra se tenait entre moi et l'inconnu qui se cachait sous une longue veste à capuche. Je ne perdais pas de temps. Je joignais mes deux mains tout en imitant un pistolet avec les index et majeurs sortient et pointant le fantôme. Je concentrais mon chakra. Une boule de la taille d'une balle de ping-pong d'un blanc étincelant apparut. Je ne pus concentrer la technique plus longtemps, car le fantôme se jeta vivement sur moi. Je lançais aussitôt la balle transperçante, tel un coup de fusil qui partait. Le fantôme s'immobilisa quelques instants. La fente que j'avais crée sur ma cible se recouvrit. Cela n'avait servit à rien.
Mais plus étrange, le fantôme se dissipa. Et c'est lorsque le sensei apparu à mes côtés que je compris que le sien s'était aussi dissipé.
Le mystérieux individu s'avança dans notre direction d'une démarche calme et non aggressive. Il avait stoppé lui même les deux fantômes. C'était voulu. Il nous pointa du doigt et prit la parole d'une voix féminine vieillit et lente.
- Qui êtes-vous, pourquoi êtes-vous ici ?Mon maitre et moi nous échageâmes un bref regard, alors que la kunoichi honteuse nous rejoignait dans la plus grande discrétion.
- Nous somme de Konoha, nous avons été engagé afin d'enquêté sur cette histoire de fantôme... Mais je vois, que nous avons nos réponses à présent, reprit le sensei.
- Savez-vous au moins pour quelle sorte d'individue vous travaillez ? N'est-ce pas un certain Gato qui vous a embauché ? J'ignore ce qu'il vous a promis. Mais ses promesses n'ont aucune valeur, croyez moi.Elle avait surement déjà eu affaire à cet homme pour en parler ainsi.
- Et vous qui êtes-vous ? Pourquoi empêchez-vous les voyageurs de pénétrer sur cette forêt? L'individu enleva sa capuche, pour dévoiler le visage d'une femme d'un certain âge. Elle était ridée et sa chevelure était d'un gris luisant. Elle nous tourna le dos et nous fit signe de la suivre.
- Vous pouvez m'appeler Erya, ma famille habitée ces lieux autrefois, avant d'être totalement anéantit. Ce que veux cet homme... est l'héritage de ma famille, que j'échangerais pour rien au monde.Nous marchions durant une demie heure tout en évitant les nombreux obstacles qui nous ralentirent. Au détour d'un passage étroit, nous arrivions devant ce qui semblait être une vallée, avec les restes d'une ancienne civilation. Des remparts, des batisses en ruine, que la végétation s'était emparée. Nous dirigions à présent vers une maisonnette plutôt en bon état.
- Voyez-vous, le ravage des hommes de votre trempe esponsable de ce carnage. Autrefois, cette ville était animé tout comme votre village. Dites moi, mon peuple doit-il encore payer le prix de vos désires ?- Nous n'étions pas au courant de tout cela, reprit notre sensei. Permettez nous de vous apporter notre aide.Tout comme le juunin, j'étais pris de remord. Si le village avait su ça plutôt, jamais il aurait envoyé ses shinobis.
- Ca ne sera pas de refus, reprit la vieille femme. Mais là, c'est vous qui avez besoin d'aide avant. Elle porta son regard sur moi, ses traits s'apaisèrent. Elle m'indiquait la souche d'un arbre et sortit d'un posé sur la terrasse de sa demeure une boite de forme ovale.
- Assieds-toi là jeune homme, je vais soigner cette plaie avant qu'elle ne s'infecte. Au fait, vous ne vous êtes pas présenté, si je ne me trompe.
- Escusez nous, nous oublions nos bonnes manière reprit la jeune kunoichi qui s'était tue jusque là. Voici notre chef, Chory et votre servante Sarhiya. Elle m'oublia volontairement.- Et moi c'est Ryuke.J'ouvris la veste avant qu'elle puisse enduire de sa pommade sur ma plaie qui avait arrêté de saigner. Lorsqu'elle fut une drôle de tête, en voyant le tatouage qui dessinait mon torse.
