Atsuhiko Koronguru
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 |  Sujet: Présentation du vil serpent. Sam 16 Aoû - 1:07 | |
| Koronguru Sasuki In Rp... • Âge : 14 ans • Nom : Koronguru • Prénom : Sasuki • Sexe : Mâle. • Nindo : Faire un monde de paix. • Village : Konoha no Gakure. • Clan : Koronguru. • Grade : Génin pour commencer. • Bingo-Book (https://sns-rp.forumgratuit.org/t4236-bingo-book-de-sasuki-koronguru) On n'oublie pas un visage...  La première chose que l'on remarque sur le visage du jeune Koronguru, sont ces cheveux bleutée qui s'arrêtent juste au dessus de ses yeux. Un bandage couvre la totalité de son visage y compris son œil droit, son œil gauche étant le seul visible. Les pupilles de l'enfant sont celles d'un reptile. La deuxième chose que l'on remarque immédiatement sur le corps de celui-ci est sa peau d'un blanc aussi pure que de la neige. L'enfant n'est en aucun cas musclé, il est totalement maigre. Comment vous dire... son ventre est aussi maigre que ses jambes. Mais comme on dis, il ne faut pas se fier aux apparences. L'enfant est très doué au niveau du taïjutsu et ce n'est pas son corps maigre qui l'empêche d'être rapide et efficace. Quoi qu'il en soit, il ne faut jamais sous estimer le jeune garçon. Diverse marques de mutilations se remarquent sur son corps, une grosse partie étant visible sur les bras de celui-ci. L'auto-mutilation lui permet de se sentir vivant et la douleur qu'il y ressent l'excite totalement. Pour décrire en un mot... notre personnage est un enfant monstrueux. Ses vêtements habituels, eux, sont généralement intégralement blanc et noir : son pantalon, ample, typé Hakama, couvre le bas de son corps avec, au pied, des chaussures noirs et blanc alliant solidité et légèreté. Enfin, au haut est visible une tunique à manche longue presque intégralement blanche avec des bordures noir, dont le bas ne s’arrête qu’au niveau des pieds (avec cependant une séparation sur le devant afin de pouvoir se mouvoir avec aisance). Dans les méandres de mes pensées...
Décrire le mental de ce jeune garçon... Imaginez si on enferme un lion dans une cage pendant des mois, quel serait sa réaction à la sortie de sa prison dorée? Voilà comment décrire premièrement la mentalité de notre jeune ami. Suite à son enfance de solitaire à cause de la perte de ces parents, le jeune garçon a dû se débrouiller seul pour survivre dans ce monde impitoyable. Le survivant d'un clan oublié est devenu haineux et solitaire à force d'être seul et sans famille. Il a attendu d'être shinobi toute sa vie afin de pouvoir prouver sa propre force mais aussi pouvoir prouver la force de son clan et également rénover la réputation de son clan légendaire. Sasuki est froid et solitaire et il n'hésite pas à manipuler les gens pour arriver à ses fins, si quelqu'un le bloque sur son chemin il n'hésitera pas à l'éliminer.
Les amis sont une perte de temps à l'acquisition de sa puissance aux yeux du survivant de ce clan, toujours pour celui-ci l'amitié est un concept totalement inutile et seul la force compte. La haine est une source de puissance à ses yeux et les autres sentiments ne valent totalement rien. Pour décrire le reste de son caractère, c'est une personne qui déteste attendre et qui préfère laisser ses adversaire combattre en premier à la place de celui-ci. Il se lance dans l'affrontement seulement si ses "compagnons" qu'il appelle comme cela seulement par courtoisie mais il les éliminerais si il le faudrait commencent à perdre. Il n'hésite pas à prendre un allié en bouclier humain face à une attaque où même à tuer ses alliés si cela peut faciliter la mission à remplir.
Tout cela est seulement sa partie "gentille". Et oui, le jeune garçon est schizophrène. Mais son style de schizophrénie est très différent des cas normaux. Si son œil gauche est visible, c'est qu'il est dans sa partie gentille. Si c'est l’œil droit, c'est sa partie mauvaise. Il cache l’œil qu'il faut à l'aide du bandage sur son visage.
