Présentation : Niflheim

• Âge : 18
• Nom :
• Prénom : Niflheim
• Nindo : Si il y a un mort, ce ne sera pas moi
• Village : Iwa
• Affinité(s) : Suiton, Doton
• Spécialité(s) : genjutsu, Fûinjutsu
• Clan : Sans Nom
• Pouvoir de clan : Justus médicaux, Manipulation des ténèbres
• Grade : Anbu (nécessite l'accord d'un administrateur)
• Bingo-Book

Les premiers mots qui me viennent à la vue de mon corps sont ceci : Monstrueux, désastreux, dégouttant. Celui-ci est blanchâtre, sans doute dû à ma vie passée dans des marais nauséabond. Ma peau verdit, signe de la putréfaction qui semble poindre sur mon corps. Ma peau se flétrie et se détache par endroit. Mon bras gauche, bien que complètement valide, n'à lui-même plus de peau, m'obligeant à l'enrouler dans des bandeaux. Grâce à mon entraînement physique important, j'ai sans doute due ralentir les effets de la maladie et ai une assez bonne carrure (hormis mon bras gauche). Toujours due au même effet sportif et maladif, je mesure une taille relativement élevé (1m98) pour 86 kg. Mon visage est des plus singulier, là ou se confronte la jeunesse et la maladie. J'ai les joues qui se creusent ainsi qu'une peau qui vieillit me donnant l'air d'avoir le double de mon âge. Mes cheveux sont blancs et sont raide et fin. Mes yeux sont ce que je préfère sur mon visage. Ils n'expriment pas la vieillesse et la maladie, au contraire. Ils sont jeunes, vifs et intelligents. La quasi totalité du temps, mon visage n'exprime ni sentiment, ni sensation. Mais quelquefois, l'expression de curiosité se fraye un chemin jusqu'à mes lèvres...

Niflheim est une personne froide, sombre et souffrante. Son éducation l'a cependant endurcit et l'entraîna dans l'optique de manger ou être mangé. À cause de cela, sa façon d'appréhender la mort est différente de celle d'un humain que l'on qualifierais d'ordinaire. Pour lui, celle-ci est normale et totalement naturelle et facilement acceptable. Il reste la plupart du temps impassible et insondable . Pourtant, il souffre en permanence, du plus profond de son être. Sa malédiction, qu'il nomme lui-même « Hel », le ronge de l'intérieur, jusqu'au plus profond des os. Il est sans cesse en conflit avec Hel, même si la méditation l'aide à accepter le monstre. Hel représente les ténèbres, le froid et la haine. Mais en extérieur, Nif sait se montrer aimable, sympathique et intéressant. Il se lie facilement avec les gens, même si les relations qu'il noue ne sont ni amicale, ni belliqueuse. Il cherche en permanence à rester neutre vis-à-vis des gens qu'il côtoie pour éviter tout conflit. Néanmoins, s'il lui arrive d'ouvrir son coeur, ce sera avec puissance qu'il défendra ce lien de toutes ses forces. Sa curiosité est peu- être le seul sentiment qu'il extériorise. Celle-ci fait d'ailleurs partis de ses deux objectifs : Retrouver la dernière survivante de sa famille et explorer le monde

Ma vie à 8 ans
Première partie :
Ma cible était à une distance d'environ deux mètres. Camouflé par un buisson dense, je m'approchais silencieusement, attendant le moment propice. Mon enfance m'ayant forger une âme de chasseur, je connaissais bien l'art de paraître invisible aux yeux de ma proie, a tel point que je troublais jusqu'à mon odeur en me plaçant à l'angle parfait par rapport au souffle du vent. Je maîtrisais la nature ! Un instant d'inattention et tel un éclair s'abattant sur la terre, mon couteau fendit l'air, en découpant au passage la chaire de l'animal qui rendit l'âme avant même de pouvoir se défendre ou s'enfuir. Ce combat était inégal, mais ne pouvais en être autrement, je le savais. Dans ce monde nous étions chasseur ou proie. J'avais choisi ma voie.

