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 Songe d'une nuit d'été.

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Soufuku Nitobe
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Soufuku Nitobe
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MessageSujet: Songe d'une nuit d'été.   Songe d'une nuit d'été. EmptyMar 18 Mar - 13:13

Songe d'une nuit d'été.


Thèmes.

Spoiler:


Il faisait chaud,  on pouvait entendre le vent brûlant lacérer de ses rafales le village du sable. La lune elle était énorme, éclairant les rues de Suna. Chaque foyé s'éteignant peut à peut laissant place à la pénombre et au mure mure. Le soleil avait disparut depuis fort longtemps laissant à dame la nuit enveloppé de son doux manteau de velours parsemée de paillette, le monde et ses habitants. Ici par là, quelques veilleurs, quelques hommes de mains, quelques comploteur et quelques démunis. Quelques fêtard, quelque roublard. Cela changeait à l'abondance de personne qui occupait généralement la ville. Ici là plus un rat. Plus un chat. Une nuit chaleureuse dans une région au climat aride. Une nuit de tourment. Celui qui avait osé. Celui qui était marqué. Celui qui avait ramené l'espoir pour certain mais qui n'était aussi important qu'un vulgaire insecte pour d'autre... Se réveilla en sursaut. Dans là minuscule pièce qui lui servait de chambre, sous ses drap blanc et soyeux, le torse apparent assis les mains crispé sur sa couette, la cage thoracique grossissant et redevenant normale sous le rythme effréné de sa respiration haletante. Observant la pièce, regardant de droite à gauche la sueur dégoulinante sur sa peau, la chair de poule faisant dressé le moindre poile. Les cheveux plaqué par l'humidité dés-odorante qui se dégageait par les pores de sa peau, il venait de se réveiller en sursaut, il avait l'air craintif chose qu'il n'avait quasiment jamais montré. Il venait de connaître une grande frayeur. On dit souvent que lorsque l'on ôte la vie d'un homme celle-ci nous marque à jamais. Il se leva ouvrit l'eau  qui tel un serpent malicieux sortant d'un panier sous le son de la flûte d'un fakir coulait depuis le  robinet. Il s'en jeta sur le visage. La sensation d'apaisement de ne plus être souillé par cette vision d’horreurs le calma un peut plus soulagé il s'assit, alluma une petite lampe qui éclairait  légèrement un coin de la pièce saisit un livre et se mit à lire. Oui c'était une distraction pour lui de même usage que la calligraphie ou l'écriture. Plus le temps passait plus il aimait ça lire était devenus pour lui un passe temps qui occupait ses journées où comme dans le cas présent ses nuits lorsque le marchand de sable, ne souhaitait pas lui donner de son temps tandis que, Morphée ne l'acceptait point dans ses bras. Les pages jaunes cornées par les âges, la couvertures en cuire reliés vieillissante, l'ouvrage qui se tenait aux creux de ses mains était un recueille d'histoire qui mélangeait mythes et récits historiques. On disait que plusieurs hommes y laissaient au files des ans leurs empruntes en écrivant soit un fait qui s'était avéré réel ou soit une histoire que l'on leur avait contée dans leurs enfance.


Le samouraï des sables se souvenait de la première fois où il fut la connaissance de ce livre. Faire connaissance d'un livre une expression étrange n'est ce pas ? C'est simple lorsque l'on lit un livre, on parcours son intérieur découvrant l'encre qui parcourent peut à peut les pages on y pénètre son intimité on apprend donc à le connaître pour ensuite noué une relation spéciale avec. IL est dit qu'un livre possède une âme et que c'est pour cela que certain nous marques à jamais, que c'est pour cela qu'en effet les écrits perdurent aux files des temps et qu'ils traversent l'histoire. Donc oui l’homme beaucoup plus jeunes à cette époque, regardait attentivement celle qui l'avait mis au monde, celle qui d'un dernière effort lui fit découvrir ce monde aussi dégouttant et merveilleux pouvait-il être.  Elle était élégante comme à son habitude, elle lisait comme à son habitude aussi. Un livre qui allait sans doute marqué l'esprit du bambin au cheveux blanc reflet azur comme l'océan.  Il avait demandé à sa mère pourquoi se livre et elle lui dit qu'elle l'aimait car ce qu'il contenait et se qu'il représentait pour elle était un véritable trésors. Il avait appartenut avant cela à sa mère qui lui avait laissé. Et emplie de curiosité le jeune enfant voulait alors savoir ce qu'il y était écrit c'est tout naturellement que sa mère lui appris l'art de la lecture. Voilà pourquoi pour Soufuku ce livre était si particulier il représentait pour lui un moment qui le réchauffait et le réconfortait et à vrais dire après une telle frayeur nocturne il en avait bien besoin. Dévorant les paragraphes, parcourant les chapitres comme un coureur en plein marathon il était arrivé à une histoire qu'il adorait particulièrement. Celle de deux être amoureux qui par leurs différence durent se tuer, se rapprochant quelques peut du complexe d’œdipe, enfin l'explication de cet amours impossible était plus proche du complexe cité que d' autre chose. IL arrivait après une bonne quinzaine de minutes à son passage préféré.


