Soufuku NitobeRang S
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Fiche shinobi Grade: Nombre de missions effectuées: 0 SS - 0 S - 0 A - 0 B - 1 C - 1 D Talents: | Sujet: Madao ~ Road of mens : Le Désemparé et la Légende du Rakugo. Mar 2 Fév - 23:59 | |
| Madao ~ Road of mens : Le Désemparé et la Légende du Rakugo. ''Comment vous décrire ma vie ? Et bien je ne risquerai de ne pas être des plus brefs cependant vous pouvez toujours vous asseoir ici et partager avec moi une coupelle de saké. Mais je vous préviens une fois ce voyage dans mon passé le plus profond vous ne pourrez rebrousser chemin. Très bien faisons ensemble un bon dans le temps...''
Il y a plus de vingt-cinq ans à Tetsu no Kuni, le pays du fer c'était un homme voué à devenir samouraï il faisait alors ses classes en tant que simple soldat, un homme des plus simples, profitant de la vie au jours le jours et comblé par un mariage avec une femme de famille modeste mais aussi belle à ces yeux que les monts enneigés les plus culminants de son pays. Cet homme répondait au nom de Hasegawa, il n'était pas très doué pour le combat il fallait l'avouer mais avait une générosité énorme dans l’effort seulement voilà sans talent et sans amour propre pour les arts samouraïs il finit par devenir la risée de l'armée du Seigneur Mifune. Hasegawa était un intellectuel et un artiste qui depuis ça plus tendre enfant était passionné par le spectacle, la littérature, l'histoire ou encore la peinture.
Cependant qu'était-ce un homme qui n'avait pas le courage de ce battre ni la conviction de devenir un haut gradé ? Avait-il seulement sa place dans une société machiste ou la force brute faisait à force de temps valoir une fausse noblesse ? Et bien messieurs dames non ici il n'en était point question ! Avec les différents traités passés par notre si bon pays et les différentes factions ninjas d'autrefois des mercenaires venaient de temps à autres officiers dans nos contrées. Et sa bien aimé alors dans l'attente d'un heureux événement le quitta à la suite d'une histoire stupide. Il y a plus de vingt ans. Un insurgé à tenté un coup d'Etat sur le Chef du Pays qui était alors Mifune, cet homme fut arrêté par une armée rebelle composée de quarante et sept samouraïs.)
Tandis que lui Hasegawa, avait fuit, de peur de mourir pensant profondément à la vie que son futur enfant pourrait avoir sans un père à ses cotés. Mais il n'avait pas songé au revers de la médaille, quid d'un enfant grandissant dans le déshonneur causé par son froussard de géniteur ? Il fut désavoué devant les membres de sa famille qui lui tournèrent le dos, et sa femme le quitta elle partis sans aucune lettre sans aucun mots, laissant derrière elle un homme démunis et des vases vidés de leurs fleurs et une vie vidée de tout sens. Quelques années passèrent et dans les rues de la ville une fois la nuit tombée il marchait, vêtu de son ensemble aubergine, de ses claquettes de bois à talons et portant sur son nez une paire de lunette de soleil rectangulaire, il abordait sur son menton un bouc châtain signe d'une solitude extrême sa chute en enfer fut des plus vertigineuse, une fois s'être retrouvé tout seul, il devint sans toit. Un vagabond, vagabondant au grès du vent.
Alcoolique et seul... Il se mit à boire lorsqu'un beau matin il a revit une nouvelle fois, elle portait dans un tissus violet en bandoulière un petit chérubin au tint rose. Tremblotant, les mots profond il voulu allez lui parler, seulement et au seulement elle n'était plus la même son visage était de nouveau illuminé par un autre homme. Un ninja mercenaire s'étant établis dans un village voisin, il avait fiers allure le regard d'un coq de basse-cour. Se fut ici sa plus grande déception. Il oublia alors son nom qu'il jura de ne plus porter. C'est ainsi que Hasegawa devint ce que le communs des mortels définissait comme étant Madao. Un être Mi homme mi vermine.
Des mois et des mois s'écoulèrent un jours d 'été dans les ruelles d'un petit village de campagne le soleil battait son plein, les rayons semblaient être des coups de fouets qui lacéraient le dos des passants quoi de mieux pour un rébus de la société ? Il était allongé sur un banc entrain de dormir quant il sentit une présence à ses cotés. Empestant l'alcool il se réveilla et joua avec ses main frottant ses yeux et remettant ses lunettes en places. Cet homme était grands, ses cheveux étaient noirs et il portait un un kimono blanc et rapiécé de toutes part, un nomade comme lui ? Non il avait une sorte d’aisance qui se dégageait de lui comme-ci il appartenait à une caste supérieur, on lui avait jadis affirmé de ne pas juger un être à son accoutrement cependant force était de constater que cet inconnu était des plus mystérieux ! Il lui tendis un peut d'alcool qui restait dans sa flasque et tenta de faire la conversation.
