Hazuka & Kagami, le revers de la medaille - Cyborgs à temps complet
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Hazuka Shiimata
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Fiche shinobi Grade: Nombre de missions effectuées: 0 SS - 0 S - 0 A - 1 B - 1 C - 0 D Talents:
Sujet: Hazuka & Kagami, le revers de la medaille - Cyborgs à temps complet Lun 15 Fév - 20:57
Hazuka • SHIIMATA
IRP !
Nom : Shiimata Prénom : Hazuka/Kagami Âge : 47 ans Sexe : ♀ Nindo : Vivons, vivons jusqu’à ce que plus personne ne puisse nous arrêter. La guerre est une chose mais l'art en est une autre. Village : Cyborg (Kumo/Nukenin) Clan : Shiimata Grade : Garde sup Bingo Book : Bingo-Book de Hazuka et Kagami
Un humain, une marionnette ou une cyborg ?
Pour ainsi dire, vous ressemblez à une marionnette. La peau imparfaite, les cheveux aux pointes asséchées ; des cicatrices recousues par ci par là, des balafres qui vous traversent le corps là où de graves plaies furent un jour ouvertes. Mais mis à part ces écarts de beauté, le teint pâle et la douceur de votre peau témoignent de votre ancienne splendeur. Vos mains fines et élégantes trahissent le soin que vous entreteniez à votre peau. Vos bras parfois dénudés et fragiles se déplacent dans l’air avec aisance, révélant tout votre savoir-faire de la maîtrise des marionnettes. Un corps svelte, des formes charnelles : telle était la description faîte de vous.
Hazuka. Le nom d’une femme si gentille et élégante. Ton visage paraît tellement innocent qu'on lui pardonnerait tout. Cette innocence que tu as si longtemps repoussée fait ressortir ta beauté, tes yeux deviennent plus cléments et regardent les alentours avec émerveillement et tristesse.
Kagami. Sûrement la plus hautaine et la plus hostile des Némésis. Placide, hautaine, dédaigneuse, parfois sadique et destructrice, elle ; non ; tu es une femme déterminée, dynamique et fonceuse, une femme incontrôlable qu’on ne peut arrêter sur sa lancée.
Vous êtes toutes deux la même personne, et vous le savez. Autrefois humaine, toi, Hazuka, a enfin accepté l’existence de ta deuxième toi, Kagami, née du fruit d’expérimentation d’une marionnettiste fou. Cette personnalité qui est en toi depuis que ces « gènes » cyborgs t’ont été implantés. Vous le savez très bien. Vos existences ne sont maintenant effectives que parce que vous êtes deux, parce que vous êtes le yin et le yang, parce que l’une sans l’autre ne pourrait survivre. Et vous avez choisi de cohabiter, d’exister. De vivre jusqu’à ce que plus personne ne puisse vous arrêter, qu’importe fussent les sacrifices que vous devrez accomplir. Vous avez décidé de vivre et de mener le monde là où il aurait dû aller.
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Vous avez le corps d’une femme de 47 ans, bien que ce dernier ait arrêté de changer depuis que les gènes cyborgs sont présents en toi. Votre visage fin et vos longs cheveux teintés d'une couleur mauve délavée reflètent vos pensées. Vos yeux perçants scrutent tout ce qui les entoure, examinant chaque détail avec précision. Tu as troqué ta veste blanche couleur abricot contre une longue cape sombre sans manche. Le col triangulaire large que ton cou arbore est agrémenté d’une longue écharpe jaune pâle marquée du symbole de Suna, portée en arrière. Un lien en cuir permet la fermeture du manteau, ainsi qu’une chaîne en argent qui en fait la ceinture. Tu portes aussi de long gants sombres, et des bottes montantes, garnies d’un détail en tissu bouffant blanc. Une jupe à pans mi-teinte et un corset muni d’une chemise coupée aux épaules complètent cette tenue digne du climat Sunien.
