Presentation de Hibari Kyoya

Un souffle, un acte, une parole, une vie, un geste, un bruit, une mort, un choix peuvent modifier la vie d'une personne a jamais, tracé son destin. Malgré tout leur différents les hommes se ressemble sur un point, tout le monde souffre un jour ou l'autre, mais d'autre plus que les autres. Moi je fais partie de la seconde catégorie, celle que la vie "n'a pas gâté" comme ont dit, bien que je n'est pas de problème physique, je suis la victime de trouble psychologique...Écoutez mon histoire...Celle d'un destin brisé:
Jour de pluie sur le village de kiri, journée banale comme les autres, mais cependant pour moi cette journée allait être l'une des plus importante de ma vie. Cette journée j'allais enfin rencontrer mes coéquipiers. Ce qui allait partager ma vie, mes peurs et mes bêtises, avec eux j'accomplirais des missions dangereuse, avec eux je pleurerais, avec eux je rirais .La première rencontre fut mouvementé, mes au fils des missions des liens étroits entre les membres de l'équipe c'était noué...J'avais appris a appréciais les défauts tout comme les qualités de chacun. J'étais enfin heureux...Je n'étais plus seul, j'avais enfin des gens sur qui comptait, des gens qui avait confiance en moi. Prenons exemple sur Jûichi, mon rivale, malgré nos disputes incessante, nous ne pouvions nous passé l'un de l'autre .C'était grâce a lui que j'avais progressé et vis versa. Cette relations étroite était plus fort que nos disputes, puis Rioko, la plus belle kunoichi qu'il met était donné de rencontré, elle était attentionné et intelligente, tout pour plaire, malgré ses atouts, elle était faible en combat, mes sa vivacités d'esprit allier a la mienne nous permettait de faire des grandes choses. Notre relation allait bien au delà de l'amitié, elle et moi partagions un amour secret, et une passion pour la vie qui nous animé. C’était mon soleil, celle qui illuminait mes journées...Ma marque d'héroïnes .Elle avait comblé une partie du gouffre qui déchirait mon coeur obscuricis par la peinte .Et vint enfin le pilier d'équipe, notre sensei "Saori Okamoto». Pour moi elle était plus qu'un sensei, durant mes insomnies chronique lors des missions j'avais souvent discuté avec elle, c'était comme une mère pour moi. Elle était la mère qui m'avait fais défaut durant les derniers années, elle était ma confidente, de moi elle savait tout. Même les liens qui m’unissaient à Rioko, avec elle j'avais partagé ma peine, et dans ses bras j'avais trouvé le réconfort qui m'avait cruellement manqué. Elle était mon air, sans elle je ne pouvais vivre. Les missions s'enchaîne, que des succès, les combat passait, mes la complicité qui unissait les membres de notre équipe nous rendez imbattable. Nous nous battions sur la même longueur d'onde, pas groupe de deux. Histoire de protégé son coéquipier en cas de besoin, et malgré le fais que nous n'étions que des Genin, nous réussîmes à vaincre des ninjas Chuunin et plus. Car eux n'avait pas cette unions d'esprit, cette dépendance pour l'autre. La survie de l'un dépendez de la survie des autres, et mes survies mentales dépendez aussi de leur survie. Mais une épée de Damoclès planait au dessus de ma pauvre tête, elle elle s'abattit a nouveau sur moi en emportant tout ce que j'avais de plus chère au monde...