- Quel...Quel est ton nom petit ?- Ryuke... Ryuke Musuko'kami...Je pus entendre entre ses lèvres
- C'est bien ce que je pensais.Elle tenta de faire comme si de rien n'était, lorsque je repris.
- Vous savez quelques chose sur moi je le sais... Je vous en prie, dites moi tout. Je sais aussi que vos... techniques de fantôme sont à base du même affinité que la mienne le fuuton.J'attendais ce moment depuis trés longtemps déjà. Enfin, j'avais la possibilité d'en apprendre un peu plus sur mes origines.
La vieille femme hésita quelques instants.
- Tu as bien 14 ans c'est bien ça ?Je fis un signe de tête en guise de réponse lorsqu'elle poursuivit.
- L'affinité dont tu parles se nomme le Fuuton seisui, où plus couramment appelé fuuton pur ou achevé. Elle confère beaucoup plus de puissance et de possibilité que le fuuton basique. Seule quelque rare personnes naissent avec cette capacité, on ne peut donc l'acquérir avec le temps. C'est une sorte de don de naissance.
Cette découverte me réjouissait, elle me rendait en quelque sorte... unique.
- Donc, c'est comme si j'étais le membre d'un clan ? La vieille femme hésita un bref instant avant de répondre.
- Oui... c'est tout comme. - Vous connaissez d'autres personnes qui ont ces dons ?
- Non, je l'ignore jeune homme. Et en considérant qu'il en existe encore, je ne pourrais te dire où ils se trouvent à présent.Je me décomposais un instant, je sentis une main compatissante se poser sur mon épaule. C'était celle de mon senseï, qui comprenait là où je voulais en venir ; mes parents. Mais aujourd'hui ne serait pas le jour, où j'aurais la moindre information sur eux. Une idée me sortit de ma torpeur. Cela avait rien à voir, mais m'enchantait.
- Dites, madame. Pourriez vous m'apprendre deux trois techniques ? Où non, encore mieux, m'apprendre à invoquer des fantômes de vent ?!Je sautillais sur place, alors qu'elle venait tout juste de couvrir ma plaie de bandage. La vieille femme se mit à rire en reprenant.
- Du calme, du calme tu vas ouvrir ta blessure. D'accord, je veux bien te l'enseigner. A condition que tu ne m'appeles plus madame. C'est comprit ?J'imitais de suite un garde-à-vous tout en prenant un air sérieux.
-Reçu chef ! Bien sûr, si vous m'y autorisé Chory Senseï.Le sensei approuva d'un signe de tête avant de reprendre la parole.
- Ryuke tu resteras avec Erya, Sarhiya et moi allons faire un tour, voir ce que manigance ce Gato.Les deux groupes se séparèrent. Tandis que l'un arpentais de nouveau la forêt, moi je restais ici en compagnie de la doyenne. Ma formation débutait. Elle m'expliqua dans le moindre détail la manière dont le fuuton seisui pouvait oppérer. Ensuite, elle me décria la façon, dont je devais m'y prendre pour exécuter la technique du clone du dieu du vent, vulgairement dit la technique du fantôme. Mes premières tentatives furent un échec. La consistance du clone ne tenait pas et s'évaporait à chaque fois. Mon mentor me décriait que je ne stoquais pas assez de chakra lors de l'invocation.
Il fallut attendre l'arrivée de mes équipiers la nuit tombée pour commencer à la maitrisé.
Leurs apparitions se firent dans un brouaha. La jeune chuunin était encore essoufflé.
Le sensei se rapprocha et prit la parole, tout aussi sérieux que son attitude.
- Erya, vous devez nous suivre. Nous devons vous mettre en lieu sûr. Vous aviez raison, Gato est à la tête d'un groupe de mercenaire. Ils ne tarderont pas à arriver.
La vieille femme reprit d'un ton assez sévère.
- Jamais, vous m'entendez ?! Jamais je laisserai mon héritage et des gens aussi cupide ! Si je dois de nouveau les combattre je le ferais !- Je suis avec vous ! Repris-je d'un ton déterminé.
