Le samouraï de l'éternel.

Rang S

Le samouraï de l’éternel.

Musique d'ambiance (fortement conseiller).

Spoiler:

Cela faisait à présent des semaines que Soufuku Nitobe, jeune homme de vingt et un ans et samouraï, ayant au préalable intégré le village de Suna, dans le monde Shinobi, ont le classé comme un ninja de seconde classe, autrement dit un chuunin, il venait fraîchement de réussir l'examen de la session énoncé précédemment qui s'était déroulé à Kiri no Kuni, le Village de la Brume dans le Pays des Vagues. Il venait de sortir des prisons de Konoha, il avait avait gagner ce petit tour en calèche, grâce à une mission proféré par les hautes instances de son village respectif. Dans ces lieux, il avait été guidé par une sorte de force qu'il qualifiait de mystique, un vieil homme aperçu dans son subconscient, lors de ses séances de méditations. Enfin, il voulait aussi se rendre et surtout se rendre au Pays du Fer, pour y effectuer une sorte de pèlerinage, l'homme qui venait de perdre sa famille souhaitait, avant tout connaître les lieux d'où celle-ci était originaire, mais la quête personnelle, se transformant surtout en quête vengeresse, il avait se ressentit que la disparition de ses proches et que Tetsu no Sato étaient forcément lié, et il se fiait souvent à son instant qui l'avait jusque là rarement trompé.

Il neigeait, chose commune, les conditions aux frontière de se pays, étaient hostiles nombreux ont tentés l'aventure, beaucoup sont mort en route ou ont dues faire, sens retour, aux vus des conditions météorologiques. Sabre à la hanche gauche pour pouvoir le dégainer aisément de sa main droite en cas de danger. Vous savez sur les routes, on ne sait pas à quoi s'attendre, tomber sur des personnes qui pour votre bagages seraient prêtes à vous ôter la vie. La vie, hum, chose bien métaphorique, que dis-je ?! Philosophique, se baladant sous la rythmiques prononcé du vents qui balayait les cheveux blancs aux reflets azur du bel homme, il savait pertinemment qu'une fois ces obstacles d'un blanc pure et poudreux, la route en elle même deviendrait alors plus facile. Il s'accrocha, emmitouflés sous plusieurs couches de tissus, à son objectifs premier qui consistait, à arriver à destination en vie. Après de bonnes heures de marches, après avoir l’impression que ses pieds étaient dépourvus d'orteil, il arriva alors vers un endroit doté d'un paysage très riche et fabuleux. En effet ravissant, mélange entre vastes forêts et architectures anciennes, il était au seuil du pays du fer l'endroit où vivait les samouraïs. Avant d'arriver dans la ville principale où se trouvait sans doutes les réponses aux questions qu'il se posait il passa par divers petits villages de campagnes.

Au claire de lune, cherchant un endroit où il pourrait se reposer, il tomba nez à nez devant une auberge, entrant dans un lieux a forte convivialité, il allait sans doutes en apprendre plus sur des terres qui auraient du lui être familières. Enfin il se hâta d'entrer, et de s'assoir à une table, la faim et la soif le rongeait, depuis maintenant plusieurs heures, et c'est une chance pour lui après sa longue traversé, de ne pas avoir succombé a la fatigue. Reposant c'était le cas de le dire, l'endroit dégageait une chaleur bienfaisante, qui avait le don d’apaiser le samouraï, ici, il n'était d'après ce qu'il eu le temps d’observer pas le seul à manier l'épée, certains étaient regroupés et nombreux, d'autres était comme ces deux hommes qu'il avait aperçu en entrant assis, seul à une table, l'endroit possédait comme agencement cette particularité d'avoir des tables pour personnes seules, situées aux quatre points cardinaux. D'une structure carrée, l'épicentre de la salle regroupait les tables dites de couples. Une table était vide, Soufuku et les deux autres solitaires étaient assis à leurs tables respectif c'est alors, que la serveuses, fit son apparition...