De l’idée aux actes, un long chemin
Tu ne ressens plus la douleur. Tu ne ressens plus la haine. Mais tu ressens la peine. Le tourment. La tristesse. Vos pensées ne sont que mélange d’une entité. D’un côté la guerre, de l’autre la paix. D’un côté l’espoir, de l’autre la rancune. Vous ne savez plus quoi penser, vous ne savez que dire. L’harmonie des choses est un équilibre précaire, qui ne tient qu’à deux chose : la confiance de l’un, et la confiance de l’autre. Vous vous connaissez. Vous savez que vos objectifs ne sont les mêmes. Mais pourtant. Il y a là un terrain d’entente, un terrain où toutes deux vous rejoignez : le mélange du yin et du yang, le point de rencontre de ces deux entités, la source de vos vies. Vous êtes des cyborgs. Vous êtes une cyborg. Force est de constater que la barrière entre humains et cyborg est désormais mince, mais vous êtes vous, et vous savez ce que vous avez à faire. Le monde doit changer. Il doit évoluer. Il faut repeindre ses façades, ses paysages et ses couleurs, faire de ces lieux un paradis où plus rien ne pourra interférer avec le bonheur absolu. « Vivons, vivons jusqu’à ce que plus personne ne puisse nous arrêter. La guerre est une chose mais l'art en est une autre. »
Mon passé fut long. Très long.
Ca… c’est ce que ma mémoire me contait. Mais tout n’est que mensonge et façade :
Hazuka était une petite fille normale, banale, tout du moins s'il existe dans ce monde une banalité quelconque. Fille d'un simple shinobi de Suna, marionnettiste, mais excellant dans son art, sa mère, elle, était une kunoichi spécialisée juunin médicale. Elle vivait tranquillement dans leur maison familiale du pays du sable, toutefois, sa famille n'était que très peu connue, car les ancêtres de son clan avaient, pour la plupart, le titre de nukenin. Son père, un homme raffiné, et sa mère, une kunoichi possédant un fort caractère, s'étaient rencontrés lors d'une mission. Ils avaient alors 16 ans. De leur amour naquirent 4 ans plus tard des fausses jumelles. La première, on l'appela Kagami, signifiant : «le miroir», et la seconde, la plus faible, porta le nom de «Hazuka», qui, assemblé avec une partie du nom de famille de sa mère, forme «Hazukashii», qui signifie «être gêné».
Kagami et Hazuka, pourtant jumelles, possédaient deux caractères diamétralement opposés. Kagami avait une forte tendance pour la bagarre, se mettant en colère pour un rien, provoquant les uns les autres, et prenant plaisir à faire souffrir les shinobi qui se dressaient contre elle. Hazuka, elle, était timide et réservée. Pourtant, elles s'aimaient beaucoup. Dans leur enfance, elles jouaient souvent ensemble, même si Kagami dirigeait Hazuka à la baguette.
Spoiler:
Un jour funeste Puis un jour, âgée de 15 printemps, Kagami fit la rencontre d'un jeune homme. Et c'est à ce moment là que tout bascula. Elle devint plus dure avec sa soeur. Elle passait tout son temps avec le shinobi qu'elle venait de rencontrer. Les parents menèrent l'enquête. Un beau jour, après que la jeune fille fut sortie de chez elle en cachette, ils la suivirent, jusque dans la forêt. Il faisait sombre, les nuages orageux pointaient à l'horizon. Les bruits de la nuit retentissaient les uns après les autres, comme des gongs marquant les 12 coups de minuit. Et là, peur, déception, dégoût, horreur. Une dizaine de cadavres entassés les uns sur les autres. Et à côté, Kagami, sabre ensanglanté en main, les cheveux volants au vent, un sourire aux lèvres. Mais le pire restait à venir. Le jeune homme était aussi présent. Et il tenait Kagami par des fils de chacra. Un marionnettiste. Kagami avait accepté de jouer à la marionnette pour lui, et chaque soir mourraient de leurs mains des dizaines et des dizaines d'innocents. Des shinobi de Suna, mais aussi de tous les autres villages. Et même des nukenin. Pris dans un élan de colère, le père attaqua le marionnettiste, employant une technique katon extrêmement dangereuse. Et l'homme emporta Kagami dans sa tombe ... Ils disparurent tous deux.
