Kenta Fujiwara [FiNi :D]

« La vie n'est qu'un long rêve dont la mort nous réveille. »

Chapitre I : Introduction, découverte de l'affinité Bakuton

Je suis né le 4 mai dans une province de Tsuchi no Kuni, mes parents étaient des shinobis d'Iwa, après le départ de mes parents pour continuer la guerre, qui se termina à mon troisième printemps, ces derniers sont morts alors que je n'avais que deux ans, pour autant je n'ai jamais grandi seul, les gens de cette petite province était extrêmement compréhensif et veillaient sur moi, ils étaient une famille pour moi, il y avait, de toute façon, mon parrain qui était présent à mes côtés, étant fils de shinobis, je ne pouvais qu'avoir que du chakra en moi. Je grandissais et au fil des années, mon parrain m'apprenait à maîtriser ce chakra. Mon parrain pré-disposa des mannequins en bois que je devais frapper en utilisant son chakra, une chose incroyable se produisit, je ne fis pas que frapper le mannequin, je l'explosais, une énorme explosion se produisit, mon parrain constata l'ampleur des dégâts, je maîtrisais le Bakuton mais, je n'en étais pas encore conscient, je ne savais pas que cela s'appelait le Bakuton, à vrai dire, j'étais même apeuré, je m'étais cassé le bras, l'explosion était trop puissante pour un corps aussi fragile que le mien, alors il ne me restait aucune solution, je devais pratiquer encore et encore, atteindre la perfection pour pouvoir un jour maîtriser cette affinité si spéciale, mon parrain ne pouvait lui-même expliquer cette affinité mais, il m'ordonna de ne plus jamais me battre tant que je n'avais pas maîtrisé cette affinité mortelle pour autrui, je ne devais donc pas laisser place à la haine et respecter tout le monde, même les idiots. C'est comme ça que mon caractère se construisit, alors mon parrain continua de m'entraîner dans le but de maîtriser cette affinité même s'il en savait autant que moi alors il décida de m'emmener loin de ma province natale pour éviter que le gens du village soient blessé.
Je fis alors des adieux à mes frères, mes pères, mes mères, mes soeurs, j'avoue avoir lâché une petite larme, j'ai promis de revenir aussi vite que possible leur rendre visite pour ainsi leur raconter mes aventures. Je voyais le village disparaître au loin. Nous arrivions à une plaine où mon entraînement débuta, j'avais alors six ans.

Chapitre II : L'examen genin, je deviendrais le plus puissant shinobi d'Iwa ! L'examen chûnin.

Mon entraînement c'était plutôt bien passé, je n'avais pas à me plaindre même si je n'avais toujours pas maîtrisé cette maudite affinité mais bon cela arrivera bien un jour, en attendant, j'arrive à Iwa, c'est totalement différent de ma petite bourgade, les gens, les bâtiments de roches, tout était infiniment plus grand. Je marchais aux côtés de mon parrain, j'étais quelque peu apeuré par les gens, ils étaient tous des shinobis d'Iwa, donc des personnes d'un certain niveau quand même. Je m'étais mis en tête de maîtriser cette drôle d'affinité, alors mon parrain m'inscrivis à l'académie ninja. Je lui ai exprimé mon désir de ne pas me mêler avec d'autres mais, il rétorqua que pour maîtriser cette affinité, il faudrait que je sois genin puis chûnin minimum. J'accepte alors non sans dégoût de me joindre à l'académie. Je n'étais pas le plus fort, mais je n'étais pas le plus faible, j'étais lambda, mais pourtant il ne me fallait pas grand temps avant de pouvoir devenir Genin, s'en suit donc le jour où je reçus mon bandeau, je ne voulais pas le mettre sur mon front comme tous les autres, je l'avais accroché alors autour de mon cou, car je trouvais que ça faisait plus classe ! Passons, le plus dur pour moi, je pense, était d'atteindre le rang de chûnin, je n'étais pas un bosseur alors mon parrain ne me laissa pas m'inscrire à l'examen de chûnin, alors j'ai pris la décision de bosser plus dur que les autres, me promettant de maîtriser l'affinité et en plus, devenir le plus grand shinobi qu'Iwa n'ai jamais connu. Je courus alors à la bibliothèque du village caché pour me renseigner sur les grands shinobis. Je découvris alors de courtes informations sur le Shodai Tsuchikage.

- Quoi ? Sans déconner, c'est tout ? C'était juste un dompteur d'abeilles ? Ce ne sera pas extrêmement dur à surpasser.

Les informations suivantes que je trouvais me glacèrent le dos, sur le Nidaime et le Sandaime Tsuchikage : Mû et Ônoki, deux utilisateurs d'une affinité spéciale qu'ils qualifient de "Kekkei Tôta" : le Jinton ; l'art de manipuler la poussière, ça m'avait l'air débile aux premiers abords, aucune technique n'était répertorié, sûrement par peur qu'elle tombe entre de mauvaise main, mais cela ne m'intéressait guère. Je voulais surpasser tous les kages : du Shodai au Yondaime, par tous les moyens.

- Alors Kenta, on bouquine ?

Cela était suffisant pour me faire faire un petit sursaut, c'était mon parrain, accompagné de ses camarades.

- Voyons voir... "L'histoire des Tsuchikage", tu t'intéresses à la culture d'Iwa maintenant ?
- Raah... *soupir* peut-être !

Il me lança un sourire avant de m'inviter à le suivre, les deux gars avec qui il était, il me les présenta, c'était deux de ses camarades qui voulaient relancer l'unité spéciale des explosions d'Iwa.

- Ton affinité me disais quelque chose, alors je t'ai emmené ici. Tiens attrape.

