Sara Rasack

RASACK

Sara

In Rp...

• Âge : 16
• Nom : Rasack
• Prénom : Sara
• Nindo : Pour avancer, il faut payer...
• Village : Sunagakure no sato
• Clan : Rasack
• Grade : genin (proche du grade Chunnin)
• Bingo-Book

On n'oublie pas un visage...

Une belle chevelure blonde et des yeux d'or, tel sont les attributs des Rasack. Attributs que Sara semble elle même très bien porter. De ses 178 cm de hauteur, couplés à 78kg de muscles, c'est une escrimeuse redoutable à laquelle il ne faut pas se frotter en espérant y ressortir indemne. Son port altier lui vient d'un entrainement intensif qu'elle reproduit jour et parfois même nuit. Autant dire qu'il n'y a pas d'altier que sa façon de se tenir. Aimant se distinguer, ses tenues vont de la robe de soie dentelée au costume trois pièces en passant par les tailleurs. Sara attache tout le temps ses cheveux, que ce soit pour le combats ou pour d'autres occasions. On ne vois rarement, si ce n'est jamais, son sourire mais quand il lui arrive de transmettre sa joie, cellle-ci est des plus sincère et rayonnante. Que dire de plus, si ce n'est que comme tout les Rasack, Sara reste une personne très sérieuse et fidèle en ce qu'elle entreprend, ce qui se remarque significativement dans ses allures ainsi que dans ses expressions.

Ajoutons également que Sara est partisane de la protection. Elle préfère se battre dans un armure, même si ses mouvements en sont réduits, au grand dam de tout ses compagnons. Celle-ci se compose donc de gantelets métalliques se terminant par des gants fin et accrochant, pour une meilleure prise de son arme, ainsi que de genouillères de fer et d'une ceinture d'acier à laquelle est accroché deux cuissardes de plate. Pour se déplacer, elle utilise en guise de soleret des Kogakes, chaussures légère et lisse, lui permettant de parcourir rapidement de courte distance.  Par nécessité de mouvements, elle ne porte rien de plus, bien que l'envie y soit. Cependant, autour de ses jambes, de sa taille et de ses bras son accrochés des poids, preuve d'un entrainement continu et quotidien qu'elle pratique sans pause. Car bien que fine et élancée, Sara reste néanmoins très solide, ses muscles étant relativement bien développés. Et elle en a besoin ! Pour soutenir le poids de son arme, de son armure et des poids qu'elle ajoute, c'est de force physique ainsi que de force d'esprit dont elle à besoin. D'ailleurs, en parlant d'esprit...  

Dans les méandres de mes pensées...

Sara à ce que l'on peut nommer un mental d'acier. Sa volonté de devenir plus forte, encore et toujours la pousse à allez de l'avant et de dépasser tout obstacle lui barrant la route. Ce caractère singulier fut d'autant plus renforcé lors de la mort de son père. C'est pourquoi elle s'est juré de devenir suffisamment puissante et haut gradée pour se lancée elle même à la poursuite de ce qu'elle nomme des "erreurs de l'humanité". Bien qu'elle ait un tempérament fort, elle n'est pas pour autant une tête brûlée, bien au contraire. Rester calme, mettre toute ses chances de son côté et analyser la situation pour être sur de décrocher la victoire son ses maître mots dans n'importe quelle situation de la vie.

Mais derrière ce masque se cache une seconde facette de la personnalité de Sara. Une jeune fille curieuse, pleine d'entrain, un peu franche (trop même, mais ce dois être de famille) et sentimentale. Plus jeune, sa mère l'avait inscrite comme miko dans un temple shinto de suna, voulant l'écarter de la voie guerrière du clan. Peine perdu car dès qu'elle fut en age de porter une arme, notre jeune héroïnes commença les entraînements avec son père, alternant religions et escrime. C'est ainsi que dans son esprit cohabitent la passion du combat et la sérénité des temples. Ce mélange fait qu'au quotidien, Sara est une personne agréable à vivre, sympathique et plaisante bien que sérieuse et maniaque.  

Jamais je n'oublierai...

