Kaizan Ryuga

Ryuga

Kaizan

In Rp...

• Âge : 33 Ans
• Nom : Ryuga
• Prénom : Kaizan
• Nindo : Je serais le réceptacle de toute la haine du monde.
• Village : Akatsuki
• Clan : /
• Grade : Membre de l'Akatsuki ou chef si possible
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On n'oublie pas un visage...

Kaizan est une jeune personne qu'on pourrait tout simplement qualifier de plutôt normal du moins d'un point de vue éloignée et d'ensemble. En effet rien chez lui n'attire véritablement l'attention. Sans être moche, il n'est pas non plus un spécimen de beauté venue du ciel voilà il est normal, si on ne lui apporte pas plus d'attention en tout cas.Commençons par une vue d'ensemble, d'une taille raisonnable pour son âge il doit se situer entre le mètre quatre-vingts et le mètre quatre-vingt-dix une taille plutôt grande et dont il sait tirer avantage dans les situations où une personne plus ou moins grande à des facilitées.

En ce qui concerne sa carrure, Kaizan est le genre de personne large d'épaule avec des bras et des jambes énormes. On pourrait plutôt dire que son corps est en harmonie avec sa taille, il arbore des épaules ni trop larges ni trop fines et des bras et jambes qui sont juste assez musclés pour qu'il n'est pas l'air trop chétif, les muscles sont bel et bien présent et se dessinent parfaitement sur son corps de jeune adulte. Ce corps pour le moins bien proportionné et qui est entretenu par un entraînement physique digne des plus grands champions olympique peut ainsi délivrer une puissance physique hors norme, la puissance corporel du jeune épéiste est donc très élevé supérieur à bon nombre de ninja. Tout cela, est le résultat de ces nombreuses années d'entraînement avant qu'il ne bien après avoir reçue son arme au caractère spécial. Sa vitesse fait la paire avec la puissance pure qu'il dispose, il possède en effet une vitesse d'exécution qui le rend digne d'appartenir à une des plus hautes castes du village de la foudre. En se rapprochant un peu, nous arrivons à la partie qui attire le premier regard, la partie du corps qui définit la personne du moins d'un point de vue physique, la tête.

D'un teint de peau plutôt clair il se distingue en ce point de ceux qui l'entourent, on aurait pu dire qu'il a dans ses gènes un ancêtre de Scandinavie de peau. On peut également dire que son visage est fin et lisse tout en gardant un certain aspect masculin, il ne présente aucune impureté ni même cicatrice. Les traits de son visage sont pour le plus souvent fixe, il est très rare de les voir s'étirer et encore plus de voir s'afficher une quelconque expression sur le visage. Sa bouche quant à elle s'étire comme un fin trait qui aurait été tracé a la main par un peintre de grande renommé bien sûr son nez présente a peu près le même trait de caractère magnifiquement dessiner sur son visage on ne saurait dire si ce qu'on voit est réel ou non. Passons maintenant à l'un des éléments les plus fascinants du visage de du démon, ses yeux, son regard d'un bleu azure exprime une pureté profonde et reposante, un faible d'esprit qui aurait voulu scruter le regard de Kaizan aurait eu vite fait de s'y perdre complètement hypnotiser par le pouvoir que peux exprimer ce regard. En remontant un peu plus et afin de terminer cette description physique jetons un regard à sa chevelure d'un blanc profond comparable aux ténèbres de la nuit celle-ci est pour le plus souvent coiffée à l'arrachée ce qui fait que de nombreuses mèches lui retombent purement et simplement sur le visage, masquant ses yeux à quiconque aurait l'audace de vouloir le sonder.

Dans les méandres de mes pensées...

Il faut savoir que c'est un jeune homme très instable aux premières impressions, instable et pour cause, Dieu lui avait ouvert les yeux sur le monde en lui offrant un mal impossible à décrire, celui-ci le ronge encore de l'intérieur, chaque jour qui passe est pour lui un pas de plus vers la folie et l'abandon. Une vive douleur dans le cœur lui prend soudainement quand il vient à parler des drames qui ont lieu chaque jour.