Le malheur entraîne le malheur Les deux parents moururent de tristesse quelques mois plus tard ... Enfin d'après ce qu'on dit. Hazuka se réveilla un beau jour ... Elle ne se souvenait pas de ce qui s'était passé la veille. Rien. Elle trouva le corps de ses parents, inanimés, endormis profondément pour l'éternité dans un sommeil agité, baignant dans une marre de sang. Ils ne lui laissèrent que des parchemins, un bar et une maison vide ... Tristesse, désespoir, solitude. Hazuka se retrouva seule. Sans personne. Sans amis. Le vide. Le trou noir. Un trou sans fond, ou l'on tombe sans cesse. Elle manqua de se suicider ... Mais tomba sur le Kazekage. Il lui rappela en quelques sorte sa soeur : le même regard perçant, le même sourire en coin. Hazuka voulait retrouver sa soeur dans l'ombre du kazekage ... L'aider à redevenir comme elle était avant. Hazuka décida de vivre pour le kazekage. Pour l'aider. Pour rester avec le souvenir de sa soeur ... Pour servir à quelque chose. Ne pas mourir sans avoir fait quelque chose pour aider sa soeur. Sa soeur, sa soeur, sa soeur. Hazuka ne vivait que pour sa soeur, elle ne vivait que pour le Kazekage.
L'espoir fait vivre Hazuka décida de ne pas porter le deuil, mais de toujours garder les souvenirs de Kagami. Elle porta les vêtements que portait habituellement sa jumelle. Elle prit son expression, elle prit même sa morphologie. Hazuka avait usurpé l'identité de Kagami. Elle était Kagami. La jeune fille rouvrit le bar de ses parents. Elle voulait vivre par elle même, pour pouvoir ensuite voler de ses propres ailes et découvrir le vaste monde.
Les mots vont plus vite que les actes Un jour où le soleil était haut dans le ciel de Suna, un jour où la température atteignait un record encore jamais connu, un jour où Hazuka avait revêtu sa tenue de serveuse, ce jour là, personne ne se doutait qu'une information arriverait au camp adverse ... Il y avait beaucoup de clients. La salle était bourrée. Chacun avait soif, chacun parlait haut et fort dans un vacarme assourdissant. Un brouhaha de voix s'entremêlant les unes les autres. Le mélange parfait pour échanger des informations confidentielles ...
-A BOIRE ! A BOIIIIIIIRE !!!
-OUAIS ! C'EST BON, JE VIENS !
Hazuka courait dans tous les sens. Le bar de l'Akatsuna était une vraie fourmilière. Passant et repassant, Hazuka fini par intercepter une discussion qu'elle n'aurait pas du entendre ...
-Kazehaya tu dis ? Oui ... un duo, j'en ai entendu parler ... Un duo qui sévit près de Kiri ... Un homme, masqué, qui utilise une technique de kujutsu ... sur une femme. Ils sont forts ... Et on ne sait pas ce qu'ils veulent. Ceux qui ont décidé de les rencontrer ne sont jamais rentrés ...
«Kagami !»
Ils n'étaient donc pas morts ce jour là ? Kagami était vivante ? Cet homme ... Que lui faisait-il faire ? Que faisaient-ils ? Où étaient-ils ? Des questions. Des questions sans réponses. Tout plein de questions. Mais où trouver la réponse ?
