Ma dernière mission remontait à deux jours, lorsque j’ai dû remplacer un professeur de l’académie ninja et j’avais déjà reçu une nouvelle mission, elle venait de m’être assignée et je retournais chez moi me préparer avant de rejoindre les portes du village. J’étais impatients de partir en mission en dehors du village, bien qu’il m’est arrivé des choses terribles lors de mission en dehors du village, mais ça ne suffisait pas pour me décourager.
Une fois prêt, je me rendais à la porte du village en vitesse. Là-bas, je croisais les ninjas chargés du recensement des entrées et sorties du village.
-Tien salut Azzuki.
-Salut Denji, salut Gosuke.
-Tu pars en mission c’est ça ?
-Ouai, un village civil qui a un petit souci avec les animaux sauvages des alentours.
-Ok, bonne chance dans ce cas.
-Merci.
Je partais donc en direction du village civil qui avait requis l’aide de kiri. En suivant mon plan, je partais donc en prenant la route qui reliait kiri au reste de l’île. Puis, à la première intersection, le plan indiquait un chemin à travers la forêt, bien plus court que par la route. Je grimpais donc à un arbre, jusqu’à la première branche, pour ensuite sauter de branche en branche, c’était plus rapide et on ne savait jamais ce qui se trouvait dans ces forêts, je n’avais pas envie de tomber sur une horde de brigands, cela me ferait perdre du temps et selon les estimations, deux jours suffisaient pour effectuer cette mission. Le voyage se faisait sans souci jusqu’à présent et avec un peu de chance, j’arriverais au village plus tôt que prévu.
La forêt était calme, seul le son des animaux et les feuilles des arbres perturbait ce calme, cependant, ce calme était pesant et ne présageait rien de bon, je restais donc sur mes gardes. J’entendis alors, le son d’un kunaï qui filait dans l’air, j’étais désormais habitué à ce son. Immédiatement, je dégainais un kunaï et m’en servais pour parer le kunaï qui fusait vers moi. Je m’arrêtais ensuite sur une branche et scrutais les alentours pour débusquer celui qui avait lancé le projectile, mais sans succès. Il fallait pourtant bien le débusquer, je ne pouvais pas me permettre de perdre mon temps comme ça.
-Qui que tu sois, sache que tu commets une erreur, je suis un ninja du village de Kiri, je n’ai aucunement peur de toi ou de tes amis, alors je te conseille de te rendre, je n’ai pas de temps à perdre avec des futilités. Tes kunaï sont inutiles contre moi, si tu m’en envois je les arrêterais comme je l’ai fait pour le premier, en plus si tu te montres hostile à nouveau, je n’hésiterais pas à te supprimer. Alors, rend toi et je pourrais peut-être me montrer clément en te laissant une chance de quitter le pays ou en te laissant une chance de changer de vie.
Mais aucune réponse ne vint, seulement le silence de la forêt qui semblait s’être arrêté de vivre depuis que ce kunaï avait été lancé, les animaux s’étaient tus, seul la légère brise continuait de souffler sur les feuilles des arbres. Je ne savais pas quoi faire, si je faisais une erreur bête il en profiterait sûrement pour attaquer et je ne comptais pas me blesser sur cette mission.
-Changer de vie ? Qu’est-ce que tu entends par là ?
-Tu pourrais laisser tomber tes occupations actuelles par exemple, pour devenir un paysan ou un marchand, je ne sais pas.
-Et tu crois que c’est aussi simple ? Je suis coincé, je ne peux pas m’échapper, je suis obligé de faire ce que je fais.
-Le village de Kiri pourrait peut-être t’aider si tu demandais.
Il sortit alors brusquement de derrière un arbre et lança une bonne dizaine de shuriken. J’utilisais donc mon kunaï pour tous les parer avant de fondre sur ma cible. Je savais qu’il avait été sincère lorsqu’il m’avait parlé. Cet homme était coincé et il n’avait pas d’échappatoire. Je ne pouvais donc pas me résoudre à le tuer. Une fois en contact avec le sol juste devant lui, je me déplaçais derrière lui à une vitesse fulgurante avant de lui asséner un coup sec dans la nuque, assez fort pour l’assommer bien trop faible pour le tuer, puis, le prenant sur l’épaule, je repartais en direction du village pour continuer ma mission.