"Ce qui ne vous tue pas, vous rend plus fort." Au final, si c'est ça : vous êtes déjà mort au fond de vous, mais vous refusez de l'admettre de peur de blesser vos amis, votre famille, vos enfant qui vous suive jusqu'au bout du monde. Vous êtes invincibles et peu à peu, vous pensez oubliez la douleur de la perte d'être chers, mais est-ce vraiment possible ? Oublier les gens qu'on aime, peu importe qu'ils ne soient plus, ils sont là, vous le savez, pas besoin d'être divin pour cela. La flamme vous la sentez brûler en vous, elle explose subitement au coup final, le dernière barrière à votre haine explose. Le monde est sans pitié, aucune clémence ne vous est accordée, simple mortel. Une foule de sentiments se déchainent en vous, et ça y est, vous n'en pouvez plus et là, c'est la tuerie. Pourquoi ? La guerre ne crée que de la haine et cette haine ne sait crée que d'autre guerre. Cette haine vous dégoutte, vous devenez alors une divinité en un simple claquement de doigts, des chaînes vous lient à la souffrance, soudain, les faveurs de Dieu pénètrent votre dos et vous perdez le contrôle, la détermination détestable.

Vous ne souffrez plus. Vous êtes plus qu'un mortel, votre statut s'élève alors à une divinité. Vous êtes l'envoyé de Dieu, celui qui apportera la paix et plus rien ne peut vous atteindre. Ni les mots qui peuvent être tout autant violents, ni les humains qui sont appelés ninjas par un simple bandeau. Vous n'êtes plus simple. Pas besoin de ce symbole qui jonche votre front pour être plus qu'un humain, vous êtes au-delà. Malgré tout, vous n'oubliez pas ce pour quoi vous vous battez, non. Abandonner ses convictions est sans doute la pire chose pour un ninja, alors un Prophète.. Il ne s'agit pas de vous prendre plus haut mais presque, vous savez ce que vous valez, même si vous passez pour un homme horrible et terrifiant, mais n'est-ce pas la vie qui est horrible ? Des noces funèbres qui s'élèvent pas dessus les cieux divins, à chaque mort, c'est comme si un bout d'âme était arrachée au monde, mais n'est pas mieux ainsi ?

Le désir d'un monde en paix vous envahit de plus en plus, mais peu de personnes comprennent vos idéaux parce que ça leur est difficile à cerner, mais c'est normal car eux sont normaux. Les idéologies d'un monde serein sont encore plus dures à comprendre, puisque vous tuez sans aucune once de pitié ou de sentiments, la vie d'un humain vous importe peu mais vous avez la satisfaction d' éradiquer de la souffrance, mais les autres ne le voient pas de cet œil-là. Pour eux, c'est juste de la folie ou l’œuvre d'un psychopathe qui n'a pas de sentiment. Vous êtes pourtant doté d'une certaine lucidité et vous avez un profond dégoût pour le monde qui vous entoure. Cette haine accumulé, vous êtes le seule à pouvoir la contenir. Oui, la seule chose que vous voulez pour ces êtres belliqueux c'est de tous les voir sous six mètres de terre entre quatre planches, ou alors déchiqueter en plusieurs morceaux de chair répandus sur le sol imbibé de sang. Et la enfin, vous serez le réceptacle de toute la souffrance de ce monde,c'est ainsi que viendra la paix, telle est votre mission.

Jamais je n'oublierai...