- Yoo ! T'en veux ?
Outrepassant les hics et autre onomatopées l'homme tourna le visage et souriait il le cachait mais était visiblement surpris que l'on remarque sa présence lui qui avait pris l'habitude d'agir comme un fantôme.
- Non merci, je suis plutôt saké.
Face au refus Madao leva du sourcil il lâcha sous un grognement.
- Gné?!!Domage c'est le meilleur que je puisse avoir, il vieillit au soleil avec moi de jours en jours !
Et il s'empressa de finir sa bouteille, s'essuyant à l'aide de son vêtement il regardait cet homme assis à coté de lui, qui ne l'avait pas lâché du regard l'arrivant intrigué lui, poursuivis la conversation et c'est ainsi que le dialogue naquit entre les deux.
- Je suis un simple homme, qui était certainement aussi ivre que vous il y a deux jours, à en juger par votre apparence vous comme moi, n'ayons pas de port d'attache mais dites m'en plus sur votre parcours ? J'aime bien commencer mes journées par de bonne histoire ?
- Yare ?! Et bien je suis le légendaire Madao, celui qui n'a plus rien hic ! En fait j'étais un samouraï autrefois, le meilleur qu'il puisse être ! Enfin non pas vraiment... j'ai tout perdu mon pote tout ce qu'un homme peut rêver d'avoir. Femme, enfant, honneur...
- J'ai aussi tout perdu, je comprend la seule femme que j'ai aimé et morte lorsque j' étais plus jeune, vous savez la guerre...
Madao le coupa il sortit une cigarette il en restait deux dans son vieux paquet en carton, il lui proposa la seconde.
- T'es un bushi Hic ?
- Non je ne suis plus un samouraï, je ne pense ne jamais l'avoir été.
- Dis moi ce qu'est un samouraï aujourd'hui dans ce bon vieux pays du fer...
Ils devinrent ainsi amis, et Madao et ce samouraï inconnus entamèrent un voyage à travers le pays dormant parfois à la belle étoile, les deux déchus avait chacun pris connaissance de la vie de l'autre. Madao lui espérait sincèrement un jour devenir quelqu'un et regagner le cœur de sa femme. Quant à l'autre homme, il souhaitait juste vivre en paix. Ils partageaient une passion pour l'histoire et Hasegawa lui appris en détail l'histoire du pays du fer et l’influence néfaste des shinobis sur celui-ci en passant par la promulgation du traité de non agression à l'abolition du Hagakure et des techniques ancestrales samouraïs. Il tilta lorsqu'il appris le nom de cet homme Nitobe. C'était celui d'un grand samouraï d'autrefois, non pas ce pseudo héro forger par les bons vouloir d'une tradition faussement construite par la honte des précédents gouverneurs en place mais un samouraï qui a défendu les valeurs de ce pays corps et âmes. Accompagné de son compagnons d'infortune il aperçu sa bien aimé.