La deuxième partie du jeune Koronguru est sadique, il n'a vraiment aucune pitié et il existe seulement pour tuer et détruire. Constamment énerver et prétentieux, il considère tout les villages comme faible et sa seul occupation consiste à s'entraîner mais surtout à détruire. Par rapport à sa partie gentille, sa partie mauvaise est bien plus douée en combat.
Jamais je n'oublierai...
Sasuki ne sait plus vraiment d'où il vient... Ses premiers souvenirs précis remonte à une quinzaine d'année environ. Il se rappelle s'être réveillé dans une pièce emplie de sang et de morceaux de corps, lui-même recouvert de coupures et blessures légères. Il y avait au moins 3 cadavres découpés dans cette grande pièce, visiblement un couple adulte et un enfant. Plusieurs outils tranchants encore souillés par le sang des victimes jonchaient au sol. Il est fort probable que ces gens étaient la famille de Sasuki, et qu'ils étaient ses premières victimes, tuées lors d'une crise démentielle, mais il n'en garde aucun souvenirs.
Après s'être lavé, le jeune homme s'habilla, enfilant quelques vêtements trop grands pour lui trouvés dans un placard, chercha et s'empara des quelques pièces présentes dans l'habitation, ainsi que d'une lame tranchante. Il s'en alla ensuite, sans un regard en arrière, et ne se retourna pas pour contempler le brasier qu'il avait allumé et qui engloutissait ses premiers meurtres.
Après deux mois d'errance, Sasuki fut recueilli par un clan mineur de la région de l'eau. Là, il travailla en tant qu'homme de main, et on lui confia rapidement son premier meurtre, qui servait de rite d'initiation. Contrairement à d'autres qui s'étaient dégonflés, le jeune homme se démarqua par la violence de l’assassinat. Il tortura sa cible, certes maladroitement, mais en tira un grand plaisir. C'est suite à cet évènement, sa première œuvre d'art, qu'il commença à s'automutiler. Il tirait un grand plaisir de la souffrance qu'il s'infligeait, et fut rapidement connu pour cela.
Son comportement dérangé et psychotique, ainsi que son absence totale de pitié lui permirent de rapidement prendre du galon, et il se vit confié de plus en plus d'assassinats. Il améliorait sa technique à chaque fois, torturant ses victimes pendant des heures, voire des jours entiers, et sa renommée était telle qu'on commença à parler de lui en chuchotant. L'une de ses missions les plus importantes fut l'assassinat de l'héritier et de la femme du chef d'un clan rival, afin de servir d'exemple. On raconte que le chef en question devint fou après avoir vu ce qui était arrivé à sa famille.
Si Sasuki était connu pour ses assassinats, on commença également à le craindre pour son masochisme extrême. Il se tailla les dents en pointe, pour pouvoir mieux mordre ses victimes, et contribuer d'autant plus à sa réputation. Il commença également à manipuler des acides et des poisons, testant leurs effets sur son propre corps , et ses yeux devinrent rouge et ses ongles noirs, sous l'effet corrosif des fumées toxiques qui se dégageaient parfois. Il fut plusieurs fois recadré par son propre clan, du fait de son comportement malsain. Il fut retrouvé plusieurs fois dans des bordels (jusque là, rien d'extravagant) entouré du corps de plusieurs prostituées qu'il avait torturé. Le plus souvent, toutefois, il se contente de demander aux filles de joie de le frapper, le brûler ou le couper, dans des jeux sexuels parfois très violents.
Pendant plusieurs années, donc, Sasuki se bâtit une petite réputation. S'il se retrouva parfois à diriger des petites équipes, généralement des hommes de main au moins aussi fous que lui, il ne chercha jamais à avoir plus de pouvoirs, ce qui lui permit de devenir le bras droit de son clan. Lorsque ce dernier fut exterminé lors d'une guerre, en son absence, il se jura de le venger, et passa deux longues années à traquer les membres du clan responsable de la perte du sien et les tortura un par un. Cela prouvait que, malgré sa folie, il possédait un certain sens de la loyauté.