Il était hors de question que j'abandonne cette dame, de plus j'approuvais le combat qu'elle avait mené durant une longue partie de sa vie. Et puis, grace à elle, j'avais mis des réponses sur certain interrogation, notamment ceux qui concernaient mon affinité. La doyenne me lançait un bref regard, je pus lire son étonnement mêlé à une certaine estime. Le sensei s'interrogea quelques instants.
- C'est d'accord... Bon, écoute moi tous ! Les mercenaires ne m'ont pas l'air très futé et je pense que très peu d'entre-eux, voir aucun d'eux ne maîtrise le chakra, ce qui est un point positif. Mais, leur force et le courage résidera dans leurs nombres, car vous l'aurez compris, ils sont trés nombreux, voir une centaine. Je vais donc, vous demandez de ne pas hésiter à faire usage de tout technique de clonage si vous le pouvez et de jutsu de grande envergure. Ils prendront peut-être la décision de fuir avec un peu de chance. Quand à Gato, si nous réussissons à les faire fuir, nous devons coûte que coûte l'emprisonner. Sarhya, Ryuke laissez moi m'en charger et soutenez moi au cas où j'en aurai besoin. C'est compris ?Les hurlements déchainés résonnèrent désormais dans toute la forêt. Le sensei invoqua une bonne vingtaine de clone, la chunin un clone, tandis que la vétérante fit apparaître deux clones fantômes. J'exécutais à mon tour la technique que j'avais appris quelques instant plutôt. Je réussis à invoquer un clone seisui... en parfaite état. Je peux avouer que j'étais particulièrement fier. Le sensei me félicita de son regard.
Les ombres se rapprochèrent armée de torche. Ils s'arrêtèrent tous en une ligne à plus de vingt mètres. On pouvait entendre certain parler. Ils ne s'attendaient pas à voir des shinobis sans doute. La stratégie de sensei Chory avait peut-être une chance de marcher.
Gato fit enfin son apparition, plus avancé que les mercenaires qu'il avait soudoyé.
- Vous ? Vous êtes dont pas mort. ?! Alors comme sa vous êtes de mêche avec cette vieille folle ? Donner moi cette arme, sinon je lache mes chiens de garde sur vous !
Une voix provenant derrière l'infâme Gato l'interrompit.
- Ce sont des shinobis !! Et elle n'est pas seul comme vous le prétendez !!-Tais-toi ! Vous désirez toujours ma fortune ?! Dans ce cas attaquer !!!A peine avait-il finit sa phrase que le sensei exécuta une technique de type katon qui en explosa devant les mercenaires embrassa une grosse partie de terrain.
Nous le suivirent. Chacun avec sa propre spécialité, quand à moi, j'invoquais une grosse bourrasque de vent qui intensifia un peu plus les flammes. C'était gagné. Les mercenaires prit au dépourvu face au contrôle des éléments prirent la poudre d'escampette. Gato tenta une derniere tentative pour les retenirs mais en vain.
Le sensei se jetta sur lui, kunail en main. Ce dernier tentait de le soudoyer et l'imporait de le laisser en vie.
La vieille femme très heureuse, ne cessa de nous remercier tandis quel nous raccompagnait sur notre route. Au moment des aurevoirs, elle me tendit une petite arme de la forme aproximative d'un marteau, envelopper dans un draps blanc. Je fus surprit quand je découvris qu'un symbole identique à celui dont je possède sur mon torse y était gravé.
- Voici, l'héritage que voulais Gato, je n'ai plus à le protégé. Tu en es digne Ryuke et je sais que tu nous feras honneur. Elle semble basique, mais lorsque ta main sera en contact avec le manche, elle montra sa véritable forme. Offre lui de ton chakra, et elle détuira des montagnes pour toi, car tu en es digne... jeune élu.Je ne pus dire quoique se soit, qu'elle s'était volatisé tel un vent qui l'emportait...
HRP
- Spoiler:
Désolé pour la qualité