Vêtu d'un kimono rose, portant des tongues à talons. Les cheveux brins tenus en chignon par des baguettes, les yeux noisettes, elle était jolies, enfin d'après les critère du samouraï, elle passait de table en table, manquant de faire tomber quelques plateaux, faisant des aller retour en cuisines. Elle s’attarda sur la commandes des trois personnages masculins cités plus haut, le premier Soufuku commanda du thé et des brochettes de dango ces petites boules confites et caramélisés. Le second portant des lunettes l'air calme, un kimono bleu brodée de losanges, les cheveux longs noir et en queue de cheval, du thé, le troisièmes, ayant en guise de chevelure une épaisse touf hirsute et mal-peignée, une veste rouge et un t-shirt entrouvert en V, lui simplement des dangos. elle apporta les repas aux trois hommes qui commencèrent à déguster avec enthousiasme ce qui se trouvait dans leurs assiettes et dans leurs verres respectifs.

Quelques minutes plus tard, la serveuse, fit malheureusement tomber une tasse de thé brulante sur l'un des hommes qui était accompagné, par ce qui aurait sembler être à première vue ses amis. Le gars, ébouillanté, hurla de colère plus que de douleurs, c'était en effet pour lui un affront de grande taille, et ne supportait certainement pas que sa petite personne soit humilié de la sorte en publique. Lui et ses hommes commencèrent alors à brutaliser la petite, chose qui ne dura pas longtemps car l'homme à lunette se leva dégaina son sabre et se hâta pour stopper cette scène quelque peut gênante pour la serveuse. Le second à l'air déjanté, les yeux écarquillés, semblait se réjouir de se trouver devant une personne aussi forte, il dégaina sans plus attendre lui aussi son katana qui se trouvait dans son dos, c'est ensuite que se déroula un combat entre les deux hommes.

Quelques coups d'épées plus tard, des tasses volantes que Soufuku évita de justesse à chaque fois qu'elles se dirigeait en direction de sa tête, tout en buvant le succulent thé concocté a l'avance. les deux hommes qui avaient sous la férocités de leurs coups fait fuir les lascars, provoquèrent un incendie lorsque la lampe qui contenait une bougie se retrouva brisée sur le sol. Combiné à l'huile le feu prit vite, et toutes les personnes se trouvant dans l'auberge, furent obliger de sortir derechef. Plus tard, au beau milieu de la nuit devant les décombres provoquées par la catastrophe, la jeune serveuse, constatait les dégâts. Les deux autres se trouvant non loin allaient poursuivre leur combat, observant la trame des chose en silence Soufuku qui avait aux préalable emporté sa tasse de thé qu'il avait soigneusement payé avec ses économie restait là pour voir si les choses, allaient dégénérer. C'est alors que lorsqu'ils allaient en finir, la jeune fille d'une très grande beauté, intervint en les séparant comme elle le pouvait, après un bref échange, les trois protagonistes, ayant chacun leurs humeurs respectives se dirigèrent en direction de Soufuku. La serveuse lui apprit, que lui aussi était fautif, car en dépit qu'il portait un katana il aurait très bien put arrêter le combats des deux autres, et que les trois samouraïs pour payer leurs dettes, allaient devoir l'accompagner dan sa quête, elle cherchait en effet depuis de longues année un samouraï qui d'après elle, sentait le tournesol. Stupéfait Soufuku regarda l'homme à lunettes, qui comprit ou le samouraï voulait en venir. Le tournesol, c'est grande fleurs jaunes, ne possède pas d'odeur, il serait donc stupide de chercher un tel être. Enfin le deuxième lui fit mine de ne pas comprendre, ou bien peut être qu'il n'avait pas vraiment comprit... Lorsque la serveuse apprit à Soufuku, que l'homme se trouvait dans la ville principale de Tetsu no Kuni, lui accepta la proposition, le retournement de veste laissa les deux autres sans voix... Après tout Soufuku se justifia, en affirmant vouloir se rendre dans le même endroit qu'eux, et puis plus on est de fous et plus ont rient. C'est ainsi qu'il fit la connaissance de Fuu, Jin et Mugen, et que les quatre personnages partirent en direction de cette ville chacun avec leurs objectifs respectifs, mais faisant routes ensemble, pour pouvoir les atteindre.