Si chacun pouvait choisir le lieu de sa naissance, certains pays seraient complètement vides. Kaizan n'avait pas choisi d'ouvrir les yeux ici. Dans cette pièce lugubre, la roche épaisse comme seul horizon, le claquement sur le sol des gouttes fuyant du plafond comme seul comptine, Entre quatre murs, douze pieds sous terre, drôle de maternité. La faute à qui ? Sa mère, voleuse de poules, enfermée sans procès dans cette prison infâme. Enceinte et affamée, dans un monde ravagé par les guerres et la mort, avait-elle d'autres choix ? La folie des hommes, ces êtres belliqueux, qui sans cesse s'affrontent. Dehors, les guerres faisaient rages, détruisant tout sur leurs passages. Des familles accablées par la perte d'un proche, animées par un désir de revanche, qui entraînent d'autres guerres, enfermant cette race de mammifère dans un cercle vicieux de violences et de désolations. Mais la nature des hommes n'est sûrement pas si mauvaise. Les Kages alors. Ces chefs ingrats, achalandés d'une soif de pouvoir sans pareil. Ils rependaient le sang partout dans leurs villages, l’exécrable idolâtrie qu'on leurs porte ne les rend que plus détestable.

C’est pour une, ou plutôt toute ses raisons, que l'enfance gâchée du petit Kaizan se passa en prison. Une prison où, par le manque de moyens, les bagnards avaient étés laissé à eux même, dans ce lieu cerné d'un champs de pièges, sans aucun espoir de pouvoir sortir un jour. Élevé au milieu de la vermine de ce monde. Des civils, voleurs, violeurs, meurtriers ou simples innocents prient dans la spirale sans scrupule d'une justice inexistante. La nouvelle de la naissance du nourrisson fit très vite le tour des murs du pénitencier. Chaque homme et femme détenue ici venait se présenter à jeune mère pour admirer l'enfant qui venait de naître. Rapidement il devint la mascotte de la prison ; tout le monde, même les plus grands criminels, tenaient à prendre soin de ce qui semblait être un miracle. La prison, jusqu’à lors en proie à divers trafiques et à une violence quotidienne, fut unifiée.

Treize ans passés auprès de sa mère, qui finit par mourir d'une hépatite. Treize Ans d'amour et d'enseignements. Treize ans de vie dans une communauté pacifique et paisible. Kaizan n'avais pas eu de jeunesse, mais cela ne lui manquait pas, ce que l'on n’a jamais connue ne peut nous manquer. Une grande maturité était née de ces années, une grande naïveté aussi, le garçon ne connaissait rien de l'extérieur. Oh bien sur, les prisonniers lui avait conté la vie hors de ses murs. Les guerres des ninjas, les villages cachés et leur tyrannie, la misère et le désespoir des populations civiles. Chacun, sans aucune exception, n'aurait quitté ce lieu paisible qui s'était formé autour d'un homme : Kaizan. La vie continua, même après la mort de sa mère, le jeune garçon vivait sa vie dans l’insouciance et l'innocence que lui offrait la prison.

Un an plus tard, un soir banal comme il en existait des milliers, Kaizan connu une expérience qui allait bouleverser sa vie. Alors qui observait le ciel à travers les barreaux du seul étage en dessus du sol, une voix vint à ses oreilles. Une voix rauque et puissante qui se présenta comme étant l'incarnation du bien et du mal, de la vie et de la mort, le maître du chakra et de toute force qui habitait cette terre. Keisuke, un vieillard plutôt savant, lui avait narré l'histoire du « chakra » cette magie de ninja qui était présente en chacun de nous. Apeuré, le garçon avait fuit les lieux pour se réfugier dans son lit. Cette apparition ne l'abandonna pas, chaque soir ce murmure résonnait dans sa tête, le priant de bien vouloir l'écouter. Une nuit, n'arrivant pas à dormir, il monta au dernier niveau de la prison. Comme à l’accoutumé, la voix repris son discours :

« Me voici. Je suis l'éternel, le bien et le mal, la mort et la vie, le maître du chakra et de toutes forces qui habitent cette terre. Je suis l'instant, le passé et l'avenir, je vois tout et entend tout. N'ai plus peur Kaizan, car je viens à toi. Je t'ai observé toute ses années et je t'ai choisi. Le monde est en perdition, les hommes ont négligés la foi en mon existence, ils se sont laissés allez à la haine et à la violence. Leurs cœurs se sont noircis et le pouvoir est devenu leur seul Dieu. Mais tout n'est pas fini Kaizan, tu peux agir, tu l'as déjà fait. Tu dois libérer le cœur des hommes de ces ténèbres. Va ! Parcours ce monde que j'ai crée, repend ma parole, je te donnerais la force. »

Le soir même, il réunit ses quelques affaires, dit adieu aux bagnards encore debout et il s'en alla. Guidé par une intuition très forte, quasi surnaturelle, il traversa sans encombre le champ de piège qui se dressait entre lui et son destin. A quatorze ans, sans aucune connaissance du monde extérieur, il avançait tout droit vers une mort certaine.

