Ce matin la, réveille au aurore pour certainement l'une des missions les plus captivante que j'ai fais de toute ma carrière de Shinobi... Faire le ravitaillement du front... Lorsque j'ai reçu cette ordre de mission, c'est la que je me suis dis que j'avais touché le fond des abysse de la reconnaissance des Shinobis. Soyons bien claire, je respecte ceux qui ont le courage de traversé le front pour donner les ravitaillements au péril de leur vie car la vie de tout les autres dépende d'eux. Le ravitaillement est une très lourde responsabilité dans n'importe quel guerre... Cependant, devoir me coltiné un voyage ennuyant sur un bateau avec comme niveau de risque zéro pendant que Ranmaru-Sensei est parti sur le terrain en me laissant sans activité a Kiri...
J'été clairement dégouté, j'aurais aimé me battre a ses côtés. Lui prouver que même si je n'étais pas un épéiste légendaire comme lui, avec mon épée Gardian de Tekumi j'étais parfaitement capable de me battre... Non... D'être décisif sur le terrain, je suis un soldat, les épéistes comme moi sont censé partir en première ligne et avoir été mit a l'écart de cette façon était la pire insulte que le Mizukage avait pu me faire.
Je rejoignais mon escadron, a ce que je voyais, j'étais le seul adepte du combat au corps a corps. Dans ce genre de mission ou le but de de la défense était d’empêcher les ennemis d'abordé le bateau... J'étais complètement inutile, et ce sentiment m'est insupportable. Je laissais le personnel habilité a chargé le navire, alors que j'entendais sur pont du bateau. Je continuer encore et toujours d'attendre la jambe posé contre le bois d'une caisse de nourriture militaire. Nous partions enfin de port, avec la consigne de camouflé le bateau dans un nuage de brume de grande taille afin de nous fondre dans la masse.
Je maintenais mon justu comme tout les autres, alors que cette mission ne comporté absolument aucune action. Ce justu étant relativement simple, je n'eu pas vraiment de mal a poursuivre mon justu sans tombé de fatigue, de plus que nous inter-changions toute les heures, pour ne pas finir par épuisé tout notre chakra. Pendant une de mes pauses, je prenais mon repas. C'est fou comme les repas militaires en mer pouvais être désagréable, lorsqu'une vague plus haute que les autres faisaient tangué le bateau et que la moitié de l'assiette finissait sur le sol.
J'avais hâté d'en finir avec cette mission. Le voyage jusqu’à la côte de Kagero no Kuni était programmé pour durée a peut-prêt six heures... Je prenais mon mal en patience, pendant que les secondes semblaient des minutes, et que les minutes semblaient des heures tellement mon ennui était profond et sans limite. Au final, je retire ce que j'avais pu dire avant, mon respect pour ceux qui ont la patience de faire souvent ce genre de mission est sans limite, que j'en pouvais plus de cette ennui malgré mon visage qui ne trahissait pas mon agacement.
Finalement, nous arrivions enfin au port. Mon courage et ma patience était enfin récompensé, pendant que je n'en pouvais plus d'attendre avant de pouvoir enfin posé le pied a terre. Lorsque le moment tant attendu arriva enfin, je soupira de soulagement. Cette mission infernal était enfin terminer pour mon plus grand bonheur, j'attendais les nouvelles instructions en espérant que j'aurais enfin l'occasion de me défoulé de toute cette mauvaise fatigue accumulé pendant cette mission.
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