Il me lança un livre sur "L'Unité Spéciale des Explosions", très intéressant d'ailleurs ! J'y ai appris qu'Iwa avait deux membres très célèbres : Gari et Deidara, mais il n'y en avait pas plus sur eux mis à part le fait que Deidara rejoignit une organisation criminelle à un certain moment mais c'était vraiment intéressant dans le fond. Les deux camarades de mon parrain avait l'air déterminé à recréer cette unité, ils allaient donc m'entraîner à la place de mon parrain. Ils m'enseignèrent ce qui valait d'être enseigné, ils m'ont appris à maîtriser mon chakra. Une année est passé, mes senseis m'avaient inscris à l'examen chûnin, les épreuves initiales étaient simples jusqu'aux combats. J'atteignais sans mal en demi-finale, là mon adversaire me donna plus de fil à retordre, mais je le vainquis quand même. La finale était riche en rebondissement, il me mettait à terre, je me relevais, je le mettais à terre, il se relevait, ce fut l'un des plus longs combats jusqu'à que nous finissions à genoux, la fin ne dépendait plus que de notre volonté à vouloir rester debout, c'était un combat de regards, il finit par s'écroulait, par chance car je m'écroulais pile lorsque j'allais être annoncé comme vainqueur. Je reprenais conscience dans un hôpital où mes senseis avaient le plaisir de m'annoncer... comme chûnin d'Iwa ! J'étais extrêmement fier de moi, moi qui au début ne voulait pas aller à l'académie, c'était le plus beau jour de ma vie, pour l'instant, quelques larmes de joies puis les infirmières demandant de me laisser me reposer. Mes senseis m'avaient dit qu'à ma sortie, c'était entraînement au taijutsu.

Chapitre III : L'entraînement

J'étais enfin sorti, mes senseis m'attendaient devant l'hôpital, j'étais heureux de les revoir, directement après, nous nous dirigieons vers une sorte de terrain d'entraînement où je devais apprendre à utiliser le taijutsu, c'était difficile, j'ai même songé à abandonné mais j'ai réussi, j'ai passé l'épreuve de... l'échauffement, faut dire qu'ils n'y allaient pas de mains mortes, donc tout les jours, le même échauffement, j'avoue qu'au bout de deux-trois ans, j'ai réussi à passer l'échauffement très facilement, donc viens le moment d'apprentissage, j'appris des techniques de bases, de simples combos, coups de poings, coups de pieds, enfin, la base quoi. Puis un de mes deux senseis me fit don d'un parchemin, celle du Jiraiken, autrement dit, le coup de poing mine, une technique du Bakuton. Pour être honnête, j'étais extrêmement excité à l'idée de mélanger le taijutsu et le ninjutsu, en faire du nintaijutsu, apprendre une technique dévastatrice, mon premier essai se passa de la manière la plus débile qui soit, je me suis totalement rater et en plus, je me suis fait super mal au doigts, c'était un peu la honte. Je m'étais minablement raté, je m'étais alors mis en boule dans mon coin, mes senseis sont venu me voir, ils m'affirmèrent que l'échec n'était qu'une étape vers la réussite et la gloire, que si nous ne réussissons pas du premier coup, il faut toujours réessayer une deuxième fois pour être sur et comme dit le proverbe : Jamais deux sans trois et ainsi de suite, ils me motivaient à retourner m'entraîner alors j'y retournais et je continuais sans relâche, il n'y avait plus de jours, de semaines même de mois, je n'avais plus la notion du temps, il passait et moi je m'entraînais sérieusement.
Il fallu des mois, que dis-je, des années, pour que j'apprenne correctement la technique du Jiraiken et c'était chose faîte, j'étais maintenant un sérieux utilisateur de l'Art de l'explosion. J'étais donc fin prêt à joindre une unité adapté à mes capacités : l'Unité Spéciale des Explosions d'Iwa.

Chapitre IV : Un nouveau membre dans l'unité spéciale des explosions d'Iwa.

J'entrais dans un petit bâtiment, je pense que c'est l'un des plus petit d'Iwa, je me rappelle, il y avait là un homme, il avait une drôle de tenue, je me rappelle très bien, il avait des cheveux, une grosse tignasse de cheveux blancs oui, sa, je m'en rappelle comme si c'était hier, je me rappelle qu'il était, à ce moment, de dos et qu'en même temps je lui donnais la soixantaine par la couleur de ses cheveux. Puis il se retourna, à ma grande surprise, il n'avait que la vingtaine, tout comme moi à ce moment là, il avait un visage d'adolescent, il ne devait avoir que trois ou quatre années, voir moins, de plus que moi, j'étais agréablement surpris, oui. Je me rappelle alors aussi, que j'ai vu un chapeau particulier accroché au niveau de sa ceinture, oui, c'était le Yondaime Tsuchikage, puis je me mis à le jalousé, un homme aussi jeune soit-il était Tsuchikage alors que moi, oui moi à ce moment, je n'étais encore que chûnin, un chûnin avec une particularité, tout faire péter, lui, il devait être un fin stratège, un gars puissant quoi alors que moi je n'étais bon qu'à faire exploser des mannequins, il était de bonne humeur comme le disait les gens qui parlaient sur lui. Il pris alors place sur un fauteuil, et se mit à faire un discours, il avait une bonne parole, j'étais intimidé et en repensant à certains mots, je le suis encore puis viens le moment fatidique.

- [...]jeune shinobi d'Iwa, tu es maintenant un membre de l'Unité Spécial des Explosions !!

J'étais maintenant devenu un shinobi spécial, on m'assigna par la même occasion, le poste de jônin, pour que je puisse par le futur, former de nouvelles recrues pour cette Unité qui subissait une rénovation.