Plusieurs minutes plus tard, je m’arrêtais quelque part en forêt pour faire une petite pause, le briguant que j’avais croisé quelque minute auparavant était toujours inconscient ce qui était parfait, je le déposais au sol pour lier ses jambes et ses poignets. Il se réveilla quelque minute plus tard, ne comprenant pas où il était.
- Où sommes-nous ?
-Vous n’avez pas besoin de le savoir.
-Mais pourquoi ? Pourquoi vous me faites prisonnier ?
-C’est simple, vous détenez peut-être des informations sur les différents groupes de bandit qui traine encore dans les environs de kiri et je veux vous aider.
-Vous ne comprenez pas ? Vous ne pouvez pas m’aider.
Je m’approchais de lui et lui tendis un morceau de ration que j’avais emmené avec moi.
-Taisez-vous et manger.
Malgré tout, il mangea sans trop d’hésitation. Après cette pause, nous repartîmes. J’avais toujours une mission à faire. Nous continuions donc le voyage vers le village civil sans d’autre pause. Environ une heure plus tard, nous arrivions à destination. Le village était en bon état, sûrement rénové récemment grâce à l’aide apportée par Kiri.
En entrant dans le village, les villageois me regardèrent, il avait l’air content que l’aide demandé arrive enfin.
-Bonjour, je suis le ninja envoyé par Kiri. Vous avez fait une demande de mission pour s’occuper des animaux sauvages qui s’en prennent à vos bêtes, c’est bien cela ?
-Oui c’est bien cela.
-Vous êtes ?
-Je me nomme Daigo, je suis le chef de ce village, suivez-moi, je vais vous montrer l’endroit où on eu lieu les attaques.
-Enchanter, très bonne idée, je vous suis.
Je libérais tout de même les jambes de mon prisonnier pour qu’il me suive sans que je n’aie pas à le porter. Le chef me montra l’enclot où se trouvait les animaux qui avaient été attaqué. Je distinguais immédiatement des traces de pas venant sûrement des animaux qui avaient attaqué. D’après la forme des traces, il s’agissait de renard ou de loup, mais vu leur taille, il était plus probable que ce soit des loups.
-Il s’agit de loup d’après ce que je peux voir.
-Oui c’est bien cela.
-Très bien, pour le moment, il fait encore jour et j’imagine qu’il attaque la nuit. Je vais donc aller me reposer maintenant pour être en forme ce soir, auriez-vous un logement dans lequel je pourrais m’installer et aussi une cellule pour cet homme ?
-Bien sûr, nous avons un logement que vous pouvez emprunter, cependant nous n’avons pas de cellule, mais vous pourrez l’enfermer dans vos appartements.
Je suivais donc ce vieil homme jusqu’à mes appartements avant d’attacher l’homme dans un coin de la pièce et de me coucher, bien sûr, je ne dormais pas profondément, mon prisonnier pourrait tenter quelque chose pendant mon sommeil, mais je n’étais pas très fatigué et m’allonger dans un lit me suffirait pour reprendre des forces.
-Au fait, quel est ton nom ?
-Je ne crois pas que ça te soit utile et puis, présente-toi toi-même avant de me demander mon nom.
-Très bien, je m’appelle Azzuki et toi ?
-Je n’ai pas envie de te le dire en fin de compte.
-Tu te fous de moi ?
-Un peu oui et c’est marrent de voir que sous tes airs de jeune ninja tu restes néanmoins un gamin naïf.
-Tu fais chier.
Ce gars commençait à m’agacer, je restais donc allonger sans faire plus attention à lui.
La nuit tombait et il était temps de travailler. Je sortais donc du logement que le village m’avait prêté et me postais sur un toit, j’avais l’enclos bien en vue et attendait l’arriver les loups pour les arrêter et les dissuader de revenir.