Rang S

Le samouraï de L'éternel (Part Two).

Opening.

Spoiler:

Ils marchèrent en groupe de quatre, depuis plus de cinq jours passant, de villages en villages, la campagne de Testu no kuni, était une étape, obligatoire avant d’arriver à la ville principale, la où vivait le chef du pays ainsi que les soldats et quelques milliers de civils. Trois garçon escortant une fille, la petite troupes était majoritairement composée de membres ayant vécus sur ces terres, le quatrième lui était un samouraï venant du pays du feu, ayant par la suite rejoins Kaze no Sato, et le village de Suna gakure. Enfin Fuu, Jin, Mugen et Soufuku, durent aussi, lutter contre la faim, bien que le samouraï avait fait des économies, grâce aux deux mission qu'il avait réussies pour son village ninja. Aujourd'hui il était à sec, et ne possédait plus un sous, il avait d’ailleurs tout dépenser, dans restaurant et auberges... Pas très économe, il était plus doué pour les combats. Les deux autres voyageaient et mangeaient à l’œil, la petite, elle n'avait pas jusqu'à présent due se soucier de ce point de vue là, vus qu'elle travaillait dans l'auberge tenus par son oncle et sa tante. Ils avaient auparavant pour se nourrir, fait diverse chose farfelues, comme par exemple ce jours où ils participèrent à un concours du plus gros mangeur, pour pourvoir y participer, Fuu à l'insu de ses compagnons de routes avaient fait prêter les sabres des trois hommes sûr gage. Mode d'inscription à ce fameux concours. Ils mangèrent jusqu'à en tomber de fatigues, les un après les autres les trois hommes abandonnèrent... Il n'y avait plus d'espoir pour récupérer leurs biens, c'est alors que des deux candidats encore en lice, cachée par une montagne de bol ayant contenu du riz et quelques mets cuisinés sur les lieux par un chefs cuisinier, se trouvait à la surprise de tous... Fuu ! ! elle, avait-elle un trou noir à la place de l'estomac ? ! ! Elle Gagna après une lutte acharnée, le droit de récupérer les Objets de valeurs qu'elle avait confiée. Ils avaient aussi fait quelques spectacles de rues, l'adresse aux sabre de Jin, les mouvement acrobatique de Mugen combinés aux danses de Fuu, avaient amenés, un fond de monnaie qui n'était certes pas faramineux mais qui leurs avait permit de manger quelques repas. Enfin après quelques nuits à la belle étoile, les quatre compagnons arrivèrent, dans un petit village, un peu plus grand que les autres, mais cependant, plus petit, comparé aux grandes agglomérations.