Je pris le gibier sur mes épaules, et commença à descendre le kilomètre qui me séparait de chez moi. Durant la descente, je m'aperçu que les hautes herbes que j'avais empruntées précédemment possédait deux jeux de pas. Je n'avais rien remarqué à l'allée, ce qui laissait supposé que la personne qui était passée par là était venu après moi. Ce ne pouvait être ma mère, qui ne quittait plus la petite depuis que celle-ci était malade et ce ne pouvait pas non plus être mon père, celui-ci préférais chasser au plus profond de la forêt. Je déposa ma prise puis m'approcha des hauts fourré. Nous n'étions plus qu'à quelques mètres de chez moi et sans comprendre pourquoi, mon cœur s'accéléra comme s'il se passait quelque chose de grave. Je tournais à l'angle d'un arbre au moment on j'entendis un cri.

« -Aarrrhg. »

Face à moi, un monstre de deux mètres cinquante de haut se battait avec des hommes dont on ne voyait pas le visage, caché par un masque. En un coup de poing, le monstre fit voler deux hommes. Il ne m'en fallut pas plus pour prendre ma décision. Je me retournais et détalla. Je zigzaguais entre les arbres jusqu'à un endroit où je pourrais me sentir en sécurité. Un second cri résonnât dans la clairière, m'arrêtant net. Cette voix était celle de ma mère. Je me retournais pour voler à son secours quand une main se referma sur mon épaule, m'immobilisant dans ma course.

Pris de frayeur, je me retournais pour faire face à mon agresseur. Une vague de soulagement m'engloutis quand je le reconnus. C'était le vieil ermite que j'ai rencontré dans une grotte sous la cascade de l'île. Il se tenait droit, contrairement à la dernière que l'ai vu. Il semblait aussi plus fort et plus inquiet, balayant la zone de son regard, affolé.
« -Suis moi !
-Et mes parents, je ne vais pas les abandonnés !
-Trop tard pour eux, maintenant tais-toi et suis moi ! »
Je n'avais pas d'autre choix que de le suivre, sa poigne étant trop forte. Il m'emmena en direction de la forêt. Nous nous enfoncions de plus plus dans les marais là où la lumière ne rayonne plus. C'était le seul terrain de chasse que mon père m'interdisait. Au bout d'une trentaine de minute de course, nous nous arrêtions dans une clairière sombre et nauséabonde. Nous semblions hors de danger et il pris la parole :
« -Je sais qu'il y a des centaines de questions qui tourbillonnent dans ta tête et que tu aimerais obtenir des réponses. Par manque de temps, je vais t'expliquer ce qui se passe, car tu mérites de savoir. Ensuite, nous reprendrons notre route et je te dirais tout en détail à notre arrivée, d'accord ? »
Je n'avais pas le choix.
« -D'accord ».