Les heures passaient et rien à l’horizon, il fallait être patient, mais c’était sûr et certain qu’il viendrait. Après cinq minutes d’attente, une meute de loup se présenta à l’orée du bois qui avoisinait le village, je descendais du toit où je me trouvais pour me placer entre la meute et l’enclos.
Les loups me regardaient, ils étaient huit et avait l’air un minimum dangereux, en plus d’être bien plus nombreux que moi, il ne fallait surtout pas qu’ils me débordent, sinon j’aurais peu de chance de m’en sortir, mais mes techniques pourraient faire l’affaire.
Je m’avançais vers le loup qui semblait être le chef de meute, je le défiais du regard, ce que je trouvais bizarre étant donné qu’il s’agissait d’un animal, celui-ci se mit à grogner avant de me sauter dessus, j’esquivais de justesse avant de le frapper d’un coup de genoux. Il se souleva encore un peu plus du sol avant d’atterrir en se rattrapant de justesse avec ses pâtes avant. Il attaqua à nouveau et je refis le même mouvement que lors de sa première attaque. Bizarrement, ce « chef » avait l’air de me défier et les autres loups restaient à l’écart comme s’ils assistaient au combat.
Je n’avais aucunement l’intention de tuer l’un d’entre eux, mais combien de temps ce petit jeu allait-il durer ? Je bondis alors en arrière tout en exécutant quelque mudra pour préparer une technique, puis touchant à peine le sol, je lançais mon attaque, tout en faisait bien attention à ce qu’elle ne soit pas létale pour mon adversaire.
-Raiton Jibashi no jutsu.
Au même moment, il bondit dans ma direction, mais il était trop tard, les éclairs le frappèrent de face et il fut projeté à terre. Les autres loups réagirent en se mettant à grogner, je préparais donc une nouvelle attaque plus puissante qui pourrait tous les avoir d’un coup.
A ce moment-là, leur chef se releva et ils se calmèrent presque instantanément. Ce dernier se tourna à nouveau vers moi et attaqua une fois de plus. Seul il n’avait sûrement aucune chance contre moi, mais il restait sept autres loups qui attendaient derrière et s’ils se mettaient à m’attaquer tous ensemble, ce ne serait pas la même histoire. Je restais sur mes gardes, me demandant pourquoi les autres n’attaquaient pas, on avait l’impression que ce loup me défiait ou me testait, mais pourquoi ? Et comment un loup sauvage aurait l’idée de défier un humain dans un duel ? Etait-il plus intelligent qu’un loup ordinaire ? Plus évoluer ? Ce qui serait aussi la raison de cette forme de respect que montraient les autres qui restaient en retrait.
Notre combat dura encore quelques minutes, puis il sembla se calmer, il restait en face de moi en me fixant. Fallait-il que j’attaque pour finir définitivement ce combat, ou attendre et voir sa réaction ? Après réflexion, j’optais pour l’attaque, j’exécutais à nouveau des mudras et lançais ensuite mon jutsu.
-Suiton Hahonryuu.
Un torrent se déversa de mes mains, juste assez puissant pour frapper la meute de loup et la faire reculer d’environ deux ou trois mètres. Ceux-ci se relevèrent et prirent la fuite, hormis celui qui m’avait combattu. Je ne ressentais plus d’hostilité dans son regard, il paraissait calme et n’avait pas l’air d’avoir l’intention d’attaquer. Il poussa alors, un hurlement avant de partir rejoindre ces confrères.
Je ne comprenais pas bien ce qu’il s’était passé. Je les avais faits fuir, mais l’expression dans ses yeux étaient bizarre. Je sentais désormais qu’il ne reviendrait pas, mais je trouvais cela trop simple, il fallait que je les retrouve le lendemain pour m’assurer qu’ils ne reviennent pas. Pour le moment, je retournais me reposer avant une journée de traque qui m’attendait demain.
