Seth Obsuko, Tortionnaire aux ordres du Kazekage

An 76
Hiver..
"Prologue"

La 4eme grande guerre est à son apothéose, les sombre plan de Tobi on était contrecarré par l'avancer de l'Alliance Shinobi et ses héros. De lourde perte pour tout les pays de l'alliance. Konoha, Iwa et Kumo virent leur Kage disparaître et la reconstruction paraîtra longue, de nouvelle disposition seront prises au printemps de la même année et une paix est d'or et déjà entrains de s'installer..
Loin de là,  aux abords des Oisis qu'offrait le désert. Des familles nomade rattaché au village de Suna vive loin de la pollution sonore de la ville et de ces habitants, mène un train de vie mouvementé, ne pouvant exploiter le même endroit plus d'un mois suite au tempête de sable. Ces peuples régis en un cercle familiale suive leur chef bien aimé jusqu'à ce que le fils aînée reprenne le flambeau. Les chefs connaissent les bases du Ninjutsu pour pouvoir défendre son clan quand celui-ci subit une attaque de quelconque brigand du désert et transmette leurs savoirs à leur lignée. Se sera le cas De Kyu Suko, grand chef respecté par ça tribus, il est revenu de la 4eme grande guerre. Vous l'aurez compris, Kyu est un Ninja de Suna et pas n'importe quel ninja puisqu'il est passé expert dans l'art du Suiton, original mais ironique quand on sait qu'il vie dans le pays le plus chaud et désertique des 4 continents. Kyu à un fils unique nommé Kyukuno, enfant prodige du groupe il fête cet année son passage à l'âge ingrat, c'est aussi cette année que l'art et le savoir faire de Kyu seras transmit lors d'un rite initiatique. L'histoire de l'enfant silencieux commence ici..

An 76
Janvier
"La patience est un art, le silence le pinceau"

La lourde chaleur du désert écrase les deux Suko vêtu de leur chèche indigo. Ils sont partis de leur village à l'aube, heure auxquelles la température du désert est relativement supportable et propice. Marchant depuis maintenant plus de trois heures. S'enfonçant dans le sable, les sandales pleine de grain, Kyukuno peine à suivre le rythme frénétique de son père habitué à marcher de longues heures sans s’arrêter.. marcher.. Voila une chose qui dérange l'enfant plus que tout dans le début de son initiation, il ne sait pas ou ils vont, ni même combien de temps cette marche  va durer et encore moins ce qui se trouve dans sa besace qui pèse une tonne à lui casser le dos. Le silence briser par les bourrasques de vent s’engouffrant dans les dunes rappel l’immensité du désert..

"Papaaaaa, on va marcher encore longtemps ? On est pas arriver ? j'ai faim et soif.. Dis papa..."
L'enfant commence à ressentir les effets du soleil et de sa chaleur, déshydratation, fatigue, frustration et une motivation qui baisse de pas en pas. Il décide de rompre ce silence qui pose une gêne supplémentaire à tout ça.

"Tais toi Kyu' et marche. On est bientôt arriver alors ne gaspille pas ta salive. Profite pour faire le vide en toi et concentre toi sur tes jambes au lieu de te faire plaindre"
Strict, le père de Kyukuno fit comprendre que parler pendant la marche le fatiguer d'avantage et qu'il vaut mieux pour lui d'éviter de ralentir le pas. Mais l'enfant têtue et omnibuler par sa soif ne peut s’empêcher de réclamer.

"Mais j'ai soiiiiiiiiif.. Mes lèvres sont aussi gercer que les bras de tante Iku.."
"On a pas d'eau, tu pourras boire quand on sera arriver. Maintenant tu te TAIS !"


...


Le silence est une chose fortement respecté par Kyu, elle permet à l'homme d'exploré les méandres de son esprit et de donner une perspective différente tout du monde, des paysages, des efforts. Elle est la base du rite initiatique. Le père de Kyu savait que marcher dans le désert n'était pas chose facile, il en avait déjà fais les frais et voir à quel point son fils lui ressemble l'entrave dans ces pensées stricts. Voila donc ce que ressentait mon père, ce disait-il. Le soleil s’efface petit-à petit dans les dunes qui forme l'horizon, la teinte oranger que prend le désert offre là le plus beau des paysages que l'enfant admire toujours autant. S'arrêtant dans son élan, il décida de son pleins grés de s'arreter et s’asseoir pour admirer encore ce fabuleux spectacle qui berce les soirée des nomades... Silencieux comme jamais, il regarde l'extinction de toute forme de lumière dans ces teintes les plus chaudes. Kyu n'osa pas hausser la voix et vint s’asseoir à ses cotés, passant son bras autours de son épaules et admirant lui aussi ce paysage qu'il a le plaisir de voir depuis ça plus tendre enfance.. Le silence, c'est partager.


...

"Debout, le soleil a disparus et la température va chuter d'un instant à un autre, on va bivouaqué sur le flanc de cette dunes."

" L'Oisis du corbeau,
Le suiton du désert,
Grand art des Suko"

Après une journée de marche dans le désert sans vivre et une nuit a supporter le froid meurtrier de ces étendues, l'enfant qui n'y croyait plus, pris par sa folie, vit une Oisis dépassant de deux talus de sable. La pupille dilaté et le sourire remonter jusqu’à ces oreilles, il s'écria en fonçant, l'eau à la bouche.

"L'Oisis, c'est l'oasis au corbeau Papa hein ?! ON Y EST ENFIN !!!!"