''Ô dieux tout puissant pourquoi nous imposer un tel châtiment, pourquoi le monde en lui même est-il sombre, a quoi bon vivre ? Si nous ne pouvons goûter l'essence de l'amour ? Je n'ai guère fait le choix d'exister, ivre de solitude. Je préfère quitter ce monde et dans mon second voyage pouvoir goûter à l’ectasie de l'amour et aux joie qu'elle procure...'' Une tragédie qui parlait de l'amour le livre en était remplie c'est avec cette histoire qu'il apprit à lire c'est avec qu'elle qu'il se clamait. Il pensait alors à la cinquième femme qui avait marquée sa vie.  Celle qu'il avait rencontré au pays du fer, celle qui gagné son amour. Oui il s'agissait de Fuu cette jeune femme aux cheveux châtains clair, vêtu d'un kimono rose et aux regard si enfantin, sa beauté n'avait d'égale que la maîtrise de la lame de Mifune.  Mais elle le quitta d'un battement de cil, elle partit pour un autre monde d'un coup de vent ou plutôt d'un coup de sabre, il avait été meurtrit mais poussé par un désir de vengeance et d'anéantissement. Il se languissait tout de même de la rejoindre et la voir dans ses rêves était devenu l'un de ses principales plaisirs c'est ainsi que le samouraï était tombé amoureux de la nuit ayant la sensation d'être infidèle à sa promise qui l'attendait aux bords du Styx. Il avait durant son sommeil rêvé d'elle, de cette scène se répétant en boucle arrivant trop tard assistant à ses funéraille impuissant, devant cet être insensé et insensible. Cela avait le don de le mettre dans tout ses états cela avait surtout l'art de le rendre plus fort, car non plus jamais, il ne laisserait un de ses proches périr sous le courroux d'un dictateur plus jamais, il se l'était promit et l'avait juré sur la tombe de sa bien aimé. Il continua sa lecture arrivant à une page qui était rédigé sous forme de lettre on disait qu'elle avait était recueillie, d'une ancienne veuve de guerre, un message envoyé par son mari avant que celui-ci ne cède sur le champ de bataille.


'' Ici, le temps est fade, le soleil ne nous donnes plus de ses rayons, la pluie elle pleure les morts par millier, les conditions de vies son durs j'ai vus plusieurs de mes amis se mutiler pour rentrer chez eux, ils ne pourront plus jamais manier le sabre, il seront couvert de honte certains perdront certainement leurs castes , leur femme et gagneront sans doutes le déshonneur. Ce que j'endure ici dépasse l'entendement, je me demande pourquoi les hommes peuvent-ils avoir une haine aussi pure. Pourquoi nous battons nous ? Pour la folie de certains. L'envie de tout posséder, de tout avoir sous contrôle nous mène à l'anéantissement. Hier j'ai levé mon sabre, ôtant la vie d'un jeune garçon. Il était si jeune et possédait certainement une famille. Mais à cause de ma main il ne gouttera jamais aux joies de la vie, lorsque son visage si apeuré hante mes nuits, je suis alors frappé par l'amertume et le regret. J'ai imploré les dieux de me prendre à sa place mais aucun miracle de cet sorte n'est possible ici bas. Parfois je me surprend à rêver à penser à l'âge de notre enfant il doit avoir cinq ans aujourd'hui, aime-t-il les montagnes ? Cela fait cinq ans aussi que je vous ai laissé pour ces terres d'épouvantes. Cinq ans que j'endure chaque jour la pression et l'angoisse lorsque  je m'endors. Ils ont forcés un bon nombre de mes compères à se faire seppuku. Les murmures disent que je suis le prochain sur la liste. Je me demande encore comment je pourrai survivre. Qui va encore succombé sous mon épée. Je voudrai te dire à combien je t'aime et comment tu me manques mais hélas ma plume pleure les atrocités de la guerre. Si jamais je ne reviens pas je voudrai juste que tu puisses continués à vivre je ferai tout mon possible ici pour que notre enfant n'endure pas les pleures et les larmes causé par la guerre...''