En entrant, je constatais que mon prisonnier était toujours là, il n’avait pas bougé. Je vérifiais tout de même ses liens qui paraissaient intact. J’étais soulagé de ne pas avoir à faire quoi que ce soit d’autre. Je m’allongeais donc et en profitais pour me reposer sans pour autant relâcher toute mon attention.
Je me levais le lendemain et me préparais en vitesse pour partir en forêt à la recherche de la meute de loup, afin de m’assurer que la mission était belle et bien accompli.
Les gens du village m’avaient préparé un repas pour débuter cette journée, je le partageais avec mon prisonnier qui restait enfermer dans cet habitat temporaire.
-Au fait Azzuki, tu comptes rester ici combien de temps ?
-Le temps qu’il faudra. Normalement si tout se passe bien, on pourrait très bien repartir cette nuit ou demain matin. Ça dépend de mon état. Au fait j’attends toujours que tu te présentes.
-Tu pourras toujours me le demander, mais je n’ai aucune envie de me présenter.
-OK, je vois que tu n’es toujours pas digne de confiance, donc je te laisse ici. Bonne journée.
-Attend. Si je me présente, tu m’emmènes avec toi ? Je n’ai pas envie de rester enfermer.
-Ça serait trop facile tu ne crois pas ? Mais peut-être as-tu une utilité, que sais-tu faire, tu t’y connais en traque ?
-Euh non.
-Alors, bonne journée, je n’ai pas assez confiance en toi pour te libérer et si je t’emmène avec tes liens, tu serais inutilement en danger, donc je te laisse ici.
-Eh ! Atte…
J’avais refermé la porte sans même écouter ce qu’il voulait me dire, de toute façon ma décision était prise et il resterait ici.
J’avais pris mes affaires de voyage pour emporter avec moi des provisions, ainsi que d’autre chose qui pourrait être utile.
Je pénétrais dans la forêt, pour partir à la recherche des loups, je n’avais aucune idée d’où ils étaient, mais je pouvais tenter de suivre leur trace. Heureusement pour moi, les traces étaient bien ancrées dans le sol, sans ça j’aurais eu du mal à les chercher, n’étant pas un excellent pisteur, il m’aurait été très difficile, voire sans doute impossible de les retrouver.
Je suivais donc les empreintes qui s’enfonçaient de plus en plus profondément dans la forêt. Pas un bruit à l’horizon, aucun son d’animal, rien à part une légère brise, cela me faisait penser à la situation d’hier lorsque celui qui est désormais mon prisonnier m’avait attaqué, à ce moment-là aussi la brise était seule à émettre un son à travers le feuillage des arbres. Je concentrais mon chakra dans mes oreilles, essayant d’entendre des sons qui m’auraient échappé, mais rien de plus. Je continuais donc de suivre les empreintes laissées par la meute en espérant la retrouver.
Trois heures plus tard, je continuais à chercher les loups, les empreintes n’avait pas disparu, mais je commençais à me dire que les suivre était peut-être inutile, il n’y avait toujours aucun son, pas le moindre bruit pouvant m’informer de la présence de vie dans les environs ne se fit entendre. Que pouvais-je faire, suivre les traces ne semblaient pas faire avancer cette traque, mais alors quel moyen pouvais-je utiliser pour les retrouver. C’est alors que j’eus l’idée de concentrer du chakra dans mes mains pour essayer de ressentir les vibrations du sol, aussi minime soit-elle, si je concentrais assez de chakra, je les sentirais, mais rien. Je continuais donc de suivre les empreintes jusqu’à un rocher, je m’adossais alors à celui-ci et me mis à fouiller dans mon sac à la recherche de nourriture.
C’est alors, que j’entendis une respiration au-dessus de ma tête. Puis, un loup sauta du rocher pour se placer face à moi. Il me regardait droit dans les yeux et je le reconnus presque immédiatement, il s’agissait du loup que j’avais combattu hier soir. Il avait le même regard que lorsqu’il était parti et tout comme la veille, je ne sentais aucune hostilité dans ses yeux. Je sentis alors que son regard se détournait du mien pour se poser sur la ration que j’étais en train de manger. Je sortis une autre ration de mon sac et la lui tendis. Il s’approcha doucement, puis s’arrêta, j’enlevais l’emballage et posais la nourriture par terre avant de la pousser vers lui. Ce dernier se rua dessus et dévora le tout d’une bouché.