Il faut le voir pour le croire. Kagami était vivante. Mais était-ce vrai ? Sans plus ni moins, Hazuka parti. Elle s'absenta. Elle voulait voir Kagami de ses propres yeux, elle voulait la revoir, la toucher, lui parler ... Le voyage fut long.
Spoiler:
Aïe, j'ai besoin d'une technique spéciale de la famille Shiimata ... Un oiseau de sable ><' Comme celui de Sai ... Parce que sinon je ne peux pas partir de Suna ...
Après être sortie du territoire du sable, Hazuka fit disparaître son oiseau sableux, et continua sa route à pieds. Elle dura longtemps. Tellement longtemps que la jeune femme ne sut pas du tout combien de nuits elle avait passé en dehors de son village. Celui de Kiri était en vue. Hazuka chercha longtemps ... Et finalement réussi à les trouver. Mais ça n'était pas ce à quoi elle s'attendait ... Il y avait bien un homme et une femme, un marionnettiste et une marionnette. L'homme était bien le marionnettiste ... Celui qui avait tué ses parents, celui qui lui avait fait endurer toutes ses souffrances ... celui que l'on croyait mort. Il était là, en chair et en os, plus vif que jamais. Son long manteau noir recouvrant toutes les parties de son corps, son chapeau masquant son visage. Seuls ses mains et ses yeux contrastaient avec cette teinte sombre. Des yeux rouges, des yeux perçants. Les mêmes que les siens. Perçants. Ils la regardaient de cet air maléfique, à la fois remplis de haine et de mépris. Ils la regardaient. Et Hazuka les regardait. Hazuka détourna son regard pour observer la marionnette. Ça n'était pas Kagami. C'était un bout de bois déguisé. Un épouvantail assez ressemblant, mais même un amateur pouvait faire la différence entre ça et une vraie personne. Ce chiffon, ce pantin.
-Ça n'est pas Kagami ! Rendez-la moi ! Qu'est-ce que vous lui avez fait ?!? Vous allez payer !
Colère. Hazuka voulait venger sa soeur, elle ne voulait pas que Kagami soit morte pour rien. Elle voulait que l'homme paye. Mais il n'y eu pas de combat, il n'y eu pas de confrontation, il n'y eu pas de paroles échangées. L'homme disparu. Tout bonnement et tout simplement. Hazuka fulminait. Elle détruisit tout ce qui était autour d'elle et reparti rageusement dans la direction de Suna.
Un cercle vicieux, un cercle sans fin. Il lui avait pris sa Kagami. Il lui avait arraché. Il lui avait volé. Sa soeur. Son amie. Son âme. Sa moitié. Il lui avait monstrueusement retiré. Hazuka criait vengeance. Hazuka voulait tuer. Tuer ceux qui lui avaient fait du mal. Tuer. Tuer. Tuer. Elle sombra dans la folie. Depuis ce jour, la jeune femme est ce qu'elle est maintenant. Quand sa folie s'éveille, elle n'est plus elle même, mais une partie de Kagami.
Chuunin un jour, ninja toujours ! Hazuka avait déjà passé son examen chuunin étant petite, avec sa soeur. Elle fut entraînée de force dans un concours pour devenir juunin ... Mais l'ayant raté, elle eu la flemme de le repasser, et continue d'apprendre et de découvrir de nouvelles techniques, de nouveaux adversaires.