Par la suite, désœuvré, il erra ci et là, offrant ses services au plus vendeur, et se faisant peu à peu oublier. Il continua à tuer, à chaque fois qu'il en avait l'occasion. Il suffisait parfois d'une simple insulte pour déchainer chez lui une colère incroyable, et il assouvissait sa soif de violence par la torture. Il continua également de se mutiler, parvenant à repousser ses limites physiques de plus en plus loin...
"Non ! S'il vous plait !"
Dans la pénombre d'une demeure, un homme vêtu de rouge se tenait, debout. Il tenait dans les bras un enfant, un nouveau né, et une femme, à genoux devant lui, pleurait de toutes ses forces. Dans l'obscurité, à peine éclairé par une bougie à la flamme tremblotante, on ne discernait de l'homme que le reflet jaune de ses pupilles, et la blancheur de ses dents pointues, révélées par un sourire sadique.
"C'est mon fils... Ne le tuez pas !"
Sasuki jeta un bref coups d'oeil sur l'enfant qu'il tenait. Ce dernier avait crié, lorsqu'il l'avait attrapé, réveillant sa mère. Mais, maintenant, le bébé se contentait de fixer l'homme qui le tenait, sans un mot, comme une souris hypnotisé par un serpent. Il n'y avait aucun intérêt dans le fait de tuer un enfant. Leurs hurlements n'étaient pas satisfaisants. Il y avait quelque chose d'incomplet dans un tel meurtre. La femme, elle... La femme allait hurler. Il ferait d'elle un chef d’œuvre, pour que son mari n'oublie jamais ce spectacle.
"Nooonnn !"
La lame avait glissé sur la peau fragile, et le sang avait été versé. Sasuki laissa le corps choir au sol, et s'avança vers la femme, qui hoquetait d'effroi. Il l'attrapa par son kimono, et la souleva. Il la jeta sur le lit, et sentit son corps trembler d'excitation. Une mère qui venait d'assister au meurtre de son fils... Il allait être dur de lui causer plus de souffrances... Mais c'était un défi qu'il allait relever.
Son œuvre commença tranquillement. Il attacha la femme, sans que celle-ci oppose de résistance. Elle gardait le regard fixé vers la dépouille de son fils, pleurant en silence. Sasuki commença par lui infliger quelques coupures, et fut déçu de ne pas l'entendre hurler. Il continua pendant une heure, sans être satisfait. Puis, il se décida à lui écorcher un bras, et, enfin, il vit la souffrance naître sur sa victime. L'instinct de survie de l'homme est fort, dit-on, et le corps de la jeune femme envoyait enfin des signaux de détresse assez fort pour qu'elle ne puisse plus les ignorer. Elle se mit enfin à hurler, appelant à l'aide... Mais il n'y avait plus personne en vie dans la demeure. Les gardes baignaient dans leur sang... Il ne restait qu'elle, et son bourreau...
Sasuki poursuivit jusqu'au petit matin. Il aurait aimé continuer davantage, mais le mari allait rentrer, avec les membres de son clan. Il ne pouvait tous les affronter. De toutes façons, il s'était lassé de sa victime une heure plus tôt, lorsqu'elle avait cessé de hurler... Il l'acheva donc en lui tranchant la gorge, et sortit de la pièce inondée de sang, un rictus sadique sur les lèvres. Il allait rentrer chez lui, et repenser à ce qu'il venait de faire... Il avait joui, cette nuit, et l'extase qu'il ressentait encore était indescriptible...
La lame fendit l'air, et Sasuki ne chercha pas à l'esquiver. Il sentit le métal pénétrer sa peau, laissant une balafre sanguinolente sur son bras. Son ennemi, d'un coups de pieds, l'envoya au sol, et le choc fut violent. L'homme en rouge ne put retenir un gémissement de plaisir. L'excitation montait petit à petit, alors que son propre sang était versé. S'il jouait avec son adversaire du jour, c'est parce que ce dernier ne représentait aucun danger réel...