L'enfant qu'elle portait autrefois avait grandit, cette fois il alla à son encontre lui criant qu'il l'aimait. Elle était gênée, non pas par la situation rocambolesque mais par le fait de voir que l'homme qu'elle avait épousé s'était tellement enfoncé qu'il était devenus une vraie raclure. Son nouvel amant arriva et accompagné du gamin qui n'était autre que le fils du déchu, il le repoussa, le faisant tombé par terre et rigolant aux yeux des passants de la faiblesse de cet homme traîné dans la boue. Nitobe n'était pas intervenus non il l'avait laissé faire. Jamais plus il n'interviendrait dans un conflit. Il redressa son amis et leurs chemin se séparèrent. Néanmoins, c'était de courte durée car les événement à venir allaient faire vivre aux deux protagonistes une aventure qui allait changer leurs vies. |
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Soufuku NitobeRang S
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Fiche shinobi Grade: Nombre de missions effectuées: 0 SS - 0 S - 0 A - 0 B - 1 C - 1 D Talents: | Sujet: Re: Madao ~ Road of mens : Le Désemparé et la Légende du Rakugo. Jeu 18 Fév - 0:37 | |
| C'était une grande cours faite de sable avec quelques coins d'herbe est un ruisseaux, c'était la le jardin de ce scélérat qui lui avait volé sa bien-aimé et son enfant. Ce shinobi mercenaire qui crachait son venin telle une vipère sur les bushis et habitant du pays du fer. Hasegawa était face à lui, face à cet homme. Il était en sueur le kimono sans dessus dessous, la hargne au ventre et le courage en guise de sabre entre ses deux mains. Quelques heures auparavant il ou quelques jours plutôt il l'avait provoqué en duel voulant à tout prix récupéré celle qui faisait toujours battre son cœur, hélas il était bien trop faible pour ce genre de chose bien trop faible pour y arriver. Il hurlait à la mort lorsque l'autre lui rigolait au nez, il était plus que déterminé à la chose tant il n'avait plus rien à perdre, celui que l'on surnommait Madao sous ce soleil d'aplomb était même prêt à miser sa vie. - Ce sera mon dernier Jutsu sombre cafard je te souhaite une belle vie dans les limbes infernales. Il fit un mudra avec ses doigts et du petit ruisseau jaillit un dragon fait d'eau et prêt à mordre. Il voulait le voir disparaît et de son air hautain il lança on attaque. Hasaegawa caresser par la brise légère serra le sabre dans ses mains, il regarda une dernière fois sa femme. Pour qu'elle le comprenne encore une fois. Qu'elle puisse percevoir que ses actions du passés furent une erreur de jeunesse, qu'il était prêt à présent de vivre une nouvelle vie. Que s'en était finis d' Hasegawa le froussard. Il hurla à la mort au fur et à mesure que l'attaque dragonique s'approchait de son corps : - Je suis... Hasegawa... MADAO HASEGAWAAAAAAAAAA ! Quelques jours avant le combat décris plus haut, peut après la provocation de celui que l'on appelait Madao, dans une auberge rustique et très charmante un samouraï assis à une table regardait sous sa frange noir qui parcourait son visage en diagonale le comportement de certaines femmes. Elles étaient potelés et avaient des voix stridentes, elles s’exclamèrent comme de vulgaire poule dans un poulailler. Un homme avait oser provoquer le grand maître et vus sa dégaine jamais celui-ci ne ferait le poids... Le samouraï semblait exaspéré, il avait compris ce qu'il se passait là dans les hautes sphères campagnardes son acolytes allait sans doute devoir se battre comme un coq de basse-court pour regagner son due et lui, serait tout bonnement impliqué qu'il le veuille ou non. Passer incognito était désormais impossible pour lui. Il se leva et jeta quelque ryos gagner en faisant des spectacle ambulant. Et pris le sabre d'un homme assommé par le sake que sa flasque contenait. * Merci. * Lui qui avait juré de ne plus sa battre, lui qui n'était plus un samouraï devait à présent mettre sa fierté et son mal-être de coté. Il se dirigea donc vers cet endroit. Qui était à la base gardé par une centaine d'homme. ♫La journée débutait dans un bain de sang, facilement il vint à bout d'une rage déconcertante des 100 soldats qui avaient un piètre niveau. Le dragon avançait et il allait être percuté, il ne recula pas et fléchis les jambes sous ses lunettes ébréchées on voyait son iris pleine de rage, il le savait il mourrait après cette affront mais que diable, il se devait d'être pour une fois dans sa vie l'homme qu'il aurait du être...Subitement le dragon aqueux vola en éclat et la stupeur gagna les rangs. Madao tomba à genoux regardant face à lui la silhouette d'une personne qu'il connaissait bien, des larmes vinrent à gagner ses yeux. Le samouraï était là regardant ce grand maître dans les yeux, son sabre rugissait d'envie de lui ôter la vie. Lui ce shinobi malheureux lui somma. - Qui … Qui es tu ? Où sont mes cent gardes ?! Le samouraï fit un mouvement brusque du sabre et en fendant l'air fit giclé trois petites gouttes de sang qui coulait sur son sabre. Il dit de sa voix rauque. - Je vais être bref, Ichi Kuiki no Bushido. '' Cette histoire est véridique, j'ai passé les détails car des enfants sont fan des mes œuvres, mais aujourd'hui je porte le nom de scène de Madao, Hasegawa Madao le légende du théâtre ou du Rakugo. Si jamais , le destin n'avait mis cet homme Nitobe sur ma route jamais, je n'aurai pus reconquérir le cœur de ma femme et devenir cet homme adulé. Nul doute que ce soir il a assisté à ma représentation. Il est un grand Homme et ne comptait pas sur moi pour vous divulguer son Prénom. '' FIN DU RP |
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