Ici, ils avaient eu à faire, à un groupe de brigands, qui souhaitait enrôler la jeune femme, dans un bordel, pour en faire une esclave sexuelle, Mugen et Jin se chargèrent de la défendre pendant que Soufuku, lui cherchait quelques vivres à se mettre sous la dent. A la vue du combat, les deux styles si différent des deux épéistes se mariaient pourtant très bien, dos à dos, devant une dizaine d'homme, il ne leur fallut que de quelques coups de katana pour mettre fin a la zizanie fraichement provoquée. C'est alors que celui qui avait les cheveux en batailles, Mugen, avait reproché à Soufuku de ne jamais se mêler au combat, bien évidement, Soufuku ne répondit pas aux provocations du premier cité. Il ne voulait en aucun cas montrer ses techniques à autrui et même à un compagnons, qu'il ne connaissait d'ailleurs pas si bien que ça. Enfin après ces petites chamailleries, ils avancèrent vers ce lieux, tant désiré. Rassemblant des informations sur ce samouraï qui devait avoir la même odeur que les tournesols, pour ne pas oublier ce pourquoi Fuu les avaient rassemblées. Après une journée bien tumultueuse adoucie, par une nuit très calme ils arrivèrent devant l'avant derniers village avant la grande ville de Testu no Sato. Une nouvelle mésaventure les guettait, En effet, Ici, il tombèrent face à des personnes qui contrôlaient la ville, de part leurs activités malsaines, déguisés sous des paris d'argents, ils avaient obligés chaque passant à payer une taxe d'entrée, et chaque commerçant lui, devait payer une taxe de protections. Halala, le crime organisé, si personne ne lutte contre une telle chose, elle finira par gangréner notre monde, pour le faire pourrir de l'intérieure... Les quatre comparses, comme vous l'auriez devinés, ne payèrent pas l'impôt qui leurs étaient attribués. C'est alors que vint le début des ennuis, les malfrats en guise de rançon avaient enlevé Fuu, c'est alors que Soufuku lui disparut, partit enquêter de son coté, c'était encore au tour de Mugen et Jin de jouer aux héros, et la situation avait le don d'exaspéré le premier. Ils combattaient des ennemis sortants de toutes parts, Séparer pour pouvoir les avoir plus rapidement Mugen fut le premier à déclencher ce qui allait s’avérer être une grande correction pour ne pas dire grande gifles dans la figure de ceux qui se pensaient au dessus de tout.

Son style de combat bien particulier, mélange détonnant de figure acrobatiques : tournant sur son dos, au sol pour esquiver les coups, se mouvent de pas latéraux, il n'avait pas encore sortit l'épée et de vivacité : il était rapide, très rapide, c'était comme un jeux pour lui, souriant tout de même devant le peut d'action qu'il avait à se mettre sous la dent. On ne pouvait l'atteindre et même si l'ennemi se trouvait dans son dos, à croire qu'il avait des yeux à l'arrière du crane ! Enfin il sortit son sabre, pour ne plus faire durer le suspense. Il trancha deux bras, Si rapidement, que l'ennemie mit un certains temps pour réaliser qu'il venait d'être, démembré... Il hurla de douleurs se tortillant sur le sol, tel un poisson sortit trop longtemps de sa marre. Mugen rengainant, souhaitant apporté de l'aide à Jin, qui lui fit signe de ne pas intervenir de la tête, il ne comptait pas lui laisser la vedette, non, bien au contraire. Lui, avait un style de combat bien plus classique en position de garde, la main sur le manche de son katana, Il évita les première attaques aisément, il avait cette manière de ne rien exprimer sur son visage, agile tel une feuille tombant d'un arbre, ses cheveux, frôlant les pointes des sabres ennemis à chaque esquives, il n’eut besoin que de deux coups pour mettre fin à tout ce vacarme. C'est alors que apparut le chefs de c'est bandits, Il tenait en otage, la jeune fille, accompagné de deux hommes, il souriait, essayant de marchander, de l'argent ou les services des bretteurs contre la vie de leur jeune amie. Devant un tel dilemme, il semblait que les deux guerriers mirent du temps à réfléchir, regardant soudainement ce qui pouvait bien faire de l'ombre au soleil, il constatèrent qu'une silhouette était en approche, hélas, à cause de l'effet de contre jours, ils ne pouvaient distingués précisément ce que cela ou celui pouvait être.