En réalité, les choses était légèrement plus compliquées. Tout commença par le désir de perfection extrême d'un maître marionnettiste, appelé Kazehaya. Originaire de Suna, il devint rapidement un nukenin recherché pour avoir causé des centaines voire des milliers de mort. Ses recherches sur les marionnettes l'amenèrent rapidement sur la voie de la mécanisation. Il effectua de nombreux tests. En l'an 84, l'homme réussit sa première marionnette mécanisée humaine, d'aspect parfait. Seulement, cette dernière n'était pas aussi parfaite qu'il ne le cru. Cette marionnette demandait beaucoup beaucoup de sang humain, car les organes internes de la kunoichi qu'il avait utilisée pour cette « marionnettisation » n'avaient fusionnés avec le système mécanique qu'il lui avait implanté, et la jeune femme n'avait pas survécu. De ce fait, maintenir son corps en «vie» nécessitait des sources vitales importantes : nombreux furent les shinobis et villageois qui tombèrent sous leur sabre durant l'année suivante, ce qui leur valut le titre sanguinaire de «duo sanglant». Dans ces conditions, la marionnette humaine qu'il s'était donné pour but fonctionnait ; mais Kazehaya voulait aller encore plus loin. Un ersatz ne lui suffisait pas, il voulait parvenir à la marionnette humaine ultime : ce qui allait devenir un robot.
Un an plus tard, en 85, le marionnettiste décida de réitérer son essai avec les mécanismes qu'il avait adaptés et fusionnés à des organes humains. La kunoichi avec laquelle son premier test avait été effectué se trouvait être la sœur jumelle d'une villageoise de Suna. Pris d'affection pour ces deux femmes, il s'approcha volontairement des frontières de Suna pour voletterai ses méfaits. Comme prévu, la dénommée Hazuka, sœur de Kagami la marionnette, vint dans son piège. Et Kazehaya la transforma en marionnette. Mais cette fois ne fut pas comme la dernière. La modification était légère, il ne s'agissait que de tests. Il avait décidé de procéder par étapes afin de créer la marionnette parfaite, de soigner minutieusement la transition. Et cette première étape fut un succès. Sans le savoir, Hazuka repartit avec un organisme modifié, plus résistant -ou du moins, légèrement mécanisé-. Durant onze ans, il la regarda évoluer. Durant onze ans, il la modifia petit à petit. Pendant le temps que prirent ces opérations, Kazehaya mit pieds à l'Akatsuki, sans réellement en faire partie. Six ans plus tard, en 91, ses pérégrinations l'amenèrent à Kumo, où il suivit en secret les avancées d'un certain Zatoïchi Ryuchi. Grâce à lui, le nukenin développa grandement ses connaissances, apprenant sur la mécanique, sur l'intelligence artificielle, sur les robots. La façon dont transformer le chakra, comment faire en sorte qu'une marionnette puisse utiliser le chakra... tout cela l'intéressait grandement. Car oui. Pour lui, une marionnette parfaite était une marionnette humaine capable d'elle-même contrôler une marionnette. Un cercle parfait et vicieux. Tel était le but suprême de ce maître marionnettiste.
Et puis un beau jour, il décida d'agir. Le génie robotique de ce shinobi était tel, que la bride du Raikage empêchait son art de se développer. Kazehaya l'avait bien compris ; et il avait besoin du génie de cet homme. Il se mit à découvert alors qu'il épiait les gestes du génie robotique, et mit son plan à exécution : l'imparfaite marionnette Kagami poignarda le trio d'anbu qui gardait la Tour du Raikage, et ce dernier fut exécuté par le marionnettiste lui-même. Alors que le dénommé Zatoïchi accourait sur les lieux, Kazehaya envoya sa marionnette vers la porte d'entrée du bureau du Raikage -où il se trouvait- faire une diversion. Et la suite fut si bien orchestrée, qu'il s'en délecta du haut de son observatoire. Zatoïchi Ryuchi devint Kage, ses compétences purent enfin être employées à leur juste valeur, et alors que Kazehaya transplantait le dernier «gêne» robotique dans le corps hétérogène d'Hazuka, le reste du monde commençait à changer. Le nouveau Raikage s'absenta pendant un temps, et il en profita pour tester, améliorer, découvrir de nouvelles possibilités de transfusion, avec comme matière les corps qu'il avait gardés dans des sceaux de marionnettes. Il développa bon nombre de substances, qu'il cacha et conserva après le retour du Raikage.