L'équipe" Saori" avait été convié dans le bureau du Mizukage, par manque d'effectif ont nous vit confié une mission de rang A des plus urgente. Un groupe de brigands attaqué les convoies qui passait par la route principal de kiri, mais aujourd'hui c'était différent, une importante cargaison partait de kiri pour allé a Konoha, cette dite cargaison apporté de l'or au pays du feu pour faire une sorte de pacte. A cette époque je ne prêtais attention aux problèmes de politique. Cette mission était la plus dur que nous ayons jamais eu a effectué... et surtout la dernière. Les premiers jours de la mission se déroulèrent rapidement, espionnage, traçage, embuscade Voila comment résumé, nous avions passé notre temps a ramassez des indices pour connaitre l'effectif, les armes, et les pouvoirs de nos ennemies. Deux jours entiers nous avait été nécessaire pour rassemblé assez de données pour se préparé psychologiquement a l'affrontement. Notre stratégie était mise au point, désormais nous devions attendre l'ennemie. Nous n'avions pourtant fais aucune erreur.l'ennemie c'était pointé comme prévus et attendait les convois, nous étions arrivé au moment ou il si attendait le moins et avait attaqué, les combats s'éterniser, et notre formations furent brisé. Désormais on ne lutté plus pour gagné mais pour survivre. Je me débrouillé fort bien, mon Katana tranché mes adversaire en deux, le fait de tué des être néfaste pour se monde ne me dégoutait pas alors que de tué des innocent me répugnait au plus haut point. C'était un cri qui m'avais sortit de ma concentration sur le combat, derrière moi...Quelqu'un était mort.Qui je n'en avais aucune idée, un allier ? Une ennemie ? La sueur coulé sur mon front...Plus que vingt ennemies...Un seconds cris plus aigu...Puis un autre...Puis plus rien...Une coup de manche dans l'estomac m'avait cloué au sol tel un vulgaire insecte...Du sang...Trop de sang autour de moi.trois corps froid.
Je regardais leur visage...Jûichi...Saori... et...Rioko...Mort...Ils étaient mort...Et moi je vivait... encore ... les brigands riait devant mon regard tétanisé sur les cadavres...Puis l'expression de mon visage changea totalement, il avait repris le contrôle...Cette être a la soif de sang gigantesque avait prit le contrôle de mon corps...La rechute...Une expression de haine sur mon visage je m'était lancé sur le premier garde, planta mes dents dans son cou et tirant avec une tel force que je lui arrachais énormément de chaire, l'homme mourut, du sang coulait de ma bouche, mais ce n'était pas le miens. Un sourire cruelle c'était dessiné sur mes fines lèvres, ils savaient qu'ils allaient mourir...Tout se passa très vite.Sauf pour le dernier qui n'eu pas de chance.Je le torturait lentement, lui arrachant les globes oculaire et savourant ses cris.Puis tous c'était tu...un champ de cadavre. J'étais de nouveau seul.
Ma plume se stoppa.Je repensais a ce moment douloureux de ma vie...

"Ne verse point de pleurs sur cette sépulture,
Passant ; ce lit funèbre est un lit précieux,
Où gît d'un corps tout pur la cendre toute pure ;
Mais le zèle du cœur vit encore en ces lieux.
Avant que de payer le droit de la nature,
Son âme, s'élevant au-delà de ses yeux,
Avait au Créateur uni la créature ;
Et marchant sur la terre elle était dans les cieux.
Les pauvres bien mieux qu'elle ont senti sa richesse
L'humilité, la peine, étaient son allégresse ;
Et son dernier soupir fut un soupir d'amour.
Passant, qu'à son exemple un beau feu te transporte ;
Et, loin de la pleurer d'avoir perdu le jour,
Crois qu'on ne meurt jamais quand on meurt de la sorte.