"C'est tout ?"
Sasuki se releva, et toisa le jeune être qui lui faisait face. Même pas 20 ans, et déjà un sabre entre les mains... Un frisson parcourut son corps, remontant du bas de son dos jusque dans sa nuque. Ses lèvres fines s'étirèrent en un sourire, dévoilant ses dents pointues. Il remit son couteau en place d'un doigt, et, d'un pas sur le côté, esquiva l'attaque de son adversaire. Profitant d'être dans le dos de l'ennemi, il l'attaqua avec son couteau, déchirant la peau et les muscles.
"Aaaaahhh..."
"Si tu n'aimes pas la souffrance, tu ne pourras pas la provoquer chez moi..."
Sasuki attaqua de nouveau. Sa lame vint toucher la main de son ennemi, tranchant les tendons. L'arme du jeune homme tomba par terre, et son porteur vint rapidement faire de même, lorsque Sasuki lui trancha les jarrets. Il était au sol, maintenant, impuissant. Il tenta de frapper son bourreau du poings, mais sa main se retrouva bloquée entre les dents acérées de l'homme en rouge. Le sang coula, et, lorsqu'il dégagea sa main d'un coup sec, il découvrit que sa chair était à vif.
"Aaaaarrrggghhh !"
"Ta violence est laide..."
Sasuki était en position de force. Cet adversaire n'avait aucune valeur... Mais il pouvait s'amuser un peu avec. Avec un sourire démoniaque, les lèvres encore entachées par le sang de sa victime, il se pencha en avant, son couteau à la main... Il se réveilla en sursaut suite à ce cauchemar qu'il faisait toute les nuits... toujours au même endroit. Cet chambre ou il restait enfermé...
Un grincement sourd se fit entendre, résonnant dans la chambre creuse ou seul un siège et une table occupaient la place. L'homme se tenant n'ouvrit pas les yeux, sachant qui venait d'entrée dans la pièce. L'arrivant n'eut donc aucun besoin de manifester sa présence, et voulut commencer à parler. Mais au moment où ses lèvres se décollèrent, une voix sifflante vint le couper, venant de celui qui était assis et à l'apparence presque endormie.
- C'est encore raté, n'est-ce pas ?
- Maître, je crois que...
- Tu n'as rien à dire. Ce n'est pas grave de toutes manières, cette expérience était vouée à l'échec dès le départ. Le sceau est bien trop instable. Mais maintenant, j'attends de toi que tu te consacres à notre intérêt principal.
- Maître, il ... Il y en a un qui a survécu.
Ces paroles firent émerger l'homme assis qui ouvrit les yeux et les posa sur son subalterne, soudainement intéressé. Puis il se leva lentement et sans un mot, sorti de la pièce suivi de près par son bras-droit. Celui-ci finit par ouvrir une salle qui ressemblait fortement à une chambre d'hôpital macabre, où les tâches de sang ne faisaient plus de bruit quand on marchait dessus tant elles étaient incrustées dans le sol. Au centre, à côté de quelques machines, trois lits étaient disposés contre le mur du fond, et deux d'entres-eux étaient inoccupés. Le maître des lieux s'avança jusqu'à la couchette occupée et constata non sans un sourire en coin l'individu qui dormait dessus. Enchaîné par plusieurs chaînes et surement drogué pour le mettre dans un état de sommeil avancé.
- Il est assez dangereux pour toutes ses précautions ?
- Il a déjà mis à sac la dernière chambre où nous l'avions laissé... Mais ne vous inquiétez pas, il obéira dès qu'il comprendra l’enjeu pour lui et sa sœur...
Il remit ses lunettes en places en se concentrant sur un des écrans qui montraient une constante augmentation du chakra. Se demandant jusqu'où le taux pourrait monter, il ne fit pas attention au sombre ricanement de la part de son maître devant sa trouvaille...
