Jade Hyo ~ Présentation

Hyo

Jade

In Rp...

• Âge : 17 ans
• Nom : Hyo
• Prénom : Jade
• Sexe : Femme
• Nindo : " Le passé construit un présent et esquisse nos futurs "
• Village : Konoha
• Clan : Hyo
• Grade : Anbu selon le bon vouloir des administrateurs.
• Bingo-Book (Remplacer https://sns-rp.forumgratuit.org/URL_DE_VOTRE_BINGO_BOOK par l'adresse de votre Bingo-Book. Puis supprimer ce message.)

On n'oublie pas un visage...

Beauté :  illusion que créé un œil amoureux.

Le reflet d'un miroir est impersonnel, une surface impartiale où le monde vit sans couleurs vives, sans courbes adoucies. Il donne à voir une façade, une impression, un goût de vérité que rien ne pourrait venir masquer. Le fade de l'objet sans chaleur, laisse deviner un air interrogateur. Avec son pli aux jointures des lèvres, ses creux sur le front, sa bosse entre les sourcils. Les globes oculaires se plissent, aussi, faisant trembler de l’ombrée noire sur des pommettes.  Une main passe dans des cheveux, comme pour en capturer l'essence. Leurs boucles brunes vaporeuses coulent entre les doigts, chatouillent les jointures. Les pointes en sont, un peu rêches, un peu terne. Une mèche est coincée derrière une oreille ronde et glabre dont le lobe est rehaussé par deux perles noires.
Un tendon pointe alors sous la peau fine, parsemée de taches de rousseur, elle trace un chemin jusqu’au cou, aux muscles des épaules – une cicatrice en demi-lune s'efface dans le croisement d’une clavicule-.
Les rebords du miroir.
Il se perd.
Alors, on observe un visage, encore, on se surprend de la douceur de lèvres pleines, en cœur. On glisse l’arc d’un ongle sous la pointe du nez, mesquin. On palpe les joues généreuses. On s’indigne, surtout, de ces taches de rousseur, qui s’imposent, partout. On vacille, du menton aux paupières, de la lisière tempes au doigt d’ange, qui a un si joli nom. On suspend notre danse. On s’éloigne.
On cherche une vue d’ensemble.
On note, dans un ordre calculé, du général au détail : un crâne en ovale un peu court, une mâchoire discrète où s’emboite un front plat. Un museau enfantin, une bouche tout aussi jeune,  deux yeux en amande, verts, bruns …  Au-dessus de la pupille droite, par-delà la paupière, deux grains de beauté comme un piercing en croisillon.
On connaît ce visage.
On l’oublie.
 

Dans les méandres de mes pensées...

C’est une vague sans consistance.
Elle détruit tout, sur son passage. Les souvenirs, les rires, les sourires, les soupirs, les secrets, les promesses, les détresses, l’allégresse. Dans un tourbillon qui pince le cœur, qui fait battre les nerfs, là-haut ; un tourbillon qui s’endort aussi soudainement que s’éveille le vacarme qu’il met au monde.
Il laisse orphelin, mille objectifs qu’ont barrés d’un trait noir et gras – aller chercher le pain, passer voir la voisine, arroser les plantes fait s’oublier mille choses importantes qui font pulser la vie, au poignet, dans le creux du cou – dormir, manger, dormir, manger-.
Alors, quand sa tempête laisse en paix les côtes fragiles et ciselées de son esprit, la Gamine s’effondre, le sol vient mordre son corps assassin. Aucune surface, aucun bras secourant ne fait cesser la chute de sa psyché.
Elle fait, ce qu’on lui demande. Tuer. Rédiger son rapport. Tuer. Rester en vie.
Seulement, la Gamine n’a pas d’âme.
Elle a nommé ces périodes mortes ses «  indispositions ». Elle a même mis au point un petit calendrier, avec un code couleur. Rouge, colère fugace. Bleu, Crise de larmes. Vert, nausée. Orange, consommation déraisonnable de substances illicites. Turquoise, fous rires incontrôlés suivis, ou non, d’appétit sexuel immoral. Blanc, mutilation.
La Gamine s’organise.
Lorsqu’une « indisposition » se profile à l’horizon, elle se prépare, elle s’allonge dans son lit, avec son verre d’eau, son aspirine ; elle attend.
Le sujet d’une « indisposition » est très variable : son enfance, ses parents, morts, sa mère, alcoolique, son père, ninja minable et désavoué. Son petit frère Kumoto, disparu, personne ne s’en souciait vraiment.
Le moral de la Gamine n’est pas au plus haut.
Les missions agissent comme un baume sur ses blessures. Rang A, cinq à six jours de répit ; Rang S, une à deux semaines, Assassinat, un mois.
Konoha.
Oui. Pour sa santé mentale, elle défendra son village ; jusqu'au  dernier halètement.

Jamais je n'oublierai...

Histoire en 20 lignes minimum de préférence divisées en grandes parties (ou chapitres)

Mon clan, mon honneur

Soshio Hyo ( fondateur ) Mikuzi Hyo Aburname Hyo Numa Hyo Tunaru Hyo Susake Hyo Shikaya Hyo Maru Hyo Kamati Hyo Kumoto Hyo Djin Hyo Kayata HyoJade Hyo
"Une famille prisonnière de la glace de la pierre, dans la nuit la pluie glisse, sur leurs noms de poussières. Une bête hulule, ses secrets aux étoiles. L'honneur du clan, gravé dans ton cœur, aspire ton malheur, tes peurs, tes faiblesses. Depuis l'aube des temps, le chasseur traque la proie; elle en apprend la vie, la mort, le fleuve chemin qui serpentera jusqu'à la fin du conte. La proie est ton guide, dans ses vicaires retranscrit sont tes années d'errance à fuir la souffrance. Hyo, tu es panthère coupe-lame, tu es le vent, le feu, tu plies sans jamais rompre. Tu es l'ombre, si forte, si jeune, qui dévore la lumière d'un monde qui s'affronte. Hyo, tu es panthère, solitaire, à toi seul va ton foie. Crois en toi, les ancêtres, dans tes pas sauvages s'impriment en éclats d'avenirs utopies. " Extrait du journal de Soshio Hyo, fondateur du clan.

Les origines du clan Hyo sont troubles; on suppose qu'au commencement, les hommes et femmes composant la branche principale n'étaient q'une tribu de chasseurs barbares. Les grottes humides, les buissons touffus, les arbres centenaires à l'écorce creuse étaient leurs domaines; ils vivaient reclus du monde Shinobi, sans pour autant en ignorer la puissance. Soshio fut le premier homme à porter le titre de panthère ( Hyo), il pris la décision de s'établir aux frontières de Kiri.
Les années filant aussi vite que le soleil se couche, le clan finit par conquérir une certaine notoriété auprès des ninjas du pays. On vantait la qualité du gibier des Hyo et leur talent de traqueurs. Il ne fallut pas longtemps pour que le vieux Soshio, sage et calculateur, concède à se lier au village ninja. Ainsi, chaque enfant Hyo suivait un cursus habituel au sein l'Académie Ninja avant d'intégrer une équipe de Génin. Ce système perdura de longues années offrant aux Panthères une réputation d'Oi-nin redoutables et de stratèges infatigables.

Le déclin du clan fut sanglant; la Quatrième guerre Ninja eut raison de la férocité de ses membres...

Seuls survivants d'une ère glorieuse et prospère, Djinn et Hayata Hyo, deux bâtards sans le sou et incestueux.

Vie

Privée