"

[i]Puis finalement je me remis à écrire sur le parchemin:
Un an après l'accident, j'avais finalement dissimulé ma schizophrénie, m'habituant a la voix qui résonnait souvent dans ma tête, dé fois des dialogues dans mon esprits avait lieu, souvent humoristique qui finissais pars divers insultes lancés sur le ton de la rigolade, mais la plus part du temps, la petite voix maléfique me demandé de tué..N’importe qui du moment que sa soif de sang était assouvis. Un beau jour, je pris la décision de participé a l'examen Chuunin du village de la brume..Cette examen ne se déroulait pas comme a la normal, il consisté a tué tout les participants qui venait du village de la brume. Les autres avait un désavantage, ils avaient des amies et hésité a les tué...Moi le pacifiste je ne tué personne jusque a ce que je comprenne que si je voulais changer se monde, je devais profiter du côté "obscure" de mon être et puisé en lui la soif de sang qui me faisait défauts dans se combats. Je m'étais figé en plein milieu de la zone de combat, mon regard avait changé, et sans difficulté je neutralisé tout les participants. Le derniers fut le plus mal chanceux, je l’avais démembré de sang froid, je l’avais humilié, et je l'avais surtout privé de ses organes sexuelles, sa avait été la partie la plus intéressante d'ailleurs, entendre les supplications des victimes, surtout qu'un homme tien a cette partie du corps..Je lui avais coupé, avant de finalement l'égorge et de crié. Les examinateurs avait bien vue.. En moi le potentielle d'une machine a tué sans émotions. Au fil du temps, j'arrivais a maitrisé cette seconde partie, elle était devenu mon ami, et m'apporte de nouvelle force lors des combats, Elle faisait de moi un tueur sans émotions. Une machine a tué des plus effroyables. Oui j'étais la pire créature de ce monde si horrible. Durant mes excès de folie il m'arrivait de faire des missions.. Juste pour tué, c'était comme une drogue pour cette partie, qui peu à peu me consumait..Au bout d'un moment je réussi a totalement la maitrisé et a l'empêche de faire de moi un tueur lorsque je ne le voulais pas. Cette partie de moi me respecté, elle était mon plus précieux atouts, et malgré le fais que j'étais fou, elle m'apporte du réconfort, car je passais mes nuits a pleuré recroquevillé sous mes couvertures.

Pourquoi était-il mort ? Pourquoi le destin s'abattait t'il sur moi ?J'étais maudit, voila la vérité, j'étais surement née un vendredi 13.. Une connerie du genre..Car il fallait vraiment que je sois née sous un mauvais astre pour que le destin s'acharne a ce point sur moi, allant jusque a me prendre les êtres qui m'était le plus chère. Je n'avais rien demandé, je voulais même moins que ce qu'un homme normal désiré..Je voulais de la stabilité et des amis..Je ne voulais pas spécialement d'amour..Car quand j'y repensé je me rappelais le visage blanchâtre du cadavre de Rioko..C'était en la voyant que mon destin fut tracé, si je ne l'avais pas rencontrées rien de tous sa ne serait arrivé. La vie était cruelle et surtout piégé..Elle m'avait fais croire au bonheur de l'amour, puis m'avait tout repris sans dire un mot, tout arraché se souciant bien des dommages collatéraux. Je n'avais aucun point de repéré, aucun port d'attache..Aucun pilier pour me soutenir dans ma chute vers ma folie...Je n'étais pas sociable ? Quand je n'étais pas sous le contrôle de ces personnalités sanguinaires et sadiques, j'étais fort sympathique, toujours souriant, dissimulant mes émotions derrière des sourires, des blagues, des mots, des rires. Mais l'ont pouvait voir de temps à autre, une lueur de détresse brillé dans mes yeux. C'était pendant ses moment la que la présence des êtres qui m'était chère me manqué le plus. Tandis que je sombré dans la folie les autres coulait une existence paisible...j'étais le seul être rejeté de tous ?Une rencontre bouscula ma vie..J'avais rencontré zabuza un jour de pluie, son regards...Son regards avait réussi à me faire perdre le contrôle et a laissé ma seconde personnalités prendre le dessus, ils avaient les mêmes regards. Zabuza compris ce que j'étais, un monstre comme lui..Il m'expliqua la vie.. Un ninja n'est qu'un pion dénué de sentiments...Voila ce que je devais être, pourtant j'avais le désiré de mourir..Pour une noble cause, d'avoir des personnes pour qui je donnerais tout ce que j'avais en ma Possession. Mais comme l'avait si justement dit zabuza j'étais une arme bonne a tué tout simplement.
La plume se cassa et le papier se froissa sous ses derniers mots, les larmes obscurcirais ma vue. En pliant le parchemin avec délicatesse je la laissa la et couru droit devant moi jusqu’aux moment ou je trouve la village de Kumo, puis je prit vie dans se village en temps que Juunin, et je me suis même arrive a être Sannin puis je retourna dans mon village natale pour montrer a tout les personne que je connaissait se que je suis devenu ..