Il ne sut pas combien de temps il était resté dans cet état, à pleurer chaque jour sur ce qui lui arrivait et hurlant dès qu'un individu approchait des barres de fer pour savoir où était sa mère, son père et sa sœur. Jamais il ne se résigna à poser la question et le nombre de coup qu'il encaissa augmenta proportionnellement au nombre de jours passé en geôle. Mais vint le jour où ce ne fut pas un garde qui ouvrit la grille. Blond à lunettes qui se pencha sur lui et lui annonça sans une once de remord que ses parents étaient maintenant morts. Sasuki se jeta alors sur lui, de toute sa fureur qu'il avait contenue jusqu'ici. Mais un coup le renvoya à terre avec l'impossibilité de bouger. L'autre rit avant de lui dire que sa sœur subirait le même sort si il ne suivait pas ses ordres.
Pas une minute de réflexion, Sasuki se laissa guider contre son gré dans l'unique but de donner une chance à sa petite sœur. Il n'était en rien au courant que cette même sœur était dans un autre programme d'expérience et qu'elle aussi risquerait la mort lors d'une des expériences qu'on lui pratiquerait. Ce n'était qu'un petit garçon de toute manière, la seule pensée était qu'il pouvait sauver sa sœur, une motivation suffisamment forte pour lui faire faire ce que l'on voulait. Même si il n'avait peut-être qu'une chance sur mille de survivre, il se devait de le faire pour elle. Pour Tayuya.
Il arriva donc dans cette salle mal décorée qui ressemblait à un mélange de salle de soin et de salle de torture. Il fut attaché à un des lits, mais ne pleura ni ne cria, se retenant pour ne pas tout faire foirer, pour ne pas laisser son espoir s'envoler. Puis entra le démon. Le serpent. Bref, celui qui allait hanter ses nuits pour la vie, de force directement. Celui-ci lui mordit apposa tour à tour des sceaux sur les paumes des mains avant de venir lui mordre la poitrine au niveau du cœur. La douleur fut vive et le gamin s'évanouit sur le coup, ne sachant toujours pas ce qui lui arrivait.
Le réveil fut celui qui changea peut-être son destin. Car il se réveilla, en sueur, tremblant de peur et de douleur et toujours accrochés par de faibles liens sur sa couchette. Paniqué, incapable de se retenir plus longtemps, il se débattit violemment et arriva à arracher les liens qui le maintenaient avant d'essayer de se lever. Mais, toujours aussi groggy, il n'arriva pas à se tenir debout et s'affala sur... un cadavre. Affolé et oubliant l'état flasque de ses jambes, il se releva en sursaut percutant du poing un ordinateur qui s'abattit sur sa tête, l'assommant de nouveau.
Sans plus d'explication et après un rappel sur les conditions de survie de sa sœur, on lui assigna une nouvelle cellule et un nouveau quotidien. Un entrainement large pour le faire devenir un ninja. Sept ans, son avenir en marche. Pour quoi ? Il n'en savait rien, mais s'accrochait en pensant à Tayuya. Les différentes années furent interminables pour lui. Les tâches physiques qu'il avait à accomplir étaient de plus en plus difficiles et les approfondissements théoriques qu'on lui apportait quelques fois avaient bien du mal à s'imprimer dans sa tête.
Le jour où il apprit que sa soeur était morte, tuée par une shinobi de Suna et un de Konoha. La haine en lui depuis les années, la fureur de voir ses espoirs s'envoler d'un coup et la colère envers ceux qui avaient assassiné Tayuya ne firent alors plus qu'un et il se déchaîna. Il fut stoppés par un shinobi après qu'il eut détruit la moitié d'un repaire et fut exilé dans la cache au nord où il fut enfermer pour le bien de tous. De "ninja utile" il était devenu "ninja dangereux". Condamner à vivre sa vie dans une cellule jusqu'à la fin de ses jours.
Mais le destin en voulut autrement et, trois années plus tard, la cache nord tomba après l'annonce de la mort du serpent. Libéré en même temps que les autres prisonniers psychopathe de la section, il s'enfuit le plus loin possible, évitant de voir pour qui sa soeur avait donné sa vie. Devait-il le haïr ? Ou le respecter ? Il n'en savait rien. Il devait vivre. Pourquoi ? Pour quoi ? Pour trouver la réponse à ces questions surement...