C'était entre autre Soufuku, le quatrième membre de la petite bande qui surgit de nul part, Mugen affichant son étonnement par une expression très étrange sur son visage, Jin lui pas très expressif semblait plus qu'attentif à la suite des événement. Dans un style, sobre et gracieux bien à lui, sans user de sa lame le samouraï de divers manchette, élimina les hommes de mains du bougre, il attaqua ensuite le chef de ceux qui avait fait de Fuu leur prisonnière. Il évita un coups de poing et se servant de son fourreau tapa le bras de son opposant qui lâcha Fuu, elle tombait, alors dans le vide, car oui les malfrats se trouvaient en hauteurs par rapports à nos héros du moment. Il se servit ensuite du manche de son sabre en conclusion d'un mouvement d'une grande agilité pour assener un coups au menton de son adversaire qui fut mis K.O directement. Sautant dans le vide, il réceptionna la jeune femme, atterrit et alla retrouver ses amis, la foule ayant assistée à la scène ne pouvait que s'exulter devant tel démonstration de justice. La jeune fille regardait son sauveur avec des yeux émerveillés, lui se sentit quelque peu gêner. Mugen ne pouvant pas y croire, félicita le jeune, disant qu'il pensait qu'il ne savait pas combattre rigolant alors, comme un ami de longue date. Jin, fidèle à lui même regardait Soufuku, avec un air, mélangeant intrigue et méfiance. Il quittèrent alors le village ayant chassé le mal qui l'occupait se dirigeant vert la dernière ville avant la capitale...

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Listen.

Spoiler:

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Ils étaient arrivé sur des lieux, en festivité, toutes les femmes était vêtu, de kimono traditionnelle, Fuu, ne dérogea pas à la règle, elle avait réussit nous ne savons comment à obtenir un kimono dit yukata, elle était d'une beauté troublante. Visitant les lieux les quatre, ne s'était pas séparer, Jin lui mangeait des dangos, Mugen, s’excitait à l'idée de s'essayer à la pêche la ligne Soufuku lui restait, à observer des choses qu'il n'avait vus ailleurs, c'était pour lui nouveau, et pour une fois, pouvait voir, ce que sa grand mère lui racontait lorsqu'il était plus jeunes de ses propres yeux, des lanternes rouges, des guirlandes de papier, des cracheurs de feu, tient ils n'usèrent pas de katon ou je ne sais quoi ! Il crachaient simplement des flammes grâce à une technique lié à de l'essence, cela s’apparentant plus aux art du cirques et du spectacles que du ninjutsu, était tout aussi remarquable. Mugen, avait dans l'idée de faire des groupes de deux, pour rester seul avec Fuu, peut être qu'il était charmé par la jeune femme, ou peut être qu'il était aussi inspiré par les nombreux couples qu'il avait aperçu en marchant. Un groupe de musicien typique au pays se mit à jouer, Fuu elle en était tout excité, elle criait de sa douce voix :

- C'est Jun Sabe du clan Nujabes ![/color]

Nujaquoi, Soufuku, en bon etrangé, ne comprenait rien à ce qu'elle disait, Jin lui haussait les péaules, Mugen fit mine de comprendre et essaya d'enclencher un sujet de conversation... Lorsqu'elle partit se mêler à la foule, Soufku regarda Mugen d'un air interrogateurs, lui rigolant dit alors :

- Je ne sais pas de qui elle parle.

Il semblait fiers du jeux de mots puérile et enfantin sortit de sa bouche, le temps aux hommes de réaliser ce qu'il se passait, Fuu revint par, elle saisit le jeune Nitobe, par la main souriant, elle partit avec lui, qui rougissait devant la scène. Mugen dépité, regardait Jin qui pour la première fois du voyage et cela depuis leur rencontre pris la parole :

- Elle a choisit.

Ce fut bref, mais en quelque sorte, il n'avait pas tort, Mugen lui eu alors un plan plus comique que machiavélique, il saisit Jin par le bras et se hâta à la poursuite des deux autres, Jin qui de son visage exprimait un désaccord avec le principe de prendre ses compagnons dans une filature plus que débile, était contraint à suivre son acolyte. Fuu et Soufuku eux, étaient seulent, ils se baladaient, au grès des sonorités et petits spectacles montés à l’occasion. Les deux autres en filature, se planquait derrières des caisse de bois, Mugen plus excité que jamais, observait les événements avec attention. Il prit alors la parole en s’adressant a Jin embarqué dans cette situation rocambolesque mal-grès lui :

- C'est terrible ! C'est affreux ! Il se moque de nous ! Soufuku arrive et je deviens un pauvre pouilleux ! elle nous jettes tous les deux !