"- Tes parents étaient des ninjas, c'est à dire des combattants puissants qui protégeaient leur village et leur pays. Tu connais ton pays ?
- Mizu no kuni ?
- Oui et bien mizu no kuni à un village caché nommé kiri. Dans ce village se cache les ninjas
- Mes parents représentaient donc le village de kiri ?
-Ta mère, oui. Elle était originaire de kiri. Mais elle était ce qu'on appelais une nuke-nin, c'est-à-dire une ninja qui a abandonné son village pour des raisons personnelles.
- Quelle était ses raisons ?
- Elle aimait ton père qui lui était nuke-nin aussi. Elle a abandonné son village pour le rejoindre.-Mais pourquoi mon père était nuke-nin ? "
Le vieil homme pris une pause et me regarda.
"- Sais-tu pourquoi le corps de ton père était presque mort ? Son village à essayer de muter ses gênes pour qu'il puisse capturer des démons très puissant, que l'on nomme bijuu. Et ils ont plus ou moins réussi, sauf que le corps de ton père ne pouvait supporté la greffe et commença à se consumer. Ta mère était une kunoichi, une femme ninja qui aimait profondément ton père, malgré la barrière des villages les séparant. Ils se connaissaient, car comme tu le sais, ton père ne pouvait rester en vie par les voix naturelles. Il avait donc besoin d'une vie artificielle et seule ta mère pour lui fournir celle-ci.
-Comment cela ?
-Ta mère possédait un pouvoir que seule elle pouvait se servir. Et c'était le seul moyen de garder ton père en vie. Si je me souviens, le village d'Iwa payait en information cette alliance.-Mais j'ai hérité des gênes de mon père alors ?-En effet et tes parents devaient te soigner jusqu'à ce que tu réussisse toi-même te servir de cette technique. »
Allais-je mourir ? Juste à cause d'une technique que je ne pouvais encore maîtriser.
« -Mais tes parents avaient prévu cette éventualité, et c'est pour cela que je suis ici avec toi. Mais je dois te dire la chose la plus cruciale. Les gênes dont ton père à hérité sont des gênes aliéné créé par un scientifique nommé orochimaru qui lui ont donnée puissance mais l'ont aussi sombré dans la folie. Selon lui, c'est comme si un démon habitait ton esprit. »
Ce qu'il me racontait était plutôt effroyable. J'entendais des voix depuis tout petit, mais avait toujours trouvé cela normal. Savoir que cela venait d'une expérience sur mes parents me terrifiait. Mais pire encore :
"-Et la petite ? Elle risque de mourir elle aussi !
-La petite ? Tu as une petite soeur ? »
Il n'était pas au courant ? Comment cela était-ce possible ? Mes parents ne l'avaient pas prévenu de cela ? Tout cela devenait de plus en plus compliqué.

Ma vie à onze ans
« - Encore huit cents mètres et tu pourras t'arrêter. »
Mes jambes souffraient le martyr, tous les muscles de mon corps tressaillaient. Mon souffle se faisait rapide et mon cœur battait tellement vite que je ne pouvais compter les battements. Au début de ma course, j'avais distancé la bête de plusieurs kilomètres, mais maintenant je pouvais l'entendre gratter la terre à quelques mètres derrière moi. Je réajustais les poids qui m'enserraient les poignets. Grave erreur, la bête gagna du terrain. Je regardais devant moi et me lança dans un sprint final désespéré. Au moment d'atteindre mon objectif, je m'effondrai, épuisé. La bête me sauta dessus, mais n'eus pas le temps de me faire bien mal. L'ancien la maîtrisa rapidement dans une bulle d'eau géante, ce qui dissuada l'animal de continuer son attaque. Je me relevais, puis posa mon sac de pierre.

« - Pourquoi ne m'apprend tu pas à me battre ? Je comprends l'utilité de la vitesse et de l'endurance, mais si je pouvais faire ce que tu as fait, je n'aurais pas eu besoin de courir. »
L'ancien rigola.
« -Tu n'es qu'un gringalet qui n'a même pas de barbe. Apprend a développer ta puissance physique avant d'essayer de vaincre par les techniques. »
Je n'essayais pas de répondre. Les trois premières années de mon entraînement, je ne me suis entraîné qu'à être plus fort et plus rapide. Des entraînements que j'aurais qualifiés de mortel, même si l'ancien de disais que ce n'était que des broutilles. Tout cela pour que je puisse ressentir mon « chakra », une espèce d'énergie qui circule dans mon corps et qui est censé me donner de la puissance pour utiliser les fameuses « techniques », pouvoir capable de faire des choses impossibles en temps normal. Pour cela, il m'obligea à courir des kilomètres et des kilomètres avec des poids au poignet, à la taille et aux jambes en transportant sur mon dos un sac de pierre ; M'obligeais à me tenir droit sur un poteau, à médité sous une cascade etc ... Et encore, ce n'était pas le pire ! Il voulait que je marche sur un arbre à la verticale, que je marche sur l'eau ou même que je crée un clone, une image identique de moi. Je l'aurais pris pour un fou si je ne l'avais pas vu faire moi-même. Il était sévère, strict, impitoyable, mais après les entraînements il lui arrivait de me complimenter, comme à l'instant :