Prologue :
Mon premier souvenir, j'ai quatre ans :
Le ciel est d'un bleu profond, sans nuage. Il fait chaud dehors et je suis pourtant en train de gambader gentiment dans le désert avec mon père. Il voulait me porter, mais comme je courait loin devant lui, je me retourna et lui fis la plus belle grimace possible. Nous allions vers une oasis, tranquillement. Comme d'habitude, j'arrivais première et en tirais une grande fierté. Après tout, j'était grande ! Tandis que je barbotais dans l'eau en y cherchant des poissons, mon père regardais dans une sorte de jarre et en sortit un parchemin qu'il mit dans la poche intérieur de son manteau. Étrange, me disais-je. Je le questionne et il évite la réponse. Tans pis, je suis déjà passée à autre chose. Nous prenons donc le chemin du retour. Cette fois, je suis derrière, je traîne un peu la patte. J'appelle mon père pour qu'il me porte, mais il ne bouge plus. Une goutte, puis une autre. Soudain, une gerbe rouge sort de son corps tout entier et il s'effondre. Un monsieur en noir s'approche de moi rapidement et...

... Je crie avant de me réveiller en sueur !

- Sara ? ça va bien ?

-Tout va très bien, c'était juste un cauchemar.

Je m'assied sur le lit. Mon cœur bat très rapidement, sans doute pour rattraper les quelques battements qu'il a sauté tout à l'heure. Cela faisait deux ans maintenant que je rêve de la mort de mon père. A chaque fois la situation est différente, mais la fin est toujours la même. Il y a deux ans... Une date très importante pour le clan Rasack. La perte de mon père, le chef du clan, fut un drame familiale pour toute la famille. C'est pour cela... Pour honorer mon père que je choisis de suivre la voie du guerrier. Mais laisser moi vous compter cette histoire plus en détail...

Au commencement :

Ma mère est Kea Rasack, une kunoïchi médecin. De mes parents, c'est d'elle dont je me souvient le plus car elle était globalement plus présente pour moi que mon père, constamment en mission. Elle est toujours aimable et douce, mais parfois, son visage devient dur, comme le jour ou mon père nous à quitté. Toute petite, j'ai appris à aimer la mode. Les beaux vêtements, les fines dentelles, les tissus de soies et de satins... J'adorais tout cela à tel point que je voulais en faire un métier. Difficile à croire quand on me vois maintenant, n'est ce pas ? J'avais même appris à coudre. Ma mère était très douée, sans doute à cause de son travail et m'avait aidée dans cette voie. De mémoire, elle ne s'est jamais opposée à aucunes de mes décisions et je l'aime pour cela. J'ai donc continuée à me perfectionner dans cet art qu'est la confection des vêtements que je porterais. Sans me vanter, j'avais le talent pour faire carrière dans ce domaine. Cependant, à cet age je voyait cela comme un plaisir et non une source de revenu et il ne m'était jamais venu à l'esprit d'en faire un métier. Bien que je m'entraînait

Puis est venu l'age de mes huit ans. Déjà, à cette époque, j'était très grande. Pas plus que mon frère qui me dépassait de deux tête mais très grande par rapport aux autres filles. Mais il n'y avait pas qu'en taille ou j'était plus "grande". J'avais mûrie beaucoup plus vite que la moyenne et les enfantillages m’exaspéraient déjà.

J'était donc la plupart du temps seule, bien qu'assez populaire, je dois l'avouer. Les commerçants étaient toujours remplis de bonnes intentions, ce qui me plaisait particulièrement quand je faisait mes achats. C'est d’ailleurs dans une petite boutique de tissus, à l'angle sud la rue principale de suna que je me fis ma première et vrai amie : Inori. Nous avions 6 années d'écart mais dès notre rencontre, je savait déjà que le courant était passé parfaitement. Je dirais que c'est le gout pour les beaux vêtements qui nous à rapprochée. C'était le genre de fille calme et posée, parfois trop chaleureuse à mon gout mais toute ces choses faisait d'elle une fille remplie de vie et de charme qui ne laisse personne indifférent. Sa popularité attirait beaucoup de courtisan mais elle n'avais jamais accepté aucun rendez-vous. Son père était le prêtre shinto de suna, et pour l'aider dans sa tache, elle travaillait avec lui en tant que miko. Quand je lui parlait de sa mère, elle me disais que celle-ci était morte en lui léguant des dons de voyances. Je n'y croyait pas vraiment, mais je ne répliquait rien par politesse.

Puis ma mère vint me voir un jour, m'expliquant que je serait plus seule à la maison qu'a l'accoutumé et que si je désirait trouver une activité, j'avais d'ors et déjà son accord. J'alla en parler à Inori qui me proposa de travailler avec elle dans le temple de son père. Pour moi, le choix était fais. Ce fut le début d'un chapitre qui tourna pour de bon l'une des pages du livre de mon existence. J'avais alors 10 ans.