Jin était plus qu'amusé qu'autre chose, il avait compris depuis tout ce temps que Soufku sans doutes plaisait à Fuu et que Fuu, elle, plaisait à Mugen, enfin il ne disait pas grand choses, et était très observateur, d'ailleurs il retint Mugen par la manche de sa veste lorsque Soufuku, se retourna se sentant sans doute épié.
Pour Soufuku c'était étrange, bien qu'avec le temps il avait côtoyé la gente féminine, c'était la première ois qu'il avait une sorte de rencart, et sa mère défunte à l'heure actuel ne pourrait malheureusement se réjouir d'une telle chose qu'elle désirait temps. En regardant la fille qui l'accompagnait, il était quelque peut nié et souriant. Ils était seul, se regardant l'un et l'autre à tour de rôle fuyant le regard de chacun, souriant bêtement. Fuu eu alors l'idée de faire un tour en barque, elle disait qu'ici lors de ce festival nocturne, il paraissait que les lucioles se réunissaient autour du lac. Et qu'elle voulait absolument profiter d'être dans les parage pour assister à la scène.

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Thème musicale.

Spoiler:

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Assis côte à côte, les deux êtres, se regardait les yeux dans les yeux, le crépuscule, présent à la fête, laissa place aux lumières des lanterne qui guidait, les petites embarcations faites de bois. Charmeuse elle regardait l'homme quelque peut gêner. Petit à petit les lucioles firent leurs apparition, les lumières qu'elle procurèrent avec la nuit étaient fabuleuse, un moment plein de romance, de douceur et de tendresse. elle était si belle, à chaque regard, Soufuku ne comprenait pas, comment il pouvait être apaisé à chaque moment passé en la présence de la jeune femme. était-ce là le syndrome de l'amour dont son père lui avait parler ? Ou simplement le fait d'aimer l'une des choses les plus fabuleuse à en croire sa mère. Fuu se dirigea au bort de la barque. Soufuku eu peur qu'elle ne tombe ! Et en essayant de se lever fit presque chavirer l'embarcation. A mes quel maladroit, voilà comment tout faire foirer. Il aurait du prendre des leçon... Mais bon, son mentor à Suna n'était certainement pas une tête, en cette matière. Éclaboussé Fuu se retourna et regarda une nouvelle fois le samouraï, et dites moi qui aurait put résister à ce regard ?

Assistant à l'un des plus beaux spectacles auxquels il n'aurait put assister au cour de sa vie, Soufuku finit par poser sa main sur celle de la jeune Fuu, il échangèrent alors un regard, et comme entrainer par les force cosmique, ils échangèrent un long et langoureux baisé.

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Ending.

Spoiler:

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Après une longue nuit de fête, les quatre comparses avaient repris leurs routes, les deux tourtereaux, cachaient en quelque sortes leurs relation, récentes à leurs deux amis, Mugen, lui n'étais pas jaloux, Jin, faisant comme si de rien n'était. Il arrivèrent alors à la capitale de Tetsu no Sato, Soufuku qui avait, lors d'une discussion générale expliqué à ses nouveaux amis ses objectifs qui étaient différents des leurs, qu'il les quitteraient une fois arrivé à destination. C'était donc le moment de se séparer pour notre groupe de quatre. Devant le levé de soleil il était sur une colline surplombant la ville, Soufuku prit alors la parole :

- A partir de maintenant je vais devoir agir seul, j'ai de personnes à rencontrer, je suis fiers d'avoir partagé ce bout de chemin avec vous, et si jamais je trouve ce que vous m'avez demandés, je me débrouillerai pour qu'il soit guidé vers votre route. Fuu le samouraï que tu recherches fais attention, on ne sait pas sur qui est ce que tu pourras tomber. Mugen et Jin m'ont affirmés qu'il resteraient avec toi. Tu es en sécurité mais tout de même... Enfin je tenait a vous dire merci et puis, nos chemins se recroiseront bientôt.

RP D'introduction à Tetsu no Sato : Fin.

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