« - C'est bien, pour une personne n'ayant jamais entendu parler de ninja et de chakra, tu sembles assimiler rapidement ces concepts, je trouve même que tu en as utilisé pour courir plus vite. Tu apprends vite. »
Dans de grands événements de réussite comme celui-ci, nous partions chasser chacun de notre côté puis nous nous réunissions pour festoyer. Moi qui prennai pour habitude de chasser au couteau, l'ancien m'obligeais à utiliser des objets tels que l'étoile dont je ne connaissais pas le nom, mais qui s'appelait « shurikens » ainsi que des couteaux de lancer appelés « kunai ». Je m'habituais assez rapidement à utiliser ces objets pour la chasse en imaginant les utilisé sur d'autres humains. Cela ne me faisait même pas frissonner, c'était dans l'ordre des choses. Après s'être rejoint, nous commencions à discuter :

« - Dis moi, tu était un ninja, non ? Pourquoi vis tu ici, dans ces marais ?
- Je suis un nuke-nin, tout comme tes parents. Je connaissais ta mère, car nous avont tous deux déserter du village à peu près au même moment. Elle était très forte.-Mais pourquoi es-tu partit ?
- Tout comme toi j'avais un but à atteindre et j'aie fait le choix de me séparer de mon village pour mettre toutes mes chances de mon côté pour y arriver
-Et tu à réussi ?
-Tu le saura bien assez tôt, reprenons l'entraînement »

En plus de l'entraînement physique, l'ancien ne négligeais pas mon entraînement mental. Exercice de logique, mathématique et autre énigme, cartographie, histoire des pays et du monde (je compris que ma petite île n'était qu'une miette par rapport au monde). Cet apprentissage fut beaucoup plus plaisant, car contrairement aux exercices physique, ils pouvaient être appris à n'importe quel âge et m'étaient en conséquent plus adaptés. J'ai même appris à apprécier cet instant, car après avoir lutté avec mon corps, mon esprit était beaucoup plus claire et limpide. Savoir que mon île ne représentait même pas un dixième du monde m'avait tellement surpris que j'ai dû apprendre la cartographie par coeur tellement je l'ai lue et relue. Mais même en théorie, je n'apprenais rien des situations de combat. Selon lui, ces choses ne s'apprenaient qu'en combat. Je restais donc patient jusqu'au jour où il m'apprendrait à me battre. À cette époque, les effets des gênes d'orochimaru étaient encore moindre, même s'il m'arrivait parfois de pousser des cris inhumains en pleine nuit et me réveiller en sueur. Mon corps continuait de se dégrader et il devenais urgent que je devienne bon ninja.

Des années passèrent et après de longs entraînements physique, le vieux me dit que j'étais suffisamment entraîné pour apprendre à me servir du chakra. Je devais donc méditer sous une cascade, mais en restait debout sur l'eau et je ne vous ment pas, j'arrivais à tenir sur l'eau sans couler ! Pareil pour les arbres, j'arrivais enfin les grimper verticalement sans m'aider des mains. Il m'appris à me cloner, même si je trouvais le clone peu consistant. Je crois que mes entraînements les plus difficiles fut de faire des clones à base d'eau, car j'avais apparemment des « affinités » au « suiton » c'est-à-dire que j'arrivais mieux à me servir des techniques utilisant de l'eau. La deuxième technique la plus dure fut de faire ce qu'il appelait transmutation. Je devais me substituer à une bûche de bois. « - Si tu t'entraînes tous les jours, tu verras que ta réserve de chakra augmentera et il te faudra faire beaucoup moins d'effort pour réussir ces jutsus ». Et l'entraînement continuait ainsi, encore et encore.