-Et bien, on dirait que tu as faim. C’est vrai que je t’ai privé de repas hier soir, tu dois être affamé, mais je ne peux pas te laisser attaquer les animaux de ces gens, tu comprends ?
Voilà que je me mettais à lui parler maintenant. Etais-je en train de devenir fou ? Ou peut-être que je me prenais tout simplement d’affection pour cette créature. Je vidais donc mon sac de toute la nourriture qu’il contenait pour lui offrir. Ce n’était pas beaucoup, mais ces rations étaient très nourrissantes.
-Au fait, où est passé ta meute ? Ils ne sont pas avec toi ?
A ce moment-là, il s’approcha encore plus et me lécha le visage. Je ne m’attendais pas du tout à ce genre de réaction, c’était vraiment surprenant et drôle à la fois, voir ce loup qui m’avait combattu férocement la veille me lécher le visage, c’était amusant. Finalement, il n’avait pas l’air si méchant que ça.
Je me levais pour repartir, j’étais désormais certain que le village ne craignait plus rien, c’est alors, que je m’aperçus de la présence des autres membres de la meute. C’est alors qu’une idée me vint à l’esprit.
J’étais enfin de retour au village, accompagné par la meute de loup. Les villageois me voyant arriver en leur compagnie avaient l’air effrayé, ce qui était compréhensible.
-Pourquoi les avez-vous amenés ici ?
-Il pourrait vous être très utile, ils ne sont certainement pas les seuls loups de la région. Je vous demande donc de bien vouloir m’écouter. Si ces loups attaquaient vos bêtes, c’est parce qu’ils avaient faim, j’ai donc pensé que vous pourriez les utiliser comme garde, si vous les nourrissez tous les jours, ils n’auront plus de raisons de manger vos bêtes. Qui plus est, ils seront sûrement capables de vous défendre contre les autres meutes de loups qui vivent dans le coin. Alors, vous en pensez quoi ?
-Il faut voir, je n’ai pas confiance en ces bêtes, mais si ce que vous dites est vrai, alors ça vaut le coup d’essayer.
Heureux d’avoir réussis à convaincre le chef du village, je retournais à l’habitation que j’occupais le temps d’une mission pour aller voir mon fameux prisonnier.
-Me revoilà.
-Tien, tu m’as manqué.
-J’ai trouvé comment tu pourrais refaire ta vie.
-Tu perds ton temps.
-Je ne crois pas. Tu pourrais servir ici. J’ai convaincu le chef du village, assez facilement d’ailleurs, d’utiliser la meute de loup qui s’en prenait à leur bête pour assurer la sécurité de celle-ci. Par contre il faut quelqu’un pour s’en occuper et je pense que tu ferais l’affaire. En plus, ce village est sous la juridiction du village de Kiri. Ce qui veut dire qu’il y a peu de chance que des bandits s’en prennent au village. Qu’en dis tus ?
-J’en dis… que ce n’est pas une si mauvaise idée.
-Parfait. Alors, toutes mes félicitations pour ta nouvelle vie qui commence. Tu peux me dire comment tu t’appelles maintenant, non ?
-Je m’appelle Kaze Ogawa.
Une heure plus tard, j’étais prêt à partir. Kaze n’était pas très serein avec les sept loups qui étaient autour de lui, mais ceux-ci avait l’air de déjà l’apprécier.
Après avoir dit au revoir au villageois, je m’apprêtais à partir, quand le chef de la meute de loup vint se mettre à mes côtés, je n’avais besoin de rien de plus pour comprendre et je me mis en route pour rentrer chez moi et le loup me suivit.
-Si tu veux me suivre, il va falloir que je te trouve un nom, Takeru, ça te plait ? Alors, tu t’appelleras Takeru.
Lors du voyage de retour, aucun souci ne nous retarda et nous étions rentrés au village avant la tombée de la nuit.