Le petit Kaizan était doté d'une formidable capacité à convaincre et à rallier à sa cause les âmes égarées. Usant de ce talent, il vagabonda de village civil en village civil sans ne savoir réellement que faire. Très vite, il vint à regretter ce geste fou, cette voix en qui il avait cru ne lui parlait plus. Il se sentait abandonner, perdu et sans défense. Une journée, plus d'une année après son départ précipité de la prison qui l'avait vu naître et alors qu'il marchait à travers les contrés désertiques du pays du vent, il tomba sur un brigand. En quête de nouvelles victimes, cet homme sauta sur le garçon (qui avait, disons-le, bien grandi) pensant lui soutirer de l'argent ou des vivres. Armé d'un long couteau il le frappa grièvement à l'épaule. Effrayé, démunie de toute défense et sans espoirs de survies, Kaizan pensait mourir. Tout à coup, un brouillard étrange s'expulsa violemment de son corps, projetant le corps de l'homme à une dizaine de mètres, mort. Sur les genoux, la respiration haletante, le corps lourd, notre protagoniste essayait de reprendre ses esprits sans arriver à savoir ce qui s'était passé. La voix refit son apparition :

« Kaizan, vois la puissance qui réside en toi. Pendant un an tu as erré à travers le monde, seul tu as pu voir de tes propres yeux son mal qui le ronge. Tu es leur unique espoir à présent, tu dois les sauver. Pour ça tu auras besoin de rassembler des hommes, qui comme toi partage cette foi en la paix et le changement. Tu auras aussi besoin de maîtriser les arts ninjas, tu as une grande force en toi, il est temps d'apprendre à la contrôler, car je ne puis, à moi seul, te porter. Prends à ton secours des hommes sages, des hommes forts, intelligent et connu. Sois sans car tu sers le seul vrai Dieu. S'il s'élève face à toi des hommes accomplissant de mauvaises choses, tu les rameras à la raison. Tu n'écouteras pas les paroles du malin, tu ne céderas pas à la haine, car c'est l'Éternel, ton Dieu, qui te met à l'épreuve pour savoir si tu l'aimes. Tu iras après l'Éternel, ton Dieu, et tu le craindras; tu obéiras à sa voix, tu le serviras, et tu rependra sa parole. Suis ma lumière car cette lumière est ta force. »

L’entraînement de Kaizan débuta, entre autodidaxie et intervention divine, le jeune homme passa des années à maîtriser le chakra, cette force qui habite toutes choses vivant sur cette terre, c'était extraordinaire. Quelle puissance ! Il la découvrait, elle coulait dans ses veines comme de l'eau coule d'une source. Des années et des années passèrent. Si bien, après un entraînement draconien de près de vingt ans, le jeune garçon de quinze ans était devenue un homme, un ninja, un vrai. Il était un vecteur d'amour sans pareil, il respirait la joie de vivre, l’espoir et cela se ressent. Il usait ce talent pour séduire et convaincre les autres de se joindre à sa cause. Le ninja était toujours un homme très pieu, il vouait un amour sans pareil a son dieu et se considérait comme son prophète. Il agissait toujours en son nom, ne jurait que par lui et était prêt à accomplir tout ce qui lui demanderai. Sa mission est d’éliminer les maux de ce monde. Il était enfin près.

Mon clan, mon honneur

Kaizan n'appartient à aucun clan mais maîtrise l'Hikariton

Vie

Privée