Ma vie à quinze ans

Le jour de mes quinze ans fus le jour on je devins un vrai ninja. Après ma chasse, tandis que je méditais, ce qui soit dit en passant était devenu une habitude, je ressentis un énorme trouble dans mon corps. En effet, les noeuds d'énergies auquel j'étais habitué n'était plus harmoniques du tout, mais bien chaotiques et instable. Ma tête me faisais soudainement mal en j'entendais une litanie se répétant inlassablement :« - Tuer, égorger, trancher, manger, étriper. Tuer, égorger, trancher, manger, étriper. Tuer, égorger, trancher... ». J'avais envie de hurler, mais je ne contrôlais plus mes cordes vocales. À la place d'un cri, j'entendis : « -Tuer, égorger, trancher, manger, étriper ! » L'eau autour de moi créait des ondes, bien que je sois immobile. La haine se déversais dans mon corps et soudain, tout devint noir et blanc. Je n'entendais plus aucun son.Je ne sentais plus aucunes odeurs, ne ressentais plus rien. Le monde tournais comme au ralentit. Seul la litanie perçait encore le silence. Quand j'eus soudainement envie de tuer. La haine pris la place de mes émotions, supprimant toute pensée. J'avais envie de tout déchirer, de tout tuer, égorger, trancher, manger, étriper ! Une énorme pression s'abattit sur mon corps et j'entendis distinctement, au milieu du chant entêtant :
« - REVEILLE TOI ! »
Et tout revint à la normale. Je respirais à nouveau, n'ayant pas remarqué que j'avais retenu mon souffle jusqu'à maintenant. Je manquais de m'étouffer et hoqueta.
« -Que... s'est-il passé ?
-Tu vient de rencontrer ton fameux démon. »
Une douleur me transperçât le bras gauche. Je regardais celui-ci et vis que toute la peau qui se trouvait autour avait disparu. En me touchant les autres partis du corps, je compris que ma peau s'était mise à vieillir à vitesse grand V. Mes cheveux étaient longs, avait blanchit et paraissait cassant comme des brindilles. Je ne ressemblait plus du tout au moi que j'avais été auparavant. Je ne me sentais pas mal, mais quelque chose avait changé. Mon corps était soudain très léger et je me sentais même plus fort.
«-Dis moi l'ancien, tu sais pourquoi je me sens plus fort ?
- Tu viens d'être confronté à une entité plus forte que toi, mais qui se trouve en toi. Tu as dû assimiler les techniques et pouvoir de tes gènes.
-Mais je vais mourir.
-Pas si je t'apprends le jutsu médical de ta mère. Je pense que tu es maintenant capable de le maîtriser. »
Et nous commencions l'entrainement sur place. Pendant plusieurs heures, il me fit répéter les mêmes gestes, les mêmes mouvement à la perfection, jusqu'à ce que la technique fasse son effet. Je recommençai et recommençai, priant pour que cela réussisse et en espérant ne pas mourir bêtement, comme ça, à cause de mon incompétence. Jusqu'au moment où je sentit mon corps se relâcher. Je fermais les yeux, puis plus rien...

A mon réveil, l'ancien était à mes côtés, me regardant fixement «-J'ai échoué, n'est-ce pas.-Non, c'est une réussite, mais tu as dû utiliser plus de chakra que tu ne pouvais en supporter.»Je regardais mes mains, qui n'avaient pas changé, tout comme mon bras qui n'avait pas non plus repris sa peau.«-Tu ne pourra pas non plus régénéré les cellules déjà mortes, seulement te sauver de la mort.»Ce n'était qu'un détail. Je n'avais pas besoin de cellules mortes pour devenir puissant.«-Apprend moi tout ce que tu sais, maintenant.»

Ma vie à dix-huit ans, la ou tout commence :
Me voilà arrivé à Iwa. Beaucoup de choses se sont passée depuis mon départ. J'ai appris de nombreuses techniques, je suis devenu plus fort et ai appris à manipuler une nouvelle forme d'élément : les ténèbres. [Hrp : la suite sera postée dans un flash-back]

Aucune information n'a encore été transmise sur les deux nuke-nin