Pendant ce temps, Hazuka prenait de l'ampleur. Elle prenait son envol, en quelques sortes. Bien que ce fut Kazehaya qu'il l'ait poussée à agir, la kunoichi fit plus ou moins équipe avec un dénommé Sergerk Rasack. Il observa ses réactions avec le monde extérieur, ses réactions lorsqu'elle éveillait son côté «marionnette». Il remarqua que sa personnalité n'était pas la même... Tout ceci passé, le deuxième et dernier test s'avérait... sa résistance face à la mort «humaine». C'est ainsi qu'il détermina sa rencontre avec Zitch Fumetsu, un utilisateur de poison. Celui-ci empoisonna, comme l'avait prévu le nukenin, Hazuka. Il ne lui manquait plus qu'à récupérer Hazuka pour surveiller l'avancée de ce poison et voir si elle était cette marionnette parfaite qu'il espérait atteindre. Mais c'était sans compter l'intervention inespérée de Sergerk Rasack. En combat impressionnant s'ensuivit, opposant le Suna-jin au nukenin, qui utilisa Hazuka comme une marionnette qu'elle était. L'unique marionnette marionnettiste pu enfin monter tout son art. Mais... Kazehaya n'était, lui, pas parfait. Et il tomba des mains de Sergerk.
Ce dernier devenu Kazekage à la suite de cette victoire, arriva très vite la guerre Iwa/Suna. Hazuka aurait dû mourir depuis bien longtemps déjà, mais elle résista au poison. Quelques années plus tard, elle fut assassinée par Soufuku Nitobe, et son corps fut laissé sans vie...
Un beau jour, Hazuka se réveilla. Elle ne savait pas si elle était Kagami ou Hazuka, mais son âme se sentait en paix. Son corps semblait amoché, mais elle n'avait mal. Elle regarda ses mains, son corps, ses jambes... et sut la vérité. Les cyborgs étaient la race supérieure qu'il fallait faire atteindre à l'humanité. Elle... non. En fait, elles étaient deux en une. Hazuka, la kunoichi, et Kagami, la cyborg. Deux entités qui collaboraient et partageaient un seul corps. Bien que leurs pensées ne fussent pas spécialement en accord, elles vivaient en harmonie, et savaient qu'elles avaient besoin de tuer pour soutenir le corps d'Hazuka, maintenant que certains organes de ce dernier avaient été supprimés par le sunien qui l'avait «tuée». Elles établirent leur base à Kumo, et ce fut le départ d'une longue et sanglante histoire.
Kagami rejoint très vite les nouveaux rangs d'Akatsuki. Seulement, tout ne se passa pas comme prévu : l’alliance entre cyborgs et Akatsuki établie avec Hel fut ébranlée, et la Shiimata décida de parcourir le monde. Armée de son fidèle fuinjutsu « Akasuna », la cyborg se mit en marche vers de nouvelles aventures, et débuta sa conquête du paradis.
Voir les histoires de : Hazuka Shiimata, Zatoïchi Ryuchi, (Udekane Ryuchi), Sergerk Rasack, Zitch Fumetsu, Hel, et Soufuku Nitobe.
PS : Hazuka possède une série de perruques et de vêtements capable de le faire passer pour autrui. Avec le savoir-faire de ses marionnettes, l’art du déguisement n’est plus un soucis pour elle.
• Âge : 178 • Localisation : Dans une patate • Prénom : • Nindo : • Passions : Tout et n’importe quoi • Personnage du manga préféré : • Comment avez vous découvert le forum ? : • Comment trouvez vous le forum ? : • Que faudrait il changer ? : • Autre chose ? : (Avez-vous déjà RP, depuis combien de temps, une remarque particulière...) • Avez vous lu le règlement ?* : Oui et Hazuka.
Yumi Esuki Rang S
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Sujet: Re: Hazuka & Kagami, le revers de la medaille - Cyborgs à temps complet Sam 19 Mar - 21:19
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