C'était tout aussi triste, dans les temps anciens les soldats n'avait pas d'autre choix que de se battre et toujours, oui toujours ils étaient confrontés à ce choix si stupide et cruel de privilégié leurs vie à celle d'un autre. Lisant c'est mot Soufuku était révulsé. Il se sentait peiné par ce que l'homme racontait, mais comprenait un peut ce qui l'attendait si un jours il était confronté à devoir faire la guerre. Il l'avait déjà fait aux pays du fer mais cette bataille était de petite envergure par rapport à celles qui avaient auparavant frappées le monde dans lequel il vivait. Arrivant à la fin de son ouvrage il prit une pause pour boire un thé qu'il s'était fait au préalable, sirotant le breuvage chaud, il regardait par la fenêtre qu'il avait ouvert lors de son réveil. Le lueur du jours commençait à prendre place l'aube allait peut à peut remplacer la nuit. L'acrylique étoilé mélangé à la fureur vive du jours était un moment magnifique à observer, un petit oiseau se posa a sa fenêtre, le samouraï pensait alors, que si cet oiseau, n'aurait pas eu ses ailes, il n'aurait certainement put voler. Le recueille qu'il tenait possédait des pages blanches, on lui avait dit que si un jours il en aurait l'occasion, qu'il pourrait les compléter ainsi, il donnerait au génération futur un passage de sa vie, et qu'il s'agirait en quelque sorte d'un testament. Il réfléchissait prenant une plume d'aigle et un pot d'encre noir qu'il ouvrit soigneusement, passant la douce plume sous son manteau qui lui procurait une soudaine envie de rire, il allait écrire mais toussa quatre fois, quelque gouttes de sang coulant de son nez et de sa bouche s'étaient retrouvaient sur le sol, il nettoya toute trace et se rinça le visage et la bouche, depuis peut cela le prenait fréquemment. Il fallait dire que sa puissance lui causait de nombreux dommage interne, mais cela il le gardait secret car vous savez lorsque le chasseur sait que la bête est affaibli il attaque de sa pleine puissance. Il trouva alors l'inspiration et écrit un moment qu'il retenait du pays du fer.

FLASH BACK :
«  C'était un jours de pluie, il faisait lourd la chaleur se faisait ressentir sur les terres du fer, après avoir assisté à aux funéraille de la fille du chef des samouraïs résistant à l’oppression de Kariya, Soufuku qui était restait en retrait se demandant pourquoi ? Rejoignit la pièce où l'homme qui sentait le tournesol était allongé. Dans un lite, respirant comme il le pouvait il avait demander à le voir seul. Ils n'étaient donc que deux sans la pièce, le plus vieux semblait vivre ses dernier instants l'ombre de la mort planant, charognard planant au-dessus de sa tête attendait impatiemment que les deux hommes finirent leurs discussion. L'homme demandait à Soufuku de prendre la tête de ses compagnons pour libéré le chef du pays qui était alors sous l'emprise d'un piège amorcé par son bras droit qui en être machiavélique n'aspirait que à prendre le contrôle du pays, en guise de serment il demanda au samouraï :

- Soufuku as tu du cœur ?

Celui-ci assis sur ses genoux la main sur le cœur pour démontré sa loyauté et son dévouement à l'être qui n'était autre que le père de Fuu, mené par lai haine, les yeux tout aussi solennelle que le ton de sa voix, meurtrit par la perte de sa bien-aimé dit alors pour répondre à cette question pleine de poésie et étrange :


- Tout autre que mon père, ne l'éprouverait sous l'heure.

Une phrase symbolique montrant la bravoure, et la détermination de l'homme le vielle homme lui, se fit emporter par la faucheuse et la laissa à Soufuku le soin de mener ses hommes contre le destin.
»
FIN DU FLASH BACK.

Le soleil s'était levé le samouraï toussait le vent lui caressa la peau, c'était pour lui le symbole d'un salut de sa défunte qui l’accueillait chaque mâtiné, en ce début de printemps à l'heure où les autres village découvre les bourgeons se changeant en fleur de cerisier, Suna elle connaît des nuits aux température estivale.Et pour le samouraï qui avait songé toute la nuit se laissant emporter aux plus profond de son intimité, il était temps, pour lui de sortir,  Soufuku l’éternel opposant au régime despotique du village allait aujourd'hui connaître un jours qui changerai à jamais le village de Suna no Kuni.


SONGE D'UNE NUIT D’ÉTÉ FIN DU RP.
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Songe d'une nuit d'été.
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