Les jeunes années :

Le travail dans un temple est tout ce qu'il y a de plus reposant. Préparer des costumes et des décors pour les fêtes du villages, vendre des portes-bonheur et en grande partie s'occuper de l'entretien du domaine était mon travail. La plupart du temps, je travaillait avec Inori, mais parfois son père l'appelait pour des raisons qu'elle n'a jamais voulu me dire. Durant ces périodes, je travaillait avec les autre filles du temple. En tout, nous étions cinq, mais il était rare que nous soyons plus de trois en même temps dans le temple, en dehors des événements comme le nouvel an. Je dois vous avouez que mis à part Inori, aucunes ne m'a laissé de souvenirs indélébiles.

Inori m'initiait à la spiritualité. Elle disait qu'à l'origine tout était un et que la nature était sacrée. L'homme faisait partie du grand tout et sa place n'était pas au dessus de celle d'un autre. Les énergies qui le constituait étaient liée les unes aux autres et la puissance d'un homme se mesurait à sa compréhension du monde.

"Ce qui ne le rend pas forcément meilleur, me disait-je intérieurement."

Une des choses que j'appréciait le plus dans ce petit temple, c'était les innombrables écrits qui s'y trouvait. Au bout d'une année, j'avait déjà lue la moitié de la bibliothèque et l'année suivante, celle-ci n'eue plus aucun secret pour moi. Il y avait même des ouvrages que le futur Kazekage prohibera. Si jamais il avait connaissance de l'existence de ces ouvrages, je ne saurait ce qui arriverais à ce pauvre temple.

Mais ne croyez pas que je passait tout mon temps au temple. La plupart du temps, j'était seule, faisant mes exercice de relaxation ou m’entraînant. Je n'avait pas voulu m'inscrire à l'académie, ce qui avait paru décevoir mon père. J'avais du coup décidé d'honorer mon sang en m’entraînant au sabre et au raiton, mon affinité. Parfois, mon père daignait m'accorder un peu de son temps, quand il avait fini de s'entraîner avec Sergerk ou Keit. Après tout, ces deux là étaient destiné à être des shinobis.

Pour m'entraîner, je cessai de m'habiller pour enfiler Je m'accrochait des poids aux jambes, aux bras et au torse et courait d'oasis en oasis, parfois plusieurs jours de suite. Selon Inori, le sable symbolisait le temps et le soleil l'énergie. Pour moi, ses paroles étaient sources d'inspiration et j'appréciait que le temps et l'énergie mette à l'effort ma détermination. Quand j'arrivait aux oasis, plutôt que de me reposer, je m’entraînait à rester à la surface de l'eau en canalisant les énergies : le chakra. Le soir, je faisait divers étirements et exercice musculaire. Et je reprenait le lendemain. Il m'arrivait de dormir dans le désert. Les températures, qui pouvaient s'élever aux 50° le jour, pouvait descendre jusqu'au -15° la nuit.

Jusqu'au jour de mes 14 ans, le jour du drame. Selon Inori, mon père avait rendu son âme à la nature. Je n'ai jamais pu l'accepter. Je crois que c'est ce jour que j'ai fais mon choix. Je n'avais jamais supporter voir ma mère triste et encore moins le renfermement de Keit. J'allais honorer mon père en marchant dans les traces qu'il voulais que je suivent.

Bien que je n'avais pas suivit de formation à l'académie, le kage me remis un bandeau. Était-ce la réputation des Rasack ou la mort de mon père qui avait permit cette flexibilité de la part du village ? Je ne le savais pas, mais je m'en moquais. Je ne pouvais intégrer d'équipe, il fallait donc que je trouve mon propre maître.

En deux ans, j'ai eu deux sensei. Tout les deux morts de la main du nouveaux kazekage. Tout les deux des révolutionnaires. Pourtant, il y en avait peu, aux vues de la brutalité avec laquelle les rébellions étaient réprimées.
Je n'aimais pas la politique de mon nouveau village. Mais j'avait un objectif et ce n'est pas le sentiment de révolte que ressentait qui allait m’empêcher de coopérer. Mais cette politique avait induit un nouveau mouvement. Les forts étaient mis en valeur. Or, je voulais faire partis des forts. Je n'ai plus qu'a chercher un nouveau sensei...

Mon clan, mon honneur

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Spoiler:

Vie

Privée