Épilogue : Renouveau ... ?
Titubant sans pour autant s'arrêter, l'homme continuait d'avancer d'une allure très lente. Les grandes portes qu'il voyait devant lui étaient floues, tout comme les cris qui résonnaient dans ses oreilles semblaient lointains et inaudible. Il était à bout de force et pourtant, il n'arrivait jamais à bout de sa faible réserve de chakra qui lui restait. Haletant comme si il venait de parcourir des dizaines de kilomètres sans prendre une seconde pour se reposer, il n'eut aucune pensée sur le fait que cette précédente hypothèse soit vraie. Marcher, toujours marcher, jusqu'à qu'il s'effondre ou trouve un endroit où s'arrêter.
Les cris incompréhensibles se firent de plus en plus puissant, lui indiquant qu'il se rapprochait d'humain vraisemblablement, confirmant l'idée des portes qui s'étaient légèrement entrouverte. En sortit un homme habillé d'un uniforme qui vint directement sur lui, le forçant à s'arrêter. Et après une question dont il ne put comprendre l'intégralité, le blond s'effondra de fatigue devant le garde.
Sa vie s'était résumé à une suite de réveil qui tous lui avaient apportés une chose différente. Une vie de prison, un espoir, une marque, de la puissance et maintenant... Il se réveilla attacher à un lit, encore. Las de forcer sur ses poignets pour arracher les menottes qui devaient le maintenir, il se laissa cette-fois-ci se reposer, profitant du paysage blanc et uniforme que lui donnait le plafond.
- D'où viens-tu ? demanda le garde assis à côté de lui. C'était aussi celui qui l'avait ramassé devant la porte, ses traits confirmant ceux flou de la personne que Sasuki avait vue. Et qui es-tu ?
- Je n'en sais rien. Mon nom est Sasuki.
La tête encore lourde et sans doute sous l'effet d'anesthésiant de seconde zone, il n'avait pas envie de recourir à la force dans ce moment. A quoi bon ? Sa vie avait été un cauchemar, pourquoi le reste ne le serait-il pas ?
- Ne ment pas. J'ai vu tes marques sur tes mains. Que fais-tu à Konoha Gakure no Sato ?
- Et j'ai fuit Orochimaru depuis quelques temps déjà... Je suis ici parce que j'ai marché, c'est tout.
L'autre fronça les sourcils, insatisfait de la réponse donnée. Mais il se laissa en un soupir et ressortit de la pièce. Ce ne fut que plus tard - une ? deux heures ? - qu'il revint en lui enlevant ces entraves. Après tout, le serpent était mort...
On fit alors comprendre à Sasuki qu'il pouvait recommencer une vie dans le pays de l'herbe. Il reprendrait au grade le plus bas et devrait prouver sa bravoure comme un autre, mais au moins, on ne le tuerait pas. La seule condition était de mettre des gants pour dissimuler ses paumes dans le village cachés de l'herbe Il accepta sans se plaindre et dans un énième soupir de sa part, se dit qu'il aurait peut-être une chance d'avoir une vie plus tranquille... Qui sait ?
Mon clan, mon honneur
Les Koronguru ont toujours était la. Ils étaient toujours la lors des événements important, ils étaient ceux qui pouvaient totalement modifier le cours de l'histoire. Lorsque la princesse trouva le fruit de l'arbre de la vie, ils étaient la. Lorsque le grand sage naquit, ils étaient la. Lorsqu'il accomplit ses exploits ils étaient la. Et ce, jusqu’à aujourd'hui , les Koronguru ont toujours était là, dans l'ombre, à veiller. Seul les plus anciens du clan savent ce qu'il en est réellement mais l'histoire ne doit pas être modifiée et ils sont présent lorsque cet équilibre est menacée. Comment ont-ils toujours su ce que devait être l'histoire ? Même eux l'ont oubliés...
Vie Privée
Dernière édition par Sasuki Koronguru le Mar 19 Aoû - 19:53, édité 9 fois |
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